31.12.2009
31/12/1974 : Quatre rois pour une dame – 1ère chaîne de l’ORTF
Dans cette émission Quatre rois pour une dame diffusée le 31 décembre 1974, les 4 rois étaient les chanteurs Guy Beart, Graeme Allwright, Maxime Le Forestier et Serge Lama. Ils entouraient la dame Nana Mouskouri.
Bird on a wire / Vivre tout seul
Serge LAMA chante également l'Esclave, la Salle de bain et les Petites femmes de Pigalle.
EXTRAIT AUDIO
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29.12.2009
29 Décembre 1974: Sport en fête
Dernière émission de sport en fête. Cette émission présentée par Michel Drucker depuis le 22 Octobre 1972 consistait à alterner retransmissions sportives et variétés autour d'un ou plusieurs invités.
Pour cette dernière émission le 29 Décembre 1974, Michel Drucker était entouré de Catherine Deneuve et Serge lama.
Télé 7 jours
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Télé poche
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Photo D.R.
Serge Lama interprète, en direct, 4 chansons : Ah ! - Chez moi - Mon ami, mon maître et Je suis malade.
EXTRAIT AUDIO
19:57 Publié dans 1974, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
27.12.2009
27 Décembre 1974: Ici Paris
Le 27 décembre 1974, le journal ICI PARIS titrait en première page L’HOMME QUI A SAUVE SERGE LAMA. Voici le texte de l’article signé Pascal SEVRAN :
« C’est mon ami et c’est mon maître. Et j’ai tout de suite su que c’était lui. Lui qui allait m’apprendre à être. C’est mon maître et c’est mon ami. Et quand j’ai mal dedans mon être. Je passe une heure ou deux chez lui ».
L’ami, le maître, qui se cache cette chanson que vous entendez tous les jours sur les ondes. Serge Lama ne l’a pas inventé. Il existe ben et bien. Il s’appelle Marcel Gobineau et sans lui, nul doute, que vous n’entendriez pas Serge chanter aujourd’hui…
Cette amitié est une longue histoire, comme un coup de foudre amical qui dure encore. Serge avait douze ans, lorsqu’il rencontra Marcel pour la première fois. C’était au théâtre des Capucines, où il venait tous les jeudis entendre son père chanter. Un soir que Marcel, alors directeur de scène, les raccompagnait chez eux, Serge lui dit en passant devant l’Olympia :
« Tu vois, un jour j’aurai mon nom en grand, qui brillera dans la nuit, et toi tu seras au premier rang et je te lancerai mes chansons.
« A partir de ce jour, m’avoue Marcel Gobineau, Serge a pris l’habitude de se confier à moi. Souvent, il venait me voir à la maison pour me raconter ses peines et ses joies d’adolescent. Moi, j’essayais de lui apprendre la vie. C’est comme ça que Serge devint un peu comme mon fils adoptif. Je n’ai jamais eu d’enfant, aussi, j’étais prêt à tout lui donner. Et puis il y eu ce terrible 12 août 1965. A l’entrée d’Aix-en-provence, une 404 lancée à toute allure s’écrasait contre un platane. Deux personnes trouvaient la mort : le frère d’Enrico Macias, Jean-Claude, et une jeune pianiste Liliane Benelli. Un troisième passager vivait encore, mais il n’était plus qu’un pauvre pantin disloqué lorsque l’ambulance le transporta à l’hôpital. C’était Serge Lama.
« Si jamais ce garçon s’en sort, déclara le chirurgien chargé de l’opérer, je crains bien qu’il ne remarche pas ».
Lorsqu’au petit matin, Serge émergea du coma, le premier visage d’ami que son regard rencontra fut celui de Marcel. Au courant de l’effroyable accident, celui-ci avait sauté dans un train et s’était précipité à l’hôpital d’Aix. Maintenant il serrait très fort dans les siennes les mains de Serge et lui proposait dès qu’il le pourrait, de venir passer sa convalescence à Paris, dans son appartement du boulevard de La Tour-Maubourg.
« En fait, me dit Marcel, pour lui comme pour moi, il ne pouvait en être autrement. C’était entendu sans même avoir été dit ».
La convalescence de Serge fut un long martyre que seule la présence de Marcel sut adoucir. Serge, en effet, dut rester couché à plat sur de planches, le corps complètement immobilisé dans un corset de plâtre. Il ne pouvait même pas faire un geste.
« J’avais l’impression d’être un véritable sarcophage, un mort vivant, me dit Serge, et lorsque le désespoir me prenait une espèce de vague de tristesse m’envahissait et je pleurais alors doucement pendant de longues minutes ».
Mais Marcel était là, à ses côtés, qui veillait. Pour s’occuper pleinement de lui, il décida d’ailleurs, à la grande stupéfaction de ses amis, d’interrompre ses activités d’écrivain. Marcel Gobineau, en effet, est l’auteur de très populaires romans d’amour et d’aventures, dont Stéphanie, et une histoire traduite en quinze langues. Mais pendant deux ans, il ne toucha pas le moindre stylo…sinon pour recopier les paroles des chansons que Serge lui dictait, à moitié paralysé, sur son lit de souffrances.
