13.03.2009
13 Mars 2006:Ouest France
Après le concert du 11 mars au Zenith de Caen
Serge Lama sur des airs d'accordéon
Samedi soir, Serge Lama présentait son dernier spectacle « Accordéonissi-mots » au Zénith. Ce n'est pas la première fois que l'artiste vient à Caen, pourtant c'est toujours comme la première fois, salle pleine, public de tous âges et si enthousiaste...
Depuis 1964, cela fait 42 ans que Serge Lama parcourt les salles avec ses succès. Avec toujours une nouveauté, cette fois l'accordéon. « On ne s'en lasse pas. » « On aime à le réentendre, à le revoir » ... des phrases qui circulent dans les files d'attente.
Obscurité complète, puis Sergio l'accordéoniste lance quelques notes et l'artiste apparaît dans toute sa simplicité et présente son spectacle « intimiste, confidentiel, préparé avec beaucoup de travail, et surtout avec beaucoup de cœur. A l'accordéon des sons venus d'ailleurs, un genre de poussières d'étoiles, tout est fait maison, tout est authentique. J'ai décidé, ce soir à Caen, de chanter l'intégralité de mon tour de chant avec ma propre voix. »
Puis musique et mots s'entremêlent, se transforment, chansons tristes, chansons gaies, chansons d'amour...
« Les ballons rouges », « Mon ami mon maître », « D'aventure en aventure », « L'enfant au piano »... pendant presque deux heures pour le plus grand plaisir de l'auditoire, avec en intermède beaucoup d’humour qui a même surpris agréablement le public.
« Ce spectacle c'est aussi la rencontre de deux amis, l'un fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventer des fleurs et tout cela pour engendrer, encore et encore, de l'amour », ajoute le chanteur sous les chaleureux applaudissements tout en s'appliquant à faire participer le plus possible le public à ses refrains.
17:56 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
13 Mars 2004 Centre Presse
Au cours de la tournée accordéonissimo Serge Lama s'est produit dans la ville de Montmorillon .
La veille le journal de Centre Presse publiait cet article

15:13 Publié dans 2004, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
12.03.2009
12 Mars 2004:Ouest France
Petit compte rendu de concert dans Ouest France après le concert donné à Vallet , Espace culturel du Champilambart le 10 mars
950 personnes au concert de Serge Lama
L'espace culturel du Champilambart a fait le plein mercredi soir pour le concert de Serge Lama, artiste à la voix suave et puissante. Ils étaient 950 fans venus déguster son album « Feuille à feuille ».
Ce fut le rendez-vous de deux âmes : l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventeur des fleurs. Dans son spectacle Lama s'entoure d'une équipe réduite, guitare, accordéon, percussions. Il livre un opus tout en douceur et retenue. Des textes pathétiques, nostalgiques mais toujours parfumés d'une inspiration aujourd'hui légendaire. Lama a dépassé le cap des quatre décennies sur la scène. Un réel bonheur pour les spectateurs...
17:58 Publié dans 2004, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
12 Mars 2003:Le soleil
12:00 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
11.03.2009
11 Mars 2006: Paris normandie
Après le concert le 10 mars au Zenith de Rouen
Serge Lama, efficace et sans fioritures
GT
Accompagné d'un seul accordéoniste, le chanteur a revisité ses grands succès hier soir au Zénith. Visiblement heureux d'être sur scène.
Ses apparitions récurrentes sur le petit écran avaient permis de cerner l'homme. Depuis belle lurette. On le savait affable, vrai gentil, charmeur. Hier soir, devant un Zénith bondé, Serge Lama a dévoilé une autre facette de son talent : l'humour. Quasiment pas une chanson sans que le chanteur ne s'interrompe et ne prenne le temps d'une digression pour taquiner son auditoire. Parfois simplement pour se faire rire tout seul en imitant Trenet ou Luis Mariano.
Serge Lama aime la scène, il y prend du plaisir. Et ça se voit. Spectacle minimaliste, épuré, simple. A l'image du bonhomme. Trois lumières, un accordéoniste pour l'accompagner, il n'en faut pas plus au chanteur à la voix grave et puissante. Ses refrains archi-connus font mouche comme à la première écoute. Le public, mature, sage et connaisseur, n'en demande pas davantage. Pas la peine de remonter bien loin pour retrouver « le temps béni de la rengaine ». C'était hier soir au Zénith.
17:54 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Mars 2004:La voix du Nord
Après le concert à la cité des Pastels à Saint Quentin (Aisne) le 7 mars
Un répertoire de cœur
L'antre culturel de la Cité des pastels à fait salle comble. Comble de bonheur, de souvenirs, de gagner aussi. Le grand Serge Lama s’est montré fidèle à lui-même, et différent. Sa nature joviale a ravi le parterre de fans qui attendaient sa venue avec une telle impatience.
Mais ne nous y trompons pas. Certes, c'était la fête des mamies, mais son public comptait de jeunes générations, pour qui le fredonnement d'une note, d'un air bien connu fait remonter en l'âme de doux ou plus caustiques moments.
D'un souvenir d'enfance poignant au frou-frou des P'tites femmes de Pigalle, son Feuille à feuille effeuille le parcours de l'artiste : son enfance, ses débuts, ses grands succès, sa vie d'homme. Il pianote allégrement sur la gamme de l'émotion, fait rire tout autant que pleurer. De trivial parfois, il n'a que l'emploi des mots, car derrière se cache une jovialité à toute épreuve, ce fond commun d'émotions pures dans lequel chacun puise.
En le prenant presque par la main, en compagnie de Sergio, son fidèle accordéoniste « duettiste », sur une scène feutrée, à l'ambiance minimaliste, Lama a fait voyager son public au pays du souvenir, le bon, le positif, celui qui fait qu'il appartient toujours à notre répertoire de cœur.
16:08 Publié dans 2004, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 mars 2003 : Le journal de Montreal
Le retour du cousin
Serge Lama
Par Maxime Demers
«Il y a des gens qui aiment courir ou jouer au hockey ; moi, c’est être sur scène que j’aime, explique Serge Lama. C’est une passion qui n’a jamais été désarmée et qui est même revenue en force récemment. Ces temps-ci, je me sens comme si j’avais 20 ou 30 ans.»
Par le plus grand des hasards, Serge Lama a célébré son 60e anniversaire le 11 février passé, jour où il a lancé sa nouvelle tournée sur la scène du Palais Omnisports, à Bercy. Un nouveau départ? Tout à fait.
«La soixantaine, ça m’arrange», avouait le plus sérieusement du monde le chanteur, rencontré cette semaine dans son hôtel du centre-ville. «J’ai eu la sensation qu’à partir de cette date symbolique du 11 février 2003, je recommençais quelque chose de nouveau, mais dans la même profession. Je me sens neuf et libre. Vous savez, c’est rassurant de se dire qu’on a 40 ans de carrière derrière soi. Quarante ans de carrière, c’est un coussin assez confortable qui permet une liberté qu’on n’a pas après 20 ans de carrière, par exemple.»
Cette nouvelle tournée québécoise se fera donc dans le même esprit de confidence que son plus récent album, Feuille à feuille, un disque «épuré et minimaliste» acclamé par l’intelligentsia culturelle française comme le «grand retour de Lama». Cet élan d’épuration provient entre autres du fait que, pour la première fois de sa carrière, Lama s’est départi de son pianiste.
«Le piano est un instrument qui prend énormément de place, explique-t-il. Quand, à la base, on chante avec un piano et une batterie, c’est comme si on était accompagné d’un tank. Alors que dans ce nouveau format – percussions, guitares, accordéon –, tout est plus léger, en dentelle. Et autant sur disque que sur scène, c’est ce qui fait toute la différence pour les gens qui me voient chanter depuis 40 ans. Ce format épuré a donné une nouvelle vie et de nouvelles couleurs à mes classiques.»
Classiques
Et classiques il y aura si on se fie à la générosité légendaire du bonhomme. Sa devise à ce sujet est très simple: le public est roi.
«On est obligé de se plier aux exigences du public, convient-il. Et il ne faut pas trop lui voler ses morceaux. Parce qu’arrivé à mon âge, nous sommes des morceaux du passé de la vie des gens. Il faut tenir compte de ce facteur en faisant la sélection des chansons. Je ne peux pas me permettre de ne pas chanter Je suis malade, Une île et L’Algérie, par exemple.
«En fait, nous, les chanteurs populaires, nous sommes de vieux cousins qui reviennent tous les deux ou trois ans pour raconter leurs histoires. Et ce que les gens veulent, c’est retrouver ce même cousin qui était venu leur raconter ses histoires quelques années plus tôt…»
06:50 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : serge lama
11 mars 2002 : Nous Deux
06:45 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
09.03.2009
9 mars 2007 : Serge Lama à Lyon
Serge Lama était en concert à Lyon le 9 mars 2007 salle 3000.
06:55 Publié dans 2007, La presse des années 2000, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
08.03.2009
8 Mars 2002: La Dépèche
Serge Lama: « Les artistes ont besoin d'amour »
TOULOUSE : Il est ce soir à la Grande halle de L'Union
Serge Lama sera ce soir, à 20 h 30, sur la scène de la salle Gérard- Philipe. L'occasion de découvrir son nouvel album « Feuille à feuille » et de redécouvrir les titres qui ont fait sa gloire, comme « Les p'tites femmes de Pigalle » ou « Je suis malade ».
Nous l'avons interviewé hier après-midi, sur la route de Palavas...
Certains évoquent un retour, une relance, en évoquant votre carrière?
On parle de retour à cause de mon nouvel album. Mais je n'ai pas arrêté de me produire sur scène depuis 1995. J'ai fait de 100 à 120 dates par an. C'est vrai que j'ai choisi une formule minimaliste pour l'enregistrement de mon nouvel album. J'ai dépoussiéré une quarantaine de titres. Je crois que ça plaît au public.
On dit aussi que le Lama nouveau est plus nostalgique? Pas plus que d'habitude. Je crois qu'on s'accroche toujours à un titre. Prenez « Je suis malade ». Si je sortais ce titre aujourd'hui, je ne ferais pas une seule télé!
Je propose la même proportion de chansons marrantes que tristes.
Après une si longue carrière, l'envie est-elle toujours aussi présente?
Rien n'a bougé. Je suis un dingue de la chanson et de la scène. J'adore ce que je fais.
Pendant longtemps, on ne vous a pas vu à la télévision alors que vos apparitions se multiplient depuis quelques semaines...
J'ai refusé toutes les télés pendant deux ans. Ce qui ne m'a pas empêché de remplir toutes les salles. La télévision doit être un outil mais elle ne me passionne pas trop.
Quel est votre dernier coup de coeur?
J'adore des gens comme Thomas Fersen ou Linda Lemay. J'aimerais d'ailleurs qu'ils passent plus souvent à la radio. J'ai trouvé géniaux le disque et le concert de ma copine Marie-Paule Belle, qui a repris des chansons de Barbara.
Votre dernier coup de gueule?
Je déteste quand les gens font mal leur métier. Ça me met dans des colères folles. Je pense à quelqu'un en particulier mais je ne peux pas le nommer... Les artistes sont au service du public. Mon plaisir, c'est que les gens en prennent justement. Les gens sont fiers qu'on aille les voir, dans des villes comme Brive, Palavas ou Castres. Et ils savent que les artistes ont besoin d'amour.
Recueilli par L. B.
22:10 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)