20.02.2009
Février 2002 : Platine
06:45 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
19.02.2009
19 Février 2006: Concert à Metz
22:42 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
17 Février 2009 : Nous deux
07:00 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
18.02.2009
18 Février 2004:La voix du Nord
Après le Concert à Avesnes sur Helpes le 15 février 2004
Serge Lama: une voix, des notes, des mots
La venue de Serge Lama dans la ville sous-préfecture, sera, sans aucun doute, le point d’orgue de la saison culturelle avesnoise.
A peine le spectacle était-il annonce qu'il affichait déjà complet. Il faut dire qu'on n'a pas de mal à remplir une salle de cinq cents places lorsque l'invité s'appelle Serge Lama.
« Accordéonissi-mots », c'est le nom du spectacle, est une rencontre, celle de l'instrument le plus singulier, le plus complexe et le plus populaire, l'accordéon, avec une voix, des notes, et des mots, ceux de Serge Lama. Comme se plaît à le souligner l'artiste : « il est composé de chansons mal aimées que j'aime, mêlé à des chansons que vous aimez, et que j'aime aussi... C'est un spectacle qui a la prétention de ne pas en avoir. »
Cette tournée, qui a commencé le 1er février à Sarcelles, en région parisienne, s'achèvera le 4 décembre à Hazebrouck. Une centaine de villes seront visitées, du nord au sud, d'est en ouest, en passant par la Belgique. Un véritable marathon pour Serge Lama et son accordéoniste.
A Avesnes, celui qui a été classé cette année à la neuvième place du Top Mid Prices, pour son disque Plurielles a interprété ses standards les plus connus commençant par les Ballons rouges, son premier grand succès (1967) pour terminer par Je suis malade (1973) interprétée a capella.
Le public a lui aussi montré qu'il avait de la voix en reprenant, en chœur, quelques refrains parmi les plus connus.
Chanteur populaire au sens le plus noble du terme, Serge Lama a montré qu'il avait encore de l'énergie à revendre. Qu'il était toujours aussi bouillonnant.
Sa stature imposante et sa voix sûre, presque tonitruante, en ont épaté plus d'un et on espère qu'il reviendra.
Gérard LEMAIRE
16:03 Publié dans 2004, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
18 Février 2007: Ouest France
En concert le mercredi 21 Février 2007 à Fontenay -le-Comte
Dégustez le nouveau Lama à Fontenay-le-Comte
Le même, mais différent. C'est ainsi que l'on pourrait qualifier le chanteur qui propose une version étonnante de ses anciens succès, accompagné d'un seul accordéoniste.
Difficile, quand on est issu de la grande famille de la chanson française des années 60 et 70 de faire son trou sur la scène culturelle de ce début de XXIe siècle. Presque insurmontable quand on est en prime étiqueté « chanteur de variétés » et invariablement associé aux shows télévisuels de Maritie et Gilbert Carpentier. Pourtant, Serge Lama, à 63 ans, fait encore salle comble. Ses 200 concerts exécutés en février 2004 ont tous été affichés complets. Plus de 100 000 spectateurs ont applaudi la tournée Accordéonissi-Mots. Alors, qu'est-ce qui habille autant de gens vers cet artiste qui n'a jamais sacrifié aux caprices des modes et dont le patronyme évoque plus facilement pour les jeunes générations un gardien de mais qu'un chanteur à succès ?
Probablement, un répertoire qui regorge de pépites. Je suis malade, D'aventures en aventures, Les ballons rouges, Une île..., autant de chefs-d'œuvre inscrits au livre d'or de la chanson française. Impossible de verser Serge Lama de les écarter de son tour de chant. Alors pour redonner du lustre à ces écrits presque quarantenaire, le chanteur a décidé d'en livrer une nouvelle version. Sur disque d'abord. En 2004, son album Pluri (elles) représente une douzaine de ses plus célèbres compositions avec, pour chacune d'entre elles, un partenaire différent. Annie Girardot, Lara Fabian, Anggun, Enzo-Enzo et même Laurie sont venues poser leur voix sur ses partitions inoubliables.
L'autre idée lumineuse de Serge Lama est de proposer une version encore différente, de ses œuvres sur scène. Cette fois, plus de choriste prestigieux, mais un seul et unique musicien : l'accordéoniste Sergio Tomassi, ancien accompagnateur de Barbara. Dans son dossier de presse, le chanteur détaille son projet : « Il est composé de chansons mal aimées que j'aime, mêlées à des chansons que vous aimez et que j'aime aussi... C'est aussi la rencontre de deux âmes. L'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventeur des fleurs ». Que rajouter de plus ? Ah si !Serge Lama sera en concert mercredi 21 février à la Gare de Fontenay-le-Comte.
Jean-Philippe GAUTIER.
Concert à 20 h 30, mercredi 21 février. Méridienne 39, gradins 36. Renseignements et réservations au 05 49 09 92 98.
