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27.09.2011

27 Septembre 2013: Le bien public

Dans son supplément loisirs, Le bien public annonçait le concert du 18 Octobre 2013 au Zénith de Dijon

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Côte-d'Or - Musique Serge Lama, poète éternel dans l’âme

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photo Claude Gassian

 

Il est une des voix de la chanson française. Incontournable, inoxydable, Serge Lama fera la rentrée du Zénith de Dijon vendredi 18 octobre.

 

A la maison familiale, sur l’électrophone, les disques de Serge Lama tournaient fréquemment. À force, ils grésillaient un peu. Ça paraît être une autre époque.

La plupart du temps, ça ennuyait l’adolescent que j’étais. De là à se pencher sur ses textes, il y avait un gouffre que je ne m’imaginais pas franchir un jour. Et puis est arrivé le jour récent de cette rencontre téléphonique avec l’artiste. Serge Lama à l’autre bout du fil, “himself”. Juste le temps de réviser ses classiques, histoire de ne pas paraître trop inculte…

Ç a tombe plutôt bien car le dernier disque de Serge Lama est un double album où sont réorchestrés quelques-uns de ses plus grands morceaux. Quarante tout de même ! « Et j’aurais pu en réunir autant sur un autre disque », glisse le chanteur. On cerne alors bien l’immensité de la carrière et de l’œuvre de Serge Chauvier, devenu Lama à 15 ans. Mais n’allez pas lui parler de “best of” car ça pourrait le navrer tout autant que le contrarier. « La maison de disque voulait une compilation, moi, ça ne m’intéressait pas dans ce sens. Et puis jusqu’à ce que Jean-Claude Petit travaille avec moi, je n’avais pas d’arrangement idéal. »

50 ans de carrière

Balade d’un poète est arrivé dans les bacs en décembre 2012. Et avec lui plein de souvenirs et d’émotions comme la chanson éponyme de l’album. Une chanson qui a une longue histoire puisque Serge Lama l’a écrite alors qu’il n’avait que 11 ans. « Quand j’étais jeune, je lisais déjà beaucoup, j’écoutais, je m’intéressais. Dans ce texte, tiré d’un fait bien réel* qui m’avait bouleversé, on sent l’influence de poètes comme Verlaine. » Pour autant le morceau n’avait jamais franchi le cap de la scène. Par pudeur ? « Je la chantais à mes copains, un cercle très intime d’une dizaine de personnes. »

Et puis la voilà aujourd’hui au goût du jour. « Une question de maturité. »

Lama chanteur, OK, mais Lama auteur, on l’aurait presque oublié. Et pourtant ce n’est pas qu’une voix. Même lui l’avait placé au second plan, c’est dire. « Au moment de Napoléon (NDLR comédie musicale de 1984), j’ai pris conscience que je ne respectais pas l’auteur que j’étais. Certains croyaient que c’était Alice Dona qui écrivait mes textes. Il a fallu que j’arrive à 50 ans pour me dire : ‘‘Putain, on ne se rend pas compte ce que je suis’’.» Il poursuit : « J’ai compris et j’ai mis en équilibre cette relation chanteur-auteur. »

Une belle de prise de conscience qui lui a sans doute permis de continuer à créer et à chanter sur toutes les scènes de France. Pour ses 50 ans de carrière, il a fait le plein à l’Olympia pendant une semaine. Et lorsqu’on lui demande si cela le surprend, il répond plein de sincérité : « Oui, j’en suis surpris. Le succès est toujours plus surprenant que l’échec. »

À 70 ans, il trace sa route en se posant moins de questions, n’hésitant pas à dire “non” lorsqu’il le faut. Comme lors des dernières Victoires de la musique. « Leur victoire, elle m’a mis en pétard. D’une part, ce jour-là, je chantais à l’Olympia et, d’autre part, j’ai appris qu’ils la remettraient à quatre personnes en même temps. Cela faisait un package, histoire de dire, on se débarrasse de ces quatre-là. Il y avait une forme de mépris dans cette récompense. »

Ce pseudo-panégyrique rangé aux oubliettes, Serge Lama préfère se consacrer à son public. Et celui-ci le lui rend bien.

* « La Balade du poète raconte l’histoire d’un type (un sans-abri) qui pique un truc sur un étale, une pomme. C’est d’une tristesse profonde. À la fin de la chanson, il meurt. »

Serge Lama en concert au Zénith de Dijon, vendredi 18 octobre à 20 h 30. Tarifs de 45 à 55 €. Renseignements au 03 80 30 61 00.

