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17.06.2011

17 Juin 2013: Ouillade

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Et de deux pour Serge Lama ! Après le prix Nikos Gatsos, l’Académie française lui attribue « La grande médaille de la chanson française ».

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70 ans et 50 ans de carrière. Après avoir reçu le prix Nikos Gatsos 2013, jeudi 13 juin, on vient d’apprendre que le génie poétique de Serge Lama était également récompensé, ce même jour, par l’Académie française qui lui a attribué  la grande médaille de la chanson française 2013. Curieux et heureux hasard de calendrier , deux distinctions attribuées à Paris à quelques heures d’intervalle !
C’est avec lui comme Piaf ou Brel : la chanson populaire dans tous ses états et avec toutes ses lettres de noblesse, mais sans particule ni artifice superficiel.
Cinquante ans de carrière et pourtant le sentiment de l’inachevé. Lorsque les soixante-dix ans sonnent au compteur, l’heure du bilan retentit parce que l’heure est déjà celle de l’horizon . Serge Lama (Chauvier de son vrai nom de bordelais) est un homme blessé au propre et au figuré : un accident de voiture dans les années 60 et puis une critique parisienne qui n’a que trop rarement reconnu son immense talent.
Serge Lama est un vrai chanteur populaire qui souffrait de ne pas être reconnu comme un auteur et un poète. Alors qu’il est les deux. À 11 ans, il  veut devenir poète. Le jeune Serge Chauvier (son nom de baptême) chante alors pour ses amis en culottes courtes sur les bancs d’école.
- «Je me souviens très bien du moment où j’ai créé La balade du poète. J’avais surpris un sans-abri qui avait volé une pomme à un marchand. Son regard avait croisé le mien et j’avais eu envie d’écrire cette chanson assez noire, puisqu’il se suicide à la fin», explique Serge Lama à propos de cette inédite qui figure sur son nouvel album.
Il y a des coïncidences qui ne trompent pas. Serge Lama, le poète et parolier a reçu deux distinctions bien méritées le 13 juin 2013.
A l’annonce du Prix Nikos Gatsos, , Serge Lama s’est dit très ému : « Merci à Nana Mouskouri et aux éminentes personnalités qui l’entourent, pour le prix Nikos Gatsos. Prix décerné chaque année, soit à un parolier, soit un poète. Ce sont des prix qui sont attribués soit par des coeœurs, soit par des intelligences et qui me touchent d’autant plus. L’auteur étant pour moi l’argile dure sur laquelle s’est érigée la maison sur pilotis du chanteur. Beaucoup de personnes ont vu mes ailes, peu de gens ont aperçu ma plume. Elle est pourtant celle qui dirige le voyage de l’oiseau migrateur que je suis. »
Serge Lama fait partie de ceux qui donnent à la chanson française ses lettres capitales. Comme ont tenu à le rappeler  l’Académie française et le jury du prix Nikos Gatsos par l’attribution de leurs récompenses.
Le Prix Nikos Gatsos sera remis à Serge Lama le samedi 28 septembre au Mas de l’Ile au Barcarès, ville partenaire du Prix, à l’occasion de la 2ème nuit de la Méditerranée, présidée par Nana Mouskouri, en partenariat avec le CML.
Le Prix Nikos Gatsos a été créé en 2012. Nikos Gatsos, qui fut le parolier et ami fidèle de Nana Mouskouri, est un des poètes populaires de la langue grecque. En hommage aux qualités multiples de cet artiste, le Prix Nikos Gatsos récompense en alternance un poète et un parolier.
Le jury compte parmi ses membres des personnalités telles que Nikos Aliagas, Stéphane Bern, Dimitri Stefanakis et Gérard Davoust, président des Editions Raoul Breton.

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17 Juin 2013: Le devoir

 Au lendemain du concert donné à Montréal dans le cadre des Francofolies

 

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Serge Lama, la grande variété en personne

 

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Admirable. Dès Serge Lama arrivé sur la scène de Wilfrid-Pelletier dimanche soir, tout était entre ses mains. Maîtrise absolue des effets, de sa gestuelle, des hausses de voix et des chuchotements, de son positionnement, du public même.


