11.03.2009
11 mars 2002 : Nous Deux
06:45 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
09.03.2009
9 mars 2007 : Serge Lama à Lyon
Serge Lama était en concert à Lyon le 9 mars 2007 salle 3000.
06:55 Publié dans 2007, La presse des années 2000, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
08.03.2009
8 Mars 2002: La Dépèche
Serge Lama: « Les artistes ont besoin d'amour »
TOULOUSE : Il est ce soir à la Grande halle de L'Union
Serge Lama sera ce soir, à 20 h 30, sur la scène de la salle Gérard- Philipe. L'occasion de découvrir son nouvel album « Feuille à feuille » et de redécouvrir les titres qui ont fait sa gloire, comme « Les p'tites femmes de Pigalle » ou « Je suis malade ».
Nous l'avons interviewé hier après-midi, sur la route de Palavas...
Certains évoquent un retour, une relance, en évoquant votre carrière?
On parle de retour à cause de mon nouvel album. Mais je n'ai pas arrêté de me produire sur scène depuis 1995. J'ai fait de 100 à 120 dates par an. C'est vrai que j'ai choisi une formule minimaliste pour l'enregistrement de mon nouvel album. J'ai dépoussiéré une quarantaine de titres. Je crois que ça plaît au public.
On dit aussi que le Lama nouveau est plus nostalgique? Pas plus que d'habitude. Je crois qu'on s'accroche toujours à un titre. Prenez « Je suis malade ». Si je sortais ce titre aujourd'hui, je ne ferais pas une seule télé!
Je propose la même proportion de chansons marrantes que tristes.
Après une si longue carrière, l'envie est-elle toujours aussi présente?
Rien n'a bougé. Je suis un dingue de la chanson et de la scène. J'adore ce que je fais.
Pendant longtemps, on ne vous a pas vu à la télévision alors que vos apparitions se multiplient depuis quelques semaines...
J'ai refusé toutes les télés pendant deux ans. Ce qui ne m'a pas empêché de remplir toutes les salles. La télévision doit être un outil mais elle ne me passionne pas trop.
Quel est votre dernier coup de coeur?
J'adore des gens comme Thomas Fersen ou Linda Lemay. J'aimerais d'ailleurs qu'ils passent plus souvent à la radio. J'ai trouvé géniaux le disque et le concert de ma copine Marie-Paule Belle, qui a repris des chansons de Barbara.
Votre dernier coup de gueule?
Je déteste quand les gens font mal leur métier. Ça me met dans des colères folles. Je pense à quelqu'un en particulier mais je ne peux pas le nommer... Les artistes sont au service du public. Mon plaisir, c'est que les gens en prennent justement. Les gens sont fiers qu'on aille les voir, dans des villes comme Brive, Palavas ou Castres. Et ils savent que les artistes ont besoin d'amour.
Recueilli par L. B.
22:10 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
8 Mars 2003:La voix de l'est
16:14 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
07.03.2009
7 Mars 2002:Sud Ouest
Article dans Sud Ouest après un concert donné à Arcachon
Palais des Congrès à Arcachon
Le poète donne de la voix
Deux ovations debout, cinq rappels et une longue file pour les dédicaces : Serge Lama « fait un bonheur » dans ce Palais des congrès d'Arcachon, ultra complet. Un chemin parsemé de cailloux marqués de courage, de volonté et de grand talent a ramené ici "l'enfant d'une famille pauvre, qui ne venait pas à Arcachon, trop cher".
Dans le programme du concert fort bien intégré dix chansons nouvelles issues de son dernier CD, " Feuille à feuille ", Serge Lama a montré qu'il reste lui-même - voix puissante, mais nuancée ou caressante, jeux subtils ou gaillards avec les mots, amours-madame et refrains ancrés au cœur d'un public qui les chante avec lui - mais il a aussi dévoilé un Lama nouveau. Celui que Barbara ou Brassens lancèrent sur l'orbite du succès et celui qui chanta Brel comme personne.
Alors, s'il exprime toujours avec émotion, sincérité ou drôlerie l'amitié, les soleils d'Algérie ou les p'tites femmes de Pigalle, ses nouvelles chansons disent une poésie plus intime, plus personnelle, plus douloureuse aussi. Bien qu'il batifole avec humour dans la grâce des scènes galantes de Fragonard, il les égare dans un jardin stérile aux illusions et, emporté au vent mauvais des amours cassés, il les pleure en révélant l'écho éternel des mots de Verlaine.
