22.05.2009
22 mai 1986 : C’est encore mieux l’après-midi
C’est encore mieux l’après-midi est la première émission quotidienne et en direct présentée par Christophe Dechavanne. L’animateur reçoit six invités chaque jour pour parler spectacle, cinéma, mode et art de vivre.
Programme de l'émission du 22 mai 1986
- Stéphanie de MONACO : Ouragan
- Serge LAMA : Pas vraimambeau, Seul avec ma cigarette, Je vous salue Marie
- Le groupe Wax : Right between the eyes
- Le groupe Gibson Brothers : There's a party tonight
- Le groupe Affaire Louis Trio : Ce soir.
- Guy MARCHAND : Tout en dansant la rumba
EXTRAIT AUDIO
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22 Mai 1988: Diffusion du Casino de Paris
23:10 Publié dans 1988, Serge Lama à la télévision, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
22 Mai 2005:Le journal de saone et loire
Salle de l’embarcadère Montceau les mines le 21 Mai 2005
On est venu voir le chanteur. Charmeur
Quarante années plus tard, Serge Lama est toujours omniprésent sur scène. Et il se renouvelle, il se régénère même, au contact d'un public enthousiaste qui ne l'oublie pas. Même si l'impression que l'artiste traverse un désert, il n'en est rien.
Il écrit, il compose ou bien encore il « tourne » à l'étranger. Dans la francophonie, ou ailleurs. Au Canada, reconnaissait il y a quelques semaines, Linda Lemay de passage à L'Embarcadère, Serge est une valeur sûre de la belle chanson française. De même à Tokyo où il représente l'image très « classique » de la France. Pourquoi un tel succès ici et là-bas ? tout simplement parce que l'artiste a tout en lui pour faire vibrer une salle. Hier soir, dans un Embarcadère plein à craquer, il a communiqué son émotion, fait partager sa joie de vivre, sa tendresse pour le métier, mais aussi pour les belles sonorités de l'accordéon et les belles paroles de sa langue musicale. Piochant dans un répertoire qui a fait ses preuves dans les dizaines de millions de disques vendus au fil de sa carrière, il jouait sur de velours.
Affectif débordant d'une joie de vivre intense, il ne pouvait que faire un tabac. Tour à tour émouvant avec une entrée en scène en rouge, pour chanter ses « ballons », charmeur avec une apologie de Fragonard, mais toujours fidèle à lui-même, d'une gentillesse et d'un respect extrêmes pour son public. Chanteur populaire ? sans doute, mais dans le meilleur sens du terme qui soit. Accordéonissi-Mots, c'est la somme de deux talents et un répertoire hyper-connu, repris en chœur par une salle de fans venus de tout le département, voire d'un peu plus loin.
On a simplement regretté qu'une chose ait choisi, un programme trop vite livré, malgré une bonne et courte heure quarante-cinq de scène. Serge Lama a la pêche et a clôturé ainsi en beauté la saison 2004-2005 de l'Embarcadère.
Michel Sarrazin
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22 Mai 1987: Grand Public Henri Leconte
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22 mai 1981 : Le tribunal des flagrants délires – France Inter
L’émission « Le tribunal des flagrants délires » avait lieu en public et en direct. Il s’agissait d’un tribunal imaginaire chargé de faire le procès de la personnalité invitée.
Le procès commençait par une présentation de l'invité, le prévenu et interrogé par le président du tribunal Claude Villers.
Le prévenu était par la suite attaqué par le procureur de la République Desproges française, alias Pierre Desproges.
Le prévenu était ensuite défendu par Luis Rego, l’avocat.
Le 22 mai 1981, Serge Lama est le prévenu. Pour se présenter, il interprète la chanson Les ballons rouges.
Deux témoins sont entendus :
- Jean Bern témoin à charge (écrivain)
- Marie Dubois témoin à décharge (actrice)
Serge Lama est acquitté mais doit interpréter une chanson ne faisant pas partie de son répertoire et il choisit Dans l’air de la claire fontaine à la façon de Brel.
EXTRAIT
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21.05.2009
21 Mai 1988: Echos vedettes
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21 Mai 2003:Combien ça coute ?
22:15 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
21 Mai 2006:Le Progrès
Concert le 19 mai à la halle du rozier de Feurs
Serge Lama : sublimes-mots !
