Barbara et Liliane à L'écluse en 1962
Serge Lama dans son studio d’enregistrement à Boulogne, en janvier 1966. Photo Rue des Archives. AGIP
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11:12 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
03:35 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
05:00 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
Une vente aux enchères organisée par l'association "La roue tourne", dont Serge Lama est le président d'honneur, a eu lieu le mardi 16 avril de 19 h à 21 h, dans la salle des mariages de la Mairie du XIe, place Léon-Blum à Paris. Lors de cette vente, une cinquantaine d'objets appartenant ou ayant appartenu à des vedettes étaient mis aux enchères dont le costume ivoire, Christian Dior, que Serge Lama a porté lors de sa tournée "50 ans d'encre et de projecteurs", qui célébrait ses 50 ans de carrière et ses 70 ans.
La vente a rapporté 12 000 euros à l'association .
Article dans France Dimanche
02:30 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (1)
Patrick Sébastien a enregistré le 12 Février 2019 la dernière émission des année bonheur.
NOUS Y ETIONS - Mardi soir, l’animateur a enregistré le dernier numéro du divertissement de France 2. Sur le tournage, l’émotion était au rendez-vous.
Patrick Sébastien ne fera plus tourner les serviettes... du moins sur France 2. Mardi soir, l’animateur de 65 ans a enregistré la dernière des Années bonheur quatre mois après avoir fermé les portes du Plus Grand Cabaret du monde. Poussé vers la sortie par la direction de france télévision après 23 ans de bons et loyaux services, Patrick Sébastien garde la face. Pourtant il a le cœur lourd. «C’est dur», nous confie Nathalie Boutot, son épouse. «C’est dur pour Patrick et pour les 150 personnes qui travaillent sur Les Années bonheur.» En coulisses, malgré la fin annoncée et l’émotion palpable, les équipes travaillent d’arrache-pied à cette dernière émission symbolique. Au premier étage du studio du Lendit à La Plaine Saint-Denis, quelques minutes avant le début du tournage, tout le monde s’affaire dans les couloirs des loges pendant que le public s’installe. Pour faire patienter les 400 personnes venues des quatre coins de la France, le fidèle chauffeur de salle Fred Leroux met de l’ambiance.
«On y va!» Le tournage peut débuter. L’entrée de Patrick Sébastien est imminente. «C’est un mélange de frustration et de soulagement», nous glisse l’animateur à quelques mètres du public en délire. «Parce que c’est dégueulasse, ce n’est pas juste. Il y a des millions de gens qui aiment encore ça et c’est la volonté de trois personnes. Il y a des choses bien plus graves dans la vie mais ça me fait de la peine pour eux, pour moi, pour mes équipes.» Sous les cris des spectateurs qui scandent son prénom, Patrick Sébastien affiche un sourire radieux bien qu’amer d’avoir à faire ses adieux. «Dès que ça sera fini, je pourrais enfin dire ce que je pense», lâche-t-il sur scène. «Par contre, vous ne faites aucun commentaire les amis», insiste l’animateur auprès de ses invités. Sur le côté, les techniciens ne cachent pas leur tristesse. «C’est la fin d’une émission», déplore l’un d’entre eux. «Arrête, tu vas finir par me déprimer», répond une autre un casque vissé sur les oreilles. Un dernier raccord maquillage pour Patrick Sébastien et l’émission peut enfin commencer.
Pour la dernière des Années bonheur, ce dernier a convié «ses copains». Vincent Lagaf’, Willy Rovelli, Didier Gustin, Gérard Lenorman, Serge Lama, Les Chevaliers du Fiel, Claudio Capéo, Gilbert Montagné, Hugues Aufray, Émile & Images, Dany Brillant, Collectif Métissé ou encore Chico et les Gypsies ont répondu présent. «Il n’y en a pas un qui est venu faire de la promo», précise l’animateur. «On a un très beau programme. On va faire la fête. Ce soir, il y a vraiment de quoi chanter et danser. Il va falloir vraiment vous lâcher», ajoute-t-il.
Le divertissement est tourné dans les conditions du direct. Les artistes se succèdent à un rythme effréné tandis que «Nana», le surnom donné à l’épouse de Patrick Sébastien, reste attentive au bon déroulement du tournage munie de ses fiches. L’animateur profite des chansons pour griller une cigarette. «J’adore cette émission car je peux m’échapper.» En coulisses, l’ambiance est festive. Les techniciens n’hésitent pas à pousser la chansonnette tandis que la femme de l’animateur se déhanche au rythme de Zumba de DJ Mam’s.
