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05.11.2009

5 Novembre 2005 : TELESTAR


Avant l'émission les 500 choristes Serge Lama répondait aux questions de TELE STAR :

 

serge lama

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04.11.2009

4 Novembre 2006:Le quotidien

Serge Lama était en concert au Théatre du Palais Municipal de la Baie

 

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4 novembre 2006 : Le Soleil

Article de Régis Tremblay publié dans LE SOLEIL (Quebec) le 4 novembre 2006.

 

serge lama

serge lama

 

Un accident catastrophique et deux traversées du désert, l’une au sens propre et l’autre au figuré. Mais grâce à son appétit de vivre et sa soif de succès, Serge Lama est toujours là, après 40 ans de carrière. Pour un temps, on l’avait rangé sur la tablette des gloires passées. Mais le voici toujours aussi émouvant, truculent et conquérant. Serge Lama sera au Capitole, les 13 et 14 novembre.

« En plus de mes grands succès, je vais faire une chanson écrite à 12 ans, et vous ne verrez pas la différence : c’est le même fond de sauce ! Chacun a certaines choses à dire, et elles ne changent guère au fil des ans. Je dirais même qu’en vieillissant, on se rapproche de sa vérité. Je l’avoue, quand j’étais jeune, j’en rajoutais un peu ! » reconnaît Serge Lama, en entrevue.

Quoi qu’on dise, qu’on fasse ou qu’on chante, on a rendez-vous avec le destin.

« Il y a trois ou quatre trucs qu’on doit faire dans sa vie ; il y a des carrefours qu’on ne peut pas éviter », ajoute Lama, qui ne pourra jamais oublier ce 12 août 1965, alors qu’il était victime d’un terrible accident de voiture. Sa femme, Liliane Benelli, en meurt. Lama, lui, est physiquement anéanti. Ses premiers succès, comme D’aventure en aventure, il les enregistre sur une civière. Il lui faudra un an pour remarcher.

C’est donc à une morte qu’il s’adresse dans son émouvante composition D’aventure en aventure : « Jamais,medium_le_soleil_-_novembre_2006.2.JPG jamais, je te le jure, je n’ai pu oublier ton corps... » Quatre décennies plus tard, la tragédie a forcément laissé des traces physiques et psychologiques chez Serge Lama : « Je souffre depuis 40 ans. Ça m’a enlevé mon trop-plein d’énergie. J’ai toujours été quelqu’un d’excessif, et cet accident m’a peut-être empêché de m’engloutir dans les excès. Tout compte fait, je vois du positif dans ce coup du sort... »

Le fait est que cet accident désastreux n’aura pas empêché Serge Lama de mener une brillante carrière et une vie très remplie.

Les années 70 seront les années Lama, semées de titres comme Superman, Une île, Femmes, femmes, femmes, Les Ballons rouges, Les P’tites Femmes de Pigalle, Je suis malade et, bien sûr, D’aventure en aventure.

Presque las de ce ronron berceur, Lama se lance dans l’écriture et la réalisation d’une vaste entreprise, au début des années 80. Sa comédie musicale Bonaparte (personnage qui offre une frappante ressemblance avec le chanteur) connaîtra un succès populaire durable.

Mais reprenons du début. Serge Chauvier naît à Bordeaux en 1943. Son père Georges tente de faire carrière dans la chanson, malgré les réserves de sa femme. En 1950, le Bordelais monte à Paris avec femme et enfant. Serge a sept ans et il voit avec consternation son père abandonner son rêve pour gagner sa vie dans le commerce. « Un jour Papa a vendu de la margarine/Pour que maman puisse chanter dans sa cuisine », écrira Serge, beaucoup plus tard.

Les traversées du désert

Cet épisode donnera au fils la ferme volonté de venger le père. Mais auparavant, Serge devra aller se battre en Algérie. Pendant plus d’un an, il apprendra à se battre et à survivre au milieu du Sahara. Première traversée du désert, à l’âge de 18 ans.

Son deuxième passage à vide surviendra à 41 ans, en 1984, après la mort de ses deux parents, encore dans un accident de voiture. Ce n’est qu’au tournant du millénaire que Lama revient en force, avec des chansons comme Si tu le veux, Quand est-ce qu’on fait l’amour ? et Moi je rends les femmes belles...