Standing ovation pour la superbe prestation de Serge Lama à Feurs, vendredi soir, accompagné, dans son tour de chant « Accordéonissi-mots », par Sergio Tomassi, son unique partenaire sur scène.
L'interprète inoubliable de Je suis malade a séduit le public forézien vendredi soir à la halle du Rozier. Deux heures de pur enchantement pour son concert, « Accordéonissi-mots », qu'il donne dans toute la France depuis deux ans et demi. A ses côtés, un virtuose de l'accordéon, Sergio Tomassi déclinant sa musique sur tous les instruments, du piano à la clarinette en passant par le hautbois. Une prestation remarquable, chaleureusement rappelée par cinq cents spectateurs.
Deux hommes sur scène, un spectacle intimiste, mais quel spectacle ! L'un jongle avec les mots, l'autre avec les notes, le tout dans une symphonie bien orchestrée qui ne laisse pas de place au hasard.
Entre émotion et rire, Serge Lama a séduit le public forézien, l'interpellant de sa verve facile et de son humour décapant, jonglant avec les mots et les jeux de mots avec une facilité déconcertante.
C'est là tout le charme de cet artiste accompli, à la fois chanteur et comédien. Quelle intensité dans ses chansons, qu'il ne se contente pas d'interpréter sobrement, mais de vivre passionnément. L'émotion, il l'a fait partager dès son entrée sur scène avec sa chanson phare Les Ballons rouges puis quand il évoque l'Algérie ou le décès de sa mère, disparue prématurément.
Mais le public n'a pas le temps de s'attendre que déjà Superman arrive, veste blanche pour l'occasion, suivi d'un medley des Femmes sont belles aux Petites Femmes de Pigalle. Et les chansons s'enchaînent dans une frénésie virevoltante. Un petit intermède théâtral entre deux, et le voilà, de nouveau, élevant sa voix puissante, a cappella à certains moments, pour des chansons connues ou moins connues.
Deux heures plus tard, le public en redemande, mais l'heure du départ a déjà sonné. En guise d'au revoir, il invite les femmes à s'approcher de la scène pour leur chanter Femmes, femmes, femmes et puis La Star s'en va sous une salve d'applaudissement. Une telle prestation n'en méritait pas moins.
Frédérique Défrade
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Serge Lama en concert : un enchantement
L'un jongle avec les notes, l'autre avec les mots. Leurs deux talents conjugués ont produit une pure merveille. Vendredi soir, les Foréziens ne pouvaient qu'applaudir chaleureusement la prestation époustouflante de Serge Lama et Sergio Tomassi lors de leur spectacle Accordéonissi-mots.
Un accordéon seul sur scène pour accompagner un tour de chants ? Un défi magistralement relevé par Serge Lama et son complice Sergio Tomassi. Vendredi soir à la halle du Rozier, les mille cinq cents spectateurs furent sous le charme de la voix puissante du chanteur et la dextérité du musicien.
Dès le début du spectacle Accordéonissi-mots, le ton est donné. L'accordéoniste, seul sur scène, accueille le public, faisant vibrer les cœur sous la dextérité de ses doigts. Puis dans l'obscurité, une voix, « la » voix, celle que tout le monde attendait. Les applaudissements fusent, les spectateurs attendent.
Et il apparaît enfin, tout de noir vêtu, le port magistral. Il commence son tout de chants par Les ballons rouges sa chanson phare. Une vague nostalgie s'empare de chacun. Un peu de tristesse aussi en songeant à ce pauvre petit garçon qui « jamais rien demandé, n'a jamais rien eu, n'a jamais rien donné, n'a jamais rien reçu ». Et la lumière éclaire son visage, il porte sur lui ses 63 ans, mais sa voix puissante reste la même, s'imposant jusqu'à faire vibrer les corps. Il enchaîne avec Mon maître mon ami, l'accordéon a changé de sonorité. Le talent du musicien commence à étonner. Enfin, l'artiste s'adresse au public, présentant leur spectacle : « certains disent qu'il est intimiste, duettiste, confidentiel, nous on ne le qualifie pas, on l'a juste conçu avec beaucoup d'amour ».
