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07.12.2009

7 Decembre 2006: La Presse canadienne

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Serge Lama a dû annuler son spectacle mercredi au Gesu

 

Le spectacle que devait donner Serge Lama, mercredi soir, dans le cadre d'une série de 10 concerts au Théâtre du Gesù a dû être annulé.

L'artiste a lui-même annonce la nouvelle à son public à la suite du vol de deux ordinateurs essentiels à la réalisation du spectacle et de plusieurs microphones.

Les détenteurs de billets peuvent se faire rembourser en se présentant aux points de vente du Gesù ou encore sur le Réseau Admission.

Il sera ensuite possible d'acheter de nouveaux billets selon les disponibilités, pour les spectacles de ce soir (jeudi), demain (vendredi), samedi et dimanche.

Serge Lama va conclure le 10 décembre une tournée au Québec de 47 spectacles qu'il a entreprise, le 28 septembre dernier.

7 décembre 2006 : VOIR

 

Article de Francis Hebert publié le 7 décembre 2006 dans VOIR (Quebec)

 


Le pornographe

 

Serge Lama achève sa longue tournée québécoise à Montréal. Moment idéal pour aller voir l'éclatant Accordéonissi-mots, dans lequel le chanteur est seul avec un accordéoniste sidérant.

Serge Lama entame son nouveau récital avec Les Ballons rouges, une vieille chanson qui claque comme un fouet, corrosive et nostalgique, lyrique, superbe. L'auteur-interprète y cite le marquis de Sade, qu'il admire, et termine ainsi, orgueilleux, limite agressif: "J'ai rien d'mandé/Je n'ai rien eu/Mais j'ai fait ce que j'ai voulu". C'est l'instant où l'auditeur retient son souffle, médusé par la puissance.

Joint à sa chambre d'hôtel montréalaise, Lama explique la genèse de cette chanson fondatrice: "J'ai eu un accident très grave en 1965, j'avais 22 ans. Les Ballons rouges, c'est un peu la chanson de la remise debout. Je l'ai écrite pendant mon accident et je l'ai enregistrée après. Avec ce ton, on pourrait parler d'agression, d'affirmation de soi-même. On sent quelqu'un qui veut conquérir parce qu'il a été terriblement blessé. C'est une de celles que j'ai le plus chantées." L'artiste au bout du fil a un ton posé, une voix grave. À des kilomètres du chanteur que l'on a vu la veille au Gesù: "Sur scène, je suis toujours en train de faire le comique, car le public en a besoin. En réalité, là où j'excelle, je pense, aussi bien dans l'écriture que dans l'expression théâtrale, c'est dans le drame. Je ne dirais pas que je suis triste, pas noir, mais gris, entre deux tons. Je suis un mélancolique, un nostalgique. Dans mon spectacle, il y a quatre-vingt pour cent de chansons tragiques." Depuis quarante ans, le parolier fabrique des perles noires tout en donnant l'illusion

aux gens d'être un bon vivant, un amuseur public. Dans ses meilleurs moments, on perçoit chez lui des échos de Jacques Brel, une puissance poétique évocatrice. D'ailleurs, Lama a consacré tout un disque à l'oeuvre de Brel en 1979. Il chante aussi quelques vers de Paul Verlaine (Voici des fleurs, des fruits).

Grand lecteur de poésie, Lama a un projet qui lui tient particulièrement à coeur: "En janvier, je vais sortir un recueil de poèmes, que j'ai écrits depuis vingt ou trente ans, sous le titre de Sentiment, sexe, solitude. Il y a des choses qu'on ne peut pas dire dans les chansons, comme le sexe. J'ai été contraint très souvent de me censurer, d'enlever des couplets parce qu'autour de moi, on me disait que je ne pouvais pas dire ça. Il y a des choses presque porno!"

Si l'auteur est une part essentielle chez Lama, il n'oublie pas la nécessité de faire des spectacles: "Dans mes textes, il y a une forme de thérapie psychologique. La scène est complémentaire, mon corps en a besoin."

C'est pour cette raison qu'il traîne son dernier récital, Accordéonissi-mots, à travers tous les coins du Québec et de la France. Une formule légère, avec seulement l'accordéoniste Sergio Tomassi, qui lui permet d'aller dans les petites villes. Des milliers de spectateurs passent un bon moment pendant que le chanteur y glisse en douce des petites tragédies humaines.

 

30.11.2009

30 novembre 2006 – Le nouvelliste

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23.11.2009

23 novembre 2006 : Livre de Jacques Pessis

Dans le livre de Jacques Pessis, "La France de Thierry Le Luron", on peut trouver plusieurs témoignages d'artistes.

