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10.05.2009

10 Mai 2003: Télé loisirs

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09.05.2009

9 Mai 2005:Ouest France

Concert donné salle du Casino de Bénodet le 6 mai 2005

 

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Salle comble pour le spectacle de Serge Lama

 

Vendredi soir, Serge Lama s’est produit à guichets fermés, à la salle du casino. Bien vite, les réservations avaient largement dépassé les attentes des organisateurs.

« C'est un spectacle de duettiste, que certains peuvent appeler spectacle minimaliste ou confidentiel... J'ai décidé ce soir, de vous donner l'intégralité du spectacle, avec ma voix. 

Vendredi soir, Serge Lama est venu à la rencontre de son public. S'offrant même une pause, un moment surdimensionné, une sorte d'entracte. Sauf que je reste. » Ce fut l'occasion d'évoquer ses débuts en 1964, avec trois chansons dans un cabaret de la rive gauche. Surtout, l'occasion de jouer avec les mots. De s'amuser avec son public, avec des allusions à La Baule. Sur la scène, il n'avait pour complice que Sergio, un accordéoniste, dont l'instrument était capable de sortir des accords d'orgue, des arpèges de piano, des mélodies de bastringue... Les notes d'accordéon rythmaient les mots du grand Serge. L'émotion à fleur de peau. Entre les titres à succès, il glisse des chansons moins connues.

Après l'intro « Je n'ai pas eu de ballons rouges quand j'étais gosse dans mon quartier », Serge Lama chante « J'ai essayé à 100 reprises de vous parler de mon ami ». Avec un brin de nostalgie, il évoque les jardins ouvriers de son enfance, sur l'air d'une ritournelle, une valse à vingt temps, à vingt ans. Avoir 20 ans, comme ces jeunes partis pour la guerre d'Algérie. Il quitte son costume sombre, pour revenir sur la scène revêtue d'une veste blanche, avant de lancer dans le public, sa paire de lunettes noires.  « L'amour rend les belles femmes ». Il chante « Femme, femme, femme ». Le public l'ovationne et sollicite un rappel. Quelle belle rencontre, sans doute trop courte.

08.05.2009

8 Mai 2010: Evasion Mag

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SERGE LAMA : « LA CHANSON EST LA BASE DE MA VIE »…

Qu’est-ce qui fait courir Serge Lama après tant d’années de scène, de disques, de tournées, de planches ? La chanson, tout simplement, même s’il s’en est quelquefois écarté… Oh, pas très souvent car il y revient toujours. Et vous pourrez voir que « L’Ami-Lama » a toujours sa voix, son talent, sa passion, le samedi 8 mai à 20h45 au Théâtre Galli de Sanary.
Rencontre avec un artiste incontournable de notre belle chanson française.

 

« Alors, Serge Lama, qu’est-ce qui fait que vous n’arrêtez jamais ?
Tout simplement l’envie de chanter, de rencontrer le public. Alors je pars sur les routes jusqu’à ce que j’ai fait les salles « faisables », les lieux les plus divers, petites ou grandes salles, Zéniths ou Palais des Sports, théâtres…
J’ai tourné « Accordéonissi-mots » durant quatre ans, j’ai fait un disque « L’âge d’horizons » et je repars avec un nouveau spectacle que je tourne jusqu’au mois de mai et que je reprendrai en janvier !


Quelle différence avec le précédent ?
Tout d’abord, il y a un musicien de plus, un guitariste, ce qui permettra à mon accordéoniste Sergio Tomassi d’un peu respirer ! Tout le tour a été revu et corrigé dans un style plus manouche et puis, j’ai changé beaucoup de chansons….


Lesquelles ?
Difficile à expliquer… il faut venir voir ! Le spectacle se divise en trois, un peu comme au théâtre. Il y a trois actes. Le fil conducteur c’est… moi ! Mais à chaque acte il y a une couleur. J’ai gardé quelques chansons incontournable comme « Je suis malade », j’ai mis sept chansons de mon dernier album, ce qui est énorme par les temps qui courent et j’ai remis certaines que je n’ai plus chantées depuis des années….


En quoi cela est-il « énorme » de mettre sept chansons du dernier album ?
Parce que, aujourd’hui, les public vient écouter les chansons qu’il aime. Il est moins curieux des nouveautés et s’ennuie vite s’il ne s’accroche pas à des mélodies qu’il connaît. Avant, les artistes « rodaient » leurs chansons devant le public, avant de les enregistrer, afin qu’elles soient fin prêtes au moment de l’enregistrement. Aujourd’hui le public préfère les chansons qui leur rappellent des souvenirs, plutôt que des découvertes. Elles font partie de leur vie, il faut les satisfaire.

