06.11.2009
6 novembre 2008 : 24 heures
07:10 Publié dans 2008, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (2)
05.11.2009
5 Novembre 2009: St Amand les eaux
Dans la presse le 8 Novembre après le concert au Pasino de Saint Amand les eaux le 5 novembre 2009
Serge Lama fait corps avec ses chansons et son public
Serge Lama, était sur la scène du Pasino, ce jeudi. Il a offert au public amandinois, venu en nombre, un spectacle exceptionnel. Chose peu commune, c'est par la présentation de ses deux compères musiciens, accordéoniste et bassiste, que l'artiste débute.
Muni d'un brigadier, il tape les trois coups comme au théâtre afin de commencer son spectacle. S'en suivra deux heures de spectacle, durant lesquelles, le chanteur interprète non seulement des titres de son dernier album tels D'où qu'on parte, Grosso Modo ou encore Alors que l'on s'est tant aimé. Mais aussi d'autres chansons, plus anciennes, qui ont fait son succès. Rempli d'émotions, qu'il partage avec son public, Serge Lama évoque aussi bien l'amour, la rupture que la mort.
Accessible et sympathique, Serge Lama communiquez beaucoup avec les spectateurs. Au cours de la soirée, celui-ci reprendra d'ailleurs plusieurs refrains avec l'artiste. En guise de rappel, c'est un magnifique Je suis malade, que le chanteur offrira à l'auditoire, terminant a capella sous un tonnerre d'applaudissements.
16:11 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
5 novembre 2002 : Le Nouvelliste
09:13 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
5 novembre 2003:La Dernière Heure
Interview de Serge lama au moment de la sortie de l'album Pluri'elles
Pluri-elles autour d'un mono-il
Serge Lama sort un nouvel album. Il reprend quelques-unes de ses chansons les plus connues en duo avec des femmes
BRUXELLES Certains chanteurs se font le plaisir, une fois ou deux dans leur carrière, de chanter en duo avec l'une de leurs consoeurs. Serge Lama, lui, s'offre le luxe d'enregistrer un album complet en charmante compagnie. Sur son dernier opus PluriELLEs, il reprend ses vieux succès avec la complicité, entre autres, de Lara Fabian, Lena Ka, Lynda Lemay, Anggun, Marie-Paule Belle, Lorie... et Dalida. C'est d'ailleurs un peu grâce à cette dernière que cet album est né: «C'était pour le 11 février de l'année dernière, je fêtais alors mes quarante ans de carrière et mes cinquante-dix ans comme je disais sur scène (mais c'est pas de moi, c'est de Guitry). Et donc à cette occasion, j'avais souhaité chanter Je suis malade en duo, virtuellement, avec Dalida, parce que c'est elle qui a créé en même temps que moi et qui a fait beaucoup pour la chanson finalement, mais ça n'avait pas pu se faire parce que techniquement on n'avait pas le temps. A la suite de ça, moi j'ai dit que j'aurais bien aimé quand même enregistrer ce titre avec Dalida, avec les bandes déjà existantes. Mon directeur général m'a dit: Si tu fais ça, autant que tu reprennes la plupart de tes chansons avec des femmes. Je trouvais l'idée bonne... même si elle n'est pas de moi. Même le titre de l'album ce n'est pas moi qui l'ai trouvé. Moi j'avais un autre titre... Elles autour d'il. Mais c'était plus compliqué, alors que PluriELLEs, ça correspondait bien à ce qu'était l'album finalement.»
Pourquoi avoir choisi ces chansons-là?
«J'ai choisi les chansons en fonction des femmes. D'abord, il fallait qu'elles acceptent... l'idée de chanter avec moi.»
Elles ont été difficiles à convaincre?
«Non. Honnêtement, non. Ce qui a été difficile, c'est les accords avec les maisons de disques. Ça, ça a été long... Je voulais un album éclectique, je voulais un album où tous les âges de la femme et tous les styles de la chanson française étaient représentés. On retrouve ainsi aussi bien Annie Girardot que les L 5 ou les Sweet generation. Tous les arrangements ont été faits en fonction des chanteuses et de leur style.»
Comment avez-vous choisi ces femmes? Pourquoi elles?
«J'ai pris des chanteuses que je connaissais. J'avais rencontré Lorie. Les L 5, je les avais vues sur un plateau télé, elles sont très marrantes, Lynda Lemay a fait son premier concert à Paris avec moi... J'ai d'abord demandé à des filles que je connaissais. Anggun, je ne la connaissais pas, mais je connaissais sa voix, je voulais une chanteuse exotique pour un morceau exotique. Une île est certainement le titre qui s'y prêtait le mieux. Elle a accepté.»
Certaines artistes ont refusé?
«On a demandé à Maurane, mais elle avait déjà fait un duo avec Lara Fabian et elle prépare aussi un disque de duos. Elle ne pouvait pas faire que ça, elle a refusé. La chanson que je voulais mettre c'était L'esclave ; je ne voulais la chanter qu'avec elle, du coup, elle ne figure pas sur l'album.»
Vous dites que PluriELLEs est un album de fainéant...
«Même si ce n'est qu'une petite plaisanterie, c'est vrai, toutes les chansons étaient déjà écrites, et je n'ai eu à chanter que la moitié d'entre elles, l'autre moitié était interprétée par d'autres artistes.»