Plus nouveau encore, il fustige " ces gens qui pensent avec leur bide " et il " aspire à l'épaisseur des pierres ". Mais la vie, inlassablement, invite à aimer. Lama s'amusera donc de ces " femmes " avec des variations de tous styles, puis il finira en les étoilant d'étincelles. Paradoxe ultime, le trèfle à quatre feuilles formé par ses musiciens ouvre des échos nouveaux aux rythmes d'un Serge Lama souvent nostalgique.
21:51 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
06.03.2009
6 mars 2007 : Nous deux
06:55 Publié dans 2007, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
04.03.2009
4 mars 2003:Tournée Quebec
Annonce d'une tournée au Quebec 13 concerts dans 11 villes de fin mars à mi avril .
Avec un passage les 22 et 23 Mars dans la ville de Quebec et les 4 et 5 Avril à Montréal.
Cyberpresse 4 Mars 2003
Les projets de Serge Lama
Québec - À 60 ans et avec 40 ans de métier, Serge Lama ne manque pas de projets. À son agenda : tournées, disque en public, album de duos avec des chanteuses...
Un seul mot revient régulièrement dans la bouche du chanteur lorsqu'il parle de la passion qui l'anime toujours et de sa longévité professionnelle : respect. « Je crois que je ne serais plus là depuis longtemps si je n'avais pas respecté le public. Vous savez, une relation entre un public et un artiste, c'est comme une relation de couple ; il faut que chacun y apporte sa contribution pour que ça marche», affirme-t-il.
Serge Lama s'apprête à venir rencontrer son public québécois, dans le cadre d'une tournée qui le mènera dans une douzaine de villes. Il sera notamment à Québec, les 22 et 23 mars, et Montréal, les 4 et 5 avril.
Accompagné de quatre musiciens et enveloppé d'un imposant attirail technique, Serge Lama entend interpréter une partie des chansons que contient son plus récent album, Feuille à feuille, de même que certains de ses classiques comme Je suis malade, Je t'aime à la folie, Une île ...
«Je crois que passé 45 ans, vous avez des chansons qui ont traversé le temps et que vous ne pouvez pas éviter. Dans ses spectacles, Charles Aznavour ne peut pas oublier Que c'est triste Venise , La Mama ... Même si vous chantez souvent les mêmes succès, vous les habillez autrement à cause des nouvelles chansons. Les nouvelles chansons influencent les anciennes et vice versa.»
Juste avant sa tournée québécoise, Serge Lama visionnera la fête qu'on lui a faite récemment, devant 12 000 fans, à Paris, histoire de souligner ses 60 ans et ses 40 ans de carrière. Si le résultat le satisfait, cette soirée pourrait se retrouver sur CD ou DVD.
Par la suite, il entrera en studio avec des chanteuses afin d'enregistrer quelques-uns de ses succès en duo. Il prévoit de chanter avec Isabelle Boulay, Lara Fabian, Lorie. Avec l'accord d'Orlando, frère de Dalida, Lama interprétera de façon virtuelle son succès Je suis malade avec la regrettée chanteuse.
«C'est d'abord Dalida qui a fait connaître cette chanson. J'écris souvent pour les femmes, c'est vrai. Les hommes croient que si je leur propose des chansons, c'est parce que je ne veux pas les chanter, que je ne les aime pas. Pourtant ce n'est pas le cas.»
Ce disque de duos devrait être en marché cet automne.
Finalement, en 2004, Serge Lama a l'intention de reprendre la route avec un seul musicien, un accordéoniste. « Je veux retourner dans les villes où je ne suis pas allé depuis longtemps, dans des salles de 300 ou 400 places. Je veux faire une tournée semblable au Québec.»
15:36 Publié dans 2003, La presse des années 2000, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
03.03.2009
3 mars 2009 : La Voix du Nord
Article publié dans la voix du Nord le 3 Mars 2009 suite au concert d'Arras le 1 er Mars
Serge Lama, entre mots gais d'hier et maux dits d'aujourd'hui.
On l'a connu pétillant avec un rire détonnant ; acteur-chanteur un tantinet coquin par ses coups de plume. Il l'est toujours. Mais s'il joue avec les mots comme naguère, aujourd'hui il met aussi ses maux en notes. Ciselés comme des émaux dont les couleurs vives auraient viré au pastel.