Quand vient le tour de Serge Lama, l’émotion s’intensifie pour Patrick Sébastien. À sa demande, le chanteur, qui avait fêté la veille son 76e anniversaire, est venu interpréter Le 15 juillet à 5 heures. Un titre évocateur pour l’animateur qui a perdu son fils, Sébastien, le 15 juillet 1990 à 5 heures dans un accident de moto. Mais ça, Patrick Sébastien le gardera pour lui. «Tu sais mon Serge, cette chanson, je ne l’expliquerai pas pourquoi ce soir, elle a un goût particulier pour moi», a-t-il seulement déclaré sur scène. The show must go on, Patrick Sébastien ne montre finalement que peu ses sentiments alors que... «Ça commence à faire drôle car il reste 20 minutes», nous glisse-t-il tout en tirant sur sa clope. Et «Nana» d’ajouter: «Plus que deux fiches et c’est la fin».
Pour autant, l’animateur garde le cap et ne faiblit pas. Même quand Benjy Dotti lui réserve une belle surprise. «On m’a dit que tu avais fait un truc pour moi mais je ne voulais pas le voir.» L’humoriste et imitateur a, en effet, écrit une chanson en hommage à Patrick Sébastien, qu’il a enregistrée plus tôt dans la journée, en prenant la voix de Grand Corps Malade, pour illustrer une rétrospective de ses années à France Télévisions. «Je ne m’attendais pas à ça. Je suis vraiment touché, ça me fait plaisir.» Proche de la communauté gitane, Patrick Sébastien compte parmi ses amis les plus proches Chico. Pour cette dernière, l’ancien membre des Gipsy Kings a souhaité marquer le coup en montant sur scène avec plus de trente artistes. «Je suis fier de faire partie de leur famille.»
Enfin, comme il est d’usage de le faire, l’animateur a tenu à avoir un dernier mot. «Je remercie le service public de m’avoir fait confiance pendant 23 ans. Je n’ai pas de rancunes sur ce qui se passe parce qu’il y a des choses bien pires dans la vie. Ma maman, que beaucoup ont connue ici, me disait toujours: “Ce n’est pas la fin de quelque chose, c’est toujours le début d’autre chose”. J’ai une infinie tristesse de laisser les musiciens, les danseurs, les artistes, les techniciens et puis surtout de vous laisser vous, je sais que vous êtes encore des millions à nous regarder. Vous allez me manquer. Je suis fier finalement de ne m’être jamais trahi pendant toutes ces années ni de vous avoir trahi vous, c’est-à-dire d’avoir fait des émissions populaires et d’avoir résisté tant que j’ai pu à la bien-pensance et au politiquement correct», a-t-il déclaré avant de réciter «des vers de circonstances» d’Edmond Rostand tirés de Cyrano de Bergerac. Autour de lui, sur scène et en coulisses, beaucoup ont du mal à retenir leurs larmes.
Pour conclure cette émission sur un air festif, Patrick Sébastien a entonné (une dernière fois?) Les Sardines avant de s’éclipser sous les applaudissements chaleureux du public. Une page de l’histoire de la télévision se tourne.
01:50 Publié dans 2019, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
08:16 Publié dans 2018, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
Charles Aznavour devait accompagner Emmanuel Macron en Arménie pour le XVII ème sommet de la Francophonie.
Un hommage lui sera rendu lors d'un concert public organisé sur la principale place d'Erevan. Concert donné par des artistes arméniens ou francophones comme
Zaz, Angelique Kidjo ,Michel Legrand, Serge Lama..
ARTICLE DE LCI
Emmanuel Macron avait prévu de s'y rendre en compagnie de Charles Aznavour. Après la mort de ce dernier, le 1er octobre à l'âge de 94 ans, le voyage présidentiel en Arménie à l'occasion du 17e Sommet de la francophonie va prendre la forme d'un dernier hommage au chanteur français, célébré dans le monde entier.
Le grand concert prévu jeudi soir, auquel Charles Aznavour devait initialement participer, sera l'occasion de cet hommage en présence de nombreux dirigeants politiques. Auparavant, Emmanuel Macron devrait se rendre le matin au Mémorial du génocide arménien, puis, à la mi-journée, au centre Charles-Aznavour à Erevan, créé par la fondation éponyme que le chanteur avait lancée en 1988, après le tremblement de terre qui avait durement frappé la population. Une visite suivie d'un déjeuner avec la famille de l'artiste.
Zaz, Lama et bien d'autres
Pour cet hommage musical prévu à partir de 19h30, plusieurs artistes se succéderont sur scène, dont la chanteuse Zaz, ou encore le chanteur Serge Lama et le pianiste d'Aznavour. Participeront également à ce concert la chanteuse béninoise Angélique Kidjo, l'Américaine Melody Gardot, ainsi que le compositeur Michel Legrand, qui avait enregistré avec Charles Aznavour, et l'auteur-compositeur André Manoukian, qui avait lui aussi collaboré avec l'artiste. Au programme : un répertoire folklorique, puis international, pour finir plus spécifiquement sur l'hommage à l'oeuvre de l'artiste d'origine arménienne.