 

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Serge évoque Thierry vingt après, c'est pour lui un moment d'émotion :

"Thierry était un intime. Nous avons fait un grand nombre d'émissions tous les deux. C'était un garçon délicieux qui avait un humour corrosif mais c'était un tendre de chez tendre. Même avec une fragilité énorme. Un génie, un surdoué. 

Je l'ai connu quand il avait dix-huit ans. Nous étions au Don Camillo et, déjà, il savait tout, comme embrasser les mains des dames, etc...Il n'a jamais rien appris; en quatorze ans de carrière, il a vécu trois ou quatre vies. 

Il a compris tout de suite que la télévision était un élément essentiel en devenant animateur et producteur. Nous nous apportions des conseils réciproques sur le plan professionnel. Il m'imitait très bien vocalement, il a parodié une quantité de mes chansons! Vous savez, quand on n'est pas singé par Thierry, c'est qu'on n'existe pas!

J'adorais ce bonhomme et j'ai eu une peine immense quand il a disparu en 1986 ".

= Mémoire de Thierry Le Luron " - P. Djemaa - J. Collard.

 

19.11.2009

19 Novembre 2006:Courrier Laval

Le 22 Octobre Serge Lama était salle André Mathieu à Laval

 

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LIRE

15.11.2009

15 Novembre 2006: La chanson française pour les nuls

Extrait du livre "La chanson française pour les nuls", de Bertrand Dicale Page consacrée à Serge Lama.

 

 

serge lama

 

 

LES REVANCHES DE SERGE LAMA

Quand Pierre Perret invente de jolies tournures pour raconter qu’il détrousse les filles, il est un autre chanteur qui y va carrément et ne s’embarrasse pas de métaphores. Et entre deux tournées chez les p’tites femmes de Pigalle, il lui arrive même de se prendre pour Napoléon, SERGE LAMA, n’est pas un tiède. En effet, grosse voix, grosses mains, gros rire, grands gestes quelque part entre le voyageur de commerce et un personnage des tableaux de Bruegel.

SERGE CHAUVIER est né à Bordeaux, le 11 février 1943, il est le fils d’un chanteur lyrique qui n’a jamais connu le succès. Quand il a sept ans, la famille déménage  à Paris et son père abandonne la carrière d’artiste pour une place de représentant en bières.

A 17 ans, il rencontre Marcel Gobineau, régisseur du théâtre des capucines. Celui-ci l’accueille quand il fugue, en rébellion contre ses parents. Marcel Gobineau devient le maître spirituel de Serge, lui donne le goût de l’histoire et de la chanson (ce sera à lui que sera dédié : Mon ami, mon maître). C’est sous son influence, qu’il prend la décision de devenir vedette de music-hall.

Il débute en 1964, le jour des ses 21 ans, à l’écluse le cabaret où trônait Barbara. Premier 45 tours quelques mois plus tard et très vite un nom dans le métier, mais en août 1965, il est victime d’un effroyable accident de voiture ; la pianiste Liliane Benelli et son régisseur Jean-Claude Macias (le frère d’Enrico) sont tués sur le coup et les médecins lui annoncent qu’il ne remarchera jamais. Mais, toujours soutenu par Marcel Gobineau, il s’arrache à son lit, s’acharne à sa rééducation, et remarche sans béquilles.

Deux ans après son accident, il revient à la scène en assurant la première partie de Nana Mouskouri à l’Olympia malgré les séquelles de ses blessures et une claudication qu’il dissimule quand s’allument les projecteurs.

Dès lors, sur scène, chaque soir, c’est « un sprint et un match de boxe », en même temps, dit il en ajoutant « Aucun chanteur de ma génération n’a autant chanté que moi ». Car c’est     un goinfre de scène et qui donne, deux cents ou trois cents concerts par an. La gloire survient, énorme, en 1973, avec « JE SUIS MALADE ». Dès lors, rien ne l’arrête, il mène ses concerts sa vie avec la même énergie débordante, envahissante, orgueilleuse.

SERGE LAMA ose quelque chose que personne n’ose avant lui : la fierté du perdant, le lyrisme du désastre moral, les envolées de l’homme ordinaire qui s’invente un destin de Don Juan. On le trouve d’un masochisme parfois complaisant (dans JE TE PARTAGE, par exemple : « je lécherai avec ma bouche les endroits que les autres touchent, et tant pis si ça fait scandale que je sois plusieurs dans ton ventre ». On trouve un peu vulgaires ses consolations (j’suis content, j’suis content, j’sui cocu, mais content, je m’en vais voir les p’tites femmes de Pigalle), on s’inquiète de son intérêt pour les très jeunes filles (viens laisse un peu tomber tes poupées –chez moi). Dans une chanson française qui n’aime le cochon que bien rose et poli, il fonce comme un mufle de sanglier. Les bien-pensants trouvent en lui un frère en fantasme.

