04.05.2009
1982: Poster
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4 Mai 2011: La presse
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4 Mai 1986: Scoop à la une
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4 Mai 2011: Canoê divertissement
Autre article suite à la prestation de Serge Lama le 3 Mai 2011 à Montréal
Tournée Tour d'horizons de Serge Lama: un talent unique
Samuel Pradier
© Agence QMI / Sira Chayer
MONTRÉAL - Sobrement habillé de noir, Serge Lama s’est présenté seul sur la scène du Théâtre Saint-Denis, mardi soir, pour chanter a cappella sa chanson Star. Dès cette première chanson, la glace était brisée et le public était sous le charme. Ont suivi, sans temps mort, des chansons intemporelles comme La première fois, Je t'aime, Les p'tites femmes de Pigalle, D'aventures en aventures, Je t'aime à la folie, ainsi que d'autres, plus récentes comme Grosso Modo. Le chanteur s'est même permis de remplacer le dernier couplet pour l'adapter à la politique canadienne. «Pour Jack Layton, il va y avoir du boulot, grosso modo», a-t-il osé. Malgré ses 68 ans, Serge Lama n'a rien perdu de sa voix chaude et puissante. La démarche est plus hasardeuse, mais l'homme reste une bête de scène que le poids des années ne fait que bonifier. Son interprétation est toujours aussi intense et ressentie, accompagné de ses deux excellents musiciens, l'accordéoniste Sergio Tomassi et le guitariste Philippe Hervouët. Le chanteur a poursuivi la soirée avec de grands classiques comme Souvenirs attention danger, Les poètes, Chez moi ou encore la magnifique chanson Les glycines. Serge Lama s'est même autorisé quelques chansons grivoises comme La salle de bains ou encore la très explicite Les objets hétéroclites. Magnifiquement mise en lumière par Vincent Lucet, la soirée a filé à toute allure. Aucun temps mort, ni aucune chanson que le public ne peut reprendre en choeur. Quand on évoque la carrière de Serge Lama, il est également impensable de passer à côté de l'aventure Napoléon, qui avait d'ailleurs tenu l'affiche plusieurs mois au Québec. Il en a interprété quatre extraits qui restent dans toutes les mémoires comme Napoleone ou la Lettre à Joséphine. Mais le plaisir n'était pas que dans la salle, il était aussi sur scène. «Mon bonheur est d'être sur scène, je n'ai pas fait ce métier pour faire des disques, mais pour être sur scèn », a-t-il avoué. En près de deux heures et trente chansons, Serge Lama a fait un tour d'horizon de ses plus grands succès qui n'ont pas pris une ride. La soirée s’est terminée comme elle a commencé. Serge Lama a livré une interprétation incroyable de son plus grand succès, Je suis malade. Simplement époustouflant. Avant de reprendre sa tournée en France, Serge Lama sera encore en spectacle ce mercredi au théâtre Saint-Denis de Montréal et le 7 mai à Brossard.
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4 mai 2000 – Journal Télé Réunion
08:35 Publié dans 2000, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
4 mai 2004- JT Yvelines Première
08:02 Publié dans 2004, Serge Lama à la télévision, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
mai - juin 2007 : Nos plus tendres années
06:50 Publié dans 2007, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
Marcel Amont parle de Serge Lama
Ce terrible soir-là, il nous fallut attendre la fin du gala pour savoir que les trois manquants avaient planté leur voiture à 130 à l'heure contre un platane - Qu'un seul survivait - Lequel ?
--- En pleine nuit, dans cette lugubre chambre d'hôpital, j'avais peine à reconnaître dans ce tas de chairs broyées, dans ce corps brisé, le petit Serge que j'avais connu en culottes courtes chez son père, le baryton bordelais Georges Chauvier.
---Et voilà Grand Serge, superman toutes catégories !! Quelle joie ! Quelle leçon de voir le ressuscité tanguer sur scène, si puissant, si chaleureux, si généreux !...
Le secret ? très simple.
A 20 ans se réveiller d'entre les morts ; lutter, souffrir, serrer les dents, interminablement - et puis attendre, espérer, travailler et encore souffrir et lutter...
Et puis avoir une de ces envies de vivre, mais alors de vivre, de vivre, de vivre !!
03:40 Publié dans Ils parlent de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge, lama
4 mai 2011: Rue Frontenac
Papier publié au lendemain du passage de Serge Lama sur la scène du théatre Saint Denis de Montréal
Serge Lama, comme au grand théâtre
Après une longue résidence de plus d’un mois au Gesù il y a cinq ans, Serge Lama renouait avec le théâtre St-Denis, mardi, pour la première montréalaise de son plus récent disque, L’âge d’horizons. Choix judicieux pour le grand Serge qui nous a déballé le spectacle le plus théâtral qui soit.
