18.09.2009
18 septembre 2005 : On ne peut pas plaire à tout le monde
06:45 Publié dans 2005, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
11.07.2009
11 juillet 2005 – Les débuts Paris-Montréal - TV 5
Marc-André COALLIER et Daniela LUMBROSO présentent cette première émission consacrée à l'histoire d'amour entre Paris et Montréal pour la chanson. Cette émission relate les prémices de cet amour, les premières visites de chanteurs français au Québec et vice versa, dans les années 50.
Témoignage de nombreux artistes dont Serge Lama.
EXTRAIT AUDIO
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19.06.2009
19 Juin 2005:La voix du Nord
Théâtre des Forges René Carpentier à Trith-Saint-Léger les 15 et 16 juin 2005
Serge Lama... Impérial
Après avoir choisi de chanter, en 1997, accompagné d'un orchestre philharmonique, Serge Lama a, depuis peu, opté pour l'intimisme, ne gardant à ses côtés sur scène que Sergio Tomassi, accordéoniste talentueux. Cela donne évidemment une ambiance plus propice à la confiance, à l'épanchement de sentiments dont ses textes sont si riches.
Deux soirs durant, mercredi et jeudi, les spectateurs réunis au théâtre des Forges René-Carpentier n'ont apparemment pas regretté d'avoir pu partager cet instant. Il suffisait de tendre l'oreille en les voyant quitter la salle, comme contraintes et forcées, et d'intercepter leurs commentaires pour conforter cette impression, tant les « formidables », « remarquables », « inoubliables » et autres superlatifs étaient légion.
Et en affinant un peu, avec le recul, on découvre au gré de la trentaine de succès qu'il a interprétés que bien d'autres qualificatifs s'appliquent alors à cet artiste emblématique...Reconnaissant d'abord pour Marcel Gobineau, « ami et maître... qui allait m'apprendre à être ce que modestement je suis ...»
Rassurant ensuite en nous certifiant que « c'est toujours comme ça la première fois ». Gaillard en évoquant Juliette, Françoise et Simone. Emouvant en chantant l'Algérie où il a effectué son service militaire en 1963. Protecteur et accueillant quand il invite à s'installer sur ses canapés. Partagé entre amour et haine lorsqu'il s'adresse à cette Pauvre Martha. Masochiste quand il proclame « Laissez-moi souffrir mon chemin jusqu'au bout ». Cocu et content encore et toujours, mais ça, plus personne ne l'ignorait depuis qu'il nous a fait connaître les P'tites femmes de Pigalle. Angoissé enfin « lorsque la première ride vient au cou» mais pas pour autant déprimé, entonnant d'emblée un tonitruant et vivifiant « Je t'aime à la folie, la vie ...». Une dernière note optimiste qui rassure. Serge Lama nous réservera encore de nouveaux textes à succès. « Les jardins ouvriers » qu'il a interprétés, nostalgique, en sont un bel exemple. Et si vous effeuillez son dernier album, vous y trouverez bien d'autres bonnes surprises.
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13.06.2009
13 Juin 2005: La nouvelle république du centre ouest
Palais des congrès de PARTHENAY
Serge Lama toujours en haut de l'affiche
Dès la fin d'après-midi, les inconditionnels du chanteur ont constitué une longue file d'attente sur le parvis du palais des congrès, car les places n'étaient pas numérotées. Mais à 20 h 30 sonnantes, Serge Lama, devant une salle pleine à ras bord, a ouvert la fête avec un lancer des « Ballons rouges », chanson de ses débuts en 1967. Ses chansons, soit « quelques notes amoureuses de quelques mots », ont déferlé, balayant presque quarante années de succès.
