12.11.2009
12 Novembre 1967:TOP
04:25 Publié dans 1967, La presse des années 1960 | Lien permanent | Commentaires (0)
11.11.2009
11 au 15 novembre 2002 : Il est passé par ici (TSR)
Philippe Robin reçoit Serge Lama dans son émission, Il est passé par ici, diffusée sur option musique pendant la semaine du 11 au 15 novembre 2002.
EXTRAIT
20:13 Publié dans 2002, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
11 novembre 1995 : Sud-Ouest
Critique du spectacle de Serge lama au Palais des festivals à Biarritz (devenu Gare du Midi)
Lama dit l'amour
1 500 personnes dont une écrasante majorité de femmes ont bissé Serge Lama : beau spectacle
C'est de leur corps qu'il parle sans cesse, de leurs hanches et de leurs seins, de leur bouche et de leur ventre : chantant l'amour et le désamour, la rupture et la jalousie, la domination et la soumission, la couche chaude et le lit froid, les reines souveraines et les fausses blondes aux faux-semblants, les esclaves orientales et les mal-aimées.
« Pauvre Maria ».
Voilà pourquoi du parterre au balcon du Palais des Festivals, les femmes renversent leur tête sur le dossier de leur fauteuil lorsqu'elles écoutent Serge Lama. Elles ne sont plus adolescentes, la quarantaine, un peu plus, et l'éclat qui passe dans leurs yeux comme un retour de séduction inviterait presque leurs hommes à redevenir conquérant.
C'est qu'il sait y faire le bougre, la voix chaude et coquine, le verbe généreux d'un auteur qui sait raconter en quatre couplets une histoire universelle : des paysages campés sous "le parasol des feuillages", de l'eau souvent, une Île et des Saumons, et du ciel toujours « ciel d'hiver bleu et vert qui pleure un peu » : les textes collent ou « arrachent la peau du cœur ». Le chanteur vit ses mots sans défaut.
Jouant avec les demoiselles du premier rang, prenant la salle à témoin, se promenant entre les fauteuils, et coiffant un béret rouge que 1 500 paires de main saluent comme un seul homme. Deux heures durant et toussant de temps en temps, Serge Lama a déroulé son répertoire ancien et plus récent : Les ballons rouges, Mon ami mon maître, La première fois, Malade, les Glycines, chez Moi, La maison de Frédéric ... Des tubes -24 titres plus deux rappels- que tout le monde connaît et que le public fredonnait sans se forcer.
Deux fois il est revenu sur les planches, après avoir présenté les complices de toujours, d'Yves Gilbert au pianiste basque Gérard Daguerre. « Chambre 362, Novotel » lance-t-il à la cantonade et à celles qui n'ont pas cru qu'il était « un menteur ». Elles avaient raison : c'était le bon numéro !
Catherine DEBRAY
17:00 Publié dans 1995, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Novembre 2006:journal le courrier
Concert caritatif donné dans la ville de St Thérèse au Quebec
Lama a rapporté 16 000 $ à Sodarrid
Le spectacle-bénéfice de Serge Lama présenté le 21 octobre au Théâtre Lionel-Groulx a généré des profits de l'ordre de 16 000 $ pour la maison des jeunes de Boisbriand, Sodarrid, pour qui le spectacle annuel représente un important moyen d'autofinancement. Le conseiller municipal boisbriannais Robert Frégeau qui a mis les mains à la pâte et l'épaule à la roue dans la promotion et la vente des billets, se réjouissant de ce résultat, l'un des meilleurs résultats avec les spectacles présentés au cours des derniers années au profit de l'organisme. Plus de 400 billets ont été vendus à un prix supérieur au prix régulier, avec l'accord de l'artiste, pour atteindre le chiffre mirobolant de 16 000 $. DB (Photo Pépé)
11:41 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 Novembre 2003: La libre Belgique
Interview de Serge lama au moment de la sortie de l'album Pluriel
Serge Lama: «Je suis un nouveau chanteur»
OLIVIER MOUTON
Mis en ligne le 11/11/2003
Le cadre, c'est l'hôtel Amigo où descendent la plupart des grands noms de la chanson, française. Un décor stylé à deux pas de la Grand-Place. Un lieu de mémoire pour ceux qui sont venus en tournée à de nombreuses reprises. Serge Lama est de ceux-là. Cette fois, il vient présenter un nouvel album, une série de duos avec des femmes: Lara Fabian, Marie-Paule Belle, Enzo Enzo, Isabelle Boulay, Annie Girardot... et Dalida.
