15.11.2009
15 Novembre 1990:Ciné revue
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15 Novembre 1964: L'humanité
20:36 Publié dans 1964, La presse des années 1960 | Lien permanent | Commentaires (0)
15 novembre 1980 : Réunion du fan club à Bordeaux
EXTRAIT AUDIO
20:10 Publié dans 1980, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
Novembre 1975:Réunion fan club en normandie
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15 novembre 2009 : On repeint la musique – France bleu
Serge Lama participe à l'émission On repeint la musique présentée par Serge Poezevara, accompagné de Danielle Moreau et Fabien Lecoeuvre.
EXTRAIT
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15 novembre 1994 : Sud-Ouest
Dans le journal Sud-Ouest du 11 novembre, rencontre avec Serge Lama avant le concert au Zenith de Pau le 15 novembre 1994
« L'enthousiasme de mes débuts »
SERGE LAMA AU ZÉNITH
Quelques jours avant la sortie de son album, Serge Lama revient sur le devant de la scène musicale. Il sera mardi soir au Zénith. Il est remonté sur une scène musicale samedi dernier à Aulnay-Sous-Bois, « comme dans un rêve ».
Pour la première fois depuis plus de dix ans - après s'être offert à Napoléon, à la comédie musicale, au théâtre et au petit écran – Serge Lama renoue avec les tours de chant qui avaient marqué le début de sa carrière.
Quelques jours après, il ne dissimule pas son « plaisir de retrouver la scène en tant que chanteur », estime qu'il s'agit d'un « renouveau de soi-même » et dit avoir « retrouver l'enthousiasme de ses débuts ».
Mardi soir, à 20 h 30, Serge Lama chantera au Zénith, devant un public palois qu'il a déjà eu l'occasion de côtoyer maintes fois.
La logique veut que l'artiste parte en tournée après avoir sorti un album. Là, c'est l'inverse, puisque votre disque ne sera en vente que le 25 novembre...
SL - Cette rentrée était programmée depuis deux ans. Cela a pris du retard, du fait des neuf mois de tournage de la série (NDLR) : « En garde à vue », diffusée sur France 3. Si bien que le disque n'a été réalisé qu'en août. Comme d'habitude, j'ai écrit les textes ; mes complices Yves Gilbert et Alice Dona les musiques. En revanche, la production générale est nouvelle, avec une équipe qui y croit.
Pour ma part, je pense que c'est le troisième grand disque de ma carrière avec « Je suis malade » et « Napoléon ».
Comment allez-vous l'intituler ?
SL - Tout simplement « Lama ». En fait, "Je suis un homme" est le seul titre générique que l'on a pu trouver... Mais est-ce que ça va devenir un tube (on a hésité entre cinq et six pour le premier disque radio) ? Et puis, ça fait un peu prétentieux !
Combien de dates avant Paris et le Palais des Congrès, en janvier ?
SL - Une vingtaine. Nous commençons par le Sud-Ouest, lundi pays d'origine. Bordeaux, Sarlat, Pau... une ville incontournable. J'y suis toujours passé quand je tournais, environ tous les deux ans, au casino, une fois sous chapiteau.
Et cette fois au Zénith...
SL - On m'a dit que c'était une très belle salle. D'ailleurs je regrette qu'il n'y ait pas de Zénith dans toutes les grandes villes de France. Il faut bien le dire, nous nous produisons parfois dans des endroits assez pénibles...
A Pau, comme ailleurs, quel public attendez-vous ?
SL - Tant que le disque n'est pas sorti, je vais toucher mon public, celui qui me connaît. Ensuite, l'album peut ramener un public différent. Je reste un chanteur classique, mais la rythmique, l'enveloppe, est plus actuelle. A Pau, j'interpréterai deux chansons nouvelles, dont celle qui sort en radio, « Je te partage », qui a d'ailleurs reçu un très bon accueil à Aulnay-sous-Bois. Ce qui n'est pas évident pour une première écoute, alors que d'habitude la radio mâche le travail. L'oreille du public ne supporterait pas d'entendre tout un disque de chansons nouvelles, car cela demande un effort plus grand de concentration.
Combien de titres allez-vous interpréter ?
SL - Un peu plus de trente chansons... Le répertoire choisi est à base de chansons anciennes, celles que les gens ont envie d'entendre, plus d'autres, qui sont moins connues, mais que j'aime bien... et que le public prend parfois pour des nouvelles. C'est bien, aussi, de faire apprécier aujourd'hui des chansons que le public n'a pas débusqué hier. Au total, un spectacle de deux heures environ. En fonction du public, je peux aller plus vite ou plus lentement.
Ce qui signifie que vous laissez une place à l'improvisation ?
SL - Bien sûr. L'important c'est d'être le soir ce que l'on est le jour même. Évidemment, quand une chanson est arrivée à une forme idéale, on ne la touche pas ; mais il faut laisser des zones pour improviser, s'amuser. Une part de liberté qui donne de l'humanité à un concert. Cela dit, la construction du spectacle, les contraintes artistiques sont nécessaires.