Puis, le parterre, majoritairement féminin, a fredonné puis chanté les refrains bien connus : « L'Algérie », « Le Temps de la rengaine », « La Chanteuse à vingt ans », « Les Glycines », « Les chasseurs », « Les p'tites femmes de Pigalle », etc. Serge Lama use de l'humour dans la présentation et de son charme auprès de ses admiratrices, qui n'ont pas manqué de l'interpeller et de l'encourager d'applaudissements nourris.
Certaines ont regretté une mise en scène favorisant une complicité fréquente avec Sergio Tomassi (musicien exceptionnel faisant de son accordéon un orchestre à partie entière) et le présentant souvent de dos. Après un rappel, quand Serge s'est drapé dans le rideau de scène, pour terminer avec brio « C'est ça, être star », le public lui a fait une standing ovation méritée et justifiée.
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30.05.2009
30 Mai 2005:Il est passé par ici - Radio Suisse Romande
Serge Lama a répondu aux questions de la radio Suisse Romande du 30 mai au 3 juin 2005 dans l'émission Il est passé par ici.
EXTRAIT
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24.05.2009
24 Mai 2005: Le journal de saone et Loire
Salle de l’Embarcadèrede Montceau Les Mines
Que du bonheur avec son Accordéonissi-mots
« Ce spectacle est une rencontre. Celle de l'instrument le plus singulier, le plus complexe et le plus populaire, avec une voix, des notes et des mots. Il est composé de chansons mal aimées que j'aime, mêlé à des chansons que vous aimez et que j'aime aussi... C'est la rencontre de deux âmes, l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventer des fleurs... Et tout cela pour engendrer encore et encore de l'Amour. C'est un spectacle qui a la prétention de ne pas en avoir ».
Dès le lever de rideau, le ton est donné... A partir de cet instant, les centaines de fans qui s'étaient pressées aux portes de l'Embarcadère pour s'assurer des meilleures places ont su qu'elles allaient passer un moment exceptionnel. Et elles ont eu raison car l'amiral de la chanson populaire n'a pas repris son souffle pendant près de deux heures de voyage à travers quarante ans de et un peu plus de soixante bougies soufflées lors de son dernier anniversaire.
Accompagné de Sergio Tomassi et son accordéon, Serge Lama vogue sur la crête de ses mots qu'il jette depuis toujours « vocationnellement » sur le papier. Grands classiques à donner le frisson (l'Algérie) ou fantaisies grivoises, notamment avec «Les p'tites femmes de Pigalle», tous ses titres sont accompagnés d'un dialogue avec le public qu'il fait chanter à plusieurs reprises en se moquant gentiment de lui.
D'« aventures en aventures » à « Femmes, Femmes, Femmes » en passant par « Je t'aime à la folie » et « La chanteuse à 20 ans », on sent comme un frisson, on a la gorge nouée et inutile de résister, «c'est toujours comme ça la première fois». En écoutant cet artiste d'exception qui n'a rien perdu de sa voix puissante, même les moins gâtées par la nature arrivent à se sentir belles et qu'on ne nous dise pas le contraire, c'est tout de même très agréable. ..
Tout au long de ce magnifique voyage, Serge Lama a personnalisé ses chansons et à plusieurs reprises, il a remercié le public de son accueil chaleureux. Comment résister quand sa voix magique s'élève dans la salle et qu'il entame un morceau « à capella » mettant ainsi la foule en délire ? Car bien sûr, ce soir-là, chaque personne a eu l'impression que Serge ne chantait que pour elle... en la regardant dans les yeux pour interpréter le titre tant attendu «Je suis malade» dans un tonnerre d'applaudissements ô combien de mérites.
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23.05.2009
23 Mai 2005:Le bien public
Salle de l’Agora à Genlis le 20 mai 2005
Serge Lama: « Rendez-vous chambre 618 »
Vendredi soir, la salle de l'Agora affichait complet pour la venue de Serge Lama. Retour sur un concert riche en émotions.
