18.06.2013
18 Juin 2015: Sacem promotion 1965
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06.01.2012
6 Janvier 2014: Remise de la médaille de la ville pour Georges Chauvier
Serge Lama a reçu , des mains du Maire de Bordeaux, M. Alain Juppé, la médaille de la ville pour son père, Georges Chauvier, qui était un chanteur d'opérettes classiques (il a notamment chanté "La Veuve Joyeuse"). Avant de se produire pour la toute première fois à l'Opéra de Bordeaux en l'honneur de ce dernier.
SERGE LAMA A RECU LA MÉDAILLE DE LA VILLE DE BORDEAUX, POUR SON PÈRE GEORGES CHAUVIER :
Photos D.R.
Photos Purepeople
EN VIDEO
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25.11.2011
25 Novembre 2013: Prix spécial de la Sacem
Serge Lama recevait le prix spécial de la sacem , le lundi 25 Novembre 2013 sur la scène de l'Olympia
Palmarès des Grands Prix 2013
Etienne Daho - Grand Prix de la chanson française, créateur-interprète
"Formidable" de Stromae - Prix Rolf Marbot de la chanson de l'année
Le programme édité pour la soirée
Lors de la soirée Serge Lama recevait également la distinction numérique de INA sous forme d'une tablette riche d'archives audios et vidéos
Détails ICI
Serge Lama a reçu son prix des mains de Claude Lemesle
Photos D.R.
Serge Lama, Prix spécial de la Sacem - Grand... par SACEM
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28.09.2011
28 Septembre 2013: Remise du prix Nikos Gastos
Le prix Nikos Gastos a été remis à Serge Lama le 28 Septembre 2013 pour l'ensemble de son œuvre des mains de Nana Mouskouri sur la scène de Mas de L'ille lors de la 2 ème nuit de la méditerranée. Soirée organisée à Port Barcarès par le CML (centre méditerranéen de littérature).
Ce prix récompense en alternance un poète ou un parolier
13:30 Publié dans 2013, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0)
Hommage d'Yves Charnet à Serge Lama
Yves Charnet était l'invité d'honneur le 28 Septembre 2013 de la 2° Nuit de la Méditerrannée à Port-Barcarès au cours de laquelle il a rendu un vibrant hommage au lauréat du Prix Nikos Gatsos, Serge Lama.
En voici le texte intégral:
Nevers, 1974.
Ce n'est même pas Nevers. Sa banlieue.
Ça s'appelle La Grande-Pâture. Des HLM ; des marginaux ; des gosses aux accents de toutes les couleurs
J'ai mal au manque. Les « grandes ailes » de l'Absence.
J'ai mal au paternel pas là. Géniteur sans visage, ni voix.
J'ai mal à ce grand frère que je n'ai jamais eu. Cet allié substantiel, au Bec d'Allier, sur mes bords de Loire infesté de fantômes.
J'ai 12 ans. Dans ma chambre de fils unique.
J'ai plus de 1000 ans. Dans ma Mélancolie.
C'est un « double album. » Noir, avec les lettres du faux nom en rouge.
Je ne lâche pas cette pochette de disque. C'est mon fétiche. Mon talisman.
Je découpe les photos. Dans les journaux, les programmes. Je les colle. Papier perforé, gros classeur à ressorts.
Je regarde longtemps ce visage orange, en partie mangé par l'ombre. Micro dans la main droite, près de la bouche d'or ; l'autre main, la gauche, tellement tendue, en avant, vers quoi.
Ce n'est pas un double album. Un spectacle comme les autres. C'est une voix dans tous ses éclats. Une voix qui a, de toute éternité, rendez-vous avec l'Olympia.
C'est une voix de chanteur populaire. Pour accordéoniste & goualante des pauvres gens. C'est une voix entre Aristide Bruant & Toulouse-Lautrec. Une voix pour écouter-voir.
Ça rit, ça gueule, ça rengaine, ça pleure, ça crie, ça murmure, ça tranquille-et-sûre, ça gicle, ça s'arrache, ça zizague, ça réveille les vieux morts, ça jubile, ça braconne, ça boxe, ça caresse, ça tendre, ça mord, ça délivre, ça charivarive, ça rebondit en poèmes, ça cascade, ça déchire tout, ça ne fait pas de quartier.
