Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20.11.2023

20 novembre 2025:C à vous la suite

Serge lama est invité dans l'émission C'est à vous la suite pour présenter son opus "Poètes"

 

càvous la suite.jpg

1.jpg

 

EXTRAIT A VOIR SUR YOUTUBE ICI

 

19.11.2023

19 novembre 2025 : AFP

Serge Lama répond aux questions de Jean-François Guillot de l'AFP avant la sortie de l'album Poètes

AFP.jpg

 

«Il a fallu me couper le cœur pour les choisir»

Le chanteur français Serge Lama a fait ses adieux à la scène en 2023, mais il reste actif: l'interprète de «Je suis malade» et autres tubes de la chanson française revient vendredi avec un album récitatif où il convie ses poètes préférés, de Victor Hugo à Arthur Rimbaud.

1.jpg

Avec «Femme, femme, femme», «D'aventures en aventures» et d'autres succès, le chanteur de 82 ans a traversé les décennies mais ne s'était jamais frotté à la poésie. Son nouvel opus, «Poètes», renferme une sélection personnelle des plumes qu'il affectionne depuis longtemps.

Comment est né cet album de poésies ?

«Je nourrissais depuis longtemps l'idée d'un album récitatif autour de la poésie. A chaque fois, le temps me manquait. Tout au long d'une carrière, on rêve à des choses différentes. Cela en faisait partie au plus haut point. Le résultat est un genre d'objet culturel non identifié, une sorte de raz-de-marée de poésie qui parle et qui apaise l'âme. A notre époque, c'est important. Ce sera l'occasion pour le public de retrouver sous une forme nouvelle les poésies que l'on a aimées à l'école.»

Comment avez-vous sélectionné poètes et poésies ?

«Il a fallu me couper le cœur pour les choisir, les arrimer les uns aux autres. Ça a été vraiment un travail très long avec des auteurs et des textes séparés parfois de plusieurs siècles, de François Villon à Victor Hugo, Mallarmé, Rimbaud ou Verlaine. J'ai procédé comme un vitrail pour récréer un nouvel ensemble, une mosaïque inédite confrontant ces poésies sublimées par les magnifiques musiques et arrangements d'Augustin Charnet.»

Que représente la poésie pour vous ?

«Je dois tout à la poésie. Elle m'a sauvé de tout...C'est elle qui m'a incité à devenir auteur de chansons et donc de devenir chanteur dans les pas de mon père chanteur. La poésie m'a forgé et fut le vêtement de toutes mes saisons. C'est la poésie qui m'a donné le goût d'écrire, le goût des mots et de les faire sonner les uns avec les autres. Pour moi, François Villon (1431-1463) est le premier grand poète de tous les temps.»

Il y a deux ans, vous avez fait vos adieux à la scène. Est-ce irrévocable ?

«A 82 ans, je suis un être devenu raisonnable. Physiquement, je ne peux plus chanter debout. Je suis tombé déjà deux ou trois fois sur scène... La voix, ça va, mais le corps ne peut plus. Je ne peux plus arquer comme on disait autrefois. C'est difficile, même dans le quotidien. Je me déplace, mais c'est très, très précautionneux. Je fais très attention... Je suis un jeune vieil homme, mais mon corps ne me suit pas, notamment toujours des suites de mon accident de voiture en 1965.»

Continuez-vous d'écrire ?

«J'ai toujours le bonheur d'écrire. J'entretiens ma plume. J'écris des chansons pour les autres, notamment Julien Clerc avec le titre +En serais-je moins fou de toi+ pour son dernier album en date. J'écris aussi pour la jeune génération.»

Quel regard portez-vous d'ailleurs sur le métier aujourd'hui ?

«Les choses sont devenues plus difficiles, même pour des artistes déjà un peu installés. Ce n'est plus ce que c'était. Les foules se déplacent moins, globalement. Pour les débutants, il n'y a plus de premières parties. Comment se former? J'ai eu la chance de me former dans les tournées d'Alain Barrière ou Enrico Macias. Ça aide.»

