11.02.2016
11 Février 2018: Marie Paule Belle "Celui"
Il y a plus de 40 ans Françoise Mallet Joris écrivait un magnifique texte sur l'amitié entre Serge Lama et Marie Paule Belle. Le texte avait été mis en musique par Marie Paule Belle et Michel Grisolia. La chanson se trouvait en face B du 45 tours de "La parisienne".
Le soir de son anniversaire, le 11 Février 2018,sur la scène de l'Olympia Serge Lama a demandé par surprise à Marie Paule de l'interpréter. Un moment que le public présent n'est pas prêt d'oublier et que vous pouvez retrouver sur cette vidéo.
10:20 Publié dans 2018, Chansons, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : celui, marie paule belle
15.02.2015
15 Février 2017: Jerusalem Andalusian orchestra
04:50 Publié dans 2017, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
14.09.2010
21 Septembre 2012:1000 chansons
Ce livre propose de revisiter 1000 chansons françaises, des plus grands standards du vingtième siècle jusqu'aux titres les plus récents. Le classement par année permet une approche aisée mais rend surtout compte d'un éclectisme de genres parfois étonnant. Véritable panorama de la musique française (réaliste, Rive Gauche, yé yé, contestataire, pop, rock, nouvelle scène...) de 1920 à nos jours, cet ouvrage est le fruit de deux années de recherches.
Voici les pages sur Serge Lama
1967
1968
1969
1973
1977
1980
1982
21:16 Publié dans 2012, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
12.12.2009
1968: Le 15 juillet à 5 heures
Ta voix murmure,
Tranquille et sûre
Comme un vieux disque qu'on écoute
Un verre de whisky à la main.
Sous la véranda on s'installe
Dans un bruit feutré de sandales,
Devant un parterre de fleurs
Le quinze juillet à cinq heures
Le vent s'épuise sur la remise
Où mon piano s'endort enfin
Après une nuit de chagrin
Sous le parasol du feuillage
Le vent feuillette page à page
Le livre de notre bonheur
Le quinze juillet à cinq heures
Dans la maison de Frédérique
Tu as classé quelques bouquins
Tu as disposé quelques fleurs
Cueillies fraîches de ce matin
À ta main une cigarette grésille
On mange du melon
Hormis la chanson des frelons
Nous n'avons plus rien dans la tête
Dans la maison de Frédérique
Éblouis comme deux enfants
Tu me parles d'anciens amants
Moi de mes maîtresses d'avant
Tu croques du raisin bien tendre
Des grappes lourdes couleur d'encre
Je ferai du café tout à l'heure
Le quinze juillet à cinq heures
Presque irréelle
Tu es si belle
Entre mes cils tu apparais
Comme une dame d'y a longtemps
Que j'ai aimée ailleurs, peut-être
Il faut que j'écrive une lettre
À un vieil ami qui se meurt
Le quinze juillet à cinq heures
Demain, c'est triste
La vie d'artiste,
On reprendra la vie d'avant
L'appartement où l'on s'ennuie
On invitera Frédérique
Mes frères, tes sœurs, toute la clique
Il ne restera qu'une odeur
Du quinze juillet à cinq heures ...
22:27 Publié dans 1968, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
01.12.2009
Le café du Lycée
21:55 Publié dans 1978, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
Les petites fées
20:01 Publié dans 1978, Chansons, La Fronde- Fan club ASL, Textes manuscrits | Lien permanent | Commentaires (0)
29.11.2009
29 Novembre 1978:Mon frère (magazine salut)
02:45 Publié dans 1978, Chansons, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
27.11.2009
Elle
20:13 Publié dans 1975, Chansons, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
La vie lilas
10:00 Publié dans 1975, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
15.11.2009
1974: Mon ami mon maitre
Chanson hommage à Marcel Gobineau son ami son maître
Couverture d'une partition de la chanson 'Mon ami mon maître'
J'ai essayé à cent reprises
De vous parler de mon ami
Mais comment parler d'une église
Dont l'accès vous est interdit
Mais ce soir je sens sous ma plume
Un fourmillement familier
Quand le soleil du coeur s'allume
L'éteindre serait un pêché
C'est mon ami et c'est mon maître
C'est mon maître et c'est mon ami
Dès que je l'ai vu apparaître
J'ai tout de suite su que c'était lui
Lui qui allait m'apprendre à être
Ce que modestement je suis
Comme une chèvre vendéenne
De ses secrets il est jaloux
Et même s'il a de la peine
Il ne vous parle que de vous
Il conserve de son bel âge
Un sourire au fond de ses yeux
Et je me dis que c'est dommage
De vous le décrire sans cheveux
C'est mon ami et c'est mon maître
Je le vouvoie encore aujourd'hui
Et quand j'ai mal dedans mon être
Je passe une heure ou deux chez lui
L'air qu'on respire à sa fenêtre
C'est l'air le plus pur de Paris
Il porte en lui dur comme une arme
Un orgueil au-delà de tout
Au point que même au bord des larmes
Il vous fera croire qu'il s'en fout
C'est lui qui a fortifié mon âme
Et si je suis encore en vie
Je ne le dois pas à cette femme
Qui me rend heureux aujourd'hui
Mais à mon ami, à mon maître
Et dans la chanson que voici
Je sais qu'il va se reconnaître
Mais puisque nous sommes entre amis
Ce soir je peux bien me permettre
De vous le présenter aussi...
09:41 Publié dans 1974, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)