La plupart du temps, sur des musiques d’Alice Dona ou d’Yves Gilbert, ils racontent vie et rêveries d’un homme obsédé par les femmes, mais aussi souvent vaincu que vainqueur (d’aventure en aventure 1968 – superman – chez moi 1974  - je t’aime à la folie 1975 – les p’tites femmes de Pigalle 1975 – Tarzan 1977 -  femme, femme, femme 1978) et il convoque aussi un des plus grands mythe français en incarnant Napoléon sur scène pendant trois ans, un million de spectateurs le verront se coiffer du célèbre bicorne.

 

11.11.2009

11 Novembre 2006:journal le courrier

Concert caritatif donné dans la ville de St Thérèse au Quebec

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Lama a rapporté 16 000 $ à Sodarrid

 

Le spectacle-bénéfice de Serge Lama présenté le 21 octobre au Théâtre Lionel-Groulx a généré des profits de l'ordre de 16 000 $ pour la maison des jeunes de Boisbriand, Sodarrid, pour qui le spectacle annuel représente un important moyen d'autofinancement. Le conseiller municipal boisbriannais Robert Frégeau qui a mis les mains à la pâte et l'épaule à la roue dans la promotion et la vente des billets, se réjouissant de ce résultat, l'un des meilleurs résultats avec les spectacles présentés au cours des derniers années au profit de l'organisme. Plus de 400 billets ont été vendus à un prix supérieur au prix régulier, avec l'accord de l'artiste, pour atteindre le chiffre mirobolant de 16 000 $. DB (Photo Pépé)

 

04.11.2009

4 Novembre 2006:Le quotidien

Serge Lama était en concert au Théatre du Palais Municipal de la Baie

 

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LIRE

4 novembre 2006 : Le Soleil

Article de Régis Tremblay publié dans LE SOLEIL (Quebec) le 4 novembre 2006.

 

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Un accident catastrophique et deux traversées du désert, l’une au sens propre et l’autre au figuré. Mais grâce à son appétit de vivre et sa soif de succès, Serge Lama est toujours là, après 40 ans de carrière. Pour un temps, on l’avait rangé sur la tablette des gloires passées. Mais le voici toujours aussi émouvant, truculent et conquérant. Serge Lama sera au Capitole, les 13 et 14 novembre.

« En plus de mes grands succès, je vais faire une chanson écrite à 12 ans, et vous ne verrez pas la différence : c’est le même fond de sauce ! Chacun a certaines choses à dire, et elles ne changent guère au fil des ans. Je dirais même qu’en vieillissant, on se rapproche de sa vérité. Je l’avoue, quand j’étais jeune, j’en rajoutais un peu ! » reconnaît Serge Lama, en entrevue.

Quoi qu’on dise, qu’on fasse ou qu’on chante, on a rendez-vous avec le destin.

« Il y a trois ou quatre trucs qu’on doit faire dans sa vie ; il y a des carrefours qu’on ne peut pas éviter », ajoute Lama, qui ne pourra jamais oublier ce 12 août 1965, alors qu’il était victime d’un terrible accident de voiture. Sa femme, Liliane Benelli, en meurt. Lama, lui, est physiquement anéanti. Ses premiers succès, comme D’aventure en aventure, il les enregistre sur une civière. Il lui faudra un an pour remarcher.

C’est donc à une morte qu’il s’adresse dans son émouvante composition D’aventure en aventure : « Jamais,medium_le_soleil_-_novembre_2006.2.JPG jamais, je te le jure, je n’ai pu oublier ton corps... » Quatre décennies plus tard, la tragédie a forcément laissé des traces physiques et psychologiques chez Serge Lama : « Je souffre depuis 40 ans. Ça m’a enlevé mon trop-plein d’énergie. J’ai toujours été quelqu’un d’excessif, et cet accident m’a peut-être empêché de m’engloutir dans les excès. Tout compte fait, je vois du positif dans ce coup du sort... »

Le fait est que cet accident désastreux n’aura pas empêché Serge Lama de mener une brillante carrière et une vie très remplie.

Les années 70 seront les années Lama, semées de titres comme Superman, Une île, Femmes, femmes, femmes, Les Ballons rouges, Les P’tites Femmes de Pigalle, Je suis malade et, bien sûr, D’aventure en aventure.

Presque las de ce ronron berceur, Lama se lance dans l’écriture et la réalisation d’une vaste entreprise, au début des années 80. Sa comédie musicale Bonaparte (personnage qui offre une frappante ressemblance avec le chanteur) connaîtra un succès populaire durable.

