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17.12.2009

17 Decembre 2004: Star academy 4

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Nouvelle participation de Serge Lama à la Star Academy.

Ce jour là il s'agit de la demi-finale

 

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Télé 7 jours du 17 décembre 2004

 

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Serge Lama chantera "Je suis malade" en duo avec la demi-finaliste Hoda

 

 

 

 

Ce même jour il chantait également 'femme femme femme 'avec le futur vainqueur Gregory Lemarchal.

Le père de Grégory sera même invité par Nikos à rejoindre son fiston et son idole

 

 

 

16.12.2009

16 décembre 2004 : Musique Nicolas Robin sur Europe 1

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Serge Lama est interviewé au téléphone par Nicolas Robin le 16 décembre 2004 au moment de la sortie du DVD de Bercy.

 

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EXTRAIT

 

16 Décembre 2004: Le fou du roi

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Serge Lama participait à cette émission de Stephane Bern

 

EXTRAIT



15.12.2009

15 décembre 2004 : Répétitions Star Académy

Serge Lama se déplace au château pour répéter avec Gregory et Hoda les duos qui seront chanter lors du prime du 17 décembre 2004.

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11.12.2009

11 Décembre 2004: Plus vite que la musique

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Reportage sur M6

Retour sur l'histoire d'un tube de la chanson française "Je suis malade" chanté par Serge LAMA en 1973 et reprise plus tard par Dalida, Lara FABIAN et Alice DONA qui en a composé la musique. Commentaires sur images d'archives en alternance avec l'interview d'Alice DONA.

 

EXTRAIT AUDIO

 

07.12.2009

7 Décembre 2004: La voix du Nord

Serge Lama était en concert le 4 décembre à Espace Flandreà Hazebrouck

 

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La génération Lama connaît la chanson

 

Plus de mille Nordistes ont uni leurs voix lors d'un rendez-vous intimiste avec le « Monsieur Serge » aux quarante ans de carrière, samedi soir à Espace Flandre.

Il entre sur scène, «Monsieur Serge Lama», tout de noir vêtu. Comme son « alter ego » accordéoniste, Sergio Tomassi, unique musicien de ce spectacle des plus intimistes, Accordéonissi-Mots. « Ne t'en fais pas non ne t'en fais pas, c'est toujours comme ça la première fois ...» Quelques premières paroles et déjà le public se met à l'unisson.

La génération Lama est au rendez-vous, comme elle l'avait été en 1999. Mille cent admirateurs ont investi Espace Flandre, samedi soir. Des 40 ans et plus qui suivent l'artiste depuis toujours. Des hommes... et surtout des femmes. Mais attention aux mauvaises langues : monsieur ne fait pas qu'accompagner madame. Non, monsieur chante aussi.

L'amour, l'enfance, l'amour, les femmes, l'amour et les femmes, encore et toujours... « Déjà gosse, est-ce par hasard, j'aimais les plumes et les plumards... » Des paroles dont l'interprète aux quarante ans de carrière avoue le caractère autobiographique.

Un enthousiasme intact

Avant, pendant, après la plupart des morceaux, celui qui ne parait pas ses 61 ans s'adresse à ses admirateurs. Pas de place pour le silence. Pour l'enthousiasme et le rire, oui. Car l'humour et les jeux de mots de ce poète comédien enchantent les spectateurs, complices. Comme s'ils connaissaient ce pilier de la variété française depuis des années... « Là, c'est mon moment, un genre d'entracte, sauf que je reste... Par nature j'adore jubiler.

Oui, je sais, à force, je vais le fêter ! »

Retentissant !

Quelques minutes plus tard, il s'absente tout de même quelques secondes. Le temps d'enfiler une veste blanche et une paire de lunettes noires... Pour entonner « Ah dites-moi pourquoi, avec la gueule que j'ai, les femmes me trouvent beau... », il fallait au moins ça.

Et Serge Lama l’artiste de scène continue de raconter ses histoires, légères puis sérieuses, incontournables puis moins connues. Dans le langage parlé, parfois. Mais sa voix de stentor, tantôt grave, tantôt lyrique, à l'étape de sa discographie, n'est jamais bien loin. « Bien sûr, j'ai d'autres certitudes, j'ai d'autres habitudes... » Dès l'introduction de D'aventure... en aventure, la génération Lama est aux anges. Sans doute le chœur artiste-public le plus chaleureux de ces quelque deux heures de show.

