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01.08.2011

1 Aout 2013: Marc Chevalier

Marc Chevalier un des fondateurs du cabaret l'Ecluse qui a permi entre autre à Serge Lama de débuter est décédé le 18 Juillet 2013 à 93 ans.

Serge Lama lui rend hommage

 

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J'ai appris avec tristesse la disparition de Marc Chevalier, qui, avec Brigitte Sabouraud, Léo Noël et André Schlesser, fut aux commandes du cabaret « L'Ecluse » lorsque j’ai débuté.
Il me conseillait toujours avec un léger sourire, beaucoup de bienveillance, de justesse et une tendre humilité, en bon artisan du spectacle qu'il était. Il a fait partie des pionniers de ce que fut l'esprit « rive gauche » après la guerre. Cette semée qui a engendré tant de grands et vrais artistes, qui traînaient sous leurs pieds, la poussière de poésie et de folie qui collait aux pavés surréalistes de l'entre-deux-guerres. Quelque chose de beau, de pur, de vrai, un temps où même les salauds étaient sincères. Toute l'authenticité du rêve s'en va avec lui. Interminable est la liste de ceux qui doivent quelque chose à ce cher Marc Chevalier.
Si le Bon Dieu existe qu’il te conduise à travers ciel au Père éternel, et s’il n’existe pas, il ne sait pas qui il perd. Bien à toi. S.L

22.07.2011

22 Juillet 2013: Album Maxime Le Forestier

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Le 22-07-2013

 

Lama écouté avec ravissement le dernier album de son Maxime Le Forestier "Le cadeau", Lama donc pas cracher.

S.L

20:13 Publié dans 2013, tweets | Lien permanent | Commentaires (0)

19.07.2011

19 Juillet 2013: Clip de Christophe Maé

Clip de Christophe Maé sur la chanson 'je veux du bonheur' signée de Serge Lama

 

Le 19-07-2013

 

Le clip de Christophe a évité les pièges de mon texte ultra positif. Il est tout sauf redondant, il prend le contre-pied de cette quémande et montre que son personnage de clown, s'il demande du bonheur, c'est justement parce qu’il en manque.... Dans ce clip très "artiste", très fellinien, Christophe démontre, en plus de ses prouesses physiques, des qualités de comédien et d'interprète que peut-être certains ne lui connaissaient pas. Bravo et merci à lui de prouver qu'un texte ne dit pas que ce qu'il dit.


S.L

19 Juillet 2013: Francofolies de SPA

Serge Lama était au Francofolies de SPA ( Belgique) le 19 Juillet 2013

 

 

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Charles Gardier (co-directeur des Francofolies) :"On continue à être extrêmement attentif à tout ce qui se fait de nouveau d'abord et puis, on peut encore, après 19 ans, aller chercher un artiste comme Serge Lama qu'on n'avait jamais eu l'occasion d'avoir et on avait déjà essayé quelques fois.On l'a enfin et Serge Lama est un grand artiste".

 

 

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Le 22-07-2013
 
Je suis revenu à Spa comme à mes origines, des spectacles partout, avant après. Le public vient comme dans une grande fête, pour le bonheur de regarder partout à la fois et de découvrir. Ce fut un exercice de style que je n'avais pas pratiqué depuis bien longtemps, des improvisations inhabituelles que seul l’instant inspire.
La joie spontanée de ce public debout depuis des heures pour certains, le cadre à la fois urbain et rural, cet enclos, cet écrin conçu par les organisateurs pour sertir des Julien Clerc, jaune comme un soleil que sa musique si artiste disperse dans le coeur de ces bras, de ces voix qui l'accompagnent. J'étais sur le côté, ému, me souvenant qu’en 70 j'avais assuré sa première partie. Grand seigneur il est venu me saluer dans ma loge, complicité d'artistes qui ont les deux cinquante ans de carrière, qui les deux ont encore des rêves et des dents. Il porte beau le Julien, il mourra jeune, très tard.
Le petit génie de l'imitation, Gregorio, passait juste après moi. Il imite tout, il s'identifie, il ratisse large, il ne lui manque que les insectes, mais pour les guitares, les femmes et les voix d'hommes improbables il excelle. Un grand que ce petit bonhomme.
Pour moi, ben j'ai retrouvé mes galas de jeunesse en plein été, en plein air, les cirques, les arènes, les bruyantes foires, tous ces quotidiens que l'enthousiasme endimanche. Le monde est beau pour les artistes dès qu'il trouve un public.
Et me voilà rentré dans un Paris écrasé par la canicule, des confettis de visages plein la tête. Enfin bref, merci Spa, petit havre de joie à quelques kilomètres de liège. Liège c'est le bouchon, Spa c'est la bouteille.
Un éventail de merci, merci de m’avoir réenfancé.

 

18.07.2011

18 Juillet 2013: Télé matin

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Dans sa rubrique, Frederic Zeitoun consacrait un reportage sur Serge Lama aux Francolies de Montréal.