12:01 Publié dans 2007, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
18 Février 2006 : Le Républicain Lorrain
Article publié par le journal "Le Répuplicain Lorrain" le 18 février 2006.
Avant le concert à l'Arsenal de Metz
06:45 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : serge lama
17.02.2009
17 Février 2007:La voix de l'est
09:06 Publié dans 2007, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
17 février 2009 : Rue Frontenac
Article de Philippe REZZONICO publié sur RUE FRONTENAC.COM
L'Âge d'horizons de Serge Lama,
D'où qu'on parte, chante Serge Lama en ouverture de L'Âge d'horizons, son nouveau disque, disponible le 17 février. Lui, il est parti de Bordeaux, où il est né Serge Chauvier le 11 février 1943. Au plan artistique, il est parti de la finale des Relais de la finale de la chanson française 1964, concours qui a mené à ses deux premiers enregistrements, À quinze ans et Le Bouffon du roi.
Aujourd'hui, à 66 ans, Lama est en parfaite osmose avec sa voix de baryton, son écriture, les musiques de ses collègues (Christophe Leporatti, Yves Gilbert, Sergio Tomassi) et sa propre réalité.
Qu'il parle du destin auquel on peut rarement changer quelque chose (D'où qu'on parte, grandiose), qu'il décline une étude sociologie entre les sexes (Les Hommes et les Femmes), qu'il évoque le temps qui passe (J'arrive à l'heure, géante), les déchirures (Alors que l'on s'est tant aimés, bouleversante), les crimes passionnels (Accident d'amour, troublante) et l'époque révolue de sa grand-mère et de Brassens (La Lampe à pétrole, universelle), Lama a le mot juste et l'intention précise.
Sans délaisser son compositeur de toujours, Yves Gilbert, ainsi que Sergio Tomassi, qui l'aide à revitaliser son catalogue depuis plus d'une décennie, Lama ramène un piano après une éternité sur certaines chansons, ce qui permet de donner du tonus et de la profondeur à certains titres et à offrir un meilleur équilibre entre chansons denses et chansons ludiques.
Mais – est-ce parce que le temps passe ? –, ce sont les chansons qui touchent le cœur et l'âme (J'espère, Socrate, Une histoire de rien) qui font plus d'effet que les joyeuses Que Viva Vivaldi et académiques Verbaudrimlaine. Peut-être parce que l'on sait que ce genre de chansons, Lama les maîtrise depuis très longtemps, peu importe d'où il est parti.
07:00 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
16.02.2009
16 Février 2005:Sud Ouest
Concert au Pin Galant de Mérignac le 15 février 2005
Lama comme chez lui
CONCERT. Serge Lama se produisait hier soir au Pin Galant à Mérignac.
Le showman a conquis une salle comble qui lui a réservé une standing ovation
Un concert tous les deux ans au même endroit. Serge Lama est un habitué du Pin Galant. Et le public est un habitué de Lama. En grande partie féminine, il est suspendu aux lèvres du bonhomme comme à ses textes qu'il connaît par cœur. Alors, évidemment, il est facile dans ces conditions de gagner sa soirée à peu de frais, à envoyer des tubes à la file ravir les fans.
Mais Lama ne mange pas de ce pain-là. Hier soir, devant une salle pleine à craquer, il a livré un spectacle plein, étonnant et fort. Commençant comme il est juste, puisque c'est une tradition, par « les Ballons rouges », il a enchaîné ensuite par un répertoire que l'on s'étonne à chaque fois de ne pas découvrir, tant il est entré dans la bande- son qui accompagne les vies depuis les années 70.
Vrais moments de complicité. Après un premier moment fort ("l'Algérie", chanson riche et juste, sans haine et sans peur), il a ensuite écrit quelques-uns de ses succès les plus sûrs avec une aisance, une facilité et une maîtrise qui laissent parfois pantois. Plus qu'un tour de chant, c'est un véritable one-man-show auquel il s'est livré, interrompant une mélodie pour une digression rigolarde, un clin d'œil à Bordeaux, de vrais moments de complicité comme seuls les artistes les plus généreux savent en glisser en prétendant croire qu'ils sont en famille et qu'ils ne font ça que pour nous. Visiblement d'humeur primesautière, il s'est amusé à cabotiner avec l'aisance d'un showman madré et accompli, mais il est allé au-delà.
Hier soir, il s'est passé quelque chose de fort entre lui et son public, pas seulement parce que Charles Aznavour était présent dans la salle. Tour à tour émouvant et drôle, déconcertant d'aisance et de facilité, jouant en finesse d'une voix dont le timbre est reconnaissable entre tous, il a livré un spectacle digne d'un grand de la chanson française, achevant ses presque deux heures de prestation par un époustouflant « Je suis malade », chargé d'une émotion palpable, récoltant une standing ovation plus que logique. Le rappel, « Marie », a cappella, entonné drapé dans le rideau de scène, ne faisait qu'enfoncer le clou et confirmer la performance.
Jean-Luc Eluard
16:41 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
16 Février 2002: La Tribune
15:09 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)