Admirable la manière qu’il avait de présenter ses musiciens et musiciennes d’emblée, dès l’entrée (guitares, percus, piano, accordéon, « quatuor de charme »), admirable la précision dans le rendu de chaque chanson : à toutes les deux minutes, notre homme posait un acte parfaitement calibré (avec une totale aisance), servant idéalement le propos, et je me disais et me redisais qu’on était bien chanceux de vivre ça encore. Ce qu’on appelle la variété, la grande, la très grande variété, qui doit à Chevalier autant qu’à Brel.


Il était épatant d’observer à quels moments il faisait dos à la salle (dans la grande tradition des Aznavour, Bécaud et cie), à quels moments, d’un seul geste, il imposait une participation, à quels moments il en mettait beaucoup ou presque pas : une sorte de naturel qui n’appartient qu’aux grands aguerris du music-hall.


Son public québécois le chérit, et c’est réciproque, le pacte d’amour a été passé il y a longtemps et souvent renouvelé depuis : le chanteur a toute latitude et le sait. Parce les gens savent que les succès seront au rendez-vous (de Femme, femme, femme à D’aventures en aventures en passant par Chez moi), intelligemment étalés dans un programme de 30 titres qui dure plus de deux heures. Lama peut plonger tête baissée dans les cinq décennies d’un répertoire bien plus riche que la vieille étiquette de séducteur vaguement égrillard que certains seraient tentés de lui accoler. Dimanche, aux FrancoFolies, il faisait non seulement la part belle aux chansons les plus intenses et attendues que sont Les ballons rouges, Les glycines, Mon ami mon maître, L’enfant d’un autre, mais il en sortait d’autres, aussi prenantes, de fort loin, Maman Chauvier, La fille dans l’église… Il pouvait laisser de côté quelques facilités, son Superman emprunté aux Kinks (Apeman), C’est toujours comme ça la première fois, La braconne, et personne n’a pensé qu’il oubliait des succès. Pas de cahier de charges dans ce qui se veut pourtant le spectacle d’une « tournée anniversaire » : le spectacle a pour titre « mes plus belles chansons », et tout est là. Entre les incontournables dûment affrontées et les contournées, l’équilibre n’était pas fortuit.


Lama, qui a eu 70 ans quelques mois avant Johnny Hallyday, pouvait bomber le torse : son spectacle est encore et toujours la grande leçon de savoir-faire de la chanson française.

Sylvain Cormier

 

17 juin 2013: Le journal de Montréal

Un Serge Lama solennel et théâtral

 

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Serge Lama avait de quoi célébrer, dimanche soir, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts.


D’abord parce que cela faisait 11 ans que l’interprète de Je suis malade ne s’était pas produit aux Francofolies de Montréal. Mais aussi parce que cette légende vivante souligne cette année son 70e anniversaire et ses 50 ans de carrière.
Dans la même salle la veille, on avait rendu hommage en chansons aux 50 ans de carrière de notre Robert Charlebois national. Comme quoi les jours se suivent et les monuments de la chanson francophone se succèdent, qu’ils soient Québécois ou Français.
Précédé de ses musiciens (une pianiste, un percussionniste et un accordéoniste), Serge Lama est monté sur les planches au son de La fronde. Il n’en fallait pas plus pour que les spectateurs répliquent par une ovation bien sentie. Ses retrouvailles avec le public québécois étaient scellées, et le ton de ce concert anniversaire était donné.
Fougueux, Lama a enchaîné avec la très belle Les ballons rouges, un classique datant de 1967. Un quatuor tout féminin de violons et violoncelle l'a rejoint sur scène pour Mémorandum pour un dépucelage, une pièce à la fois théâtrale et humoristique qui rend justice à son talent d'interprète.


Ribambelle de succès


Celui qu’on dit être dans la lignée des Brel et Aznavour a offert une ribambelle de ses plus grands succès, dont Les Glycines, Mon ami, mon maître et Femme, femme, femme, puisés dans un vaste répertoire s’étendant sur des décennies de carrière. Des pièces plus récentes sont venues entrecouper les classiques de Lama, comme Des éclairs et des revolver, une chanson que le principal intéressé a écrite «d’un seul trait» l’automne dernier.
Touchante et sentie, l'interprétation de L'enfant d'un autre a marqué un des moments forts de ce concert anniversaire; on aurait presque pu entendre une mouche voler dans la salle Wilfrid-Pelletier.
L’incontournable D'aventures en aventures est arrivée vers la fin de ce généreux spectacle de presque deux heures trente sans interruption, tandis que sa pièce emblématique, Je suis malade, a conclu de belle façon ce jubilé.
Les admirateurs de la première heure auront remarqué que quelques-uns des classiques de Lama ont été légèrement modifiés. Le chanteur a fait paraître en décembre dernier l’album La balade du poète, sur lequel figurent plusieurs de ses succès, mais dans une version revampée (il a modifié certains des textes et retravaillé les arrangements avec son collègue Sergio Tomassi).
Le maître chanteur a offert dimanche soir une prestation théâtrale et solennelle, qui lui a sans contredit permis de renouer avec ses admirateurs québécois. Mais surtout, il a prouvé que les classiques de la chanson française méritent de traverser le temps.