Vendredi soir à l'Agora, ce sont 800 personnes qui ont attendu sagement assises l'heure fatidique de 20 h 41, moment précis où le rideau s'est levé sur un accordéoniste talentueux qui a égrené une jolie mélodie, agrémentée par la voix de Serge Lama, encore en coulisses.
Alors, quand l'homme est apparu, une salve d'applaudissement l'a accueilli. Costume sombre avec une veste à un seul bouton et col relevé, Serge Lama s'est avancé sous la lueur des projecteurs, afin de commencer son récital, juste après qu'une petite fille portée par son papa, lui eut offert un joli ballon rouge. Serge Lama n’a pas changé. Son public, dont la moyenne d'âge frise la soixantaine, mais qui n'a pas pris une ride non plus, s'est régalé deux heures durant des chansons interprétées par l'artiste, toujours faiblement éclairé par un seul spot à la fois, presque discret.
Serge Lama a déambulé sur scène, s'asseyant parfois sur un banc de piano ou un siège de bar, de temps en temps dos au public, comme pour mieux s'imbiber des paroles déclamées. Voiture pour Serge Lama, « une chanson, ce sont quelques notes amoureuses de quelques mots ».
Et puis soudain, le chanteur se reconnaît dans la salle Dalida, Barbara ou Alice Dona, sûrement de vieux complices d'une époque révolue, dont Serge Lama a envoyé toute la nostalgie, et le communique à son public. Les paroles sonnent puissamment à travers une voix forte et chaude, « sucrée comme un bonbon », avec les jardins ouvriers ou les illusions qui produisent c.
Juliette, Françoise et Simone présentent le temps d'une chanson, après un voyage en Algérie, en passant par un harem byzantin et son chien déguisé. Lui qui a commencé sa carrière en 1964 où on lui demanda d'assurer trois quarts d'heure de spectacle alors qu'il ne savait que trois chansons, dure toujours, devant des salles conquises dont il se fait le complice.
Et son entracte à lui, dans son 'petit rond', il le passe avec son public, n'hésitant pas à égratigner au passage le prince Charles et Camilla. Mais qu'on se rassure, l'homme « n'est pas malade », il va bien même, tout au plus peut-on sentir une légère pointe de solitude et de mélancolie émerger du personnage, qui n'hésite pas à indiquer à qui veut l'entendre qu'il loge ce soir à la chambre 618 dans un grand hôtel dijonnais, et qu'il se sentira bien seul après son spectacle.
Entre les esquimaux et les mots exquis, toujours des phrasés qui sonnent sans trébucher, entre les froufrous de fanfreluches et des succès qui ne se démentent pas, Serge Lama adore son public. Et celui-ci le lui a bien rendu vendredi soir dans une salle chauffée à blanc où la température frisait les 30°.
21:03 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
22.05.2009
22 Mai 2005:Le journal de saone et loire
Salle de l’embarcadère Montceau les mines le 21 Mai 2005
On est venu voir le chanteur. Charmeur
Quarante années plus tard, Serge Lama est toujours omniprésent sur scène. Et il se renouvelle, il se régénère même, au contact d'un public enthousiaste qui ne l'oublie pas. Même si l'impression que l'artiste traverse un désert, il n'en est rien.
Il écrit, il compose ou bien encore il « tourne » à l'étranger. Dans la francophonie, ou ailleurs. Au Canada, reconnaissait il y a quelques semaines, Linda Lemay de passage à L'Embarcadère, Serge est une valeur sûre de la belle chanson française. De même à Tokyo où il représente l'image très « classique » de la France. Pourquoi un tel succès ici et là-bas ? tout simplement parce que l'artiste a tout en lui pour faire vibrer une salle. Hier soir, dans un Embarcadère plein à craquer, il a communiqué son émotion, fait partager sa joie de vivre, sa tendresse pour le métier, mais aussi pour les belles sonorités de l'accordéon et les belles paroles de sa langue musicale. Piochant dans un répertoire qui a fait ses preuves dans les dizaines de millions de disques vendus au fil de sa carrière, il jouait sur de velours.