 

13.11.2023

Paris Match, du 13 au 19 Novembre 2025

Paris Match0001.jpg

Paris Match0002.jpg

LIRE

Paris Match0005.jpg

Paris Match0006.jpg

LIRE

Paris Match0008.jpg

LIRE

17.10.2023

17 Octobre 2025:La boite à secrets

Lors de l'émission la boite à secret de Marie Claude Pietragalla , Serge Lama a fait une petite apparition surprise

 

Capture 8.JPG

 

 

14.10.2023

14 Octobre 2025: Photos Paris Match

Le 14 Octobre 2025, Paris Match organisait une rencontre entre Nana Mouskouri et Serge Lama en vu d'un article a paraitre un mois plus tard. Voici quelques photos.

Capture 3.JPG

 

Capture 1.JPG

03.10.2023

3 Octobre 2025:Cd Nana Mouskouri

Le 3 Octobre est sorti  un CD de Nana Mouskouri composé de chansons écrites par Serge Lama ou de duos avec ce dernier , son titre:

Nana au coeur de Lama

71mHjE4oNbL._SL1500_.jpg

 

Liste des titres

1 Une vie d'hirondelle
2 Une île
3 Il n'est jamais trop tard pour vivre
4 Dans une coupe de champagne
5 Aux marches du palais
6 Que je sois un ange
7 Habanera De Carmen
8 On ne sait jamais
9 Mes frères
10 Il arrivera peut-être
11 D'aventures en aventures
12 Où le vent t'emmène
13 Le souvenir
14 Va t'en vite
15 Parle-moi
16 Je t'aime à en sourir
17 Le bonheur est une légende
18 L'heure exquise
19 Dis au temps qui passe

12.09.2023

12 septembre 2025: Le bateau ivre

Serge Lama a enregistré des poèmes classiques sur des musiques d Augustin Charnet

Voici un premier extrait Le bateau Ivre d' Arthur Rimbaud

546885229_1319586549539037_7565271284678677942_n.jpg

Mon nouveau projet artistique n’est pas un album chanté, c’est un opus récitatif sur fond musical que je nourris depuis longtemps. À travers ce projet, j’ai souhaité mettre en lumière ce qui compte le plus à mes yeux, les mots. La poésie m’a sauvé de tout, et l’authenticité que j’ai en moi, c’est elle qui l’habille. Ce fut le vêtement de toutes mes saisons.
J’ai sélectionné les plus grands poèmes de la littérature française allant du 15e au 20e siècle, mais je les ai découpés, fragmentés, comme un vitrail, pour recréer un nouvel ensemble, une mosaïque inédite. La musique et les arrangements d'Augustin Charnet, qui habillent et subliment ces vers dénudés, apportent, en filigrane, un lien parfois mystique entre tous ces mots disparates. Mon fidèle ami, Sergio Tomassi, s’est occupé de la prise de son de ma voix et de la coordination artistique de ce projet auquel je tiens particulièrement.
Il n’y a pas de petits poètes, tous ont apporté plus ou moins de pierres à ce grand édifice qu’est la rumeur de l’amour.
Il ne s’agit pas de comprendre mais de recevoir…
Il ne s’agit pas d’analyser mais de se laisser porter…
Il ne s’agit pas de maîtriser mais de lâcher prise…

24.08.2023

24 Aout 2024: Paris Match

2036719681.11.JPG

Pour la troisième fois une chanson de Serge lama est à l honneur dans le Match des tubes sous la plume de Florent Barraco

 

Adoption et séparation : Serge Lama et Vianney, leur (beau) fils, leur bataille

Capture 2.JPG

© Alain ROBERT/SIPA - AFP

 

LE MATCH DES TUBES (36 / 40) - Des hommes qui s’épanchent sur leur enfant adopté : l’un doit le quitter, l’autre commence à tisser des liens. Deux tubes très émouvants.

La paternité change un homme. Et lorsqu’il s’agit d’endosser le rôle de figure masculine auprès d’un enfant issu d’une précédente union, la responsabilité devient encore plus forte. Si les déclarations d’amour paternel sont nombreuses (la plus célèbre restant « Le petit garçon » de Serge Reggiani), les chansons consacrées aux beaux-pères sont plus rares. Donc plus précieuses. Au menu (enfant) de ce 36e duel, « L’enfant d’un autre » de Serge Lama et « Beau-papa » de Vianney.

