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20.12.2009

Serge Lama parle de ses projets

Publié dans la Fronde N°65 Hiver 2000

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10.12.2009

Mot de Serge dans le journal la Fronde N° 65

Publié dans la fronde numéro 65: Hiver 2000

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05.12.2009

5 Décembre 2000: Dernière de la tournée Ami Voix

Dernier concert de la tournée Ami Voix au centre Guy Gambu à Saint Marcel de Vernon.

Article et photos La Fronde N° 65 hiver 2000

 

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14.11.2009

14 Novembre 2000: Concert à Saint Benoit

Affiche de la saison de concerts à St Benoit (33) . Serge Lama s'y produisait  le 14 Novembre 2000

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02.11.2009

2 novembre 2000 – Lever de torchon - France bleu

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Série de 4 émissions consacrées aux premières parties avec l’interview de plusieurs artistes. Serge Lama donne son explication sur la disparition des premières parties.

 

EXTRAIT

 

30.10.2009

Tournée fin 2000

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14.10.2009

14 octobre 2000 : Le Progrès

Concert au Centre Culturel de l’odyssée de Pusignan le 14 octobre

 

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Journal du 8 octobre 2000

L'Odyssée de Serge Lama

 

Serge Lama, une voix, un rire, un style, une carrière. Les Pusignanais pouvaient-ils espérer plus charmant artiste ? Pour sa rentrée, l'Odyssée a fait fort et nul doute que peu de fauteuils resteront vides, samedi 14 octobre.

"Mon ami, mon maître, Femme femme femme, D'aventure en aventure, Les petites femmes de Pigalle, Charivari, Je suis malade " qui n'a pas fredonné au moins une fois dans sa vie la mélodie de ces tubes ? 

L'immortel ". Ses chansons font presque partie de l'histoire. Depuis 40 ans, des millions de spectateurs l'ont applaudi, envié mais sa célébrité ne l'a pas empêché de rester le même, avec ses explosions de rires on ne peut plus communicatifs, mais aussi sa sympathie. Victime d'un grave accident il y a quelques années, il a été obligé de quitter la scène musicale pendant deux ans. Sa volonté et sans doute aussi son public ses fans, l'ont fait revenir sur scène, plus fort et plus motivé qu'avant. 

L'impérial ". Sa fresque musicale sur Napoléon a fait le tour du monde ; elle a fait l'objet d'un album et d'une adaptation théâtrale qui a été jouée entre 1984 et 1988 devant plus d'un million de spectateurs en France, en Belgique, en Suisse et au Canada. 

Le "symphonique". Au cours d'une tournée, il a réalisé avec l'Orchestre Symphonique du Canada un grand spectacle sous la direction de Gilles Ouellet avec soixante musiciens et six choristes. Le succès obtenu au Canada l'a poussé à se produire à l'Olympia. 

L'universel ". Ses albums sont vendus dans le monde entier, ses admirateurs se déplacent à chaque représentation et ses chansons sont connues et fredonnées partout en France. Et c'est ce même Serge Lama qui va se produire samedi prochain au centre culturel de l'Odyssée. Pour certains qui ont déjà eu la chance de le voir sur scène, les retrouvailles seront riches d'émotion. Pour ceux qui le connaissent à travers ses albums, ça sera la découverte d'un chanteur extraordinaire, plein de tendresse, de talent et de générosité.

AGOSTINO ALFANO

 

Journal du 16 octobre 2000

Serge Lama à l'Odyssée : l'amour, l'humour, les femmes, la vie

Drôle, charmant, talentueux, Serge Lama a régalé son public avec ses chansons, ses éternelles explosions de rire et son humour. Excellente soirée, assortie d'un sacré bouquet de chansons que les 900 spectateurs, conquis d'avance, ont consommé sans modération.

Serge Lama est malade des "femme femme femme" et des "petites femmes de Pigalle".

Samedi soir, perdu au milieu de Pusignan comme il l'a souligné en souriant (" C'est une odyssée que d'aller à Pusignan !") , l'artiste s'est montré talentueux, drôle, devenant le temps d'un concert "l'ami, le maître" des Pusignanais et des Lyonnais. Car parmi les 900 spectateurs du centre culturel de la petite commune, beaucoup n'avaient pas hésité à affronter la pluie et les kilomètres pour applaudir leur idole.

Une idole qui, après 40 ans de carrière, n'a pas déçu son public même si son répertoire était principalement composé de "classiques" écoutés, réécoutés mais loin d'être démodés. L'insouciance de ses débuts s'est transformée en tendresse, en passion et en sensibilité. Les femmes, l'amour, le désarroi d'un adolescent, l'ironie de la vie ont suscité successivement la joie et la tristesse, la tendresse et la souffrance. Les admiratrices, ravies lui offraient quelques roses, les hommes impressionnés enviaient cet homme qui 50 ans passés a conservé son charme et sa sympathie.