Premier rappel honoré par Femme, femme, femme. Et quand « Je ne rêve plus ... » retenu, le public exprime un ah de relâchement. Je suis malade, la salle l'attendait. Les doigts de l'accordéoniste se désactivent. Ce refrain de Je suis malade a cappella et sans micro, les Nordistes s'en souviendront. Retentissant. Deuxième rappel. Ovation de toute une génération.

7 Décembre 2004: DVD Bercy

Sortie assez tardive sous forme de DVD de l'enregistrement du concert anniversaire donné le 11 Février 2003 à Paris Bercy

 

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05.12.2009

5 Décembre 2004:La voix du Nord

En concert le 2 décembre au théâtre de Caudry

 

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Un homme amoureux... des mots

 

Il joue avec les mots comme son « alter ego » - c'est ainsi qu'il le nomme - joue de l'accordéon : avec subtilité, élégance et humour.

Jeudi soir, au théâtre de Caudry, Serge Lama a retracé en quelques chansons le parcours d'un homme et surtout d'un chanteur au talent incomparable. Certes - et il le prend à la rigolade - le public présent dans la salle, n'était pas d'un Patrick Bruel déchaînant les passions et les hurlements des adolescentes. Mais il lui est fidèle et chaque chanson reprise en chœur en témoigne.

Sur scène, Serge Lama s’est montré, comme toujours, d'une grande générosité. Pas de grands éclats de rire poussifs qui ont fait de lui le chanteur fétiche des imitateurs. Non, mais un sourire complice et malicieux, servi par des jeux de mots dans lesquels il excelle.

De la tragédie à la comédie

Pour ce concert, Serge Lama était accompagné d'un seul accordéoniste, Sergio Tomassi, avec qui il forme un duo surprenant, aux multiples visages. De la tragédie à la comédie, le chanteur est criant de vérité. L'expression dans le regard et la puissance dans le geste s'associe définitivement à une rage de vivre et de partager. La force et l'intensité avec lesquelles il insuffle la sensibilité d'un homme - et la sensualité de la femme -, ses émotions et sa pudeur. Les Star Academy n'ont qu'à bien se tenir.

Jusqu'au final - à frissonner - a cappella et sans micro sur Je suis malade, Serge Lama sait mettre de la magie, et les mots justes et beaux sur les choses de la vie.

BD

01.12.2009

1 Décembre 2004: Concert au Luxembourg

Lors de la tournée accordéonissimo, Serge et Sergio ont fait escale au luxembourg pour un concert donné le 1 Décembre 2004 au conservatoire de la ville de Luxembourg

Voici un article paru en Allemand dans le journal Luxemburger wort

 

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LIRE

 

Merci à Nicole du Luxembourg pour l'article et merci à Pascal de Lille pour la traduction

 

« Accordéonissi-Mots » à guichets fermés au conservatoire de musique

Un spectacle de superlatifs vocaux et musicaux
Serge Lama a offert une soirée de chanson de toute première classe

