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05.06.2009

5 Juin 2006:La nouvelle république

Serge Lama était en concert le 2 juin à Angelarde au Grand Châtellerault

 

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Serge Lama fait chavirer l'Angelarde

 

Sur une scène dépouillée, c'est un Serge Lama tout en noir qui s'offre aux spectateurs de l'Angelarde un récital intimiste, vendredi soir, accompagné de l'accordéoniste Sergio Tomassi.

Forcément, même s'ils étaient un millier dans la salle, le public savoure cette proximité, ce lien qui rapproche le chanteur de chacun. Surtout que Serge Lama taquine les spectateurs, leur parle beaucoup, raconte des histoires, joue avec les mots.

L'échange fonctionne aussi avec l'accordéoniste. Grâce aux boutons de son instrument et aux miracles de l'informatique, il invite à la fête d'autres sons, d'autres rythmes. Le piano du pauvre devient un orchestre à lui tout seul.

Ce spectacle est composé de morceaux de ses débuts et d'autres plus récents. « Vous les aimez peut-être moins, mais il faut bien qu'il y ait des chansons récentes si on veut des chansons anciennes », note Serge Lama.

Il passe ainsi du registre de l'émotion, aux rythmes plus enlevés, du solennel au plus léger. Et bien sûr, il y a les tubes que le public entonne avec un plaisir non dissimulé : « Les P'tites femmes de Pigalle », « D'Aventures en aventures », « Je suis malade ». A la fin du spectacle, Serge Lama invite même les spectatrices (nombreuses) à se rapprocher de lui, à venir tout près de la scène. Alors, il leur chante « Femme, femme, femme ».

Cela fait trois ans qu'« Accordéonissi-mots », ce spectacle très rôdé, emporte l'adhésion des petites salles où Serge Lama se produit volontiers.

 

02.06.2009

2 Juin 2006:La nouvelle république

Concert le 31 mai à Bocapôle à Bressuire

 

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Serge Lama fortissimo juste porté par un accordéon

 

Avec juste un accordéon pour l'accompagner, Serge Lama a offert un récital somptueux, mercredi soir à Bocapôle. Un concert partagé comme une anthologie...

Ce spectacle est une rencontre. Celle de l'instrument le plus singulier, le plus complexe et le plus populaire, avec une voix, des notes et des mots. C'est aussi la rencontre de deux âmes, l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventer des fleurs... Et tout cela pour engendrer encore et encore de l 'Amour ! Avec ses mots à lui, Serge Lama résume ainsi l'esprit de ce spectacle « Accordéonissi-mots », qu'il a partagé mercredi soir avec son public, à Bocapôle.

Un spectacle parfait pour cette salle très intimiste, avec son plan très incliné qui supporte le contact avec l'artiste. Et sur scène, juste deux saltimbanques de la chanson, Serge Lama et son unique musicien, Sergio Tomassi. Pourtant, grâce à la magie de la technologie MIDI, c'est tout un orchestre qui transcendait le piano du pauvre, un accordéon qui recélait des trésors symphoniques ou des notes beaucoup plus rock. Une boîte à malices pour accompagner Serge Lama dans l'exploration d'un répertoire qui laissait la part belle aux succès du chanteur. Avec des airs qui défient le temps sans prendre une ride, comme « Les Ballons Rouges » de ses débuts, ou des tubes que le public peut allégrement reprendre en chœur, « Les petites femmes de Pigalle » ou « Je suis malade »...

Le dernier des géants

Mais le charme de cette voix familière, c'est bien de savoir aussi porter des textes plus intimistes, comme « Voici des fleurs, des fruits » qui sonne comme du Verlaine. Ou encore « L'esclave » plus Baudelairien. C'est d'ailleurs dans ces textes, merveilleusement ciselés, que se trouve le Serge Lama le plus authentique. Un poète de la chanson qui n'a rien à envier à Brel dans les audaces sémantiques, dans la fulgurance des images...

« Pour un spectacle authentique, j'ai décidé de chanter mes chansons avec ma propre voix ! », plaisante l'artiste, en début de spectacle, suscitant les rires de 1.200 spectateurs. C'était effectivement du pur-Lama, volontiers tonitruant, avec cette voix qui sait si bien rugir dans les graves. Un charmeur qui peut aussi hurler sa rage dans « Les Glycines » ou caresser le registre de l'émotion dans « L'Algérie ». Et si le chanteur n'a plus vingt ans depuis longtemps, c'était pour mieux se bonifier sous les soleils, demeurait ce personnage attachant de la scène française. Sans doute le dernier des géants, avec Aznavour et Ferrat, à porter si haut la chansonnette pour en faire un art majeur...

