20.10.2015
20 Octobre 2017:CNEWS Matin
Serge Lama en concert les 20 et 21 Octobre 2017 au Pin Roland à Merignac.
Retour au bercail pour Serge Lama à Bordeaux
Né ici à Bordeaux, Serge Lama reste fidèle à ses attaches. Mais son passage ce week-end au Pin Galant de Mérignac a d’autant plus de sens qu’il vient de consacrer une chanson à « Bordeaux ». Enfin !
« Quand naissent les “je me rappelle” / On revient toujours d’où l’on vient ». Retour à la case Bordeaux pour l’une des plus grandes voix et des plus grandes plumes de la chanson française. Une ville qu’il a peu connue jeune – il l’a quittée à 7 ans – mais qu’il a tout de même fréquenté plus souvent qu’à son tour. « C’est un dessin d’enfance », « c’est la main de ma mère » qu’il redécouvre sans cesse : « T’as changé ma rebelle / T’es belle avec tes nouveaux quais. »
L’hommage ira sans doute au cœur des Bordelais présents au Pin Galant (il reste encore quelques places) où il s’installe pour deux soirs, ce soir et demain. Avec les chansons de son dernier album « Où sont passés nos rêves », aux musiques signées Cabrel, Obispo, Bénabar, Adamo, Bruel, Le Forestier, Calogero, Julien Clerc ou encore Christophe Maé, et aussi avec les incontournables de sa carrière, des « P’tites Femmes de Pigalle » à « Je suis malade » via « D’aventures en aventures. »
Sa fidélité alors qu’il pourrait viser beaucoup plus grand, la salle de Mérignac la doit à la médiocrité de la Patinoire, confiait-il à nos amis de « Sud Ouest Dimanche ». Mais pour ceux qui ne pourraient le voir ce week-end, Serge Lama va s’essayer au nouvel Arena de Floirac, le 3 mars prochain (53-60€). •
SLJ
08:15 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : concerts bordeaux
19.10.2015
19 octobre 2017 : La nouvelle République
Serge Lama en concert à Tours
Jeudi prochain, Serge Lama sera sur la scène du Vinci. L’interprète de “ Je suis malade ” parle à la NR de son amour de la scène, son trac, son tour de chant.
Les immenses succès de Serge Lama font référence : « D’aventures en aventures », « Je suis malade », « Femme femme femme », « Le Temps de la rengaine »… Ces tubes que tant d’artistes de la jeune génération aiment reprendre ; ces « Gold », comme les appelle Serge Lama, il les chante encore et toujours. « Après tant d’années de carrière, c’est bien de s’adapter un peu », rigole Serge Lama au téléphone.
Dans une semaine, le chanteur, le grand parolier sera à Tours pour la cinquième date de sa toute nouvelle tournée qu’il a intitulé « Je débute ». A presque 75 ans, l’artiste se laisse amadouer et parle de ce nouveau « tour de chant », de sa timidité et son étonnement quand « les gens s’intéressent à moi ».
Pourquoi avoir appelé votre toute nouvelle tournée « Je débute » ?
« Oui, c’est bizarre, n’est ce pas ? J’ai tant d’années de carrière derrière moi. Mais, à bientôt 75 ans, je me retrouve toujours à débuter à nouveau. J’estime que ce métier est toujours le début d’une nouvelle aventure. Je vais bientôt jouer à la salle Pleyel ; je n’ai jamais fait Pleyel avant. Aujourd’hui, je ne peux plus chanter comme avant. Enchaîner 150 dates, ce n’est plus possible. J’ai des problèmes physiques depuis que j’ai 22 ans (NDLR : Serge Lama a survécu à un terrible accident de voiture) et avec l’âge, ce n’est pas facile. Mais, je suis heureux de faire ce métier. La scène, c’est ma vie. »
Vous ne vous lassez pas de reprendre vos très grands succès sur scène ?
« C’est normal que le public demande des chansons plus anciennes. Quand ils m’entendent les chanter, ça leur rappelle un moment de leur vie, des émotions fortes. Dans mon tour de chant, je fais des chansons anciennes et des plus récentes. La scène sert à faire découvrir de nouvelles compositions. Le disque, c’est un enfermement. On est en studio, on ne sait pas pour qui on chante. C’est tout le contraire de la scène. »
Votre dernier album « Où sont passés nos rêves » a été réalisé en collaboration avec de grands noms de la chanson française. Vous les avez sollicités ?