Affectif débordant d'une joie de vivre intense, il ne pouvait que faire un tabac. Tour à tour émouvant avec une entrée en scène en rouge, pour chanter ses « ballons », charmeur avec une apologie de Fragonard, mais toujours fidèle à lui-même, d'une gentillesse et d'un respect extrêmes pour son public. Chanteur populaire ? sans doute, mais dans le meilleur sens du terme qui soit. Accordéonissi-Mots, c'est la somme de deux talents et un répertoire hyper-connu, repris en chœur par une salle de fans venus de tout le département, voire d'un peu plus loin.
On a simplement regretté qu'une chose ait choisi, un programme trop vite livré, malgré une bonne et courte heure quarante-cinq de scène. Serge Lama a la pêche et a clôturé ainsi en beauté la saison 2004-2005 de l'Embarcadère.
Michel Sarrazin
20:57 Publié dans 2005, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
21.05.2009
21 mai 2005 : Montceau les Mines
Annonce du concert de Serge Lama à Montceau les Mines le 21 mai 2005
Pour certains, Serge Lama reste une énigme de la chanson française. Ringardisé depuis ses débuts, il continue trente ans après à remplir les salles. Ayant émergé au temps où Brel s’était retiré et que le palmarès des chansons faisait la pluie et le beau temps, il fut d’abord présenté comme une caricature de l’homme des Marquises, maniant avec brusquerie le thème amoureux (les P’tites femmes).
Certains pensaient alors qu’il allait brûler ses cartouches puis nous quitter. C’était sans compter sur les qualités d’auteur de Serge Lama,à la différence de beaucoup de chanteurs de cette époque. Difficile en effet de ne pas reconnaître la valeur de ses textes, dont la nuance et l’élégance rappellent parfois les meilleures chansons de Reggiani.
Accordéonissi-mots est né d’une rencontre, celle de l’instrument le plus singulier, le plus complexe et le plus populaire, avec une voix, des notes et des mots. Composé à base de chansons mal aimées que l’artiste aime et de chansons adulées par le public, ce spectacle a la prétention de ne pas en avoir.
Un spectacle affiné présenté par un artiste affûté et sobre.
Il faut savoir que c'est à Montceau les Mines que Serge Lama a écrit la chanson "Le restaurant vide"
06:45 Publié dans 2005, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : sergelama
18.05.2009
18 Mai 2005:Le progrès
Concert à Porcieu salle des marinières
Serge Lama entre humour et talent
L'artiste s'est produit à Porcieu devant près de huit cents personnes
Ce chanteur populaire est revenu à Porcieu avec sa nostalgie d'antan. Accompagné par un accordéoniste, il interprète une grande partie de ses succès d'autrefois avec une musique remixée. Il s'est même permis, à plusieurs reprises, de commenter l'actualité avec une pointe d'humour.
Dès le début de la soirée, le «Napoléon de la chanson» a donné le ton avec des mélodies à textes souvent autobiographiques. Lui, qui, n'avait pas eu de ballons rouges quand il était gosse dans son quartier, a su grandir, en partageant sa passion avec son public, sans jamais le décevoir. Serge Lama a trouvé la force de tenir près de deux heures sur scène.
Cet artiste a le don de faire bouger le public avec des chansons entraînantes reprises en chœur par toutes les personnes présentes. Lorsqu'il a commencé à fredonner le « je t'aime à la folie », il a eu bien du mal à s'imposer tant les chanteurs amateurs de la salle couvraient sa voix. Il aura pourtant le mot de la fin en lançant « je vous aime toujours, je vous aime d'amour ». Il ne pouvait pas partir comme ça, sans chanter son célèbre «je suis malade ». Après le rappel traditionnel, il faisait plaisir au public des Marinières en terminant le dernier couplet sans micro.
20:32 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)