C’est ce qu’ils cherchent dans la tournée « Age Tendre »… Pourriez-vous la faire ?
Pourquoi pas, si mon public ne venait pas me voir ? Mais j’ai la chance d’avoir un public fidèle, qui ne vient que pour moi et c’est d’ailleurs pour ça que j’ajoute ces chansons de mon dernier album, il les connaît déjà. Mais je trouve que Michel Algay a eu une magnifique idée que de faire remonter nombre d’artistes qu’on ne voyait plus sur scène. Le public y retrouve toute sa jeunesse et tout le monde y trouve son compte.


Passer de grandes à de petites salles, cela ne pose-t-il pas de problème pour le concert ?
Vous savez, ce qu’on perd d’un côté, on le gagne de l’autre : dans des petites salles, comme l’Olympia que je ferai le 5 avril, c’est plus intimiste, on est près du public, il vous voit et vous le voyez et l’on n’a pas besoin de chanter en force. Dans les grandes salles, comme le Palais des Congrès que j’ai fait en décembre, il y a plus d’espace, plus de solitude, il faut aller cherche le public plus loin donc porter la voix. Mais chanter « Je suis malade » dans une grande salle, c’est quelque chose de formidable ! Finalement, même si ça ne se voit pas, je suis très proche d’un rocker !


Vous avez écrit, voici trois ans, un recueil de poésie intitulé « Sentiment, sexe, solitude ». Avez-vous envie de récidiver ?
Vous savez, j’écris sans arrêt, je n’arrête pas. Mais je ne sais écrire que des poèmes et si j’ai fait ce livre c’est que mon éditrice, Anne Carrière, a eu confiance en moi. Lorsqu’on sait qu’un poète connu vend entre 1.000 et 1.500 livres, moi j’en ai vendu 75.000 parce que je m’appelle Lama !
Donc, pour le moment, ça n’est pas d’actualité. Par contre, j’aimerais peut-être faire un spectacle parlé et chanté autour de ces poèmes et de ce thème… Mais ce n’est qu’une idée.


Et écrire votre bio ?
Alors là, c’est un autre problème ! On me le demande depuis au moins vingt ans !. D’abord, comme je vous l’ai dit, je ne sais écrire que des poèmes et puis j’ai un énorme problème : je n’ai aucune mémoire ! Je passe mon temps à chercher le nom des gens, lorsque ma femme, Michèle, me rappelle quelque chose, moi je ne m’en souviens jamais, alors vous pensez, écrire mes mémoires !!!!

Je ne vis que dans le présent, dans l’instant, le passé, ,je l’oublie. J’aurais peut-être dû tenir un journal au quotidien mais aujourd’hui, c’est trop tard !
Par contre, j’ai de quoi enregistrer vingt disques ! D’ailleurs, lorsque je sors un nouveau disque, il y a certains textes qui datent de deux, dix, quinze ans !


Et le théâtre ?
Ca a été une période de ma vie. Grâce à « Napoléon », qui était une comédie musicale et qui mêlait théâtre et musique, j’ai reçu quelques propositions et j’ai ainsi joué « La facture », pièce que Françoise Dorin avait écrite pour Jacqueline Maillan et dont elle a fait une version « mâle » pour moi et « Tôa » de Sacha Guitry. Mais ça a été une parenthèse et mon vrai métier reste la chanson.
C’est la base de ma vie… »

Propos recueillis par Jacques Brachet

 

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07.05.2009

7 mai 2002 : Le Nouvelliste

Article publié dans le nouvelliste du 7 mai 2002 lors de l'enregistrement de l'émission  La magie de...Serge Lama qui sera diffusée à la télévision suisse le 8 juin 2002

 

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06.05.2009

6 Mai 2003: Ici Paris

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6 Mai 2002:La nouvelle république du centre

Serge Lama était en Concert à la Halle de la Sèvre

 

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D'une seule voix pour Lama

 

Devant un public conquis d'avance reprenant les refrains dans un parfait unisson, Serge Lama a enflammé la halle de la Sèvre, avec un show impeccable mêlant les classiques à ses nouvelles chansons.

Michel RONDEAU.

