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01.10.2012

Octobre 2014: Revue Opérette et théatre Musical

Petit retour sur le Napoléon Symphonique présenté le 17 Mai dernier au théâtre antique d'Orange.

 

Article publié dans la revue  "Opérette et Théâtre Musical"

 

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LIRE

 

Voir la note sur ce spectacle ICI

 

 

 

25.05.2012

25 Mai 2014: interview Fabien Ramade

 

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Interview du jeune producteur Fabien Ramade par Nicolas Castelnau-Bay sur la  radio Fréquence Protestante

 

 

 

20.05.2012

20 mai 2014: Sud TV local

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Reportage sur le concert Napoléon en Symphonique donné à Orange le 17 Mai 2014

 

 

19.05.2012

19 mai 2014 : La Provence

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AU THÉÂTRE ANTIQUE, SAMEDI SOIR

Napoléon et Serge Lama ont tenu leurs promesses

Après quelques jours de furie, le Mistral s'est finalement calmé... Peut-être avait-il hâte d'entendre ce Napoléon Symphonique, attendu et préparé depuis de longs mois par des centaines d'artistes ? Et il a bien fait. Car, des milliers de fans de Napoléon, de Lama et des choristes, attendaient ce moment comme le Messie. En effet, après des années d'éclipse, le retour du Napoléon de Serge Lama et d'Yves Gilbert était un événement annoncé. Même pour les deux créateurs présents... Serge Lama au premier rang des spectateurs, et Yves Gilbert, au piano sur la scène du Théâtre Antique.

Tout pouvait commencer. Grâce au producteur Fabien Ramade, et à la mise en scène efficace de Sergio Tomassi, Napoléon entre en scène par le truchement du narrateur, Serge Maillat, des quatre solistes, Marjorie Orial, Mickäel Guedj, Gilles Morvan, Régis Mengus, les choristes dirigés par Gérard Maby, l'Orchestre Symphonique Bel'Arte dirigé par Richard Boudarham, les voix homogènes et chaleureuses du chœur et des quatre solistes.

Autre acteur du spectacle, le mur du Théâtre Antique. Sous les projecteurs colorés de Laurent Chapot, il se métamorphose à l'envi, donnant un décor nouveau à chaque chanson. Rouge ou bleue, verte ou ocre, la pierre chante aussi, au gré des atmosphères. Placé en tribune, le chœur plante le décor : "Nous irons de Bonaparte à Napoléon"... Et d'évoquer le Napoléon romantique (Écris-moi Joséphine, apaise mon chagrin. Ton image est plantée en moi comme un drapeau, Ah, si j'avais un enfant d'elle), notamment avec le beau passage où le piano de Genc Tukiçi prend des accents chopiniens, le Napoléon soldat (Le soleil d'Austerlitz, le Pont d'Arcole (cher au Cadenetiens) où aux portes de Moscou avec un chant inspiré du populaire "Plaine ô ma plaine", russe).

Mais souvent on se prend à entendre en filigrane, derrière la belle voix des solistes, les intonations d'un Serge Lama, tellement son empreinte reste forte. La fresque a de l'allure. Le public adore.

Enfin, le drapeau tricolore, hissé sur le grand mur, dans la toute-puissance de l'orchestre et des chœurs, a cloué sur place l'assistance, dans une même admiration.

Francis Pabst

 

17.05.2012

17 Mai 2014: Napoléon Symphonique à Orange

Le 17 Mai 2014, 30 chansons de la comédie musicale Napoléon écrites dans les années 80 par Serge Lama et Yves Gilbert étaient reprises dans ce magnifique cadre sous forme d'oratorio. Pour accompagner les quatre solistes 80 musiciens d'un orchestre symphonique et 130 choristes.

Serge Lama était présent dans le public, 7000 personnes avaient répondu présent, le succès a été immense.

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Arrivée de Serge Lama

 

 

 

Les trésors de Napoléon

 

Programme du spectacle Napoléon d'Orange

Voici quelques pages du programme vendu lors du spectacle exceptionnel présenté à Orange

 

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17 Mai 2014: Photos Napoléon Symphonique

Voici quelques photos du magnifique spectacle donné dans le théâtre antique d'Orange à partir des chansons du Napoléon de serge Lama

 

 

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17 mai 2014 : La Provence

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Interview de Sergio Tomassi pour le Napoléon Symphonique à Orange

 

Alors que la comédie musicale qu'il a écrite il y a plus de trente ans est jouée pour la première fois ce soir dans une monumentale version symphonique, Serge Lama s'est invité hier par surprise à la répétition générale.

Cette représentation unique réunira ce soir dans le théâtre antique d'Orange 80 musiciens, 130 choristes et quatre solistes. Aux commandes de ce spectacle événement unique en France, l'accordéoniste Sergio Tomassi qui a collaboré entre autres avec Barbara, Cora Vaucaire ou Juliette Gréco va relever un sacré tour de force. Entre deux ajustements scéniques, il nous a accordé un entretien.

Après avoir donné son accord au producteur, Serge Lama vous a confié la direction artistique du Napoléon symphonique.

Quel est votre rôle dans ce type de spectacle ?

