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25.12.2009

25 Décembre 2010: Finale de pékin Express

 

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Télé 7 jours

 

Fréderic Lama , le fils de Serge participait à une édition spéciale de Pékin Express tournée en Inde.

Son binome qu'il formait avec Huang suite à l'abandon de Victoria Monfort termina l'aventure à la seconde place

 

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Le soir de la finale le directeur de course Stéphane Rotenberg recevait sur son plateau tous les participants.

Sans que Fréderic s'y attende son père fut aussi invité sur le plateau. Serge donna sa vision de la course et rendit un chaleureux hommage à Fréderic en lui interprétant quelques vers de la chanson 'tel père, tel fils'

 

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EXTRAIT DU PASSAGE DE SERGE LAMA

 

 

08.12.2009

8 Decembre 2010: SMS

Bientôt la reprise de la tournée..

 

Le 08-12-2010,

Les jours me rapprochent de l’heure,
Où il faudra m’aller vers vous,
Je redoute ce rendez-vous,
Je sais que mes shows sont les leurres,
D’un histrion à moitié fou,
Dont seul un avatar demeure.

S.L

29.10.2009

29 Octobre 2010: message de Serge

Réponse de Serge suite aux inquiétudes qu'à suscité son dernier message.

 

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Rassurez-vous tout de même, je ne suis pas à l’article de la mort, mais à celui de la vie.
Car vous m’auriez pris en photo impromptue à n’importe quel moment et âge de ma vie, vous eussiez obtenu la même. Dès que je suis à part et que je rêve ou pense ou écrit, et dans tous les bistros de Paris j’entends la même chose depuis mes débuts « Oh ! Mais que vous avez l’air triste ! » Eh oui… quand je ne ris pas j’ai tout de suite l’aire triste, et quand les gens vous voient solitaire, dîner à une table, ils s’inquiètent pour vous.
Non, je suis comme ça, un manteau d’arlequin. Mon rire a toujours été un bouclier et aussi un moyen d’être distrayant, consolateur de la tristesse des autres.
Dès que je retrouve des amis, je me maquille en clown ou en homme d’esprit, comme si c’était mon rôle, la moindre politesse, que je leurs devais ça.
Donc la seule véritable inquiétude ce sont mes hanches, mes rotules, où en sont-elles ? Et mes arthroses que je traîne depuis ma prime jeunesse eu égard à mon accident. Et le docteur, j’ai, contrairement à mon ami Drucker, du mal à aller le voir, avec son cortège d’examens à la clé.
Voilà, vous savez tout, à part ça je lis des livres qui m’enchantent, je fais un régime qui n’arrange pas mon sourire… ça aussi c’est au moins mon vingtième, tout ça pour être à l’aise dans des costumes qui de toute façon ne m’iront pas, ce sera encore bretelles contre ceinture. Même Aznavour qui ne m’a fait que des compliments sur mon tour de chant au Palais des Congrès, m’a dit que je m’habillais aux quatre horreurs. Ça dure depuis toujours…
Au fond au bout de ce petit discours, je m’aperçois que c’est moi qui dure depuis toujours, contre vents et marées, alors souhaitons ensemble que ça continue avec mes qualités et mes défauts, mes rires et ma profonde tristesse qui est ma « tâche » de naissance.


PS : Parmi les nombreux et divers livres que je lis, j’ai reçu le dernier opus « rappelle-moi » de Michel Drucker, que j’ai lu d’une traite, avec une émotion permanente et un coup de tonnerre à la fin du livre. Je vous encourage vivement à le lire. Michel si révèle dans tous les sens du terme. J’ai même trouvé que son coup de plume s’affirmait. D’ici qu’il nous écrive à la recherche du temps perdu… y a pas loin. Sa mémoire est phénoménale, et son œil est un appareil photographique. C’est quelqu’un de rare, et bien qu’exceptionnel, il sait que le public est le seul à qui il doit tout. En clair c’est un artiste. Il aurait dix ans de moins, je suis sûr qu’il se lancerait dans une carrière de raconteur de vie sur scène. Il serait intarissable et il faudrait le sortir de scène. En tout cas, fasse Dieu, ou n’importe qui d’autre, qu’il reste encore longtemps dans son canapé rouge. C’est le dernier d’une race de ceux qui ont réussi sans accepter d’être des tueurs.
Bisous à toutes et à tous et bon vent dans la tempête extérieure qui s’annonce.
 