Serge Lama, à l'Olympia, en 1974.
J'ai 12 ans. Pour toujours.
C'est ma messe sans messe. Ma cérémonie secrète. C'est mon rituel orphique. Les flonflons de la poésie.
Il y a 26 titres. Plus le 13.
C'est mon roman. Mon autochanson. C'est de moi que ça parle. Chacun son double dans les miroirs sonores.
C'est comme un pieu dans la gorge. Un poteau dans le cœur.
Le 13, au milieu des 26 titres du double-album rouge & noir de 1974.
Je ne peux pas l'écouter sans pleurer. Encore ce matin, le 27 septembre 2013, à 11 heures.
La chanson d'après s'appelle comme ça. « Le 15 Juillet à 5 heures ». C'est une des plus belles que je connaisse. Une des chansons d'amour les plus bouleversantes.
« Entre mes cils tu apparais comme une dame d'il y a longtemps, que j'aurai aimée ailleurs peut-être. »
Je voudrais tout citer ici. Toutes les paroles de cette chanson d'amour. Mais le temps m'est compté. Concentration.
Donc je récoute la 13. Dans le double-album de Serge Lama, à l'Olympia, en 1974.
Je réécoute ça plusieurs vies plus tard. Après le divorce, les illusions & les amis perdus, après les livres & les enfants. J'ai le cœur en loques. Et l'âme hypertendue.
C'est sur ma péniche à Toulouse, ma péniche avec vue sur le canal du Midi. Dans la ville rose de cet autre chanteur-poète ; dans le « païs » de cette autre bouche d'ombre.
J'écoute la 13. Pour la 13013ème fois.
C'est un rendez-vous avec le temps perdu. Avec « l'enfadolescence » retrouvée.
J'étais un gosse perdu. Dans mon quartier d'exclus.
Je savais, depuis toujours déjà, qu'il me manquerait « quelque chose ». Dans « la vie lilas » ; trala lala.
Je n'aurai sans doute écrit des livres que pour ça. Le tour du manque ; mon chemin de ronde ; comme une folie circulaire autour du vide.
J'ai le même prénom que le pianiste. Yves Gilbert.
Mon cœur connaît les premières notes par cœur.
Et puis la voix.
La déchirure radieuse de cette voix-là – « cette voix, comme disent les journaux, qu'on ne remplacera pas. »
Oui, la voix de Lama met soudain le feu aux poudres des paroles. Sa puissante voix gravée dans notre peau.
C'est une flamme entre les mots. Un feu d'artifice musical.
Et voilà qu'on vous cloue des mots à même l'âme.
Les mots de Lama dans l'âme de votre enfance « complètement malade ».
Votre enfance « comme un martyr à son bûcher ».
Et vous ne voudrez plus jamais guérir.
La douloureuse merveille du chant ; le vertige fabuleux des chansons.
Vous aurez pour toujours cette cadence dans le sang.
« La cadence des mouettes qui nagent dans l'air. »
Nevers, 1974.
Il y a soudain ce grand frère dans votre chambre.
Ce grand frère imaginaire, avec son micro ; les cinq doigts de ses mots.
Il vous tend la main sur la pochette noire aux lettres rouges.
Et l'autre main aussi, de sa voix, la main invisible.
Il y a ce type venu de nulle part.
Ce type descendu de l'Olympia jusque dans votre piaule de bâtard.
C'est le seul type que votre mère laisse pénétrer dans l'appartement. Le seul tiers dans votre inceste blanc.
Il vous apporte de quoi furtivement colmater ce manque.
Un instant ; 2 minutes 45 ; le temps d'une rengaine.
Nevers, 1974.
Il y a donc ce grand frère imaginaire qui vous apporte soudain de quoi. Des ballons rouges.
La chanson s'appelle comme ça. « Les Ballons rouges ».
Il vous donne ce qu'il n'a « pas eu ». Avec les mains vibrantes de sa voix.
