10.05.2009
10 Mai 2005: Télégramme
Quinper Serge Lama : un public sous le charme
Les réservations étaient complètes un mois auparavant, voire plus que complètes puisqu'il a failli manquer quelques places. Heureusement, le spectacle valait bien ces désagréments de mise en route. Serge Lama n’a pas déçu ses admirateurs.
Sa présence sur scène fait l'unanimité. Tour à tour, émouvant, coquin ou comique, la star s'est montrée accessible, offrant au public deux heures de spectacle non-stop. L'artiste était accompagné sur scène de Sergio Tomassi et de son incroyable accordéon.
Un festival d'accordéons
Le musicien est un orchestre à lui tout seul, jouant aussi bien du piano, que des percussions, et même les chœurs de l'Armée rouge ! Maïs Serge Lama a tenu à le préciser sur scène : « C'est un festival d'accordéons à lui tout seul... Mais tous ces sons sont faits maison et joués avec les doigts ! ». Donnant la réplique de ces notes au chanteur, il était également le complice muet qui a bénéficié à la bonne humeur du spectacle. Bien sûr, Serge Lama n’a pas oublié d'interpréter quelques-uns de ses succès comme « Le ballon rouge » ou « Martha », prouvant même qu'il pouvait se passer de micro sur « Je suis malade ». Mais son spectacle « Accordéonissimots » est un spectacle à part entière avec des chansons moins connues ou plus récentes.
Pas de rappels
A demi-mots, c'est un peu de son histoire que l'artiste a racontée, car beaucoup de ses chansons ont une part autobiographique. Le chanteur a ainsi fait des petits clins d'œil aux personnes qui ont compté dans sa vie : son père, qui lui a transmis sa passion pour la chanson ; Barbara qui l'a lancé; Alice Dona ou Yves Gilbert, ses compositeurs attitrés. Il a démontré au public, qu'outre ses talents d'auteur et de chanteur, il était également comédien et vraiment drôle, servant au public ses « exquis-mots » durant l'entracte qui n'en n'était pas vraiment un. .. Bien qu'acclamé chaleureusement par des applaudissements après chacun de ses titres, Serge Lama a semblé déçu lorsqu'il a été demandé à la salle de pousser la chansonnette. Peut-être est-ce pour cela qu'il n'a pas souhaité faire de rappel, à la grande déception de ses fans.
17:02 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 Mai 2003: Télé loisirs
14:53 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mai 1985 : Casino Parade - RTL
En Mai 1985, Fabrice reçoit Serge Lama dans son émission Casino Parade sur RTL.
EXTRAIT
13:04 Publié dans 1985, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
Mai 1994: Radio Bleue Magazine
10:20 Publié dans 1994, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 mai 1998 - Stars & Co
09:24 Publié dans 1998, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
10 mai 2002 : Canoe Tempo
Serge Lama en entrevue
Canoë Tempo : Après sept ans d'absence, votre dernier disque remonte à 1994, vous avez décidez de retourner en studio pour enregistrer Feuille à feuille. Pourquoi avoir attendu si longtemps?
Serge Lama : Vous savez, j'avais attendu encore plus longtemps avant. Je suis revenu à la chanson en 1995, ayant fait entre-temps Napoléon, deux pièces de théâtre et un téléfilm. Ceci m'a éloigné des scènes pour chanteurs pendant près de neuf ans. Ceci dit, j'ai passé mon temps entre 1995 et décembre 2000 à reprendre les routes et à revaloriser tout mon ancien catalogue, à remettre en forme tout mon patrimoine de chansons connues. Il fallait réhabituer le public à des arrangements différents. Alors j'ai bossé comme ça pendant 5 ans avec une version symphonique pour ensuite repartir avec une formule minimaliste. Là, j'ai trouvé une formule très intéressante, qui redonne une certaine couleur à mes chansons. L'absence de piano a changé ma façon de chanter. Tout à coup, accordéon, guitare et percussions ont vraiment changé mon espace musical. On a décidé quand on a fait ce disque-là de prendre cette direction, plus rythmique, différente. Il y a un mélange sur ce disque entre le chanteur, le musicien et l'auteur. Je crois que dans cette album, on voit ces dimensions-là.
Canoë Tempo : C'est votre trentième disque en carrière, que vous a-t-il apporté de plus?
Serge Lama : Il m'a apporté un vrai renouveau que je cherche depuis un moment, que j'avais déjà un peu esquissé d'une façon qui n'était pas la bonne dans le dernier. Il faut arriver à ce que l'on fasse quelque chose qui nous plaît et qui soit susceptible de plaire à un public qui vous a déjà défini d'une façon très précise. Il faut concilier les deux parties. Je crois que c'est ce que ce disque a réussi à faire. En France, c'est mon album le plus médiatisé depuis longtemps. Ici, les journaux n'ont publié que des critiques dithyrambiques.