 

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01.07.2011

Juillet 2013: The birds

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19:03 Publié dans 2013 | Lien permanent | Commentaires (0)

Juillet 2013:Femme actuelle jeux

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23.06.2011

23 Juin 2013: Chabada

 

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CHABADA spécial Gilbert Bécaud Dimanche 23 Juin 2013 à 17h sur France 3

Dernière émission et record d'audience de la saison avec près de 1,4 millions de téléspectateurs.

 

 

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Daniela Lumbroso a consacré des Chabada à Edith Piaf, Brassens, Brel, Trenet et tant d’autres et elle ne pouvait pas conclure ces quatre années Chabada sans évoquer Gilbert Bécaud !

Pour chanter l’œuvre de Monsieur 100 000 Volts, elle a convié son grand ami Serge Lama, et puis deux artistes de la jeune génération : Alex Beaupain et Joyce Jonathan, qui reprendront ensemble tous les plus grands tubes de Bécaud . Accompagnés des musiciens de Chabada branchés eux aussi sur du 100 000 volts, ils interpréteront « Quand il est mort, le poète », « La solitude, ça n’existe pas», « C’est en septembre », «C’était mon ami, c’était mon copain», «Je reviens te chercher»,  «Mes mains», «Et maintenant», et tant d’autres titres...

Kitty Bécaud, la femme de Gilbert, qui se fait très rare sur les plateaux de télévision, reviendra sur les moments forts de la carrière de son époux, avec bien sûr les anecdotes de Jacques Pessis incollable sur la vie de Bécaud, de ses costumes en alpaga bleu à ses cravates à pois. Au programme : du rire, de l’émotion et du partage pour ce dernier numéro de Chabada.

 

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Hommage de Serge à Gilbert Bécaud


 

 

 Emission enregistrée le 24 Avril 2013

 

Autre extrait

 

 

 

18.06.2011

18 Juin 2013:Info culture

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Le spectacle de Serge Lama à Montréal: un travail d’orfèvre





Serge Lama, cet amoureux du Québec, était de retour sur scène de la Place des Arts à Montréal le 16 juin pour une seule représentation de son spectacle Mes plus belles chansons – la tournée anniversaire dans le cadre des Francofolies de Montréal. Après s’être impatiemment fait attendre pendant 45 minutes alors que le jeune interprète Jean-Baptiste livrait tant bien que mal la première partie, le chanteur français s’est présenté sous les applaudissements nourris d’un public de têtes grisonnantes.
50 ans de carrière, 70 ans de vie, événements qui ont poussé le créateur D’aventure en aventure à plonger son répertoire de meilleures chansons dans un bain de jouvence. Il était temps de dépoussiérer ces magnifiques poèmes qui suggèrent la mélancolie et la tristesse pour la plupart. Sur scène, il y avait bien entendu l’accordéon et la direction musicale du complice Sergio Tomassi. Mais cette fois, le piano à bretelles se faisait discret et laissait toute la place à trois violons et au violoncelle qui donnaient du panache, créaient un tapis confortable et un équilibre à la voix dure du chanteur.
Les améliorations du spectacle de Serge Lama sont étonnantes au point où l’interprète se trouve ici au sommet de son art. L’utilisation des percussions et des guitares est tout simplement envoûtante car elle injecte étonnamment aux chansons de Lama, fraîcheur, douceur et légèreté. Sans compter ce décor imaginatif et toute en nuance. Le rideau danse et se colore en teinte et demi-teintes tout au long de la prestation et fait partie intégrante d’un spectacle où l’unité et l’harmonie règnent. Les éclairages sont aussi plus que parfaits. Ils sont gais, artistiques et valsent au rythme du chanteur, des paroles et de la musique.
Le tout est exceptionnel et les trouvailles nombreuses! Que ce soit la façon d’intégrer les musiciens au spectacle, l’entracte sans entracte ou ce miroir géant qui est aussi un visionneur de photos. Car tout dans cet événement pointe vers l’autobiographie. Les chansons sont souvent accompagnées d’un diaporama illustrant des moments de vie de Lama ou affichent des photos de gens importants dans son univers comme Barbara.





Quant à ce pilier de la chanson française dans la lignée des Brel et Aznavour, il vient de se mériter la grande médaille de la chanson française pour l’ensemble de ses chansons par l’Académie française. Il demeure un artiste exceptionnel. Cette voix qui commande toujours, qui caresse, qui écrase, qui s’éteint soudainement. Cette voix virile de Lama qui joue l’émotion et fouille immanquablement dans votre âme. On est loin ici de Claude François…
Si d’entrée de jeu, le show paraît froid, ce n’est qu’une question de temps avant que le spectateur ne soit happé par le tourbillon de sa séduction. Lama est un artiste généreux qui gâte le public. 30 chansons. Plus de deux heures sur scène. Le don de soi sans compromis c’est l’étoffe de laquelle est faite cette légende. Les chansons extraordinaires y sont passées une après l’autre, Le ballon rouge, Femme femme femme, Je t’aime à la folie, L’Algérie, Une île, sa préférée Le 15 juillet à 5 heures, et finalement, avec que l’accordéon en arrière-plan, la triste Je suis malade, sur laquelle il nous a quitté habillé de son complet blanc.
À travers ce spectacle, Lama accomplit ce que peu d’interprètes de son calibre réussissent. Lama se réinvente en bonifiant la saveur, la texture et la couleur de son oeuvre. Le spectacle de Serge Lama est un véritable travail d’orfèvre!