Avez-vous une affection particulière pour la Belgique?
Honnêtement, oui. En fait, j'ai une affection particulière pour vous comme pour les Suisses ou pour les Québecois. On sent qu'il y a une affection particulière pour la chanson française parce que vous avez une identité à défendre. Les Français, avec leur prétention de coq gaulois, ne se rendent pas comptent que leur langue est en train de s'appauvrir.
En outre, ici, j'ai un succès formidable. J'ai toujours été bien reçu. Il y a une spontanéité chez vous qu'il n'y a pas dans toutes les régions de France.
La langue est un matériau important pour vous?
Bien sûr. Et je m'inquiète parce que, de plus en plus, les phrases deviennent des mots que l'on met les uns derrière les autres. Cela me fait de la peine, moi qui suis un grand mangeur de langue française, particulièrement d'anthologies poétiques.
Quels sont les auteurs qui vous ont nourri?
Tchekhov, dans les Russes, même si on perd beaucoup à la traduction. En ce qui concerne la poésie, je mets Baudelaire en tête devant Rimbaud. J'aime Hugo, Musset. Même des auteurs dits mineurs comme Théodore de Banville ou Théophile Gauthier m'enchantent. Je suis plus un homme de vers qu'un homme de prose.
Parlons de votre nouvel album. Douze anciennes chansons pour une véritable recréation...
C'est marrant parce que dans «recréation», il y a «récréation». Nous sommes des «récréateurs», nous sommes là pour faire rêver, pleurer ou rire. C'est un disque de variétés au service des femmes. Ma vie a été entourée de femmes. Elles m'ont beaucoup apporté, même quand elles ont été des rivales sur le plan de la dualité entre l'homme et la femme. Ma mère, par exemple... Cette bataille entre nous a donné plusieurs chansons.
Moi, je voulais faire un duo avec Dalida. Ma maison de disques a proposé d'élargir cela à d'autres duos. A travers eux, j'ai pu rendre des hommages à des femmes disparues comme Dalida mais aussi Barbara, qui m'a imposé dans mon premier music-hall à Bobino avec une affiche incroyable, ou encore la pianiste de Barbara, qui était ma fiancée, décédée lors de mon accident de voiture.
Vous avez eu soixante ans en février dernier. Etait-ce le moment de rendre ces hommages?
J'ai eu un sentiment de liberté lorsque j'ai fêté mes soixante ans à Bercy. C'était comme si j'avais un «vingt ans différent». Je suis au début de la fin de ma vie. Et j'ai acquis ma liberté. A vingt ans, je n'étais pas libre parce que j'étais contraint de réussir...
Vous vous êtes forcé à réussir...
Pour moi, si je n'avais pas réussi, c'est comme si on m'avait enlevé l'oxygène. Mon père n'avait pas réussi, moi j'étais contraint de réussir. Il y avait une force en marche tendue vers cet objectif: être en haut de l'affiche, écrire de bonnes chansons, faire sa place dans le monde... Je n'étais pas libre! Ensuite, la gloire m'est tombée dessus. Pendant vingt ans, j'en ai été l'esclave.
Vous l'avez ressenti comme ça?
Quand même, oui. Vous semblez indispensable à tout le monde, on vous supplie sans cesse... Tout ça est fini. Je vis une nouvelle jeunesse.
Ce duo virtuel avec Dalida, «Je suis malade», représente beaucoup pour vous.
Je ne suis pas certain que «Je suis malade» serait devenu ce qu'il est devenu si Dalida ne l'avait pas chanté. Mon disque est sorti en 1972. Ce sont les «Petites dames de Pigalle» qui ont été balancées dans les radios. Dalida m'a demandé si elle pouvait l'enregistrer et les radios ont enfin suivi. Cette chanson a pris une place considérable. Techniquement, le temps était venu d'enregistrer un tel duo.
Vous en parlez avec émotion. Mais il y a quelques années, on aurait trouvé «curieux» de ressusciter une personne défunte...