Ce titre est adoré des fans de Lama. Niché dans l’excellent album « Je suis malade » (1973), « L’enfant d’un autre » est un bijou de mélancolie. On y entend la détresse d’un beau-père quitté par la mère du petit garçon qu’il avait appris à aimer. Comme souvent avec Lama, la subtilité des mots décuple l’émotion. « C’est elle qui est partie, mais c’est lui qui me manque, ce tout petit garçon qui n’était pas de moi », confie l’artiste. Et de lancer, pathétique : « Les enfants sont le fruit des femmes, pas des hommes. Et quel que soit celui qui fait germer la pomme, le père pour l’enfant c’est celui qui est là. » Lama s’imagine dans vingt ans, lorsque l’enfant devenu adulte ne sera plus qu’un souvenir pour lui. Que reste-t-il de l’éphémère beau-père ? « Rien ne le remplacera […] Je suis démuni comme un père qui vient de perdre son enfant. Et je suis malheureux. » Son (beau) fils sa bataille. La mélodie intimiste d’Alice Dona – guitare lancinante, presque comme une comptine – renforce la gravité du propos. L’album triomphera, dépassant le million d’exemplaires vendus, et le morceau deviendra culte.

La comptine de Vianney

En 2020, Vianney met en musique un moment décisif de sa vie : l’adoption de la fille de sa compagne, la violoncelliste Catherine Robert. Il en fait une chanson, véritable hymne à l’amour filial. « Y’a pas que les gènes qui font les familles. Des humains qui s’aiment suffisent. » Comme Lama, il choisit la forme de la comptine, une mélodie épurée et tendre. Mais son texte prend aussi des accents de manifeste pour le statut de beau-père : « Non je ne volerai jamais la place du premier qui t’a dit je t’aime. Sur ton visage on voit son visage. Et c’est ainsi que tu es belle […] J’attendais pas. J’te laisserai pas. Même sans l’même sang, on s’aimera. » La sincérité du propos et la fragilité de sa voix donnent à ce titre une authenticité qui en a fait très vite un standard de la chanson française, salué par ses pairs.

Deux chansons pour dire la place du beau-père, mais une seule emporte le cœur. Encore une fois, Serge Lama triomphe. Si la chanson de Vianney ne manque ni de tendresse ni de vérité, la plume et l’interprétation de l’un de nos plus grands poètes font de « L’enfant d’un autre » bien plus qu’une chanson : un bouleversant moment d’émotion où chacun peut se reconnaître. Il est malade, complètement malade ! Et nous aussi. Serge Lama, notre ami, notre maître.

 

19.08.2023

19 Aout 2025:Les Arts Ze

Capture. 3JPG.JPG

238_Serge_Lama_17-07-2025_web.jpg

Il est des spectacles qui, sans crier gare, vous griffent le cœur. Lama, d’aventures en aventures appartient à cette rare espèce. On y pénètre comme on entrerait dans une pièce sombre : prudemment. Et puis la lumière surgit, et tout s’emballe.

En deux heures d’une intensité presque féroce au confortable Théâtre Desjardins à Montréal, une distribution électrisante – le caméléon du théâtre musical Stéphan Côté, entouré des magnifiques révélations Élizabeth Duperré et Gaëlle – conduit par un Éric Paulhus bouleversant, explore l’univers de Serge Lama. Paulhus, dans le rôle-titre, irradie : drôle, fragile, fiévreux, il donne au chanteur une chair nouvelle, malade et magnifique.

Tout commence dans un éclat de voix partagée : Je t’aime à la folie, chanté à l’unisson, comme on brise un cadenas sur un coffre trop longtemps fermé. La vie de Serge Lama s’ouvre alors devant nous : ses drames, ses amours, ses cicatrices, sa renaissance québécoise, architecturés dans une mise en scène organique et inventive de Charles Dauphinais enrichie par une chorégraphie d’Alex Francoeur. Le texte de Mélissa Cardonna joue à saute-mouton avec le temps, préférant l’onde émotionnelle à la chronologie, et revisite non seulement les tubes, mais ce qui les a enfantés.