18 Juin 2013:Rue Rezzonico.com

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Francos 2013, Jour 4: bon anniversaire

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Serge Lama: 50 ans de carrière, 30 titres, deux heures et demie d'émotion. Photo Victor Diaz Lamich/Courtoisie FrancoFolies de Montréal

 

Vingt-cinquième anniversaire des FrancoFolies, fête des Pères, spectacle anniversaire des 50 années de carrière de Serge Lama… Ça faisait beaucoup de choses à célébrer le même jour, en ce dimanche pluvieux. Le 16 juin, tiens, c’est également la date d’anniversaire de ma mère disparue l’an dernier.

Par Philippe Rezzonico

C’est d’ailleurs cet anniversaire-là qui m’inquiétait un peu avant la prestation de Lama à la salle Wilfrid-Pelletier. Nous l’avons vu quelques fois ensemble, le grand Serge. Une bonne idée d’aller entendre les chansons de Lama précisément en cette journée et de me foutre les tripes en l’air? Pas sûr, mais je ne pouvais passer outre.

Au cours des ans, le Français à la mâchoire carrée, la voix puissante et le rire tonitruant a tellement donné le meilleur de lui-même auprès de ce public québécois qu’il chérit, qu’il aurait insultant de ne pas se présenter.

Surtout qu’il avait sorti le grand jeu, l’ami Serge, pour cette occasion toute spéciale. Après l’avoir vu si souvent parcourir le Québec en formation réduite ou minimaliste depuis une dizaine d’années, on avait presque oublié à quoi ça ressemblait un spectacle de Lama avec plus d’une demi-douzaine de musiciens, incluant un quatuor féminin à cordes.

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Lama avait un quatuor de cordes - et de charme - pour l'occasion. Photo Victor Diaz Lamich/Courtoisie FrancoFolies de Montréal

 

Et ces immenses rideaux digne d’un palais, tendus de façon asymétrique, qui servaient à la fois de décor et d’écran pour les jeux de lumières peints par un maître… Somptueux. Et ce grand miroir ce scène, à la fois réflecteur et écran, sur lequel défilaient les images de la vie de l’artiste… Brillant concept.

Et ce répertoire… Que Lama interprète avec toutes les nuances appropriées. Avec douceur (Les ballons rouges), humour (Mémorandum pour un pucelage), chaleur (Chez moi), désir (Je t’aime), gravité (La fille dans l’église) et respect (La chanteuse a 20 ans, dédiée à Barbara, qui lui a ouvert les portes de Bobino en 1964).

Le ton est important, chez Lama. Essentiel, même. Il sait que D’aventures en aventures doit bercer le spectateur, que Les p’tites femmes de Pigalle est une chanson gaillarde et que J’arrive à l’heure doit être interprétée comme si sa vie défilait devant lui. Ce qui fut le cas sur le miroir, où défilaient des photos de Lama de la naissance à aujourd’hui.

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Généreux, Lama a interprété 30 chansons de toutes ses périodes. Photo Victor Diaz/Courtoisie FrancoFolies de Montréal

 

Le chanteur s’est calé dans un fauteuil à haut dossier devant ledit miroir pour nous interpréter Seul tout seul, et c’est sa réflexion que l’on regardait. Une belle trouvaille, cet objet. Il a servi à montrer le visage de son maître, Marcel Gobineau, l’ami de son père qui a servi d’inspiration à Mon ami mon maître, ainsi que celui de sa mère, Maman Chauvier, qu’il avait pris soin d’amener dans ses bagages. Touchant.

Lama a varié les ambiances en un tournemain : la grandiose Des éclairs et des révolvers et la bouleversante L’enfant d’un autre étant livrées avec la même qualité. L’artiste a même ressorti son complet blanc, pas porté sur scène depuis 30 ans. Non, ce n’était pas un spectacle comme les autres.

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Sergio Tomassi et Lama: des décennies de complicité.Photo Victor Diaz Lamich/Courtoisie FrancoFolies de Montréal

Là où nous étions en terrain connu, c’est lorsque la foule reprend spontanément au vol Je t’aime à la folie, que Lama boucle Une île en mode a cappella, et qu’il nous sert à la 30e chanson de ce programme de près de deux heures et demie (Je suis malade), la terminant a cappella ET sans micro. Je crois bien qu’on a touché le ciel.

En définitive, ai-je pris la bonne décision de me pointer au spectacle de Lama? Et comment!

Surtout qu’en raison d’un curieux concours de circonstances, le fauteuil situé à la gauche du mien est demeuré inoccupé toute la soirée. Mais j’étais bien la seule personne dans la salle Wilfrid-Pelletier à savoir qu’il n’était pas vide…