Il est comme ça, Lama. Avec Brel et Aznavour avant lui, il est l’un des rares chanteurs pour qui l’équation dépasse de loin l’interprétation. Lama chante, bien sûr, et ce, encore avec la puissance de sa voix grave dans les basses, quoiqu’un plus graveleuse que naguère dans le timbre. Mais surtout, il interprète, il habite et il vit ses chansons. C’est un art qui se perd.
Parfois, c’est discret. Comme pour son entrée en scène, quand il chante Star, a cappella. Effet garanti. Souvent, c’est plus marqué. La salle de bain, ludique et musette; Je t’aime, intense; ainsi que J’arrive à l’heure (Le cocotier), amorcée hors scène; ont toutes fait mouche. Et, tantôt, c’est gigantesque, comme lors de cette finale a cappella – mais sans amplification sonore – de Je suis malade, au rappel. Effet monstre.
Arrangements somptueux
Flanqué de l’incomparable accordéoniste Sergio Tomassi et du guitariste Philippe Hervouet, Lama enrobe avec goût ses nouvelles compositions et ses classiques. Et il est un digne représentant de la chanson française pour qui sa production contemporaine est aussi solide que ses classiques. Est-ce parce que L’Age d’horizons est paru depuis 18 mois au Québec? Toujours est-il que j’avais très hâte d’entendre les «nouvelles» chansons qui étaient déjà familières à mes oreilles.
D’où qu’on parte avait une portée dramatique d’une rare intensité, Les hommes et les femmes était irrésistible avec son swing manouche, la vivifiante Grosso Modo a eu droit à une rime d’ordre politique («Pour Jack Layton, il va y avoir du boulot»), tandis que Alors que l’on s’est tant aimés était aussi touchante sur scène que sur disque.
Impossible de parler de cette performance sans mentionner la qualité du concept d’éclairage : faisceau directement braqué sur Lama pour le poème narratif Toute blanche qui précédait une jolie version D’aventures en aventures déclinée sur deux tempos; éclairages syncopés pour l’une des versions les plus mordantes entendues de Les Glycines; et spots dirigés vers le public pour la finale de Une Ile. Du bonbon.
Comme Lama le dit lui-même : «Je n’ai pas fait ce métier pour faire des disques. J’ai fait ce métier pour faire de la scène.» Cette scène, justement, lui a causé problème, mardi. Ça faisait un moment qu’on se demandait ce qui s’était passé vers le milieu du spectacle, quand il s’est mis à converser à profusion avec les spectateurs – notamment durant une interminable version du nouveau titre, Les objets hétéroclites – alors qu’il avait été plutôt discret durant la première heure.
Le trac, tout bêtement. Même après 47 ans de métier… C’est plaisant de voir que les grands ne sont pas blasés et qu’ils sont sensibles aux réactions de leur public.
Le retour de Napoléon
Ce public, il était bien content que Lama reprenne des titres de sa période Napoléon (Napoleone, Lettre à Joséphine, La crainte et les intérêts, Le Memorial), chansons qui avaient été délaissées par le principal intéressé. Mais enrobées avec les arrangements organiques de Tomassi, elles étaient aussi jolies… et bien moins tonitruantes.
Comme Lama le disait lui-même aux représentants des médias il y a quelques semaines, les séquelles de son terrible accident de jeunesse commencent à être plus présentes à l’approche des 70 berges. Sa démarche était en effet moins fluide que dans le temps, mais afficher une telle forme physique et vocale au point de s’offrir un récital non-stop de 30 chansons d’une durée de deux heures et quart à 68 ans n’est pas donné à tout le monde.
Lama avait d’ailleurs encore assez d’énergie pour boucler son tour de chant théâtral drapé d’une cape rouge – un peu comme il l’avait fait avec le rideau du Gesù il y a cinq ans – , afin d’interpréter sans instrumentation, La Vie simple et tranquille.
Deuxième service, mercredi soir, au même endroit. Et soyez à l’heure (20 heures). Il n’y a pas de première partie, et comme au théâtre, Lama commence tout juste cinq minutes après l’heure officielle affichée sur le billet.
03:14 Publié dans 2011, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
4 mai 1984 : Casino Parade - RTL
En mai 1984, Serge lama est l'invité de Fabrice dans l'émission Casino Parade sur RTL.
EXTRAIT DE L'EMISSION
00:25 Publié dans 1984, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)