Mais reprenons du début. Serge Chauvier naît à Bordeaux en 1943. Son père Georges tente de faire carrière dans la chanson, malgré les réserves de sa femme. En 1950, le Bordelais monte à Paris avec femme et enfant. Serge a sept ans et il voit avec consternation son père abandonner son rêve pour gagner sa vie dans le commerce. « Un jour Papa a vendu de la margarine/Pour que maman puisse chanter dans sa cuisine », écrira Serge, beaucoup plus tard.

Les traversées du désert

Cet épisode donnera au fils la ferme volonté de venger le père. Mais auparavant, Serge devra aller se battre en Algérie. Pendant plus d’un an, il apprendra à se battre et à survivre au milieu du Sahara. Première traversée du désert, à l’âge de 18 ans.

Son deuxième passage à vide surviendra à 41 ans, en 1984, après la mort de ses deux parents, encore dans un accident de voiture. Ce n’est qu’au tournant du millénaire que Lama revient en force, avec des chansons comme Si tu le veux, Quand est-ce qu’on fait l’amour ? et Moi je rends les femmes belles...

« J’ai beaucoup chanté pour les femmes, qui venaient à mes spectacles sans leurs maris. Si les hommes ne venaient pas, c’est que leurs femmes les en chassaient ! Dans les années 70 et 80, au plus chaud de ma popularité, les hommes m’en voulaient un peu pour cet état de choses. Mais quand ces mêmes femmes ont vieilli, elles ont commencé à emmener leurs hommes... Mais cela n’a rien changé à ma façon de chanter ! ».

 

30.10.2009

30 octobre 2006 : LE QUOTIDIEN

Pour le journal LE QUOTIDIEN de Montréal, Serge Lama se confie à Isabelle Labrie le 30 octobre 2006

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Quand il songe à une tournée du Québec, Serge Lama se rappelle de noms de villes qui sont presque des titres de chansons. Parmi ceux-ci, Trois-Rivières, Rivière-du-Loup, Baie-Comeau et... Chicoutimi, qui "avec ses trois i, sonne très bien".

Après plus de six ans d'absence, l'auteur-compositeur-interprète fera une incursion dans la région au début du mois de novembre, d'abord au Palais municipal de La Baie le 3, puis à l'Auditorium d'Alma le 4. Il présentera le spectacle "Accordéonissi-mots", qu'il a eu largement le temps de roder au fil d'une tournée qui l'a mené aux quatre coins de la France de même qu'à Québec et Montréal, il y a deux ans. Il se retrouve sur scène avec l'accordéoniste Sergio Tomassi.

"Je voulais un spectacle qui soit transportable facilement et transformable autant pour des salles de 250 places que de 2000. Il a été conçu pour des lieux humains. Mais je ne suis pas seul. Nous sommes deux complices qui ont développé un partenariat, nous jouons de la connivence et le concept est moins minimaliste qu'il en a l'air", raconte Serge Lama, en entrevue téléphonique à partir de Montréal. Dans un communiqué sur ce sujet, il écrit même poétiquement que "c'est la rencontre de deux âmes, l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventer des fleurs... Et tout cela pour engendrer encore et encore de l'amour".

S'il a choisi de se déplacer dans toutes les régions du Québec, à l'image de ce qu'il a fait en France, c'est pour avoir la chance de rencontrer un public qui n'aurait sans doute pas pu se rendre dans les grands centres pour l'entendre. Il leur propose donc un tour de chant mettant en vedette ses plus grands succès, ceux que les gens connaissent depuis des années, qui se fredonnent toujours, comme Les Ballons rouges, Je suis malade, D'aventure en aventure. Il les livre toujours avec un plaisir renouvelé, sans lassitude, malgré les années.

"Les chansons à interprétation ne sont pas fatigantes car il y a toujours possibilité de trouver quelque chose à aller chercher. C'est le cas d'Algérie, de l'Enfant d'un autre, des Ballons rouges. Ce sont les chansons plus rigolotes qui peuvent être plus fastidieuses. Mais il y a des piliers qu'il est impensable de ne pas offrir", souligne le chanteur français.

Avenir

Si cette formule lui convient, Serge Lama confie qu'il aimerait dans l'avenir monter un autre spectacle, qui lui permettrait de faire connaître des compositions de son répertoire qu'il qualifie de "mal aimées", de même que de nouvelles chansons : "Dans un tour de 26 chansons, il faut mettre huit piliers mais après, il est possible d'échantillonner en faisant connaître des compositions comme Les Saumons ou Les Poètes, moins connues mais intéressantes. C'est ce que je veux faire la prochaine fois".

Mais en attendant, il se concentre sur le concert Accordéonissi-mots qui, comme il l'écrit sur la pochette de l'album du même nom enregistrée au Théâtre Marigny de Paris "est un spectacle qui a la prétention de ne pas en avoir".