 

 

27 Septembre 2013: France info

 

Serge Lama était  l'invité de cette émission sur France info à 13h35

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EXTRAIT

 

21.09.2011

21 Septembre 2013: Le grand show

 

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Émission sur France 2 en direct , présentée par Michel Drucker et consacrée à Laurent Gerra.

Serge Lama faisait partie des invités.

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Télé poche du 21 au27 Septembre 2013

 

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Laurent Gerra a choisi France 2 pour faire sa rentrée. Alors qu’il triomphe sur scène, il revient sur la chaîne qui l’a vu débuter, plus déterminé que jamais à faire trembler le monde de la politique et du show-business, accompagné d’un orchestre symphonique de 80 musiciens.
Entouré de nombreux artistes qu’il a choisis dont Patrick Bruel, Nolwenn Leroy, Christophe, Serge Lama, Sylvie Vartan, Louis Bertignac et bien d’autres encore…, Laurent Gerra épinglera François Hollande et Nicolas Sarkozy, ainsi que ses « victimes » préférées telles que Renaud, Céline Dion, Julien Clerc, Johnny Hallyday, Yves Montand, Francis Cabrel, Enrico Macias, Charles Aznavour, Jack Lang, Gilbert Bécaud, Michel Sardou, Jeanne Moreau, Étienne Daho, etc. Il reviendra également en imitations sur les temps forts de la saison passée.

 

Dans le Parisien du 21 Septembre 2013 Serge Lama parlait de Laurent Gerra


« Il sait capter l’essentiel de l’être »
Serge Lama, chanteur, ami de l’humoriste


«Il a beaucoup apporté à l’imitation. Il est populaire, a le sens du public et c’est un homme de scène, qui mène un véritable numéro de variété. » Lama ne tarit pas d’éloges sur Gerra. « Il n’est pas le premier à m’imiter. Le Luron arrivait à saisir ma voix avec génie, Sébastien était extraordinaire sur la gestuelle et l’apparence. Lui a les deux. Il sait capter l’essentiel de l’être et réussit à ne pas disparaître derrière les personnes qu’il imite. » Entre Serge et Laurent, il y a bien plus qu’une simple imitation. « Nous sommes amis depuis le jour où il m’a avoué que j’étais le premier chanteur qu’il avait vu sur scène et qu’il connaissait toutes mes chansons par cœur. Il me téléphone même parfois la nuit pour m’en chanter. Quand il m’imite, il me fait pleurer de rire et m’émeut. Mais le jour où j’étais dans le public alors qu’il m’imitait, à l’Olympia, j’ai été un peu gêné. »

 


Extrait de l'émission

 

 

 

14.09.2011

14 Septembre 2013: Hier encore

Le 14 septembre 2013  Serge Lama était au coté de Charles Aznavour et Virginie Guilhaume sur France 2.

L'émission avait été enregistrée le 6 septembre à l'Olympia

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Télé 7 jours du 14 au 20 Septembre 2013

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BANDE ANNONCE

 

 

EXTRAITS


 

 

01.09.2011

Septembre 2013: La philo en 50 chansons

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Merci à Pascal qui a découvert cet ouvrage , voici son résumé:

 

Je suis en train de lire un livre de Thierry Aymès intitulé La philo en 50 chansons . Thierry Aymès est philosophe. Dans cet ouvrage, il nous propose d'étudier la philosophie en chanson, en partant du constat que les chansons de variété véhiculent, parfois à l'insu de leurs créateurs, les concepts philosophiques les plus fondamentaux. 50 tubes inoubliables qui permettent d'aborder des philosophes incontournables. Ainsi, Laurent Voulzy est un platonicien qui s'ignore, tandis que Michel Sardou se fait le porte-voix involontaire de Sénèque. On notera au passage et avec bonheur que Thierry Aymès n'a pas limité sa sélection au cercle fermé des artistes qui font "autorité" dans la "grande" chanson française. Il s'intéresse aussi aux chansons et aux chanteurs dits populaires, à ce qu'elles nous disent sur beaucoup de valeurs et de concepts atemporels.