Certains diront certainement que le public était conquis d'avance, mais il faut avouer que Serge Lama a tout fait pour que même les plus hostiles soient conquis. Après deux heures de chansons, le chanteur accompagné par trois musiciens qui agrémentaient de mandoline, d'accordéon, de batterie, de tam-tam, saluaient la foule et allaient même jusqu'à interpréter, a capella: "Je suis malade". Applaudissements, hommage du public qui debout, remerciait, le Napoléon de la chanson française d'avoir été aussi brillant. Bravo l'artiste, bravo l'équipe de l'Odyssée

Fatiguée, la star aux éclats de rire communicatifs, a néanmoins tenu à rencontrer une dernière fois son public en dédicaçant quelques photos et autres albums. Baisers par çi-par là pour les plus chanceuses, poignée de mains, petit mot gentil, Lama ne joue pas les stars. Après Pusignan, ce sera Dignes puis d'autres petites communes de France qui auront, comme les grandes villes, droit à leur vedette. Quant aux organisateurs de cette grande soirée, ils ont non seulement prouvé de leur efficacité (rappelons qu'ils sont tous bénévoles) mais ont été gratifiés, en plus d'une salle comble, d'une photo souvenir avec le chanteur. Le début d'une belle saison à venir.

A. MONOT et A. ALFANO

 

13.10.2009

13 octobre 2000 : Casino de Montreux

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Critique du concert dans le journal suisse La Presse du 14 octobre 2000

 

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12.10.2009

12 Octobre 2000:La dernière heure

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Pour Serge Lama, tout est la faute à LouisXV!

Il présente son instrument de travail: la langue française

PARIS A 14 heures, Serge Lama achevait son... petit-déjeuner: `Je ne me couche jamais avant 3 heures du matin. Ce sont des habitudes qui me sont venues à cause de mes années de cabaret et des nombreuses tournées que j'ai faites par la suite. C'est devenu mon rythme normal.´

A propos de tournées, on a l'impression que vous ne faites plus que cela
"C'est un peu vrai. Depuis que je suis revenu à la chanson, en 1995, j'ai donné beaucoup de galas. En 1998, lorsque nous avons tourné avec l'orchestre symphonique, on a fait plus de cent dates, ce qui était énorme compte tenu de ce qu'on déplaçait un truc très gros. Maintenant, je tourne avec une formule plus intimiste, plus minimaliste. Ce qui nous permet d'aller dans des villes où je n'avais plus chanté depuis longtemps. Dès lors, il y a beaucoup plus de galas à mon agenda."

Avez-vous le sentiment que la langue française s'éteint?
"Elle se rétrécit. Je pense que la langue française a gardé ses racines, mais elle est relativement malade. C'est la faute à LouisXV qui a eu la mauvaise idée de ne pas gagner les bonnes batailles pour l'Amérique. Et puis à Napoléon qui a revendu la Louisiane pour deux francs et six sous. C'est là que s'est joué l'avenir de la langue française. Evidemment, on ne pouvait pas savoir que l'Amérique allait devenir ce qu'elle est. Si un tiers des Américains avait parlé le français, les choses seraient différentes..."

Ça vous laisse nostalgique?
"Je fais partie de ceux qui écrivent vraiment. La langue française, en quelque sorte, est mon instrument de travail. En cette époque d'Internet, je constate que cette langue est réduite au strict minimum. De grands romans, comme ceux de Simenon, ont été écrits avec seulement 300 mots. Mais beaucoup de jeunes ne les ont même plus, ces 300 mots. Prenez mon cas. Il n'y a pas si longtemps, j'étais considéré comme un chanteur populaire. Aujourd'hui, on m'a monté d'un cran: je suis devenu presque un intellectuel. La seule chose qui est vraie, c'est que, quelles que soient les couleurs de mes chansons, même pour celles qui sont rigolotes, j'ai toujours essayé d'écrire bien. Aujourd'hui, j'entends beaucoup de chansons qui ont énormément de succès, avec de belles musiques, une idée pas mal au milieu, mais rien de consistant autour. J'avoue que cela m'agace un peu. Car je pense que la même chanson, écrite correctement, proprement, aurait eu le même succès. Et ce n'est pas une question de style. Cabrel, qui écrit sur des musiques country, comme il les aime, a le grand mérite d'écrire des textes dans un français formidable."

Un fils de 19 ans

Votre fils fait partie de cette génération Internet...
"Oui, il a 19 ans! Lui, il m'a vu travailler. Le vendredi soir, lorsqu'il rentrait de pension, il avait droit à Pivot. Il n'empêche qu'il n'a pas la culture que j'avais à son âge. J'étais un très mauvais élève, mais premier en français. Et je lisais énormément. J'ai tout essayé pour attirer mon fils à la lecture. Sa mère aussi. Mais face à un cheval rétif, il n'y a rien à faire Par contre, lui, il n'est pas trop mauvais en math. Et sur le plan musical, il écoute un peu de tout: techno, rap et même Johnny Hallyday. J'ai été très surpris quand il m'a demandé de lui acheter son dernier album. Il m'a aussi obligé à entendre de la techno. Mon oreille n'est pas trop habituée. Mais je crois qu'un certain équilibre est occupé à s'installer, chez Madonna, par exemple, entre l'apport des techniques modernes et les musiques acoustiques. C'est intéressant."

Vous-même, vous pratiquez Internet?
"Ma femme oui. Les gens autour de moi. Mais moi, je ne parviens pas à m'en sortir"

Propos recueillis par Eddy Przybylski

 

 

12 octobre 2000 : Théâtre de Beausobre à Sorgues

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La Côte du 12 octobre 2000