Pause rire entre deux chansons
Le grand Serge Lama chante et chante encore, ponctuant ses chansons d'intermèdes avec le public. Au rire succède la solennité quand il évoque Les jardins ouvrier, L'enfant au piano en hommage à sa mère trop tôt disparue, ou l'Algérie, « cette aventure dont on ne voulait pas ». À peine a-t-on le temps de s'émouvoir que déjà il invite le public à reprendre « Juliette, Françoise ou Simone » et La chanteuse à vingt ans ». Des centaines de voix font échos à celle de Serge Lama qui remarque « Ah, ce public forézien, je le sens à Feurs de peau, c'est un public tout Feurs tout flamme ».
Chansons d'hier et d'aujourd'hui
De jeux de mots en jeux de mots, le spectacle se poursuit, sans entracte, « les placeuses, faute de pouvoir vendre des esquimaux, se retrouvent à subir des exquis-mots », dixit Serge Lama. De chansons moins connues comme Les Glycines aux fredaines populaires, la voix s'enflamme, la musique suit le tempo, encore et toujours, plus fort, plus vite, plus étonnante tantôt au son du piano, du hautbois ou de la clarinette. Une prouesse technologique en soit. Elle se poursuivra quand l'auteur ira revêtir une veste blanche pour chanter Superman et un medley.
Deux heures plus tard, le spectacle s'achève déjà. Serge Lama quitte la scène. Le public attend, espère. Et il revient sous une salve d'applaudissements interpréter les incontournables Femmes, femmes, femmes, Je t'aime à la folie, Je suis malade.
Quand « la star » s'en va, les spectateurs ne peuvent qu'accepter avec regret de voir partir celui qui les aura fait frémir le temps d'une soirée. Aux chants succède le silence. La halle du Rozier se rallume doucement. La magie est terminée.
Frédérique Défrade
18:45 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
21 Mai 2006:Le Progrès
Concert le 18 mai à l’espace 1500 à Amberieu en Bugey
Serge Lama comble le public
Tout à la fois show man généreux, exubérant et enthousiaste, la voix oscillante entre le tendre et le lyrique, le « Superman » de la chanson française était jeudi soir à l'Espace 1 500
Élevé dans les coulisses du music-hall, Serge Lama est le chanteur baryton des plus populaires de l'Hexagone avec ses textes franchouillards flirtant maintes fois avec la chanson paillarde au second degré.
« D'aventure en aventure », Serge Lama s’est ingénié à passer en revue son répertoire où les femmes occupent une place importante, voire prépondérante. « Femmes, femmes, femmes », « Les p'tites femmes de Pigalle », « La french nana », « Marie la polonaise », « Les belles de mai » : elles étaient toutes là à applaudir cet « Heureux tarzan », pilier incontournable de la variété frenchy. Une image de tombeur séducteur qui lui sied toujours à merveille. Après quarante-trois ans de carrière, des titres et des albums à n'en plus compter, l'homme était sur la scène ambarroise, seul, juste avec sa voix et son accordéoniste virtuose Sergio Tomassi. Il a une nouvelle fois ravi son public par sa sincérité, son charme et sa présence légendaires.
Une carrière somptueuse
Né un certain 11 février 1943 sous le patronyme Chauvier, une vocation était en train de naître en 1950 en son âme intérieure. Au milieu des années cinquante, Serge commence à écrire des poèmes et des chansons. En 1956, il entre au lycée Michelet de Vanves et se réfugie dans la lecture. Gide, Camus, Sartre seront ses compagnons. A 16 ans il joue du Anouilh et du Giraudoux. La scène le tente de plus en plus, il envisage de faire une carrière d'artiste de manière simplifiée. En 1962, il est appelé sous les drapeaux, l'année suivante il entre au petit conservatoire de Mireille. Le jour de sa majorité il fait sa première scène nationale aux cotés de Barbara. Durant ces longues années de carrière il aura côtoyé les plus grands noms de la chanson française : Georges Brassens, Régine, Marcel Amont, Nana Mouskouri, Juliette Gréco, Isabelle Aubret ou encore Maxime Le Forestier. Les grandes scènes parisiennes, l'Olympia, Bobino, le Palais des Congrès, n'ont plus de secret pour lui. Jeudi l'Espace 1 500 était au diapason de ces salles prestigieuses avec un public conquis par la voix et par l'homme.
Jean-Jacques Kotkowiak
18:32 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
21 Mai 1986: Nous Deux
16:30 Publié dans 1986, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)