« J’ai beaucoup de respect pour les compositeurs. Pour ce disque, je me suis entouré des plus grands. J’ai envoyé quelques textes à Cabrel et on a fait des chansons. A Julien (Clerc), je lui ai envoyé un texto pour avoir si ça l’intéressait de faire des musiques pour moi. Il a répondu : “ Bien sûr ”. C’est formidable. »
On a l’impression que ça vous étonne presque qu’ils aient accepté de travailler à vos côtés ?
« Je suis toujours étonné qu’on s’intéresse à moi. On pourrait croire qu’avec mes chansons qui ont beaucoup de force, je sois comme ça dans la vie. Mais non, je suis plus timoré. D’ailleurs, j’ai toujours le trac. Mais par contre, sur scène, je sais exactement ce que je veux, comment construire mon tour de chant. Sur scène, vous êtes le patron. Vous êtes celui que vous voulez être. »
08:27 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : concert tours
17.10.2015
17 Octobre 2017: Presse Océan
08:05 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : concert nantes
15.10.2015
15 Octobre 2017:Sud Ouest
16:52 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
13.10.2015
13 Octobre 2017: La nouvelle gazette
07:55 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : concerts belgique
07.10.2015
7 Octobre 2017: Mag, supplement journal Sud Ouest
07:50 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
23.09.2015
23 Septembre 2017:La dernière heure
07:30 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
18.01.2015
18 janvier 2017: Le huffington Post
LES BLOGS
Le moment que j'ai partagé avec Serge Lama
Nous avons passé un bon moment à évoquer avec une commune passion Baudelaire, Apollinaire, Mallarmé, Aragon, Hugo, Proust, Sartre, Camus ... oubliant pour quelques instants notre chagrin.
D'abord on me fît dire que Serge Lama était souffrant... Aussitôt son plus beau chant (Je suis malade) se mit à pleurer en moi, d'autant que j'étais pareillement dans la douleur d'un deuil. Mais puisque le poète consentit à ouvrir sa porte à une poétesse, nos premières phrases échangées furent pour nos disparus adorés: son épouse (partie en octobre), mon père (est parti en septembre)...
Un peu nostalgique, le nouvel album de Serge Lama lui ressemble et le rassemble en autant de thèmes existentiels qu'il sait traiter avec une sensibilité touchante et vraie, autant dans l'écriture que par l'interprétation: l'amour bien sûr (Je serai là adressée sans doute à la compagne d'une vie et d'autant en plus déchirante qu'il ne savait pas alors qu'elle partirait avant lui, mais aussi Un p'tit cœur qui demande pardon tout en tendresse et délicatesse aux amoureuses d'un soir), la mémoire (Le souvenir à quoi répond en tragique diapason Le clocher d'Elseneur), la politique (Où sont Passés nos rêves sur les révoltes de jeunesse qui résonne avec la litanie des monstres de l'Histoire, "de Neron à Pinochet", dans Lettre à mon fils), et puis la blessure tenace de la pauvreté (Quand on est pauvres) qui nous rappelle par delà les ans Les Ballons rouges de ses débuts de chanteur populaire. Plus loin, après une ode à sa ville natale Bordeaux et une autre à la mythique Casablanca, le dernier titre de l'album Les Adieux des artistes surprend par son humour et son humilité.
Humilité qui surprend aussi quand le grand Serge Lama évoque avec gratitude tous ces "musiciens prestigieux" qui ont accepté de composer sur ses paroles: Adamo et Bruni, Cabrel et Bruel, Le Forestier et Lenorman, Calogero et Obispo, Esposito et Clerc, Benabar et Maé, à côté du fidèle compagnon de route Yves Gilbert. "Je n'osais pas les appeler et leur demander..." avoue-t-il sincèrement, en face à de quoi on ne peut que lui rappeler sa grandeur et la fierté qu'il devait inspirer à tous ces artistes de collaborer avec lui.
Dans cet appartement d'un beau quartier de Paris, tout près de la petite chambre d'hôtel où le petit Serge a grandi dans une famille modeste mais grâce à son père tournée vers la vie d'artiste, les murs regorgent de livres et de tableaux. Et nous passons un bon moment à évoquer avec une commune passion Baudelaire, Apollinaire, Mallarmé, Aragon, Hugo, Proust, Sartre, Camus ... oubliant pour quelques instants notre chagrin.
A la fin du conte, la petite fille qui avait reçu autrefois un disque de Serge Lama de la main de son papa, s'en va avec son recueil de chansons* dédicacé et le secret désir de continuer la conversation avec cet émouvant chanteur français que jamais elle ne pouvait imaginer rencontrer un jour...
01:50 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (1)
10.01.2015
10 janvier 2017 : Nous Deux
06:35 Publié dans 2017, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
21.12.2014
21 Décembre 2016: L'express
16:55 Publié dans 2016, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)