« Sans Marcel, poursuit Serge, je me serais laissé mourir. Au début, il me faisait manger, me donnait à boire, m’aidait à me laver, me faisait rire aussi, et j’en avais bien besoin. C’est lui qui m’a vraiment redonné la force de croire en moi, de me battre pour que mon nom figure en haut de l’affiche »
« Jamais, je ne pourrai oublier »
Alors qu’au début Serge se voyait enfermé pour la vie, oublié à jamais, voilà qu’il reprenait le dessus grâce à Marcel.
« j’ai compris que la partie était gagnée, me dit ce dernier, le jour où j’ai de nouveau entendu éclater son rire, un rire énorme, contagieux qui vous donne toujours envie de rire avec lui. »
Marcel Gobineau n’attendait aucune récompense à son geste d’amitié, mais Serge, cependant, n’a jamais oublié.
Et le 15 janvier, lorsqu’il chantera sa chanson fétiche au Palais des Congrès, dans un grand récital, un homme de soixante-trois ans, au premier rang, aura les larmes aux yeux. Car Serge ne pensera qu’à lui, son maître, son ami…
Pascal SEVRAN
06:50 Publié dans 1974, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : serge lama, marcel gobineau
19.12.2009
19 Décembre 1974:Réunion du Fan Club à Paris
21:07 Publié dans 1974, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
06.12.2009
6 décembre 1974 : Téléfilm Madame Bovary
08:45 Publié dans 1974, Serge Lama comédien | Lien permanent | Commentaires (0)
23.11.2009
23 Novembre 1974:Soirée caritative
21:16 Publié dans 1974, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
18.11.2009
18 au 22 novembre 1974 : MIDI TRENTE
Dans la semaine du 18 au 22 novembre 1974, Serge Lama était l'invité de Danièle Gilbert dans l'émission MIDITRENTE.
Lundi 18 Novembre
- Serge Lama chante "chez moi".
- Nana Mouskouri chante "la vie, l'amour la mort".
- Mireille chante "the man, I love" accompagnée au piano par Jean Wiener et "quand un vicomte".
- Manitas de Plata interprète un morceau à la guitare.
- Nana Mouskouri chante "il est passé".
- Serge Lama chante "mon ami, mon maitre"
Télé poche
- Pierre Perret chante "les majorettes".
- Avron et Evrard dans le sketch "les voisins de palier".
- Pierre Perret chante "donnez-nous des jardins".
- Serge Lama chante "l'enfant d'un autre"
EXTRAIT AUDIO
- Yves Duteil chante "le jeune homme, écrivain".
- Le groupe Catharsis interprète "sticks".
- Marie-Paule Belle chante "le café renard".
- Serge Lama chante "les petites femmes de Pigalle"
10:10 Publié dans 1974, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
16.11.2009
16 novembre 1974 : commandeur des Costes du Rhône
La commanderie des Costes du Rhône intronise des impétents qu’elle désire honorer et qui s’engagent à défendre l’appellation. Au cours d’une cérémonie, elle leur remet une médaille argentée, un parchemin enluminé marqué à ses armes et au nom du récipiendaire.
Le 16 novembre 1974, Serge Lama a été intronisé comme commandeur des Costes du Rhône au Palais des Papes à Avignon (confrérie vineuse).
08:02 Publié dans 1974, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0)
15.11.2009
1974: Mon ami mon maitre
Chanson hommage à Marcel Gobineau son ami son maître
Couverture d'une partition de la chanson 'Mon ami mon maître'
J'ai essayé à cent reprises
De vous parler de mon ami
Mais comment parler d'une église
Dont l'accès vous est interdit
Mais ce soir je sens sous ma plume
Un fourmillement familier
Quand le soleil du coeur s'allume
L'éteindre serait un pêché
C'est mon ami et c'est mon maître
C'est mon maître et c'est mon ami
Dès que je l'ai vu apparaître
J'ai tout de suite su que c'était lui
Lui qui allait m'apprendre à être
Ce que modestement je suis
Comme une chèvre vendéenne
De ses secrets il est jaloux
Et même s'il a de la peine
Il ne vous parle que de vous
Il conserve de son bel âge
Un sourire au fond de ses yeux
Et je me dis que c'est dommage
De vous le décrire sans cheveux
C'est mon ami et c'est mon maître
Je le vouvoie encore aujourd'hui
Et quand j'ai mal dedans mon être
Je passe une heure ou deux chez lui
L'air qu'on respire à sa fenêtre
C'est l'air le plus pur de Paris
Il porte en lui dur comme une arme
Un orgueil au-delà de tout
Au point que même au bord des larmes
Il vous fera croire qu'il s'en fout
C'est lui qui a fortifié mon âme
Et si je suis encore en vie
Je ne le dois pas à cette femme
Qui me rend heureux aujourd'hui
Mais à mon ami, à mon maître
Et dans la chanson que voici
Je sais qu'il va se reconnaître
Mais puisque nous sommes entre amis
Ce soir je peux bien me permettre
De vous le présenter aussi...
09:41 Publié dans 1974, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
14.11.2009
14 novembre 1974: Chez Nous
03:00 Publié dans 1974, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)