16.03.2011
16 Mars 2013: Nantes
23:30 Publié dans 2013, Serge Lama en concert, tweets | Lien permanent | Commentaires (0)
16 Mars 2013: 17 ème sans ascenseur
17 ème sans ascenseur est une émission présentée par Laurent Baffie sur Paris première. L'émission a pour principe un diner entre copains au cours duquel il discute avec ses invités.
Ce jour là Alice Dona était présente autour de la table et a raconté l'histoire de la création de la chanson "je suis malade "
Voici la vidéo :
19:56 Publié dans 2013, Ils parlent de Serge Lama, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : je suis malade
16 Mars 2013: Paris Normandie
15:33 Publié dans 2013, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
15.03.2011
15 Mars 2013: Ouest France
Ouest France annonçait le concert de Lama au Zenith de Caen
Serge Lama, l'éternel poète, au Zénith - Caen
vendredi 15 mars 2013
Il sera ce vendredi soir au Zénith, dans le cadre de sa tournée,La balade du poète. Il fête, cette année, ses 50 ans de carrière.
L'artiste a fêté en février dernier ses 70 ans, dont 50 ans de carrière. Le virus, c'est son père, Georges Chauvier, chanteur d'opérette, qui le lui a donné.
À huit ans, il aimait déjà traîner dans les coulisses du Théâtre des Capucines, à Bordeaux, la ville où il est né le 11 février 1943. Début des années 60, libre dans l'âme, il fuit le domicile familial et vit de petits boulots avant de partir pour son service militaire en Algérie où il écrira les chansons de ses premiers disques.
Après avoir rencontré la pianiste Jackie Bayard qui met ses premiers textes en musique, et s'être produit aux côtés de Barbara au cabaret l'Écluse, il est remarqué par Renée Lebas qui lui fait enregistrer son premier disque à l'âge de 19 ans. Son passage à la salle de music-hall Bobino en 1964 lancera sa carrière.
Dans son dernier album, La balade du poète, il livre les chansons qui ont marqué sa carrière : Je suis malade, Une île, Les petites femmes de Pigalle... Ainsi que des textes inédits.
Amoureux des mots depuis tout jeune, il a déclaré dernièrement à Laurent Ruquier lors de son passage dans l'émission On n'est pas couché : « J'aimais tellement les mots, j'en faisais quelque chose comme on joue avec des jouets, je ne suis pas sûr que je comprenais ce que j'écrivais. » Durant sa carrière, il a aussi composé des chansons pour Régine, Juliette Gréco, Nana Mouskouri... Grand admirateur de Brel, aux textes suivent une prestance qui en fait un des plus grands artistes chanteurs français de notre temps.
Vendredi 15 mars, à 20 h 30, au Zénith de Caen. Tarifs : de 51 à 55 €.
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Tweet de Lama après le concert
Zenith de Caen: Photo D.R.
Le 16-03-2013
Il s'est passé qqch d'exceptionnel hier soir à Caen et j'en n'étais pas le seul responsable. S.L
23:14 Publié dans 2013, La presse des années 2010, Serge Lama en concert, tweets | Lien permanent | Commentaires (0)
07.03.2011
7 Mars 2013: C à vous
Serge Lama était invité en direct Jeudi 7 Mars 2013 sur le plateau de "C à vous" émission présentée par Alessandra Sublet sur France 5.
Extrait:
Dans la deuxième partie il y avait également l'écrivain Guillaume Musso
Photo D.R.
Site de l'émission ICI
22:10 Publié dans 2013, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
7 Mars 2013: 100 % Mag
Jeudi 7 Mars un reportage était consacré à Serge Lama dans cette émission de M6 diffusée à 18h45
22:05 Publié dans 2013, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
7 Mars 2013: Photos Olympia purepeople
Le site Purepeople publie une série de 107 photos prises à l'Olympia
Voici quelques clichés
Serge sur scène
Serge et ses amis
Toutes les photos
22:00 Publié dans 2013, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
06.03.2011
6 Mars 2013: Ici Paris
22:30 Publié dans 2013, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
01.03.2011
Mars 2013: The birds
01:00 Publié dans 2013 | Lien permanent | Commentaires (0)
26.02.2011
26 Février 2013: La dernière heure
Après les concert du 23 et 24 Février à Liège et Charleroi
Serge Lama du fond du cœur
Le spectacle de ses 70 ans. Grave ou rieur, il évoque son âge dans ses chansons
Indubitablement, ce spectacle des 70 ans que Serge Lama a présenté samedi à Liège et hier à Charleroi (il reviendra en mai à Marche et au Cirque Royal) est l’aboutissement d’un concept que le chanteur a mûri pendant plusieurs années et qui est arrivé à son total aboutissement. Deux lignes principales. La première, c’est qu’il revient – pour les trois quarts de son répertoire – avec les chansons qui faisaient déjà son succès il y a trente ans. On peut comprendre que, pour parer à une certaine habitude, il ait eu l’envie de les présenter autrement. Le piano n’est plus, comme avant, l’instrument souverain et Serge Lama arrive avec guitare, accordéon et surtout un très joli quatuor à cordes. Les intros, surtout, sont différentes. De sorte que les gens se demandent : “Tiens, celle-ci, c’est laquelle ?” Cela peut être amusant. Voire complètement inattendu. Son Femmes Femmes Femmes commence pratiquement de façon symphonique. Mais quand c’est votre chanson, celle que vous aimez et que vous attendez, il peut aussi y avoir une pointe de déception parce que, celle-là, on a envie de l’entendre comme on l’aime. Mais assurément, la formule apporte aussi ses grands moments. La nouvelle version de L’Algérie est sublime, amenée par une intro andalouse, à la guitare, et enrichie par des cordes arabisantes en appui de chaque refrain. La deuxième chose, c’est qu’on ne chante plus à 70 ans comme on le faisait à 40 ans. Ces chansons avec lesquelles il faisait jadis le coup-de-poing arrivent modulées, exprimées du fond du cœur. C’est très intéressant. C’était un choix déjà présent dans ses spectacles précédents. Mais c’est maintenant totalement au point. D’ailleurs, le récent double album La balade du poète est, pour l’essentiel, un recueil de ces versions revisitées. Dans ses textes, Serge Lama évoque régulièrement ses 70 ans. Parfois sur le ton grave, parfois sur celui de la plaisanterie. Il profite aussi de sa scène pour rendre un formidable hommage à Barbara. Le côté visuel est exceptionnellement soigné, avec un grand rideau ouvert, des éclairages raffinés et, surtout, un écran en forme de grand tableau de peintre où défilent des photos anciennes de Serge Lama, mais aussi celles de ses parents et de ses compositeurs historiques, Alice Dona et Yves Gilbert.
14:59 Publié dans 2013, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)