01.06.2009

Juin 2002:Livre André Aubert

Serge Lama écrivait la préface du livre d'André Aubert : Mes Confessions

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29.05.2009

29 Mai 2006:Concours le cadet d'argent à Casteljaloux

 Le Cadet d'argent est un concours-tremplin de la chanson française créé en 1996 et organisé par l'association Sarbacane.Le but de ce tremplin est de découvrir de futurs talents. L'association met en contact, sous forme de masterclass, les meilleurs d'entre eux avec des professionnels de très haut niveau. En 2006 Serge Lama était le président d'honneur . Un concert dont la première partie était   assurée par les 3 gagnants du concours et la seconde par Serge Lama a eu lieu à la Bartère à Casteljaloux le 29 mai 2006

 

 

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Article dans Sud Ouest du  1er Juin 2006


Un artiste généreux

 

Enthousiasme, exubérance et générosité : trois mots qui collent à merveille à Serge Lama, présent lundi soir, salle de La Bartère, pour chanter et en qualité de président d'honneur du Tremplin Cadet d'Argent 2006.

Un artiste qui n'a pas ménagé ses forces devant un public composé de spectateurs déjà très proches de lui que « la télévision n'invite que pour chanter "Je suis malade" ! » Oui, Serge Lama a, comme tous les hommes de cette Terre, évalué les années et quelques rides (juste ce qu'il faut selon des fans présents, « Femmes, femmes » encore et toujours là pour l'applaudir, lui « souffler » une phrase, lui offrir une rose rouge), mais il a assuré et investi la scène.

Nostalgique, romantique et parfois coquin, son spectacle ravit ceux qui l'ont suivi pendant deux heures, attentifs et souvent complices. Il était composé de titres très connus et de textes à redécouvrir.

Sergio Tomasi, son accordéoniste, a parfaitement joué son rôle et au-delà d'un accompagnement ! Cet excellent musicien a pimenté de sonorités diverses le répertoire de celui qui est fier de rappeler son enfance de fils de baryton. Il est son alter ego, a dit la vedette.

De ce duo nuancé et équilibré, le public se souviendra. Quant aux trois gagnants du Tremplin, qui ont fait la première demi-heure, nul doute qu'ils n'oublieront pas de sitôt le parterre de plus de 600 spectateurs.

Malgré l'insistance du public, l'oiseau s'est vite envolé vers les cieux bordelais, au grand regret de ceux qui auraient voulu continuer à l'entendre chanter de sa belle voix toujours intacte et puissance, même a cappella.

 

28.05.2009

28 Mai 2002: Marie Dubois recevait la légion d'honneur.

Le 28 Mai 2002, Serge Lama remettait à Marie Dubois les insignes de Chevalier de la légion d'honneur  ( en 2013 elle sera officier)

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Marie Dubois en 2002

 

LES GENS DU MONDE

Serge Lama a remis les insignes de chevalier de la Légion d'honneur à la comédienne Marie Dubois, mardi 28 mai à Paris, lors d'une soirée donnée à La Pagode au profit de la recherche contre la sclérose en plaques. 

Touchée par cette maladie à l'âge de 23 ans, après le tournage du film « Tirez sur le pianiste », de François Truffaut, qui l'avait révélée, l'actrice a gagné d'une rémission d'une vingtaine d’années, avant de lutter à nouveau et de devoir mettre sa carrière entre parenthèses. 

« Tu affrontes cette maladie avec un courage redoutable », lui a dit Serge Lama, en présence de nombreuses personnalités, dont le professeur Olivier Lyon-Caen, l'un des spécialistes mondiaux de la sclérose en plaques, qui a indiqué que « des traitements nouveaux représentent une véritable espérance qu'il faut conforter » pour un mal qui touche 60 000 personnes en France.

Le monde du 31 Mai 2002

25.05.2009

25 Mai 2009:La charente libre

Serge Lama sera à Nersac le 14 Novembre 2009 pour un concert au profit d'une association d'entraide contre la leucémie

 

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LIRE

24.05.2009

24 Mai 2005: Le journal de saone et Loire

Salle de l’Embarcadèrede Montceau Les Mines

 

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Que du bonheur avec son Accordéonissi-mots

 

« Ce spectacle est une rencontre. Celle de l'instrument le plus singulier, le plus complexe et le plus populaire, avec une voix, des notes et des mots. Il est composé de chansons mal aimées que j'aime, mêlé à des chansons que vous aimez et que j'aime aussi... C'est la rencontre de deux âmes, l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventer des fleurs... Et tout cela pour engendrer encore et encore de l'Amour. C'est un spectacle qui a la prétention de ne pas en avoir ».

Dès le lever de rideau, le ton est donné... A partir de cet instant, les centaines de fans qui s'étaient pressées aux portes de l'Embarcadère pour s'assurer des meilleures places ont su qu'elles allaient passer un moment exceptionnel. Et elles ont eu raison car l'amiral de la chanson populaire n'a pas repris son souffle pendant près de deux heures de voyage à travers quarante ans de et un peu plus de soixante bougies soufflées lors de son dernier anniversaire. 