« J’ai beaucoup chanté pour les femmes, qui venaient à mes spectacles sans leurs maris. Si les hommes ne venaient pas, c’est que leurs femmes les en chassaient ! Dans les années 70 et 80, au plus chaud de ma popularité, les hommes m’en voulaient un peu pour cet état de choses. Mais quand ces mêmes femmes ont vieilli, elles ont commencé à emmener leurs hommes... Mais cela n’a rien changé à ma façon de chanter ! ».

 

01.11.2009

hiver 2001-2002 Chorus n° 38

Lors de la sortie de l'album feuille à feuille le magazine chorus publiait cet encart

 

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1 Novembre 2002: Notre temps

Petit résumé de la vie de Serge lama dans Notre temps avant ses 60 ans à Bercy.


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1er novembre 2008 : France Soir

Interview dans France Soir

 

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30.10.2009

30 Octobre 2003: Sud Ouest

Le nouvel album annoncé dans Sud Ouest

 

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Douze duos d'amour

 

Régine Magné rédaction parisienne

SERGE LAMA. Un nouvel album, « Pluri((elles)) », en forme de balade amoureuse et nostalgique

Début février, il fêtait à Bercy ses trois anniversaires : 60 ans de vie, 40 ans de carrière, 30 ans de succès. Le chanteur aux 30 millions d'albums vendus s'était entouré de trois voix amies : Isabelle Boulay, Alice Dona et Lena Ka. C'est sans doute là qu'a germé l'idée de « Pluri((elles)) », un album de duos exclusivement féminins. Seize femmes de tous âges (en comptant le groupe L 5) et de tous styles l'accompagnent dans cette balade amoureuse au pays des souvenirs. Avec en prime Dalida, pourtant partie depuis longtemps vers d'autres voies célestes.

« A l'époque, Dalida voulait enregistrer "Je suis malade" qui est passé en boucle sur les radios. J'estime que la chanson lui appartient autant qu'à moi... »Serge Lama a fait ce duo virtuel pour être réuni à celle à qui il doit tant. Une évidence du cœur qui a demandé un gros boulot. « Sa tessiture est extrêmement basse, ça m'aurait arrangé qu'elle soit un demi-ton au-dessus ! On a repris ses enregistrements et tout restructuré. »

Comblé. L'album est une succession d'aventures artistiques qui le comblent. Annie Girardot donne d'entrée un ton très particulier avec « Je voudrais tant que tu sois là ». Serge avait envie d'une femme qui parle plus qu'elle ne chante, Annie lui a offert son timbre pour confidences meurtries. Lara Fabian ne fait pas de la figuration simple dans « les Ballons rouges », ni les L 5 dans « Femme, femme, femme » ou Isabelle Boulay dans « Quand on revient de là ».

Une seule chanson n'est pas signée Serge Lama, la « Petite cantate », de Barbara, reprise avec Marie-Paule Belle. Il n'a jamais oublié Liliane Benelli, pianiste de l'Ecluse où il fit ses débuts en 1964. Leur histoire d'amour se termine tragiquement, un an plus tard, dans une voiture disloquée. Liliane ne survit pas à ses blessures, Serge en garde de douloureuses marques au corps et à l'âme. « Liliane était une copine de Barbara, elle avait écrit pour elle la "Petite cantate". » De cette union qui a si peu duré, il sortira quelques-unes de ses plus belles chansons : « D'aventure en aventure », « Toute Blanche », « Claudia ».

Réussir. Lama doit à son père, Georges Chauvier, premier prix du conservatoire de Bordeaux et surnommé le « Petit Prince de la chanson », son goût pour la musique et sa soif de reconnaissance. Car le Bordelais avait dû quitter la scène pour prendre un emploi de représentant de commerce afin de nourrir sa famille. En 1981, ils enregistrent ensemble l'album « Lama père et fils ». Lorsque le fils fête ses vingt ans de carrière au Rex à Paris, il fait chanter son père à ses côtés. « J'étais heureux de lui offrir le cadeau de ma réussite. » Le vieux Georges est mort peu après.