IL n'y a pas deux mille personnes vendredi soir dans la halle de la Sèvre. Il y a un public. Un seul regard et une seule voix qui se décrit pour suivre l'homme en noir et chanter avec lui. L'attention est palpable, le recueillement confiné à celui d'une cérémonie. Et puis, tout se relâche dans un éclat de rire ou dans le plaisir de hurler sa joie et d'applaudir... Il y a une seule personne sur scène, baignée de lumière, au centre du cercle que lui font ses musiciens. 

Avec Serge Lama pas de demi-mesure. On aime ou on n'aime pas. Ceux qui sont là ce soir ont depuis longtemps fait leur choix. Ils aiment tout d'un artiste qui, en bientôt quarante ans de carrière, a su se renouveler sans jamais les trahir. 

Sa voix : Lama est un chanteur ; un chanteur malade. Malade au point de chanter sur scène sans micro, le temps d'un rappel, dans l'immensité d'une salle médusée. 

Son physique : Lama est un charmeur ; une allure gauche et mal fagotée, dont il meuble chaque respiration et les silences que seuls les grands savent jouer. 

Ses textes : Lama est poète ; léger, amoureux ou nostalgique, reprenant à son compte Verlaine sans que personne ne crie au crime. Jamais précieux ni même ridicule dans ce qu'il a fait de plus niais. 

Son culot : Lama est cabot, mégalo, mais juste ce qu'il faut. 

La fièvre du music-hall, l'exacerbation des passions ; en lui on sent revivre Brel et Bécaud. Serge Lama va jusqu'à s'excuser de présenter ses nouvelles chansons. D'aucuns diraient qu'il attige, mais le public sait bien que c'est là le meilleur à venir. « Je travaille à ma solitude. J'aspire à l'épaisseur des pierres... » On comprend mieux le retour au dépouillement musical de son dernier album. Ces chansons interprétées parfois a capella que viennent caresser avec tant de bonheur un accordéon, un violoncelle, une guitare.

Deux heures ont passé. Ultime rappel : Lama s'offre un bain dans la foule...ravie, qui bientôt s'éclate à regret au dehors. Du talent, du métier et des histoires bien écrites sur des mélodies que l'on se prend à fredonner.

La recette est simple. C'est celle d'un temps, pas encore révolu, mais qui quand même se fait rare : un temps « où les chanteurs avaient de la voix ».

6 Mai 2005:Ouest France

Salle Polyvalente à Mayenne le 4 mai 2005

 

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Serge Lama a plaisanté et chanté avec mille personnes

 

Quarante années d'amour pour les femmes et les mots n'ont pas prouvé tant que cela Serge Lama, même s'il l'a prétendu lors de son spectacle. Mercredi soir, son humour, son énergie, et surtout son talent ont fait frémir les mille spectateurs de la salle polyvalente. C'est sûr, les nombreux fans qui criaient son nom étaient un peu aveuglées par leur amour ; mais les maris, ou les curieux, venus voir avant tout un monstre sacré de la chanson française, se sont également montrés unanimes. En sortant dans la nuit, tous restaient sans voix face à celle de l'artiste.

Sur scène, Lama jubile. Si l'on a qualifié son show d'intimiste et de confidentiel, c'est très bien, mais « affaire de journalistes... Sergio Tomassi (à l'accordéon) et moi, on ne le qualifie pas... On espère juste qu'il aura l'heur de vous plaire... C'était le temps des vraies voix, du fait maison », revendique-t-il. Tour à tour gouailleur et nostalgique, il enchaîne les tubes, y glisse des jeux de mots, s'interrompt au beau milieu d'une chanson. C'est qu'il aime ménager des « genres d'entracte... Sauf que je reste, avec mes mots exquis... »

Les plus jeunes dans la salle s'étonnent : ils avaient juste accompagné des parents, et d'un coup, au détour d'une chanson, c'est toute leur enfance qui leur saute à la gorge : « D'aventures en aventures » , « je t'aime à la folie » ... Lama encourage les timides pour qu'ils reprennent avec lui... Et force l'admiration de tous, lors du dernier rappel, avec un « Je suis malade » a cappella, sans micro, qu'on entend jusqu'au bout de la salle. Bravissimo.

04.05.2009

mai - juin 2007 : Nos plus tendres années

Le numéro n°8 du magazine NOS PLUS TENDRES ANNEES de mai - juin 2007 mettait Serge Lama à l'honneur.

 

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03.05.2009

3 Mai 2003: La Tribune

Article dans La Tribune suite à la sortie au Quebec du live enregistré à Bercy

 

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3 mai 2005 : l'Aisne nouvelle

Article publié dans l'Aisne nouvelle le 3 mai 2005 :

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