C'est le premier amour. Le premier amour d'amitié.
La solitude n'est plus la même. Dans les cours de récréation, le gris du préaux.
Vous avez votre confident. Ses façons de marcher, d'ouvrir les bras, se prendre pour un autre.
Et vous savez que vous ne pourrez pas lui dire assez merci. Merci pour ça, Serge Lama.
Même si, dans les labyrinthes biscornus de l'existence, vos cheveux de vieil enfant déjà blanchis, vous avez 30 ans après, cette chance, cette occase inespérée de lui dire enfin en face. Presque en face.
Vous dîtes ces mots à la tribune du Mas de Lille, au Barcarès, pour la remise du prix Nikos Gatsos à l'enchanteur de votre enfance en souffrance. Le samedi 28 septembre 2013.
Vous dîtes ces mots comme il faut les dire quand on dit vraiment les choses à quelqu'un. Avec la gorge nouée, les larmes aux yeux, les mains dans le tremblement.
Le Barcarès, 2013.
Il y a le feutre fantôme du fou chantant à la gare de Perpi-néant. Un œillet rouge comme un sourire à la boutonnière des merveilleux mensonges.
Dans la salle il y a le fidèle éditeur de Trenet & d'Aznavour. Le pudique savant des variétés, Gérard Davoust, l'ami des deux Charles.
Il y a Nana Mouskouri dans la salle. Et votre fille Agathe à 5 jours de ses 22 printemps.
C'est trop pour vous. Petit poète interloqué par les géants de la chanson française.
Le Barcarés, 2013.
Vous balbutiez à cette tribune pour les stars. « Comme un lapin pris dans un phare ».
Vous avez vos feuillets idiots au bout des mains. Narrateur crochu, même pas capitaine.
Les mots sont vos ballons rouges à vous. Les mots de l'émotion.
Le Barcarés, 2013.
Vous voudriez lui dire.
En trouvant enfin l'air, la musique, le ton.
Merci pour les paroles, cher Serge Lama.
05:25 Publié dans 2013, Ils parlent de Serge Lama, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0)
13.06.2011
13 Juin 2013:Grande médaille de la chanson française
Prix décerné par l'académie française
Le lauréat cette année pour la grande médaille de la chanson française est Serge Lama
La Grande Médaille de la Chanson française : M. Serge Lama, pour l’ensemble de ses chansons
Cette année, la chanson française célèbre Charles Trenet, né il y a cent ans, et Édith Piaf, morte il y a cinquante ans. Aujourd’hui, l’Académie française récompense un auteur et chanteur bien vivant et bon vivant, Serge Lama. Lui, vient de fêter ses cinquante ans de carrière. Comme le souligne Jean-Loup Dabadie, c’est un bien-aimé du public qui chante en chœur avec lui de nombreux succès comme D’aventure en aventure ou Je suis malade. Parolier de l’amour, de la joie et de la douleur de vivre, Serge Lama aura bien mérité, à sa place et à son époque, de la chanson populaire de langue française.
( Extrait du discours sur les prix littéraires prononcé le 5 décembre 2013 par Jean Marie Rouart lors de la remis des prix). Serge Lama en tournée n'était pas présent.
07:25 Publié dans 2013, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0)
13 Juin 2013: Prix Nikos Gastos 2013
PARIS : Le chanteur Serge Lama reçoit le Prix Nikos Gatsos 2013
André Bonet, président du CML (Centre Méditerranéen de Littérature)… et la chanteuse Nana Mouskouri.
Le jury du Prix Nikos Gatsos réuni ce jeudi 13 juin 2013 à la Closerie des Lilas sous la présidence de Nana Mouskouri a attribué son prix 2013 à Serge Lama.
Le Prix Nikos Gatsos a été créé en 2012. Nikos Gatsos, qui fut le parolier et ami fidèle de Nana Mouskouri, est un des poètes populaires de la langue grecque, au sens le plus noble du qualificatif. Sa poésie trouva des musiciens sensibles et féconds et est chantée par tout son peuple.