C'est une nouvelle naissance pour vos chansons?
«Vous savez, les chansons, il y en a des bonnes, il y en a des mauvaises. Comme tout le monde, j'en ai fait de très bonnes et de très mauvaises. Quand elles sont bonnes, elles renaissent tout le temps. Vous les mettez dans une forme à l'âge où vous les écrivez, et ensuite vous pouvez les mettre sous plein de formes différentes, elles tiennent toujours. Si la base est bonne, elles peuvent s'adapter à tout.»
Propos recueillis par Lilia Guetat
08:53 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
5 novembre 2001 : Le Figaro
06:35 Publié dans 2001, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : serge lama
5 Novembre 2005 : TELESTAR
00:50 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
04.11.2009
4 Novembre 2006:Le quotidien
15:56 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
4 novembre 2006 : Le Soleil
Article de Régis Tremblay publié dans LE SOLEIL (Quebec) le 4 novembre 2006.
Un accident catastrophique et deux traversées du désert, l’une au sens propre et l’autre au figuré. Mais grâce à son appétit de vivre et sa soif de succès, Serge Lama est toujours là, après 40 ans de carrière. Pour un temps, on l’avait rangé sur la tablette des gloires passées. Mais le voici toujours aussi émouvant, truculent et conquérant. Serge Lama sera au Capitole, les 13 et 14 novembre.
« En plus de mes grands succès, je vais faire une chanson écrite à 12 ans, et vous ne verrez pas la différence : c’est le même fond de sauce ! Chacun a certaines choses à dire, et elles ne changent guère au fil des ans. Je dirais même qu’en vieillissant, on se rapproche de sa vérité. Je l’avoue, quand j’étais jeune, j’en rajoutais un peu ! » reconnaît Serge Lama, en entrevue.
Quoi qu’on dise, qu’on fasse ou qu’on chante, on a rendez-vous avec le destin.
« Il y a trois ou quatre trucs qu’on doit faire dans sa vie ; il y a des carrefours qu’on ne peut pas éviter », ajoute Lama, qui ne pourra jamais oublier ce 12 août 1965, alors qu’il était victime d’un terrible accident de voiture. Sa femme, Liliane Benelli, en meurt. Lama, lui, est physiquement anéanti. Ses premiers succès, comme D’aventure en aventure, il les enregistre sur une civière. Il lui faudra un an pour remarcher.
C’est donc à une morte qu’il s’adresse dans son émouvante composition D’aventure en aventure : « Jamais, jamais, je te le jure, je n’ai pu oublier ton corps... » Quatre décennies plus tard, la tragédie a forcément laissé des traces physiques et psychologiques chez Serge Lama : « Je souffre depuis 40 ans. Ça m’a enlevé mon trop-plein d’énergie. J’ai toujours été quelqu’un d’excessif, et cet accident m’a peut-être empêché de m’engloutir dans les excès. Tout compte fait, je vois du positif dans ce coup du sort... »
Le fait est que cet accident désastreux n’aura pas empêché Serge Lama de mener une brillante carrière et une vie très remplie.
Les années 70 seront les années Lama, semées de titres comme Superman, Une île, Femmes, femmes, femmes, Les Ballons rouges, Les P’tites Femmes de Pigalle, Je suis malade et, bien sûr, D’aventure en aventure.
Presque las de ce ronron berceur, Lama se lance dans l’écriture et la réalisation d’une vaste entreprise, au début des années 80. Sa comédie musicale Bonaparte (personnage qui offre une frappante ressemblance avec le chanteur) connaîtra un succès populaire durable.
Mais reprenons du début. Serge Chauvier naît à Bordeaux en 1943. Son père Georges tente de faire carrière dans la chanson, malgré les réserves de sa femme. En 1950, le Bordelais monte à Paris avec femme et enfant. Serge a sept ans et il voit avec consternation son père abandonner son rêve pour gagner sa vie dans le commerce. « Un jour Papa a vendu de la margarine/Pour que maman puisse chanter dans sa cuisine », écrira Serge, beaucoup plus tard.
Les traversées du désert
Cet épisode donnera au fils la ferme volonté de venger le père. Mais auparavant, Serge devra aller se battre en Algérie. Pendant plus d’un an, il apprendra à se battre et à survivre au milieu du Sahara. Première traversée du désert, à l’âge de 18 ans.
Son deuxième passage à vide surviendra à 41 ans, en 1984, après la mort de ses deux parents, encore dans un accident de voiture. Ce n’est qu’au tournant du millénaire que Lama revient en force, avec des chansons comme Si tu le veux, Quand est-ce qu’on fait l’amour ? et Moi je rends les femmes belles...
« J’ai beaucoup chanté pour les femmes, qui venaient à mes spectacles sans leurs maris. Si les hommes ne venaient pas, c’est que leurs femmes les en chassaient ! Dans les années 70 et 80, au plus chaud de ma popularité, les hommes m’en voulaient un peu pour cet état de choses. Mais quand ces mêmes femmes ont vieilli, elles ont commencé à emmener leurs hommes... Mais cela n’a rien changé à ma façon de chanter ! ».
06:45 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : serge lama
01.11.2009
hiver 2001-2002 Chorus n° 38
21:57 Publié dans 2001, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
1 Novembre 2002: Notre temps
21:00 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)