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29.04.2009

29 Avril 2011: La Tribune

Serge Lama en tournée au Quebec chantait à Sherbrooke

 

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23.04.2009

23 Avril 20011:La Tribune

Article avant le concert du 28 Avril 2011 à Sherbrook

 

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22.04.2009

22 Avril 2011: Le Soleil

Encore un très bel article suite à la prestation de Serge Lama dans la ville de Quebec

 

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22 Avril 2011: Quebec spot média

Au lendemain du premier des 3 concerts donnés dans la ville de Quebec ce journal publiait cet article:

 

 Serge Lama au Capitole de Québec, tout simplement un très grand moment



 Ce 21 avril, un grand artiste de la chanson française entamait un spectacle tout à son image. Serge Lama, ce poète, écrivain, auteur, compositeur et interprète a fait son entrée en scène, seul durant sa première œuvre, Star, il émerveille une salle comble avec juste un micro.
Ses deux musiciens feront leur entrée et lors de leur présentation, l’humour légendaire qu’il incarne dans sa personnalité généreuse, sa simplicité naturelle, il vole, il vole… au-dessus du Capitole.
Commence alors son répertoire en passant de Pigalle et ses petites femmes, jusqu’à son époque Napoléonienne, durant une communion réciproque avec son public de Québec.
Une très grande complicité est bien présente avec ses deux musiciens qui le lui rendent réciproquement au début de Verbaudrimlaine, qu’ils entonneront chacun leur tour en déclenchant un rire collectif autant sur scène que dans le Capitole.
De sa voix puissante, il transporte une intense émotion qui a traversé le temps et les océans, ce qui lui vaut des ovations générales au fur et à mesure d’aventures en aventure, il fait chanter son public qu’il aime à la folie.
S’en suivra la présentation de ceux qui l’assistent dans ses tournées, avec un Joyeux Anniversaire à son co-éditeur, Jéhan, qui fêtait son anniversaire de naissance hier soir et que Serge, pour rien au monde, n’aurait oublié de souligner par une ovation générale.

 Les objets hétéroclites feront alors l’objet d’une dédicace spéciale aux dames, de manière drôle, avec beaucoup d’explications et d’imagination, il fera encore de longues blagues en agaçant les hommes.
Serge Lama, impressionnant, émouvant, il occupe tout l’espace de la scène, théâtral, illustre et grandiose, l’homme en noir fait passer son public par toutes les sauces, mais toujours simple et naturel, tout au long de cette soirée, le grand Serge, généreux et authentique, il fait résonner le Capitole avec un tour de chant qui aura laissé au public, le souvenir d’un très grand moment en sa compagnie.
Texte et photos : Fabien Demarteau

21.04.2009

21 Avril 2011: Le journal de Magog

Entretien avant le concert au théâtre Granada de Sherbrooke le 28 avril 2011

 

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Serge Lama : une carrière d'aventure en aventure

 

Dans le cadre d'une tournée québécoise de plusieurs semaines, celui qui chante l'amour comme personne fait un arrêt à Sherbrooke, le 28 avril au théâtre Granada. 

Entretien avec la légende de la chanson française Serge Lama...

Après plus de quarante-cinq années de carrière, la scène lui apporte encore et toujours une immense dose d'adrénaline. 

« Il y a toujours un moment où le public me manque et m'appelle. Du coup, la passion est toujours là. Il y a beaucoup d'adrénaline sur scène ; c'est comme une drogue. C'est le public qui me donne cette énergie. Aujourd'hui, à mon âge, je ne fais plus autant de spectacles qu'auparavant. Je suis passé de quinze concerts par mois à dix, mais le goût de la scène est encore là. Tant que le public m'aime et m'appelle, pourquoi ne pas répondre !», explique le chanteur de 68 ans.

Non, la retraite ne fait partie des plans de Serge Lama. 

« En fait, la retraite, ce n'est pas moi qui la décide, mais mon corps. Je ne veux pas devenir comme certains chanteurs qui, selon moi, ont fait ce que l'on appelle chez les sportifs le fameux combat de trop ! Je voudrais éviter de faire cela. »

L'amour, source inépuisable...

Dans le cadre de sa tournée québécoise, il puisera dans son immense répertoire, de Je suis malade à D'aventures en aventures, en passant par Je t'aime à la folie. Il présentera aussi quelques-unes de ses nouvelles chansons, puisque, oui, Serge Lama compose et écrit encore. « J'écris encore énormément. J'ai besoin de ça. L'écriture est constante dans ma vie. D'ailleurs, lorsque je n'écris pas, je commence à m'embêter ! »

L'inspiration est toujours au rendez-vous. Mais avec l'amour pour thème principal, a-t-il déjà l'impression d'avoir fait le tour du jardin ? 

« Non, puisque l'amour dans le sens vaste du terme est sans fin. Cependant, l'amour dans le sens réduit du terme a ses limites. Lorsque l'on est plus jeune, on associe l'amour au sexe. Mais c'est le sexe qui s'use, et non pas le sentiment d'amour qui, lui, est inexplicable », répond l'artiste qui a écrit ses premiers poèmes à l'âge de neuf ans.

En rafale...

Votre plus belle réussite dans la vie ?

"Mon fils. J'étais tellement occupé que je ne pensais pas un jour avoir d'enfant, mais c'est arrivé dans ma vie inopinément. Mon métier m'a apporté aussi beaucoup de joies de toutes sortes. J'en garde des souvenirs très agréables. »

Votre plus grande peur ? 