20.10.2009

20 Octobre 2010: SMS

Retour difficile pour Serge ...

 

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Que vous dire, que le temps passe,
Je vois se réduire l’espace,
Qui sépare mon cœur de vous,
J’ai vécu une vie tranquille,
A lire, à nager dans une île,
En attendant nos rendez-vous,
Si je vous suis encore utile,
Car c’est un effort de titan,
Que de souffrir même en chantant,
Pour l’âme, le cœur et le dos,
Le temps ne fait pas de cadeaux,
J’espère avec vous ce disant,
Fêter me soixante-dix ans,
Pour mes adieux n’y comptez pas,
Comment nommer son dernier pas,
Voilà, je me vis goutte à goutte,
Je vous embrasse tous et toutes.

S.L

21.09.2009

21 septembre 2010 : Tout le monde l'appelle Sylvie

"Tout le monde l'appelle Sylvie" , une émission pour les 50 ans de carrière de Sylvie Vartan

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Dans cette émission consacrée à Sylvie Vartan, Serge Lama interprète la chanteuse à 20 ans en duo avec celle-ci.

 

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EXTRAIT DU PASSAGE DE SERGE LAMA

 

 

18.09.2009

18 septembre 2010:TV envie

 Le 21 Sept 2010 une grande émission de variétés était consacrée à Sylvie Vartan. Serge Lama faisait partie des invités.

 

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06.09.2009

6 Septembre 2010: SMS

Petit message de Serge à ses fans pendant ses vacances

 

Je suis de retour mais j’ai décidé de glander jusqu’à la fin de l’année, d’aller sur une île entre le ciel et l’eau… et j’écris, j’écris…
Soyez courageux pour moi

25.07.2009

25 juillet 2010 : Bonsoir chez vous – Europe 1

  1. Dans l'émission Bonsoir chez vous, le 25 juillet 2010, Kady Adoum Douass et Nicolas Carreau partent à la découverte de l'Aquitaine.

Serge Lama est leur invité pour la ville de Bordeaux.

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EXTRAIT

 

13.06.2009

13 Juin 2010 : France Soir

Suite à sa participation au Festival Radio Classique le 12 juin, le quotidien France Soir publiait cette interview

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Serge Lama : “J’ai voulu venger mon père”

 

 Pour sa deuxième édition, le festival Radio Classique, qui se tiendra à L’Olympia les 12 et 13 juin, a invité le chanteur Serge Lama à présenter l’un de ses trois concerts.

Fidèle à lui-même, Serge Lama ne dissimule rien. Ni ses blessures d’enfance, ni son dégoût face à une société que ce grand lucide dénonce sans retenue.

France-Soir Le grand public ignorait que vous étiez amateur de musique classique.

Serge Lama Amateur, oui ; spécialiste, certainement pas. Ma culture est celle de la musique populaire. Celle de Luis Mariano notamment, dont j’écoutais les disques avec mon père, chanteur d’opérette et premier prix de conservatoire de Bordeaux. Ce qui ne m’empêchait pas d’apprécier et Verdi et Puccini.

F.-S. Pourtant, vous n’avez pas mis vos pas dans ceux de votre père…

S. L. Vous savez comment sont les jeunes, toute époque confondue : par principe, ils se refusent souvent à emprunter les mêmes chemins que leurs parents. Et puis, dans les années 1950 et 1960, l’opérette n’était plus à la mode, elle n’offrait plus aucune perspective, alors que la variété française, elle, connaissait un nouvel essor, avec Bécaud, Brel et Brassens. J’y ai aussitôt vu une opportunité de faire quelque chose de ma vie. Sans singer mon père. En traçant ma propre route d’interprète. Et d’auteur.