Première partie


En première partie, les refrains entraînants du jeune Français Charles-Baptiste ont fait taper des mains les spectateurs, pour la plupart d’une autre génération.
Le chanteur et pianiste s’est présenté comme le «Lisa Leblanc français», lui qui vient «d’un village de 122 habitants niché dans le fin fond du sud de la France». Sa pop moderne avec synthé n’a toutefois rien à voir avec le folk trash de la chanteuse acadienne.

 

17 Juin 2013: La presse


Concert de Montréal le 16 Juin 2013

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13.06.2011

13 Juin 2013: Prix Nikos Gastos 2013

PARIS : Le chanteur Serge Lama reçoit le Prix Nikos Gatsos 2013

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André Bonet, président du CML (Centre Méditerranéen de Littérature)… et la chanteuse Nana Mouskouri.

Le jury du Prix Nikos Gatsos réuni ce jeudi 13 juin 2013  à la Closerie des Lilas sous la présidence de Nana Mouskouri a attribué son prix 2013 à Serge Lama.

Le Prix Nikos Gatsos a été créé en 2012. Nikos Gatsos, qui fut le parolier et ami fidèle de Nana Mouskouri, est un des poètes populaires de la langue grecque, au sens le plus noble du qualificatif. Sa poésie trouva des musiciens sensibles et féconds et est chantée par tout son peuple.

En hommage aux qualités multiples de cet artiste, le Prix Nikos Gatsos récompense en alternance un poète et un parolier.

Le jury compte parmi ses membres des personnalités telles que Nikos Aliagas, Stéphane Bern, Dimitri Stefanakis et Gérard Davoust, président des Editions Raoul Breton.

 

L’an passé, le premier Prix fut attribué au poète algérien Amin Khan pour son recueil de poèmes Arabian Blues (Editions MLD)

 

Les 5 candidats en lice cette année étaient :La GrandeSophie, Gilbert Lafaille, Clarika et Henri Tachan.

 

Ce Prix récompense Serge Lama, un parolier et artiste qui fête cette année ses 50 ans de carrière par une tournée couronnée de succès partout en France, Belgique, Suisse et Québec.

 

Paru dans Ouillade, l'info en Roussillon qui coule de source

 

Réaction de Serge par SMS

 

Le 14-06-2013

Merci à Nana Mouskouri et aux éminentes personnalités qui l'entourent, pour le prix Nikos Gatsos. Prix décerné chaque année, soit à un parolier, soit un poète. Ce sont des prix qui sont attribués soit par des cœurs, soit par des intelligences et qui me touchent d'autant plus.

L'auteur étant pour moi l'argile dure sur laquelle s'est érigée la maison sur pilotis du chanteur.

Beaucoup de personnes ont vu mes ailes, peu de gens ont aperçu ma plume. Elle est pourtant celle qui dirige le voyage de l'oiseau migrateur que je suis.

S.L

                                                                 TWEETS

Grâce à Nana Mouskouri et à ses amis, j'ai reçu le prix Nikos Gatsos, pour la globalité de mon oeuvre de parolier. Merci Nana, merci. S.L

Merci à et à pour m'avoir parthénonisé... S.L

 

 

13 Juin 2013: Le journal de Quebec

Francofolies


Serge Lama: un jubilé en chansons

 

 

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Photo Pascale Lévesque / Agence QM

 

Pour célébrer ses 70 ans de vie, ses 60 ans de plume, et les 50 années passées derrière le micro, le chanteur Serge Lama présentera dimanche, dans le cadre de la 25e édition des Francofolies de Montréal, «Serge Lama, Mes plus belles chansons ― la tournée anniversaire», un spectacle des plus grands succès de son répertoire, et quelques nouveautés.