«< C'est de perdre les gens que j'aime. Je préfèrerais disparaître avant. »

Qu'est-ce que l'amour, pour vous ? 

"C'est quand on sent que quelqu'un nous manque même quand il est là !"

Avez-vous encore des rêves ou des objectifs professionnels que vous n'avez pas encore réalisés ? 

« Oui, bien sûr ! Peut-être une forme différente de spectacles ou, qui sait, le jour où j'arrêterai de chanter je trouverai peut-être quelque chose à faire qui m'étonnera moi-même! La vie est surprenante de temps en temps. »

CYNTHIA DUBÉ

 

21 avril 2011 : L'écho de Laval - Canada

10 questions posées à Serge Lama par le journal L'écho de Laval

 

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19.04.2009

19 avril 2010: L'Est Republicain

Interview donnée dans l'Est républicain avant le passage de Serge à Belfort le vendredi 23 avril 2010


 

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13.04.2009

13 Avril 2011:Journal le Nord

Concert prévu le 16 Avril 2011 salle André Prevost à St Jerome

 

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13 Avril 2011: Courrier Laval

Concert au Théâtre Marcellin Champagnat le 18 Avril 2011

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13 Avril 2011: Le droit

Suite à la prestation de Serge Lama dans la ville de Gatineau au Quebec, le journal le Droit publiait le lendemain ce paoier.

 

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Une île et des vagues d'émotions

 

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Tantôt se tendant, tantôt devenant poings, les mains de Serge Lama se sont faites tout aussi loquaces que son regard, hier soir, à la Maison de la culture de Gatineau.

Étienne Ranger, LeDroit

 

Après cinq ans d'absence, c'est à Gatineau que Serge Lama a entamé sa tournée québécoise, hier soir, renouant avec le public d'ici au cours d'un spectacle ayant sans contredit logé à l'enseigne de l'authenticité. L'authenticité de l'affection qui les unit, ses admirateurs et lui, mais aussi celle, tout aussi indéniable, de la générosité de l'artiste.

Voguant entre hier et aujourd'hui, entre les airs plus dramatiques, plus mélancoliques, et ceux plus légers, voire comiques de son répertoire, Serge Lama a revisité plusieurs de ses incontournables (Mon ami, mon maître, Chez moi, Je t'aime, D'aventures en aventures) tout en incluant quelques titres de son album L'âge d'horizon.

 Il a inévitablement soulevé des vagues d'émotions en cours de soirée, habitant la scène, qu'il soit assis, debout derrière son micro ou se déplaçant côté cour ou côté jardin, de sa voix et de sa présence théâtrale.

 Ses mains tantôt se tendant, tantôt devenant poings, se sont faites tout aussi loquaces que son regard, tour à tour tendre ou dur. À l'instar de ces changements de ton, rendant bien toute la douleur de l'amoureux bafoué dans Alors que l'on s'est tant aimés, son déchirement entre amour et haine (Les Glycines) ou les désirs de L'Esclave. À l'instar de sa fragilité, pleinement audible, pendant Une île, ou encore en pleine possession de ses moyens, pour Marie la Polonaise.

 Il ne faut pas non plus oublier que Serge Lama est homme de convictions, comme en témoignent les récentes Grosso modo (sur l'état de la planète et la société) et D'où qu'on parte (saisissante, tant par le texte que par les éclairages), ainsi que L'Algérie, qu'il interprète avec toute son âme.

 Il est également un quasi septuagénaire qui constate avec un poignant réalisme les affres du passage du temps. À preuve, les accents bouleversants de J'arrive à l'heure (Le cocotier): «Ma vie s'éloigne à vue de deuils», a-t-il alors chanté, porté par l'accordéon et la guitare à fleur de peau de ses complices musiciens, Sergio Tomassi et Philippe Hervouët.

 À travers les coups portés au coeur, l'artiste a bien suscité quelques éclats de rire, notamment lorsqu'il a ouvert la porte de son amusante Salle de bains ou qu'il a décliné sa suave liste d'Objets hétéroclites (Tu te fais l'amour). À ce moment-là, si les hommes n'ont pas osé répondre à sa demande de fredonner le refrain à leurs conjointes, les femmes, elles, l'ont vite adapté pour l'entonner en choeur - et avec coeur: «Je me fais l'amour au gré des frissons que me parcourent».

 «Vous comprenez maintenant, Messieurs, pourquoi vos femmes ont besoin d'objets. Je croyais qu'ici, les hommes étaient plus émancipés!» a par la suite blagué le chanteur.

 Quelques-uns de ses tubes ont, sans surprise, fait particulièrement réagir les spectateurs. Ceux-ci (hommes et femmes alors confondus!) n'ont pas hésité à faire entendre leur voix sur C'est toujours comme ça la première fois et Je t'aime à la folie, ou à marquer la cadence sur Les p'tites femmes de Pigalle.

 Mais c'est sur Je suis malade que Serge Lama, sobrement accompagné à l'accordéon, a conclu, a cappella et sans micro, ces retrouvailles de près de deux heures, sans entracte. On aurait pu entendre une mouche voler dans la salle Odyssée, tant le moment était émouvant...

Le chanteur est toutefois revenu, quelques instants plus tard, enveloppé dans une couverture rouge, pour réciter un poème d'Alfred de Musset, Tristesse, en guise d'ultime et vibrante offrande à son public.

Valérie Lessard