F.-S. Vous avez aussi signé les textes d’une comédie musicale sur Napoléon dans les années 1980 et écrit un recueil de textes érotiques, Sentiments, sexe, solitude. L’écriture n’est-elle pas, au fond, votre véritable vocation ?

S. L. Sans aucun doute. Mais l’échec professionnel de mon père, obligé de vendre des bières pour survivre, m’a profondément bouleversé. J’ai voulu le venger, en devenant à mon tour chanteur, même si j’ai évolué dans un univers aux antipodes du sien.

F.-S. Rétrospectivement, quel est votre regard sur plus de quarante ans de carrière ?

S. L. Celui d’un artiste comblé. Si, à mes débuts, on m’avait promis le parcours que j’ai eu, j’aurais signé des deux mains. A 67 ans, je continue de faire salle pleine. Que puis-je demander de plus ?

“Moi, chanteur populaire, je suis souvent vu par les jeunes comme un chanteur intellectuel. Un comble !”

F.-S. Etes-vous toujours un être désabusé qui pense que « tout fout le camp » ?

S. L. Encore plus hier qu’aujourd’hui. Notre société n’évolue pas, elle régresse.

F.-S. Vous êtes d’un pessimisme noir…

S. L. Je suis surtout réaliste. Le passionné d’histoire que je suis voit se reproduire des phénomènes qui ont déjà été dénoncés par nos aînés. Regardez la crise financière. Comme en 1929, on a encouragé les gens à spéculer sans garde-fous, au risque de mettre l’économie mondiale à terre. Je ne suis pas contre le capitalisme, je suis contre le capitalisme sans foi ni loi.

F.-S. Et, en termes culturels, selon vous, sommes-nous sur la même pente ?

S. L. L’inculture est partout. Et l’école enseigne surtout l’ignorance. Les gens n’ont plus aucune base. A tel point que, moi, chanteur populaire, je suis souvent vu par les jeunes comme un chanteur intellectuel. Un comble !

F.-S. Vous qui avez été le représentant français au Concours de l’Eurovision en 1971, quel jugement portez-vous sur des émissions telles que la Nouvelle Star ?

S. L. Les télé-crochets existent depuis près d’un demi-siècle. Elles peuvent avoir encore de nos jours toute leur place. Pour autant, ce à quoi on assiste dans les émissions actuelles, c’est à une mise en valeur des membres du jury. Pas à celle des candidats.

F.-S. En filigrane, ce que vous dénoncez, ce sont les programmes télévisés, tels qu’ils sont conçus…

S. L. Je ne m’en cache pas. Et quand il s’agit de chansons françaises, je rue dans les brancards ! La plupart des dirigeants de chaînes, tous ces diplômés des grandes écoles, ne savent rien des goûts des gens. Ils sont convaincus que le public est en attente de voix murmurées, de filets de voix. Je ne le crois pas ! Quoi qu’il en soit, avec mon puissant organe, si j’avais débuté dans les années 2000, mes chances auraient été plus que limitées.

 
Par Propos recueillis par Stéphane Haïk

12.06.2009

12 juin: Festival radio classique

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Le Samedi 12 Juin 2010 Serge lama est l'invité d'honneur du Festival radio classique . concert qui a lieu à l'Olympia.

Le programme de la soirée est le suivant:

 

> Samedi 12 juin 2010, 21h
CONCERT "STARS"

Présenté par Serge Lama et Olivier Bellamy

Au programme : Mozart, Paganini, Grieg, Schumann, Legrand...

Avec :
Nicholas Angelich, pianiste
Natalie Dessay, soprano
Michel Legrand, compositeur et pianiste
Catherine Michel, harpiste
Alexandra Soumm, violoniste
L’Orchestre de Paris, sous la direction d'Adrian Prabava