On traverse le choc : l’accident de 1965, Liliane arrachée à la vie, la douleur fichée à jamais dans les os du chanteur. Puis viennent la convalescence interminable, la mère oppressante, le père oublié, le mentor Marcel, son Napoléon, les amours qui comptent Michèle et Luana, Dalida, Barbara, les triomphes – toutes ces douleurs transmutées en or, pierre angulaire de la création lamienne.

La distribution est magistrale : Stéphan Côté impressionne par sa maîtrise du théâtre musical, promeneur agile entre intensité dramatique et élégance vocale, tandis qu’Élizabeth Duperré et Gaëlle, véritables révélations, apportent fraîcheur, caractère et puissance émotionnelle à chaque tableau.

Paulhus, lui, sidère. Sa voix touche au mimétisme, mais son jeu dépasse la simple imitation. Quand il se jette à genoux pour Je suis malade, c’est la salle tout entière qui vacille : chacun y reconnaît sa propre faille. Il ne chante pas, il se saigne devant nous :

Je suis malade,
Complètement malade…

Les images se succèdent comme des battements de cœur trop forts ; un théâtre musical palpitant, qui fait de la vie de Serge Lama non pas une biographie, mais une expérience sensorielle.

Puis la voix du vrai Serge Lama résonne : Je ne suis pas sur scène mais sachez que je vous aime et que je vous ai aimé plus que tout.

Rideau.

On sort de Lama, d’aventures en aventures essoufflée, chavirée, larmes aux yeux… mais vivante.

11.08.2023

11 Aout 2025: Annonce d'un film sur Serge Lama

Un film/documentaire sur Serge Lama est en préparation pour la rentrée

 

Capture.JPG

Musique

Serge Lama : Le Biopic d’une Légende

serge-lama.jpeg

 

Plus de 60 ans de carrière, des textes gravés dans la mémoire collective et une voix qui traverse les générations : Serge Lama est de ces artistes qui ont façonné la chanson française. Aujourd’hui, c’est à travers un documentaire officiel, actuellement en tournage, que son parcours exceptionnel va être retracé. Réalisé et produit par David Serero, ce long-métrage promet un voyage inédit au cœur de l’univers de l’interprète de Je suis malade.

De Bordeaux aux sommets de la chanson française

Né à Bordeaux en 1943, Serge Lama grandit dans un environnement artistique marqué par le théâtre et la chanson. Très tôt passionné par les mots, il se lance dans la musique au début des années 1960. Ses premiers pas sont prometteurs, mais c’est en 1968, après un grave accident de voiture, que sa carrière prend un tournant décisif. Il revient sur scène avec une force décuplée, prêt à imposer son style : des textes poignants, une intensité vocale rare et une interprétation habitée.

Des tubes intemporels et une carrière monumentale

Au fil des décennies, Serge Lama signe des chansons devenues incontournables : D’aventures en aventures, Les ballons rouges, Femme, femme, femme, ou encore l’inoubliable Je suis malade, reprise dans le monde entier. Auteur et interprète, il mêle dans ses textes poésie, passion et mélancolie, offrant à la chanson française un répertoire riche en émotions.

Une personnalité entière et généreuse

Sur scène comme dans la vie, Serge Lama s’est toujours montré fidèle à lui-même : sincère, intense, parfois provocateur, mais toujours profondément humain. Sa capacité à se livrer sans détour, à chanter l’amour et la vie avec une authenticité brute, a construit un lien unique avec son public.

Un documentaire événement

Ce biopic, véritable fresque musicale et intime, reviendra sur les grandes étapes de sa vie, entre triomphes et épreuves personnelles. Julien Clerc, Carla Bruni, Nana Mouskouri, Nikos Aliagas, Bénabar, Orlando, Patrick Sébastien, Marie-Paule Belle, et bien d’autres, livrent leurs souvenirs et témoignages, dressant un portrait vibrant de l’homme et de l’artiste.

À travers des archives rares, des interviews exclusives et des scènes inédites tournées pour l’occasion, le film promet de dévoiler un Serge Lama tel qu’on ne l’a jamais vu.

Une sortie attendue

La bande-annonce complète sera dévoilée à la rentrée, avant une sortie du film à l’automne en salles, à la télévision et sur les plateformes de streaming. Pour les admirateurs de longue date comme pour les nouvelles générations, ce documentaire s’annonce comme un hommage à la hauteur de l’icône qu’est Serge Lama.