Mon rôle est multiple. J'ai en charge toute la partie technique musicale, la mise en place du texte de Serge (écrit spécialement pour cette création et narré par le comédien Serge Maillat, Ndlr), celle de la bande musicale qui va appuyer les mots du narrateur, mais aussi l'interprétation des solistes, leur place sur la scène, leur mouvement... Oui, j'ai beaucoup de choses à gérer, d'autant plus que c'est une œuvre jouée sans filet et en direct.

Il y a trente ans, vous ne collaboriez pas encore avec Serge Lama. Cette œuvre vous la découvrez finalement ?

Oui et c'est une chance, j'étais vierge de l'œuvre. Je n'ai rien visionné de l'époque. Je suis parti dans un style contemporain pour rendre les choses plus universelles.

Napoléon revêt plusieurs facettes. Comment les avez-vous réparties pour chacun des solistes ?

Mickaël Guedj jouera l'Empereur-le mégalomane ("Cela m'ennuie tous ces cortèges", "Je n'ai pas volé la couronne"), Régis Mengus, le conquérant-le guerrier ("A 40 ans" "Le Pont d'Arcole") et Gilles Morvan, le romantique ("Lettre à Joséphine" ou "Malmaison").

Un oratorio se joue sans costume. Comment procédez-vous ?

Les Napoléon seront en costume de récital avec quelques détails pour distinguer les tempéraments. Mais c'est leur tessiture de voix qui fera leur différence. Et puis on est dans du lyrisme, ils ne sont pas là pour faire les clowns.

En revanche, Marjorie Orial qui incarnera Joséphine portera une robe... C'était un peu inévitable, non ?

Forcément, par la force des choses. Parce que Joséphine était "la plus belle femme de Paris", elle sera dans une robe toute blanche. Joséphine est aussi pour moi la fiction du spectacle. En ce sens où c'est elle qui fera voyager le spectacle. Mais je n'en dis pas plus.

C'est une grosse machine ce spectacle, étant donné déjà le nombre de personnes sur scène... Vous avez des craintes ?

Entre les chœurs, les musiciens, le chef d'orchestre, toute la rythmique, les solistes, les lumières, le son, on est à plus de 200 personnes. Oui, cela fait beaucoup de conversations au téléphone ! Des craintes ? Non j'ai peur de rien. Ce que je veux dans ce Napoléon, c'est l'excellence. On ne veut pas voler les gens. Je souhaite honorer la mission que l'on m'a donnée. Bien sûr, il fallait gérer cette urgence, ce challenge énorme : celui de jouer en une seule fois une œuvre d'une complexité extrême dans un lieu qu'on n'a pas pu apprivoiser.

Au moment où je vous parle, vous faites les derniers ajustements des lumières qui sont signées Laurent Chapot, concepteur lumière et scénographe qui travaille aussi avec Lama, Lavilliers, Tryo, Eddy Mitchell, Jean-Louis Aubert, entre autres... Y aura-t-il des effets particuliers ?

Oui, c'est une chance de l'avoir avec nous. Quant aux lumières, elles seront extrêmement masquées. Il y avait déjà un impératif : le respect du site. On va découvrir le mur du théâtre antique différemment avec les lumières de Laurent Chapot. Dans une extrême élégance et une grande justesse.

Ce spectacle promet quelque chose de grandiose... Quel est votre vœu le plus cher avant le jour J ?

Que ce soit une première marche. Que le souvenir soit si fort que l'on puisse le rejouer ailleurs...

"Napoléon Symphonique", ce soir à 21h au Théâtre antique d'Orange.

Virginie Batailler

 

16.05.2012

16 Mai 2014: Le making of du Napoléon symphonique

Une petite vidéo des préparatifs et répétitions du Napoléon symphonique donné le 17 Mai 2014 au théâtre antique d'Orange.

 

 

16 Mai 2014: FR 3 Provence-Alpes

Reportage fait par France 3 au théâtre antique d'Orange lors des répétitions

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C'était un rêve de Serge Lama : faire de sa comédie musicale "Napoléon", une oeuvre symphonique. C'est chose faite grâce à un jeune vauclusien de 21 ans Fabien Ramade. La nouvelle création mondiale a lieu ce soir pour une seule représentation au théâtre antique d'Orange.

Par Ghislaine Milliet

Lorsqu'en 1984 Serge Lama et Yves Gilbert ont crée la comédie musicale "Napoléon", ils auraient aimé une déclinaison symphonique de leur oeuvre. Mais par manque de grande salle, ils y ont renoncé.
Mais voilà que l'idée à germé il y a quelques mois chez un jeune Vauclusien de 21 ans, Fabien Ramade, Il a réussi à convaincre Serge Lama, l'auteur chanteur et son ami Yves Gilbert, le compositeur, de créer une version symphonique de leur "Napoléon".
Au final, "Napoléon symphonique" s'impose avec 130 choristes, 80 musiciens et 4 solistes. 
La création mondiale a lieu ce soir à 21 heures au théâtre antique d'Orange. L'oeuvre musicale pourrait bien ensuite entamer une nouvelle tournée.
 
 
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