Accompagné de Sergio Tomassi et son accordéon, Serge Lama vogue sur la crête de ses mots qu'il jette depuis toujours « vocationnellement » sur le papier. Grands classiques à donner le frisson (l'Algérie) ou fantaisies grivoises, notamment avec «Les p'tites femmes de Pigalle», tous ses titres sont accompagnés d'un dialogue avec le public qu'il fait chanter à plusieurs reprises en se moquant gentiment de lui. 

D'« aventures en aventures » à « Femmes, Femmes, Femmes » en passant par « Je t'aime à la folie » et « La chanteuse à 20 ans », on sent comme un frisson, on a la gorge nouée et inutile de résister, «c'est toujours comme ça la première fois». En écoutant cet artiste d'exception qui n'a rien perdu de sa voix puissante, même les moins gâtées par la nature arrivent à se sentir belles et qu'on ne nous dise pas le contraire, c'est tout de même très agréable.  ..

Tout au long de ce magnifique voyage, Serge Lama a personnalisé ses chansons et à plusieurs reprises, il a remercié le public de son accueil chaleureux. Comment résister quand sa voix magique s'élève dans la salle et qu'il entame un morceau « à capella » mettant ainsi la foule en délire ? Car bien sûr, ce soir-là, chaque personne a eu l'impression que Serge ne chantait que pour elle... en la regardant dans les yeux pour interpréter le titre tant attendu «Je suis malade» dans un tonnerre d'applaudissements ô combien de mérites.

23.05.2009

23 Mai 2005:Le bien public

Salle de l’Agora à Genlis le 20 mai 2005

 

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Serge Lama: « Rendez-vous chambre 618 »

 

Vendredi soir, la salle de l'Agora affichait complet pour la venue de Serge Lama. Retour sur un concert riche en émotions.

Vendredi soir à l'Agora, ce sont 800 personnes qui ont attendu sagement assises l'heure fatidique de 20 h 41, moment précis où le rideau s'est levé sur un accordéoniste talentueux qui a égrené une jolie mélodie, agrémentée par la voix de Serge Lama, encore en coulisses.

Alors, quand l'homme est apparu, une salve d'applaudissement l'a accueilli. Costume sombre avec une veste à un seul bouton et col relevé, Serge Lama s'est avancé sous la lueur des projecteurs, afin de commencer son récital, juste après qu'une petite fille portée par son papa, lui eut offert un joli ballon rouge. Serge Lama n’a pas changé. Son public, dont la moyenne d'âge frise la soixantaine, mais qui n'a pas pris une ride non plus, s'est régalé deux heures durant des chansons interprétées par l'artiste, toujours faiblement éclairé par un seul spot à la fois, presque discret.

Serge Lama a déambulé sur scène, s'asseyant parfois sur un banc de piano ou un siège de bar, de temps en temps dos au public, comme pour mieux s'imbiber des paroles déclamées. Voiture pour Serge Lama, « une chanson, ce sont quelques notes amoureuses de quelques mots ».

Et puis soudain, le chanteur se reconnaît dans la salle Dalida, Barbara ou Alice Dona, sûrement de vieux complices d'une époque révolue, dont Serge Lama a envoyé toute la nostalgie, et le communique à son public. Les paroles sonnent puissamment à travers une voix forte et chaude, « sucrée comme un bonbon », avec les jardins ouvriers ou les illusions qui produisent c.

Juliette, Françoise et Simone présentent le temps d'une chanson, après un voyage en Algérie, en passant par un harem byzantin et son chien déguisé. Lui qui a commencé sa carrière en 1964 où on lui demanda d'assurer trois quarts d'heure de spectacle alors qu'il ne savait que trois chansons, dure toujours, devant des salles conquises dont il se fait le complice.

Et son entracte à lui, dans son 'petit rond', il le passe avec son public, n'hésitant pas à égratigner au passage le prince Charles et Camilla. Mais qu'on se rassure, l'homme « n'est pas malade », il va bien même, tout au plus peut-on sentir une légère pointe de solitude et de mélancolie émerger du personnage, qui n'hésite pas à indiquer à qui veut l'entendre qu'il loge ce soir à la chambre 618 dans un grand hôtel dijonnais, et qu'il se sentira bien seul après son spectacle.

Entre les esquimaux et les mots exquis, toujours des phrasés qui sonnent sans trébucher, entre les froufrous de fanfreluches et des succès qui ne se démentent pas, Serge Lama adore son public. Et celui-ci le lui a bien rendu vendredi soir dans une salle chauffée à blanc où la température frisait les 30°.

 

21.05.2009

21 Mai 2006:Le Progrès

Concert le 19 mai à la halle du rozier de Feurs

 

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Serge Lama : sublimes-mots !