Le chanteur français Serge Lama était l'invité du conservatoire de musique de la capitale ce mercredi soir, avec son spectacle Accordéonissi-Mots, donné à guichets fermés.
L'artiste a réussi instantanément à enchanter son public. C'est avec une multitude de titres de son dernier album « Plurielles » mais aussi avec des chansons plus anciennes que Serge Lama a interprété quantité de ses grands succès, tiré d'un répertoire varié.
« D'aventure en aventure », « L'Algérie », « La chanteuse a vingt ans », « Les p'tites femmes de Pigalle » ou « Je suis malade » n'ont été à ce sujet que quelques-unes des particularités de cette soirée extraordinaire.
Son public se composait de membres des tranches d'âge les plus diverses. Le chanteur, au début du concert, s'est doucement rapproché de ses auditeurs. Au bout d'une demi-heure de scène, il avait tellement chauffé l'ambiance que les premiers tonnerres d'applaudissements ont résonné frénétiquement. Et il est parvenu magistralement, au fil de la soirée, à porter cette ambiance à ébullition.
Serge Lama a chanté son enfance, la mer et le vent, l'amour, l'amitié et la joie. Chacune de ses chansons avait ses propres expressions, et dans chaque chanson le chanteur a laissé entrevoir le fil de sa pensée ainsi que ses sentiments. Tout en parvenant tantôt à entonner un titre doucement et avec la retenue nécessaire, ou tantôt à s'appuyer de façon vraiment impressionnante sur le timbre puissant de sa voix.
A la fin, Serge Lama a fait la démonstration qu'il peut, dans cet auditorium du conservatoire de musique, se passer de toute sonorisation et pourtant toucher ses auditeurs avec le fil de ses idées.
Ses chansons passent parfois d'une interprétation enlevée et agressive à une sentimentalité émouvante, sans transition musicale particulière. Serge Lama a eu recours pour cela à la fois à des passages parlés et au chant. Durant ce concert, il a constamment sollicité l'assistance dans ses représentations, en l'invitant à chanter, seule ou avec lui, des refrains ou des passages intéressants. Dans ce contexte, l'un des plus grands moments a été la chanson « Je t'aime à la folie ». Le chanteur, au cours du concert, a enchaîné ses chansons par des anecdotes ou des remarques spontanées.
Au terme de deux heures de scène, Serge Lama a pris congé de son auditoire luxembourgeois.
Serge Lama est son nom de scène. C'est sous le nom de Serge Chauvier que l'artiste est né, en 1943. Sa carrière a commencé en 1964
Serge Lama était accompagné par Sergio Tomassi, accordéoniste internationalement connu. En virtuose de son art, ce dernier a su exploiter la diversité musicale de son instrument chargé de technologie. Pleinement partie prenante du spectacle, il a étayé musicalement aussi bien les chansons que les explications intermédiaires. Les autres membres de l'équipe de Serge Lama sont parvenus également, que ce soit en matière d'éclairage ou de sonorisation, à souligner les particularités de cette soirée par leurs effets spéciaux et leur empathie.
Avant le concert ont été vendues des photos dédicacées de l'artiste au profit de « La roue tourne ».
Serge Lama souhaite ainsi apporter son soutien aux victimes d'accidents de la route, lui qui dans ses jeunes années a failli perdre la vie dans un accident de la route.
Le concert était organisé par l'Agence en communication Brain & More, agissant localement pour « Intermédiaires des artistes ».

30.11.2009

30 Novembre 2004:Ouest France

Le 26 novembre Serge Lama était à Mamers, salle Louis Malle

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Serge Lama et son accordéon magique

 

Vendredi soir, la salle Louis-Malle était comble pour la venue de Serge Lama. Les spectateurs ont conquis un personnage à la fois tendre, sarcastique, ironique et volubile.

Philippe Richard, adjoint à la Culture, était en retard, vendredi soir, pour présenter le spectacle de Serge Lama. Quelques problèmes d'organisation technique vite oubliés, tant la joie d'entendre le chanteur était grande. Il y avait du monde ce soir, salle Louis-Malle. A tel point que certains se sont vus refoulés à l'entrée. « La salle est trop petite lorsque nous recevons des vedettes de cette pointure. Nous supposons pouvoir vendre le double de places... Vivement la salle intercommunale », a regretté l'élu.

Puis, place au spectacle. Après une introduction à l'accordéon, de Sergio Tomassi. Serge Lama, Superman, apparaît, sous les applaudissements. « Je me demande pourquoi, avec la gueule que j'ai, les femmes me courent après ! » Le public est charmé dès les premières mesures de ce spectacle baptisé « Accordéonissi-mots ».

« Cet accordéon est magique. Tous les instruments sont dedans, pas enregistrés, mais aux sonorités synthétisées. Et si Sergio joue de tous, je vais chanter toutes mes chansons avec ma voix, en réel. »

Lumières savantes, éclairages géniaux qui rappellent ceux de Bercy. Au menu de ce tour de chant, plus de vingt chansons connues, parmi les plus, parfois plus secrètes, souvent liées aux femmes, d'autres chantées avec humour, ou tendresse. De l'inédit aussi. Commencé tout de noir vêtu, Serge Lama termine en blaser blanc, chantant avec des lunettes noires, façon play-boy, Dites-moi pourquoi... Pour finir par Je suis malade, sans musique, avec juste avec un projecteur. 

Applaudissements. Mais le chanteur ne revient pas. Son tour de chant est terminé.

Il avait commencé par la vente d'enveloppes au profit de La Roue tourne, une association d'entraide aux chanteurs blessés ou malades, avec des enveloppes contenant une photo dédicacée. Les spectateurs restent un peu sur leur faim, debout, après 2 heures presque non-stop... Ils se rappelleront les jeux de mots, ou les crises de fou rire. Ils se souviendront des remerciements à l'éclairagiste, avec encore une pique :

« Je suis en lumière, vous êtes tapis dans l'ombre... Je sais tapi dans l'ombre ça fait un peu pléonasme ! » ou de ses compliments sur la ville : « Labourage et pâturage sont les deux Mamers de la France. »