Au beau milieu de ce livre, je tombe sur un chapitre sur Serge Lama et Montaigne. C'est à la chanson Mon ami, mon maître et au concept d'amitié que Thierry Aymès s'intéresse. Il introduit son propos en différenciant les mots camarade, collègue, copain et ami, et en retraçant l'amitié entre Serge Lama et Marcel Gobineau à qui cette chanson est dédiée. Il montre ensuite comment le rapprochement dans la chanson entre "ami" et "maître", termes étrangers l'un à l'autre en apparence, trouve son sens dans ce qui a uni ces deux hommes. Puis il établit un parallèle entre cette amitié-là et celle entretenue par Montaigne et La Boétie. En reprenant la citation célèbre de Montaigne évoquant cette amitié : "Parce que c'était lui, parce que c'était moi", Aymès explique que ces amitiés-là relèvent presque de la prédestination, avant de citer cette phrase de Montaigne qui évoque La Boétie et que Lama aurait pu tout aussi bien prononcer à propos de Gobineau : "Nos âmes ont marché si uniment ensemble que je me serais certainement plus volontiers fié à lui qu'à moi à mon sujet." ( Essais, I, 28 )

Pour ce chapitre mais aussi pour les 49 autres, un livre fort agréable lire !

 

 

Les pages sur Serge Lama

 

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18.08.2011

18 août 2013:70 bougies pour Jacques Dutronc-RTS


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A l’occasion des 70 ans de Jacques Dutronc, Philippe Robin lui consacre une journée spéciale sur RTS le 28 avril 2013. A cette occasion Serge Lama y est interviewé.

 

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16.08.2011

16 Aout 2013: Préface

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Sandrine Roy est une parolière de chansons,entre autres pour Garou, Bruno Pelletier.

C'est son ami Serge Lama qui a préfacé son livre:ENCREE, un livre sur le deuil

On y trouve également ce poème de Lama

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11:32 Publié dans 2013 | Lien permanent | Commentaires (0)

12.08.2011

12 Aout 2013 : Festival d'Oppède

Le 12 Aout 2013 Serge lama chantait à Oppède

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Oppède est une petite ville du Lubéron. Michel Leeb a crée voilà 5 ans ce mini festival afin de récolter des fonds destinés à la restauration de  la collégiale Notre Dame D'Alidon

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La provence .com le 8 Aout 2013


Pour la 5e édition de l'Oppède festival, Michel Leeb aligne quatre soirées autour de la chanson et de l'humour au profit de la chapelle du village

 

Serge Lama  en concert "unplegged"

Lundi soir, vous serez sur scène en formation acoustique. Plutôt inhabituel, non ?
Serge Lama :
Pour être unique, il va être unique ! Le concert étant destiné à l'association, il a fallu rogner sur les coûts et se passer du bastringue habituel, avec deux musiciens au lieu de 8. On a dû tout réarranger, c'est un travail énorme, pour un seul soir, et un tour de chant de 2h très difficile. Mais Michel Leeb m'a fendu le coeur avec sa chapelle.

Vous détenez toujours le record de dates sur scène ?
S.L. :
Pendant 17 ans, j'ai donné 230 à 300 concerts par an. Aujourd'hui, c'est plus difficile, j'ai 70 ans, mais je suis un saltimbanque par nature, et je repars en tournée dès octobre.

Votre répertoire a-t-il changé ?
S.L. :
Un concert sans l'Algérie et Je suis malade, c'est inenvisageable. Mais certaines chansons sont redécouvertes, comme Mon ami, mon maître. Le public se rend compte que mon répertoire a du fond. Mais la culture française est en train de disparaître. La preuve : dans les années 70, j'étais un chanteur populaire, et je suis devenu une sorte de chanteur intellectuel. Je vais finir sur France Culture !

 


La provence .com le 12 Aout 2013

 

L'année 2013 a été celle de son grand retour sur scène. Celle d'une série de consécrations aussi. Serge Lama a fêté ses 70 ans dont 50 consacrés à la scène avec une tournée marathon qui se poursuit à la rentrée. Un disque La balade du poète, est venu rappeler ce que la chanson française devait à ce monstre sacré. Tandis que l'Académie Française lui remettait la grande médaille de la chanson française au mois de juin. Rencontre avec un homme comblé. Qui semble rester fidèle malgré le temps qui passe, à celui que l'on a connu et aimé.

Le concert que vous donnez ce soir à Oppède est-il le même que celui de votre tournée "anniversaire" ?
Serge Lama : C'est un spectacle qui n'était pas prévu dans le cadre de la tournée. Je viens simplement avec un accordéoniste et un guitariste, ce qui ne veut pas dire que je ne vais pas donner le maximum. Je vais essayer d'être à la hauteur du défi que je m'impose.