 

Standing ovation pour la superbe prestation de Serge Lama à Feurs, vendredi soir, accompagné, dans son tour de chant « Accordéonissi-mots », par Sergio Tomassi, son unique partenaire sur scène.

L'interprète inoubliable de Je suis malade a séduit le public forézien vendredi soir à la halle du Rozier. Deux heures de pur enchantement pour son concert, « Accordéonissi-mots », qu'il donne dans toute la France depuis deux ans et demi. A ses côtés, un virtuose de l'accordéon, Sergio Tomassi déclinant sa musique sur tous les instruments, du piano à la clarinette en passant par le hautbois. Une prestation remarquable, chaleureusement rappelée par cinq cents spectateurs.

Deux hommes sur scène, un spectacle intimiste, mais quel spectacle ! L'un jongle avec les mots, l'autre avec les notes, le tout dans une symphonie bien orchestrée qui ne laisse pas de place au hasard.

Entre émotion et rire, Serge Lama a séduit le public forézien, l'interpellant de sa verve facile et de son humour décapant, jonglant avec les mots et les jeux de mots avec une facilité déconcertante.

C'est là tout le charme de cet artiste accompli, à la fois chanteur et comédien. Quelle intensité dans ses chansons, qu'il ne se contente pas d'interpréter sobrement, mais de vivre passionnément. L'émotion, il l'a fait partager dès son entrée sur scène avec sa chanson phare Les Ballons rouges puis quand il évoque l'Algérie ou le décès de sa mère, disparue prématurément.

Mais le public n'a pas le temps de s'attendre que déjà Superman arrive, veste blanche pour l'occasion, suivi d'un medley des Femmes sont belles aux Petites Femmes de Pigalle. Et les chansons s'enchaînent dans une frénésie virevoltante. Un petit intermède théâtral entre deux, et le voilà, de nouveau, élevant sa voix puissante, a cappella à certains moments, pour des chansons connues ou moins connues.

Deux heures plus tard, le public en redemande, mais l'heure du départ a déjà sonné. En guise d'au revoir, il invite les femmes à s'approcher de la scène pour leur chanter Femmes, femmes, femmes et puis La Star s'en va sous une salve d'applaudissement. Une telle prestation n'en méritait pas moins.

Frédérique Défrade

21 Mai 2006:Le Progrès

Concert le 18 mai à l’espace 1500 à Amberieu en Bugey

 

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Serge Lama comble le public

 

Tout à la fois show man généreux, exubérant et enthousiaste, la voix oscillante entre le tendre et le lyrique, le « Superman » de la chanson française était jeudi soir à l'Espace 1 500

Élevé dans les coulisses du music-hall, Serge Lama est le chanteur baryton des plus populaires de l'Hexagone avec ses textes franchouillards flirtant maintes fois avec la chanson paillarde au second degré.

« D'aventure en aventure », Serge Lama s’est ingénié à passer en revue son répertoire où les femmes occupent une place importante, voire prépondérante. « Femmes, femmes, femmes », « Les p'tites femmes de Pigalle », « La french nana », « Marie la polonaise », « Les belles de mai » : elles étaient toutes là à applaudir cet « Heureux tarzan », pilier incontournable de la variété frenchy. Une image de tombeur séducteur qui lui sied toujours à merveille. Après quarante-trois ans de carrière, des titres et des albums à n'en plus compter, l'homme était sur la scène ambarroise, seul, juste avec sa voix et son accordéoniste virtuose Sergio Tomassi. Il a une nouvelle fois ravi son public par sa sincérité, son charme et sa présence légendaires.

Une carrière somptueuse

Né un certain 11 février 1943 sous le patronyme Chauvier, une vocation était en train de naître en 1950 en son âme intérieure. Au milieu des années cinquante, Serge commence à écrire des poèmes et des chansons. En 1956, il entre au lycée Michelet de Vanves et se réfugie dans la lecture. Gide, Camus, Sartre seront ses compagnons. A 16 ans il joue du Anouilh et du Giraudoux. La scène le tente de plus en plus, il envisage de faire une carrière d'artiste de manière simplifiée. En 1962, il est appelé sous les drapeaux, l'année suivante il entre au petit conservatoire de Mireille. Le jour de sa majorité il fait sa première scène nationale aux cotés de Barbara. Durant ces longues années de carrière il aura côtoyé les plus grands noms de la chanson française : Georges Brassens, Régine, Marcel Amont, Nana Mouskouri, Juliette Gréco, Isabelle Aubret ou encore Maxime Le Forestier. Les grandes scènes parisiennes, l'Olympia, Bobino, le Palais des Congrès, n'ont plus de secret pour lui. Jeudi l'Espace 1 500 était au diapason de ces salles prestigieuses avec un public conquis par la voix et par l'homme.

Jean-Jacques Kotkowiak