Après un demi-siècle passé à fouler les planches, l’interprète de Je suis malade, D'aventures en aventures, Les P'tites femmes de Pigalle, et Les Glycines a appris à connaître, et fédérer son public (une série de 70 représentations au Palais des congrès, totalisant 300 000 spectateurs, vaudra à Serge Lama de figurer dans le livre des records en 1979). «J’ai presque un plaisir de spectateur tous les soirs à faire mon propre spectacle (…) je n’en ferai plus jamais de tel, c’est certain», confie le chanteur qui avoue presque timidement que ce spectacle, avec la comédie musicale Napoléon, est l’une de ses plus grandes fiertés.
Toujours séduit par ses anciens tubes, et leur bagage émotionnel, Serge Lama revient sur scène (et en studio, l’album La balade du poète est sorti en décembre dernier) avec des titres réarrangés par son complice Sergio Tomassi, et des paroles modifiées pour mieux raconter son histoire.
«Les chansons ne sont pas des biographies, mais elles ne sont pas non plus le contraire,déclare-t-il. Lorsque l’on a vu ce spectacle, on n’en sait pas forcément plus sur Serge Chauvier, mais celui qui s’appelle Serge Lama, on le connaît un peu mieux.»
Fils du chanteur d'opérette Georges Chauvier, Serge Lama est tombé dans la chanson quand il était petit, à 11 ans et demi plus précisément, l’âge auquel il signe La balade du poète.
«J’ai eu une enfance un peu particulière, mon père était chanteur, je suis donc le fils de mon père, je voulais faire comme “papa”, explique-t-il. Mais “papa” n’a pas réussi à “obtenir la timbale” comme on disait à l’époque, et il y avait déjà en moi une forme de Monte-Cristo qui voulait venger ce père, réussir là où il avait échoué. (…) Ce sentiment s’est un peu estompé par la suite, je suis devenu moi même autour de la trentaine, celui que j’ai appelé “Serge Lama”.»


Anticonformisme
Souvent comparé à Piaf ou Brel, Serge Lama ne se revendique d’aucun style, se préférant le titre de «bâtard des générations précédentes», un griot moderne occidental au service de la chanson. «Je ne suis nulle part, je ne suis pas dans la catégorie des Johnny Hallyday ou des Michel Sardou, je ne suis pas non plus dans celles des Jacques Brel et des Georges Brassens, je suis dans une route au milieu, celle qui perpétue la chanson traditionnelle française qui vient du Moyen Âge à travers une voie qui n’est pas la mienne, mais celle de la chanson. Je considère que le style est une forme de prison que l’on donne à des mots, c’est la chanson qui me guide, je ne veux pas l’enfermer.»
Celui qui se définit comme un véritable graphomane, écrit pour lui (il confie même avoir rédigé un «truc pas trop mal» avant de se rendre à la conférence de presse), mais aussi pour les autres, il signe Je veux du bonheur, chanson qui donne son titre au prochain album du Français Christophe Maé. Ce statut d’auteur, Serge Lama s’est toujours battu, et plus particulièrement depuis son retour en 1995, pour le faire reconnaître. «Le public ne m’a jamais quitté, je n’ai jamais eu de problèmes avec lui, mais avec une certaine “intelligentsia” qui ne me considérait pas comme un auteur, ce sentiment s’estompe avec mon nouveau spectacle, la bataille est gagnée».


Serge Lama sera en spectacle dimanche 16 juin à la salle Wilfrid-Pelletier dans le cadre de la 25e édition des Francofolies de Montréal.

 

08.06.2011

8 Juin 2013: Le journal de Montréal

Publié dans le journal de Montréal avant le concert du 16 juin 2013

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LIRE

02.06.2011

2 Juin 2013: La république.fr

Article paru après le concert du 1er Juin 2013 à Orléans

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Serge Lama, bluffant septuagénaire

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Zénith. Les spectateurs étaient plus de 2.500, hier, à venir applaudir Serge Lama au Zénith d'Orléans. Le chanteur, malgré ses 70 ans, qu'il a fêté en février dernier, a ravi son public pendant près de deux heures et demie. Sans jamais s'économiser. Comme pour prouver qu'il n'a rien perdu de sa vitalité, c'est par le titre « La Fronde » qu'il a débuté son spectacle adaptant un peu les paroles : « Voici la borne fatidique, j'en ai 70 au compteur. J'ai caboté pendant des lustres, mais tout ça n'a d'importance que pour moi ». Accompagné de huit musiciens et musiciennes – son « quatuor de charme » – c'est dans un décor fait de jeux de lumières sur drapé, assorti d'un cadre doré où sont venues s'imprimer les images chères à sa vie, qu'il a repris ses plus grands succès, embellis par d'autres arrangements. Le costume de Serge Lama : tantôt noir ; tantôt blanc. L'homme : tantôt émouvant, lorsqu'il chante ses parents ou rend hommage à Barbara, celle qui l'a épaulé au début de sa carrière. Tantôt révolté. Même après cinquante ans sur scène.