Lors de ce déplacement, Emmanuel Macron devrait être accompagné des ministres de la Culture, de l'Europe et de la Défense. Le Sommet de la francophonie accueillera également le Premier ministre canadien Justin Trudeau et celui de la Belgique, Charles Michel, ainsi qu'une quarantaine de dirigeants de pays francophones.
17:15 Publié dans 2018, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
EN DIRECT. Serge Lama : « Je perds mon père dans le métier »
Serge Lama au "Point" : "Il m'a tout appris"
"Je suis très triste. Je perds mon père dans le métier", nous explique Serge Lama. "Il m'a tout appris, tout expliqué quand j'avais 21 ans et que je commençais à percer. Il m'a dit qu'il fallait tout désirer et tout vouloir", se souvient le chanteur dont Aznavour avait écouté le premier disque et avait prophétisé : "Vous irez loin." "Le texte avait une grande importance pour lui. Pour Charles, l'auteur comptait plus que l'interprète. Il aimait aussi la jeunesse. Il allait vers les jeunes chanteurs - il avait repéré par exemple très tôt Renaud. Quand j'ai fait l'Olympia en 1973, il m'avait envoyé une lettre manuscrite de deux pages où il me disait : Ça y est, vous y êtes", se remémore Serge Lama. Sa chanson préférée ? "Sa jeunesse". "Écrire cette chanson à 32 ans, c'est magnifique."
16:50 Publié dans 2018, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
Juliette puis Serge Lama se sont produits sur la scène du théâtre de Verdure pour une soirée où le temps semblait s’être figé. Pourtant, pour le chanteur, c’était bien la dernière date de sa tournée… Sans savoir s’il remontera un jour sur scène.
Petit voyage dans le temps au niveau du public de Poupet. Après la journée dédiée aux enfants ce dimanche, la génération venue applaudir Serge Lama et Juliette était toute autre. Au théâtre de verdure, il était bien question de temps. Le temps qui passe, mais aussi le temps qui s’arrête pour laisser un monstre sacré de la chanson française fasciner Poupet.
Juliette, elle, semble hors du temps. Avec ses lunettes rondes, sa bonhomie et ses bouclettes, la chanteuse a débarqué sur la scène sous les applaudissements d’un public encore assis. "Je vais vous chanter une chanson de moi, qui parle de moi et interprétée par moi". Le ton est donné.
Car Juliette, c’est une artiste complète. Formidable musicienne qui fait rouler ses doigts sur le piano, interprète hors pair et… Comique assumée. Vous avez loupé la soirée de l’humour de Poupet ? Séance de rattrapage. Chaque intermède est délicieux. Entre l’évocation d’une chanson universelle qui marcherait aussi bien à l’époque de l’Égypte antique qu’au temps de l’homme Néandertal (mimes à l’appui), ou un cours improvisé sur les neurotransmetteurs (oui, oui), Juliette est déchaînée. Face à elle, un public amusé, qui la regarde avec des yeux aussi rond que ces binocles qu’elle arbore fièrement.
Loin de se cantonner à un rôle de clown de service, Juliette sait aussi jouer la carte de l’émotion. Et dans les deux registres, le public est conquis. Sa force : la scène pendant plus d’une heure sans se lever une seule fois de son piano. "Je n’aime pas la chanson", clame-t-elle dans un de ses refrains. On dément. Elle aime la chanson, et la chanson l’aime… Comme le public qui lui réserve une ovation chaleureuse à la fin de sa prestation.
Le pas lent, Serge Lama fait son entrée sur la scène du théâtre de verdure. Ses plus de 50 ans de carrière pèsent sur un corps qui apparaît usé. "Ça n’a jamais été mon truc de swinguer", lâche-t-il amusé. Mais Serge Lama est de ceux capables de faire passer tellement chose rien que par sa voix d’exception. Et les capacités vocales, elles, sont intactes. Intense et puissant, Serge Lama envoûte le public de Poupet dès les premières notes.
Taquin, il ne manque pas de titiller le public dès que celui-ci manque de réactivité pour reprendre l’un de ses refrains. Un changement de vêtements, le temps d’enfiler une veste rouge, et c’est reparti. "Regardez, j’ai choisi deux choristes hommes pour faire plaisir à la majeure partie de mon public", lance le chanteur si apprécié par les femmes. C’est réussi. Le public est conquis. Mais surtout grâce aux succès qui s’enchaînent. "Oui, je préfère le terme succès plutôt que tubes. Les tubes, c’est fait pour soufflé dedans !" Quand une légende parle, on écoute.
Une légende qui a peut-être fait son dernier tour de piste hier soir sur la scène vendéenne. Si Poupet était bien la dernière date de sa tournée, une seule chose nous dira si Serge Lama remontera un jour sur scène… le temps
15:23 Publié dans 2018, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suite au concert de Carcassonne était publié dans l'indépendant et dans midi libre édition de Carcassonne cet article.
15:05 Publié dans 2018, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)