Il faut vivre avec son époque et celle-ci a quelque chose d'exceptionnel: pour la première fois, les chanteurs vont devenir des gens qui passent les époques, comme les écrivains. Dassin est toujours vivant comme Balavoine, Brel, Piaf... C'était impensable avant.
Cela vous donne-t-il un sentiment d'éternité?
Il y a une postérité possible qui était impensable avant. Et il est merveilleux de pouvoir rendre hommage à ceux qui nous ont précédés. Tous les chanteurs en pleine force de l'âge devraient enregistrer un vidéo-disque avec des chanteurs disparus pour montrer cette pérennité. Cela réconcilierait les générations, aussi.
Avez-vous l'impression d'être lié à une génération?
J'ai plutôt le sentiment d'être intemporel dans mes compositions. Les chansons qui restent sont souvent celles qui se situent hors de la mode. Gainsbourg, qui était un grand novateur, avait une écriture très classique. «La Javanaise», c'est écrit comme du Baudelaire. Et qu'est-ce qui fait durer une chanson? C'est le texte.
Aujourd'hui, on ne retrouve une telle qualité d'écriture que dans le rap, MC Solar en tête. En revanche, les rappers ont perdu la mélodie. Qu'est-ce qu'une chanson? C'est une histoire d'amour entre trois notes et trois mots. «Mais d'aventure en aventure, de train en train, de port en port...» C'est aussi simple que ça. Et l'interprète que je suis devenu aujourd'hui peut utiliser le même matériel qu'il y a vingt-cinq ans.
En quoi votre interprétation a-t-elle changé?
J'ai apporté l'expérience d'un homme qui a fait du théâtre, qui a appris à jouer la comédie. Je sors des choses que j'aurais été incapable de sortir à 30 ans. En revanche, à l'époque, j'étais plus explosif...
Êtes-vous devenu plus sage?
Plus rigoureux. J'ai compris mes textes, d'une certaine façon. Je suis un nouveau chanteur. Je me suis renouvelé par d'autres disciplines comme ils le font dès le départ à la «Star Academy». On n'apprend pas à devenir star, c'est le mauvais côté de cette émission. Mais le bon côté, c'est de montrer qu'il y a tout ce travail à faire.
On vous connaît pour des chansons guillerettes. Mais la majorité des chansons sont tristes...
C'est le reflet de ma double personnalité. La partie émergée de l'iceberg, c'est le côté music-hall hérité de mon père. J'ai vu chanter Maurice Chevalier, j'ai ça en moi. Mais c'est 10 % de mon répertoire. On me voit comme quelqu'un de disert, qui s'exprime, mais on ne se rend pas compte que je suis foncièrement un tragique. Dans ma vie, j'ai été marqué par plusieurs tragédies.
Vous avez une autre dualité au fond de votre personnalité: homme/ femme.
Mon écriture est féminine, c'est sûr! Je ne suis pas un baroudeur. J'ai curieusement la même féminité qu'un Depardieu. Nous faisons un métier typiquement féminin de séduction. Même Brel, qui s'en défendait, n'aurait pas pu chanter l'amour comme il le faisait sans cette part féminine.
CD «Pluri-elles», Warner.
© La Libre Belgique 2003
08:58 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
11 novembre 2005 – Tu connais la chanson – RFI
08:28 Publié dans 2005, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
Caricature de Serge Lama
En 1979, Juan Mara caricaturait Serge Lama au Palais des Congrés :
04:55 Publié dans 1979, Documents sur Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
10.11.2009
Novembre 87: billet d'humour
20:35 Publié dans 1987, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 Novembre 2009:Sud Ouest.com
19:02 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
10 Novembre 2008:Coffret DVD "LA SCENE"
Le 10 Novembre 2008 sortait un coffret de 4 DVD de Serge Lama en concerts.
- L'Olympia 19 Mars 1996
- Le Symphonique 1998
- Bercy 11 Février2003
- Accordéonissimots 2005
Et en bonus une interview de Serge Lama enregistrée le 2 Septembre 2008 dans le restaurant "Chez Denise" au sujet de sa carrière et de ces 4 concerts.
10:27 Publié dans 2008, CD, DVD, Vinyle et Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)