A 9 ans, Lama composait son premier poème, à 12 ans sa première chanson. « Une seule voix pour moi : réussir là où mon père avait échoué. Ensuite, j'ai tout vendu à ma carrière de manière obsessionnelle... »

Pour l'heure, il a une folle envie de continuer de chanter. « Je repars en février avec mon accordéoniste, vingt-deux dates par mois à travers la France et la Belgique. Je ne suis pas obsédé par Paris. Je suis un chanteur populaire qui chante pour la France, à la différence du chanteur engagé qui reste à Paris ! »

Nougaro a glorifié Toulouse, Lama n'a pas encore essayé de mettre en musique Bordeaux, sa ville natale, bien qu'il ait écrit les paroles. Il retient les respirations de son enfance. « J'ai frôlé le sujet avec "Attention danger". Je sais qu'il se passe quelque chose en moi dès que j'arrive sur une route du Sud-Ouest... »

30 octobre 2008 : Le Matin

 Dans le journal Quebequois "Le matin"

 

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30 octobre 2006 : LE QUOTIDIEN

Pour le journal LE QUOTIDIEN de Montréal, Serge Lama se confie à Isabelle Labrie le 30 octobre 2006

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Quand il songe à une tournée du Québec, Serge Lama se rappelle de noms de villes qui sont presque des titres de chansons. Parmi ceux-ci, Trois-Rivières, Rivière-du-Loup, Baie-Comeau et... Chicoutimi, qui "avec ses trois i, sonne très bien".

Après plus de six ans d'absence, l'auteur-compositeur-interprète fera une incursion dans la région au début du mois de novembre, d'abord au Palais municipal de La Baie le 3, puis à l'Auditorium d'Alma le 4. Il présentera le spectacle "Accordéonissi-mots", qu'il a eu largement le temps de roder au fil d'une tournée qui l'a mené aux quatre coins de la France de même qu'à Québec et Montréal, il y a deux ans. Il se retrouve sur scène avec l'accordéoniste Sergio Tomassi.

"Je voulais un spectacle qui soit transportable facilement et transformable autant pour des salles de 250 places que de 2000. Il a été conçu pour des lieux humains. Mais je ne suis pas seul. Nous sommes deux complices qui ont développé un partenariat, nous jouons de la connivence et le concept est moins minimaliste qu'il en a l'air", raconte Serge Lama, en entrevue téléphonique à partir de Montréal. Dans un communiqué sur ce sujet, il écrit même poétiquement que "c'est la rencontre de deux âmes, l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventer des fleurs... Et tout cela pour engendrer encore et encore de l'amour".

S'il a choisi de se déplacer dans toutes les régions du Québec, à l'image de ce qu'il a fait en France, c'est pour avoir la chance de rencontrer un public qui n'aurait sans doute pas pu se rendre dans les grands centres pour l'entendre. Il leur propose donc un tour de chant mettant en vedette ses plus grands succès, ceux que les gens connaissent depuis des années, qui se fredonnent toujours, comme Les Ballons rouges, Je suis malade, D'aventure en aventure. Il les livre toujours avec un plaisir renouvelé, sans lassitude, malgré les années.

"Les chansons à interprétation ne sont pas fatigantes car il y a toujours possibilité de trouver quelque chose à aller chercher. C'est le cas d'Algérie, de l'Enfant d'un autre, des Ballons rouges. Ce sont les chansons plus rigolotes qui peuvent être plus fastidieuses. Mais il y a des piliers qu'il est impensable de ne pas offrir", souligne le chanteur français.

Avenir

Si cette formule lui convient, Serge Lama confie qu'il aimerait dans l'avenir monter un autre spectacle, qui lui permettrait de faire connaître des compositions de son répertoire qu'il qualifie de "mal aimées", de même que de nouvelles chansons : "Dans un tour de 26 chansons, il faut mettre huit piliers mais après, il est possible d'échantillonner en faisant connaître des compositions comme Les Saumons ou Les Poètes, moins connues mais intéressantes. C'est ce que je veux faire la prochaine fois".

Mais en attendant, il se concentre sur le concert Accordéonissi-mots qui, comme il l'écrit sur la pochette de l'album du même nom enregistrée au Théâtre Marigny de Paris "est un spectacle qui a la prétention de ne pas en avoir".

 
 

27.10.2009

27 Octobre 2009:La charente libre

Annonce du concert caritatif du 14 Novembre à Nersac

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