31.05.2011

31 Mai 2013: La république du centre

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Au Zenith d’Orléans le 1er juin

Bel anniversaire, Serge Lama

 

Deux heures et demi de show mêlant mélancolie et ambiance de cabaret parisien des années 60 viennent dignement fêter les cinquante ans de carrière de Serge Lama. Une tournée anniversaire qui passe par le Zénith d'Orléans ce samedi !

L'occasion d'un double anniversaire, celui de ses 70 ans et de ses 50 ans de carrière, Serge Lama offre à son public un tour de chant d'envergure à travers la France.

Alliant avec finesse, malice et dramaturgie l'ensemble de son répertoire, l'artiste donne le changement à son public conquis qui le suit depuis ses premières heures. Avec toujours comme maîtres mots l'amour et les femmes.

Chanteur sensible et sobre, Serge Lama revient de loin, lui qui aurait pu ne jamais connaître cette riche carrière, suite à un accident de voiture survenu en 1965.

Ayant grandi dans les coulisses du music-hall, avec un père chanteur baryton, Serge Chauvier, est déjà défini par une carrière artistique, qu'il débute aux côtés de Barbara et Georges Brassens en 1964, avant de sortir un premier 45 tours. « Les Ballons Rouges » constituent son premier succès et ouvrent les portes d'une longue carrière à cet artiste populaire à la voix imposante mais touchante.

Fort d'une discographie impressionnante dont on citera « Superman », « Je suis malade », « Les P'tites Femmes de Pigalle » ou encore « Je T'aime », Serge Lama s’est imposé dans le paysage de la variété française, tant par sa qualité vocale que par sa présence scénique. Multipliant les concerts, l'artiste dégage une véritable énergie, témoin d'une grande aisance musicale. Il s'essaie également à la comédie musicale en écrivant « Napoléon », qui reçoit un immense succès au début des années 1980.

Avec « Plurielles », sorti en 2003, il présente une compilation de duos à laquelle ont contribué Lynda Lemay, Lara Fabian, Annie Girardot et Lorie. En 2008, son album « L'Âge d'Horizons », centré sur l'aspect fugace de la vie, confirme une réelle maîtrise des mots et des rimes.

Sur la scène du Zénith, Serge Lama interprétera donc ses plus grands succès avec un immense cadre photo retraçant son enfance et montrant les personnalités importantes rencontrées au cours de sa carrière : Barbara, Maurice Chevalier, Jacques Brel.

21.05.2011

21 Mai 2013: L'avenir.net

Après le concert du 17 Mai 2013 à Marche en Famenne

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Serge Lama a enchanté le public

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MARCHE-EN-FAMENNE - Vendredi, Serge Lama était en concert au Wex. Le nombreux public présent a été ravi de ce spectacle d’un chanteur hors du commun.

Vendredi, la salle de spectacle du Wex a fait le plein à l’occasion du concert anniversaire de Serge Lama qui fête cette année ses 70 ans mais surtout ses 50 ans de carrière.
C’est donc un tout nouveau tour de chant que le chanteur a présenté à près de 3 000 personnes venues d’un peu partout en Wallonie pour applaudir un Serge Lama en pleine forme. Si le grand Serge a interprété un certain nombre de ses chansons connues comme Les petites femmes de Pigalle ou encore L’Algérie et Je suis malade, il a également ravi le public avec ses nouvelles chansons. Durant plus de deux heures, il a fait participer son public qui l’a accompagné en claquant des mains dans Femme, femme, femme et a chanté avec lui Je t’aime à la folie.
Le chanteur a également voulu rendre hommage à la chanteuse Barbara avec qui il a débuté un certain 11 février 1964 à l’Écluse avant de poursuivre à Bobino.
R.E.