En hommage aux qualités multiples de cet artiste, le Prix Nikos Gatsos récompense en alternance un poète et un parolier.
Le jury compte parmi ses membres des personnalités telles que Nikos Aliagas, Stéphane Bern, Dimitri Stefanakis et Gérard Davoust, président des Editions Raoul Breton.
L’an passé, le premier Prix fut attribué au poète algérien Amin Khan pour son recueil de poèmes Arabian Blues (Editions MLD)
Les 5 candidats en lice cette année étaient :La GrandeSophie, Gilbert Lafaille, Clarika et Henri Tachan.
Ce Prix récompense Serge Lama, un parolier et artiste qui fête cette année ses 50 ans de carrière par une tournée couronnée de succès partout en France, Belgique, Suisse et Québec.
Paru dans Ouillade, l'info en Roussillon qui coule de source
Réaction de Serge par SMS
07:20 Publié dans 2013, La presse des années 2010, Prix- Récompenses- Honneurs, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
08.02.2011
8 Février 2013: Le Parisien
Il était prévu que Serge Lama ainsi qu'Adamo, Enrico Macias et Sheila reçoivent un hommage pour leur 50 ans de carrière lors de la cérémonie des victoires de la musique de ce soir finalement il n'en sera rien pour Lama et Adamo......explications.
Paris, hier. Serge Lama fête à partir d’aujourd’hui ses 50 ans de carrière à l’Olympia. |
(LP/Olivier Corsan.)
Les victoires de la musique
Serge Lama devait recevoir ce soir une Victoire d’honneur avec Sheila, Salvadore Adamo et Enrico Macias, célébrant leurs cinquante ans de carrière. Son hommage (ainsi que celui d’Adamo) a finalement été annulé, officiellement pour un problème d’agenda.
« Non, c’est moi qui l’ait refusée, nous a précisé Serge Lama.
S’ils étaient venus me la remettre à l’Olympia, où je chante au même moment, cela m’aurait fait plaisir. Mais nous remettre quatre Victoires en même temps, cela donne l’impression d’être dans un paquet d’anciens dont on se débarrasse… C’est presque humiliant. Et j’ai quand même mon orgueil. Quelqu’un comme Adamo, qui est un grand auteur, mérite mieux. »
Mais c’est surtout sur le fond que Serge Lama a des reproches à faire. « D’abord, il faudrait les rebaptiser les Victoires de la chanson, car on ne fait pas de la musique, mais de la chanson. Le rap, le slam, c’est toujours des mots. Et puis, c’est devenu une cérémonie très parisienne, une caste où certains ont la carte et d’autres pas. Il y a dans les nommés des artistes que j’aime beaucoup, comme Biolay, ce n’est pas la question. Ce qui me gêne depuis quelques années, c’est qu’on ne veut pas d’un entre-deux, à la fois populaire et de qualité, celui des Brel, Brassens, Ferré, Goldman, Cabrel, Bruel, Maé… Le public revient à la chanson et on s’obstine à imposer, comme en radio, quelque chose dont il ne veut pas. Pourquoi Aznavour est toujours là à 88 ans, pourquoi je suis là à 70 ans? Le métier a des questions à se poser! »
17:45 Publié dans 2013, La presse des années 2010, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0)
19.12.2009
19 Décembre 1987: Victoire de la musique
16:04 Publié dans 1987, Prix- Récompenses- Honneurs, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
18.10.2009
18 Octobre 1985: Prix du Brigadier
Le 18 Octobre 1985 Serge Lama recevait à l'hotel de ville, des mains de Jacques Chirac alors maire de Paris le prix du brigadier pour Napoléon au théatre Marigny.
Ce prix récompense l'évenement théatral de la saison.
Pour la première fois une telle distinction récompense un artiste de music-hall
Il s'agit d'un véritable 'brigadier' , ce 'baton' qui permet de frapper les 3 coups avant que le rideau ne se lève
Yves Gilbert, Serge Lama, Hubert Monloup, Jacques Rosny
Photo D.R.
Photo bhup/ Gerard Leyris
08:25 Publié dans 1985, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0)