Canoë Tempo : De nouveaux collaborateurs viennent se greffer à votre équipe sur ce nouvel opus…
Serge Lama : En fait, l'arrivée de nouveaux collaborateurs a donné un autre ton au disque. Yves Gilbert est de retour sur cinq titres mais il y a également Sylvain Michel qui en signe deux, Nicolas Montazaud et Christophe Leporatti. Bref, neuf chansons viennent de nouveaux musiciens. Le mot renouveau est souvent utilisé en France.
Canoë Tempo : Beaucoup de vos chansons traitent de la nostalgie. Votre dernier album n'y échappe pas d'ailleurs…
Serge Lama : Je suis né avec la nostalgie. Victor Hugo disait La mélancolie c'est le bonheur d'être triste.
Canoë Tempo : Il y a une chanson sur votre album qui va rejoindre beaucoup les gens du Québec. Pourquoi avoir écrit Les Québécoises?
Serge Lama : Je ne sais pas si ça va rejoindre beaucoup de Québécois, mais j'espère toucher les Québécoises. Il y avait longtemps que j'avais envie d'écrire une chanson sur le Québec où j'ai beaucoup chanté quand même. Je dois beaucoup au Québec, je lui doit d'avoir été vraiment reconnu avant d'être connu en France. Le Québec m'a adopté bien avant la France. Ça fait longtemps que j'avais des textes à ce propos. J'ai trouvé que celui-là était très signifiant de ce que j'ai ressenti après les longs cinq mois d'hiver plus ou moins rigoureux que vous avez. Tout à coup, j'ai remarqué que les hommes et les femmes dans la rue étaient difficilement différentiables tellement que tout le monde est habillé chaudement. Mais une fois les premiers rayons de soleil arrivés, les Québécoises passent carrément des gros manteaux avec presque rien sur le corps. C'est ce que je voulais exprimer avec cette chanson.
Canoë Tempo : C'est également une collaboration avec un compositeur québécois, Sylvain Michel…
Serge Lama : On a tout fait par téléphone et par télécopieur. Je lui ai expliqué ce que je voulais et il a immédiatement été emballé. C'était un travail par correspondance.
Canoë Tempo : Une nouvelle méthode de travail?
Serge Lama : Je l'ai fait pendant tellement longtemps. Dans les années 70, je travaillais 250 jours par an pendant 10 ans! On travaillait en grande partie grâce à la poste. La chanson Algérie a été composée de cette façon.
Canoë Tempo : Est-ce que le disque compact a changé votre façon de travailler?
Serge Lama : Honnêtement, c'est pareil. On regrette le vinyle parce que d'abord on regrette toujours ce qui était avant, c'est la nature humaine. Un album 33 tours donnait cependant l'impression de posséder quelque chose.
Canoë Tempo: Vous avez privilégié la scène pendant plusieurs années, est-ce parce que vous ne pouvez vivre sans elle?
Serge Lama : C'est une nécessité, un besoin et c'est vrai que tant que je pourrais physiquement monter sur une scène, je le ferai. C'est la raison pour laquelle j'ai voulu faire ce métier. Le seul sport que je fais, c'est la scène. Je reviendrais au Québec l'été prochain pour les FrancoFolies et peut-être même à l'automne prochain pour y donner des concerts à Montréal et Québec.
Canoë Tempo : Qu'est-ce que vous aimeriez souhaiter à votre public pour l'année 2002?
Serge Lama : Cette année c'est facile, ça ne peut pas aller plus mal que ça ne va. J'ai beaucoup d'amis qui sont dans la merde, l'économie roule mal. La dernière année a ébranlé beaucoup de certitude. L'Homme est la grande menace à lui-même. Le capitalisme est le pire des régimes à l'exception de tous les autres. Bref, on doit espérer que tout remonte.
08:57 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 Mai 1993 : 100 ans du Palais – Pays Basque
A l’origine, l’hôtel du Palais était une résidence impériale construite en 1855 par Napoléon III et sa femme. La Villa Eugénie, tel était son nom, a été transformée en hôtel en 1893.
L’hôtel a donné une fête le 10 mai 1993, pour les 100 ans du Palais, à laquelle 100 personnalités ont été conviées dont Serge Lama, Marie-Paule Belle et Alice Dona.
08:32 Publié dans 1993, Un jour dans la vie de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (0)
10 Mai1983:Concert Forum de Liège
08:04 Publié dans 1983, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
10 mai 1986 : Télé Loisirs
06:45 Publié dans 1986, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
10 mai 1999 : C’est au programme - France 2
Alice Dona est invitée dans l'émission C'est au programme du 10 mai 1999 à l'occasion de la sortie de son album Couleurs de l'ombre. Serge lama a enregistré un message pour Alice.
01:00 Publié dans 1999, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)