Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28.12.2009

28 décembre 1970 – Paris Jour

paris jour.jpg

1970-12-28 - Paris Jour.jpg

 

27.12.2009

27 Dec 1973 Ciné revue

Serge Lama bientôt en vedette à l'Olympia

 

numérisation0014 - Copie [640x480].jpg

page1.jpg

page1.jpg

page2.jpg

page2.jpg

page3.jpg

page3.jpg

 

27 Décembre 1974: Ici Paris

serge lama,marcel gobineau

 

Le 27 décembre 1974, le journal  ICI PARIS titrait en première page L’HOMME QUI A SAUVE SERGE LAMA. Voici le texte de l’article signé Pascal SEVRAN :

 

serge lama,marcel gobineau

 

« C’est mon ami et c’est mon maître. Et j’ai tout de suite su que c’était lui. Lui qui allait m’apprendre à être. C’est mon maître et c’est mon ami. Et quand j’ai mal dedans mon être. Je passe une heure ou deux chez lui ».

medium_70_avec_gobineau.JPGL’ami, le maître, qui se cache cette chanson que vous entendez tous les jours sur les ondes. Serge Lama ne l’a pas inventé. Il existe ben et bien. Il s’appelle Marcel Gobineau et sans lui, nul doute, que vous n’entendriez pas Serge chanter aujourd’hui

 

Cette amitié est une longue histoire, comme un coup de foudre amical qui dure encore. Serge avait douze ans, lorsqu’il rencontra Marcel pour la première fois. C’était au théâtre des Capucines, où il venait tous les jeudis entendre son père chanter. Un soir que Marcel, alors directeur de scène, les raccompagnait chez eux, Serge lui dit en passant devant l’Olympia :

« Tu vois, un jour j’aurai mon nom en grand, qui brillera dans la nuit, et toi tu seras au premier rang et je te lancerai mes chansons.

« A partir de ce jour, m’avoue Marcel Gobineau, Serge a pris l’habitude de se confier à moi. Souvent, il venait me voir à la maison pour me raconter ses peines et ses joies d’adolescent. Moi, j’essayais de lui apprendre la vie. C’est comme ça que Serge devint un peu comme mon fils adoptif. Je n’ai jamais eu d’enfant, aussi, j’étais prêt à tout lui donner. Et puis il y eu ce terrible 12 août 1965. A l’entrée d’Aix-en-provence, une 404 lancée à toute allure s’écrasait contre un platane. Deux personnes trouvaient la mort : le frère d’Enrico Macias, Jean-Claude, et une jeune pianiste Liliane Benelli. Un troisième passager vivait encore, mais il n’était plus qu’un pauvre pantin disloqué lorsque l’ambulance le transporta à l’hôpital. C’était Serge Lama.

« Si jamais ce garçon s’en sort, déclara le chirurgien chargé de l’opérer, je crains bien qu’il ne remarche pas ».

 

Lorsqu’au petit matin, Serge émergea du coma, le premier visage d’ami que son regard rencontra fut celui de Marcel. Au courant de l’effroyable accident, celui-ci avait sauté dans un train et s’était précipité à l’hôpital d’Aix. Maintenant il serrait très fort dans les siennes les mains de Serge et lui proposait dès qu’il le pourrait, de venir passer sa convalescence à Paris, dans son appartement du boulevard de La Tour-Maubourg.

« En fait, me dit Marcel, pour lui comme pour moi, il ne pouvait en être autrement. C’était entendu sans même avoir été dit ».

La convalescence de Serge fut un long martyre que seule la présence de Marcel sut adoucir. Serge, en effet, dutmedium_72.2.jpg rester couché à plat sur de planches, le corps complètement immobilisé dans un corset de plâtre. Il ne pouvait même pas faire un geste.

« J’avais l’impression d’être un véritable sarcophage, un mort vivant, me dit Serge, et lorsque le désespoir me prenait une espèce de vague de tristesse m’envahissait et je pleurais alors doucement pendant de longues minutes ».

Mais Marcel était là, à ses côtés, qui veillait. Pour s’occuper pleinement de lui, il décida d’ailleurs, à la grande stupéfaction de ses amis, d’interrompre ses activités d’écrivain. Marcel Gobineau, en effet, est l’auteur de très populaires romans d’amour et d’aventures, dont Stéphanie, et une histoire traduite en quinze langues. Mais pendant deux ans, il ne toucha pas le moindre stylo…sinon pour recopier les paroles des chansons que Serge lui dictait, à moitié paralysé, sur son lit de souffrances.

« Sans Marcel, poursuit Serge, je me serais laissé mourir. Au début, il me faisait manger, me donnait à boire, m’aidait à me laver, me faisait rire aussi, et j’en avais bien besoin. C’est lui qui m’a vraiment redonné la force de croire en moi, de me battre pour que mon nom figure en haut de l’affiche »

 

« Jamais, je ne pourrai oublier »

Alors qu’au début Serge se voyait enfermé pour la vie, oublié à jamais, voilà qu’il reprenait le dessus grâce à Marcel.

« j’ai compris que la partie était gagnée, me dit ce dernier, le jour où j’ai de nouveau entendu éclater son rire, un rire énorme, contagieux qui vous donne toujours envie de rire avec lui. »

 

medium_avec_marcel_gobineau.JPGMarcel Gobineau n’attendait aucune récompense à son geste d’amitié, mais Serge, cependant, n’a jamais oublié.

Et le 15 janvier, lorsqu’il chantera sa chanson fétiche au Palais des Congrès, dans un grand récital, un homme de soixante-trois ans, au premier rang, aura les larmes aux yeux. Car Serge ne pensera qu’à lui, son maître, son ami…

Pascal SEVRAN

 

 

25.12.2009

25 au 31 décembre 1976 : Fêtes de fin d'année en Belgique

Interviews avec Serge Lama avant ses concerts en Belgique du 24 au 31 décembre 1975

1976-12-25 - Le Soir.jpg

Le Soir du 25 décembre 1976

 

1976-12-27 - Libre Belgique.jpg

Libre Belgique du 27 décembre 1976

 

22.12.2009

22 Décembre 1979: Jour de France

Article dans Jour de France du 22 Décembre 1979 qui annonçait la première émission STAR de Michel Drucker diffusée le 5 Janvier 1980

JoursDeFrance_221279-1.jpg

LIRE

JoursDeFrance_221279-2.jpg

LIRE

21.12.2009

21 Décembre 1978: Ciné revue

numérisation0032.jpg

LIRE

 

numérisation0033.jpg

15.12.2009

1978: Hit

numérisation0052.jpg

LIRE

03.12.2009

3 Décembre 1975:coupure de presse

Au lendemain d'un concert à Auxerre

122120482_3454075274678371_6751208316658749995_o.jpg

LIRE

01.12.2009

1973:Journal de l'année

Chaque année Larousse publiait une chronique de l'année passée.(1 juillet 72 au 30 juin 1973)  Dans la rubrique spectacle de l'année 1973 on trouvait ces quelques phrases sur le jeune Serge Lama.

 

504326130.jpg

Capture.PNG

Décembre 1975:Le père Guillaume

En Octobre 1975, Serge Lama chantait à Moscou, et Kiev . Dans  le magazine Le père Guillaume N°1 de Décembre 1975 un grand dossier était consacré au voyage de Serge à Moscou. Le journaliste Denny Van Vierzen avait même demandé à Serge Lama de raconter lui même son séjour.

Scan0001.jpg

Scan0004.jpg

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou

LIRE

concerts moscou