Le public retrouvera-t-il les grandes chansons de votre répertoire ?
S.L. : Oui. La trame est à peu près la même, il y aura juste une chanson nouvelle. Pour ceux qui me connaissent, ils s'y retrouveront.

Quel regard portez-vous sur votre carrière au moment où vous fêtez ces 50 ans de scène ?
S.L. : J'ai quelques fiertés et peu de regrets. Les regrets ne servent à rien de toute façon. Il y a eu des moments de haute montagne, des moments "colline" et des moments encore plus tranquilles.

La chanson que vous avez écrite pour Christophe Maé "Je veux du bonheur" a obtenu un certain succès. Comment l'expliquez-vous ?
S.L. : Je ne sais pas. D'ailleurs beaucoup de gens ne doivent même pas savoir que j'en suis l'auteur.

Dans quelles circonstances l'avez-vous rencontré ?
S.L. : Pendant une tournée des Enfoirés où on a chanté ensemble. Il m'a demandé de lui écrire un texte. C'est quelqu'un en qui je crois depuis longtemps.

Quel effet cela fait-il de recevoir la médaille de la chanson française, remise par l'Académie Française en juin ?
S.L. : Un grand plaisir. J'ai appris la nouvelle pendant que je chantais au Québec. C'est Jean-Loup Dabadie que me l'a annoncée, un homme pour lequel j'ai une grande admiration. Il a touché à des genres très différents dans l'écriture, ce que j'aurais aimé faire.

Ce soir, 21h30, festival d'Oppède

11.08.2011

11 août 2013 : Une heure avec – Option musique RTS

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Même s'il chante encore "Je suis malade" dans une superbe et nouvelle version sur son dernier album intitulé "La balade du poète", Serge Lama semble guéri de tout!

Il fête en 2013 ses 50 ans de carrière et ses 70 ans. Philippe Robin est allé à la rencontre de l'artiste dans son appartement parisien afin d'enregistrer un entretien dans lequel le chanteur se dévoile comme rarement nous l'avons entendu.

 

EXTRAIT

 

05.08.2011

5 Aout 2013: Jean Jacques Golman

Jean-Jacques Goldman élu personnalité préférée des français


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Photo D.R.


5 août 2013, 17:21

On est tous fiers, nous les humbles histrions de tout poil,de la mise en lumière de la figure emblématique de l'auteur, compositeur,interprète, qu'est Jean-Jacques Goldman. Il a lui-même, laconiquement, mais avec cette réflexion aiguë qui le caractérise, définit cette élection :"la France prouve qu'elle n'est pas raciste ! " C'est du Goldman tout pur, un Goldman à qui j'ai presque toujours envie de dire vous, un homme qu'on respecte, presque qu’on craint. Dont on sait que si on le contredit, il faut le faire avec des arguments irréfutables. Je l'admire car il pourrait, il aurait pu, s'adresser à une clientèle élitiste, il en avait la culture et les moyens, mais il a jugé, je pense, que ce véhicule de la communication qu'est la chanson, s'il s'adresse qu'à un auditoire, ne s'adresse à personne. Il a choisi son clan, en souffre-t-il ? Lui seul pourrait le dire.

Jean-Jacques est quelqu'un dont on aimerait être l'ami,mais d'instinct on sait que c’est impossible. Goldman s'intéresse aux autres, il est même passionné par eux, mais il n'a, lui, besoin de personne. Il aurait pu,j'en suis persuadé, être un anachorète.

Pour une raison qu'il est seul à connaître, ayant fait le tour des plaisirs de la scène, il s'en est retiré sans regrets aucuns, il y a plus de dix ans. Il a suivi le chemin de Brel, mais son île c'est le bonheur, la sanctification de la famille et du couple.

Jean-Jacques c'est la lucidité au service de l'intelligence, il sait que le silence est un mode d’expression. Il essaime encore çà et là, des petites étoiles dont on reconnaît immédiatement la patte dans un album.

Je l'aime, le mot n'est pas trop fort.

Il a écrit une chanson "Là-bas", qui est reprise à bon escient dans les écoles, car elle est, avec "Lili "de Pierre Perret, la meilleure chanson sur l'immigration. Elle est même supérieure, car sans jugement.

Je pourrais parler des heures avec passion de lui, car Jean-Jacques est par-dessus tout un mystère. Je ne sais pas si, excepté son frère, personne ne peut le pénétrer au-delà d'une certaine limite. Il est« indébuscable ».

Voilà, la chanson française peut être fière d'être représentée par ce prince des humanistes, qui parle et chante pour être compris, noble projet !

 

S.L