Les cicatrices apparaissent sans fard. Comme si des années durant elles s'étaient cachées dans les jupons de ces Femmes, femmes, femmes qui ont tatoué sa chair à fleur de peau. Ce fut d'ailleurs le premier titre lancé par Serge Lama, dimanche, au Casino. Un clin d'oeil d'hier pour tourner la page et passer désormais à L'Âge d'horizons, du nom de son dernier album. L'artiste s'y dévoile. Autrement...
La complicité. Serge Lama la cultive toujours. Avec ce public qui a attendu plus de deux heures devant un Casino souffrant de plus en plus du temps qui passe. Avec ses deux musiciens, accordéoniste et guitariste qui habillent les mélodies d'arrangements subtils et s'appuient parfois sur la vaillance d'une boîte à rythme pour donner la cadence. Le nouveau cru Lama est épuré. Pas d'artifices, mais de l'émotion sur chaque couplet, de la gaieté pour les refrains, de la passion dans les silences. Et le show man enquille les titres avec la gestuelle des grands du music hall. Ses fans, fans, fans attendent les chansons cultes ? Il les offre en ami et en maître. Invite ses ouailles à redécouvrir L'Algérie ; à faire un détour chez ce Corse de Napoléoné qui l'avait fait partir en campagne musicale ; à se souvenir de Marie la Polonaise avant... de se jeter dans les bras des P'tites Femmes de Pigalle.
Entre deux, Serge Lama distille ses nouvelles compositions, ses nouveaux textes. De ceux qu'on écoute et qu'on entend. Qui gaillardement étripent ou prennent aux tripes. Qui rendent guillerets ou pensifs. D'où qu'on parte, c'est vrai qu'on ne tient pas les cartes. Les Hommes et les femmes ? une balade entre amitié et amour. Et puisqu'il a conté la gaudriole, un petit coucou aux Objets hétéroclites pour jeux de dames solitaires. Et le Casino devient son Chez moi, avec un choeur à mille voix qui fait flancher l'artiste. L'invite à revenir sur les planches, la main sur le coeur, comme sur Une Île. Il terminera sur un dernier verset a capella. De Je suis malade bien entendu et bien attendu. Pour guérir, la scène reste sa meilleure potion...
MARCO VERRIEST
07:00 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (4)
3 mars 2006 : LA DERNIERE HEURE
Article d'Estelle Aubert publié dans le journal LA DERNIERE HEURE le 3 mars 2006 |
Le chaud show de Serge Lama Le monstre sacré de la chanson française fait fondre son public
C'est plus qu'un spectacle que propose Serge Lama, qui a fait un petit crochet en Belgique, mercredi et jeudi soir à Liège et à Ciney. C'est une soirée fraternelle, un grand moment de détente, en chansons bien sûr. Et pourtant, sur scène, ils sont deux: le monstre sacré de la chanson française et un accordéoniste, Sergio Tomazzi. «Certains qualifient cela de minimaliste, intimiste, confidentiel. Nous, on ne qualifie pas. Notre travail a été conçu avec amour!» L'amour. Le thème de prédilection du séducteur qui rend les femmes belles, belles, belles et chante: «Efficace et pas cher, c'est Lama que j'préfère!». Entre deux vannes, il chante les chansons qui ont fait son succès de 1964 à aujourd'hui: Ne t'en fais pas, L'Algérie, Dans les usines, Mon ami mon maître, Les jardins ouvriers et, évidemment, D'aventures en aventures. Il ne se contente pas de chanter, il fait aussi chanter le public et propose un jeu sur la chanson Je t'aime à la folie: le public commence par chanter tout doucement et de plus en plus fort à mesure que le chanteur recule vers le fond de la scène. Il fait le clown, courbé en deux pour mieux entendre les premiers fredonnements. «Les photos sont normalement interdites, mais là je vous conseille d'en faire une: ce sera bientôt une photo collector!» Voilà deux ans que Serge Lama a fêté ses 60 ans et ses 40 ans de carrière. Deux ans qu'il est en tournée dans toute la France. Entre rires, causettes et chansons, le spectacle s'achève. Mais personne n'est dupe car deux chansons cultes manquent encore: Femme, femme, femme et Je suis malade. Pour cette dernière, il termine en beauté, sûr d'obtenir un triomphe. Serge Lama entame le premier couplet tranquillement, seulement accompagné par l'accordéon, et termine a cappella avec la puissance dramatique qui s'impose. Triomphe. |
06:50 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : serge lama
02.03.2009
Mars 2009 Chorus
Un très gros dossier sur Serge Lama était publié dans la revue Chorus du printemps 2009
17:47 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)