Votre expérience de comédien vous sert-elle aujourd'hui sur scène ?
SL - Oui, dans l'interprétation des chansons. Mais je n'utilise pas de grande mise en scène. Parfois, un simple projecteur qui offre à un moment donné un effet scénique idéal peut être plus fort que n'importe quoi. J'ai toujours pensé que dans un tour de chant, les moyens ne remplacent pas les idées.
Valérie Pras
Critique du concert donné au Zenith de Pau
Lama et son ami de 30 ans
Un peu plus de 1 500 personnes ont applaudi Serge Lama entouré, entre autres, d'un pianiste basque et de son vieil « ami de 30 ans », Yves Gilbert, auteur de plusieurs de ses musiques. Certes, il a de la présence et une voix qui ne l'oblige pas à dévorer le micro pour se faire entendre. D'ailleurs, il peut même s'en passer, et de surcroît pour éventuellement chanter a capella. Il peut aussi puiser dans le répertoire de Jacques Brel sans prendre le risque du ridicule. Certes, l'homme est chaleureux et il a l'air heureux de faire son métier Mais, l'on ne peut pas dire que Serge Lama soit une véritable bête de scène.
Petite silhouette noire, il reste statique ou se contente d'agiter les bras et d'esquisser quelques mimiques. Pour toute mise en scène, quelques projecteurs balayent les planches ou jettent des éclairs qui torturent les yeux du spectateur Les halos de lumière, blafarde, verte, rouge... accompagne parfois les gestes du chanteur, comme lorsqu'il tend le bras dans l'espoir de « décrocher une étoile pour la faire briller toute une nuit ». Le public, un peu plus de 1550 personnes, semble ravi de retrouver Lama qui n'était pas venu à Pau depuis longtemps, depuis une soirée à la foire-expo : « vous vous souvenez, il pleuvait, j'avais fait monter les spectateurs sur scène et on avait quand même chanté ».
Sans reprendre son souffle, Serge Lama passe au crible tout son répertoire, ses anciens succès et les nouveaux. Il chante ses fantasmes, dit qu'il voudrait être « une fille que l'on épuiserait de plaisir, un noir esclave, une femme pour de vrai... », chante l'amour, l'amitié, la solitude, la nostalgie... Applaudissements des spectateurs qui n'hésitent pas à fredonner, à la demande et même spontanément.
L'artiste présente ses musiciens, des amis, insiste sur la présence du pianiste Gérard Daguerre : « Il est de chez vous, enfin grosso modo... il est basque ». Il partage aussi son micro, le temps d'une nouvelle chanson, avec Yves Gilbert, auteur de plusieurs de ses musiques, un vieux complice, « un ami de trente ans... J'espère que cela se terminera mieux pour nous ». Rires.
13:03 Publié dans 1994, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)
15 novembre 2001 : Le Nouvel Observateur
10:31 Publié dans 2001, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
1974: Mon ami mon maitre
Chanson hommage à Marcel Gobineau son ami son maître
Couverture d'une partition de la chanson 'Mon ami mon maître'
J'ai essayé à cent reprises
De vous parler de mon ami
Mais comment parler d'une église
Dont l'accès vous est interdit
Mais ce soir je sens sous ma plume
Un fourmillement familier
Quand le soleil du coeur s'allume
L'éteindre serait un pêché
C'est mon ami et c'est mon maître
C'est mon maître et c'est mon ami
Dès que je l'ai vu apparaître
J'ai tout de suite su que c'était lui
Lui qui allait m'apprendre à être
Ce que modestement je suis
Comme une chèvre vendéenne
De ses secrets il est jaloux
Et même s'il a de la peine
Il ne vous parle que de vous
Il conserve de son bel âge
Un sourire au fond de ses yeux
Et je me dis que c'est dommage
De vous le décrire sans cheveux
C'est mon ami et c'est mon maître
Je le vouvoie encore aujourd'hui
Et quand j'ai mal dedans mon être
Je passe une heure ou deux chez lui
L'air qu'on respire à sa fenêtre
C'est l'air le plus pur de Paris
Il porte en lui dur comme une arme
Un orgueil au-delà de tout
Au point que même au bord des larmes
Il vous fera croire qu'il s'en fout
C'est lui qui a fortifié mon âme
Et si je suis encore en vie
Je ne le dois pas à cette femme
Qui me rend heureux aujourd'hui
Mais à mon ami, à mon maître
Et dans la chanson que voici
Je sais qu'il va se reconnaître
Mais puisque nous sommes entre amis
Ce soir je peux bien me permettre
De vous le présenter aussi...
09:41 Publié dans 1974, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
15 novembre 1975 : Le Soir
07:20 Publié dans 1975, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
15 novembre 2008 : TV HEBDO
TV hebdo du 15 novembre 2008 annonçait Serge Lama au programme de l'émission Vivement Dimanche du lendemain.
07:00 Publié dans 2008, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama