15.11.2009
15 novembre 2003 : la chanson numéro 1
Le 15 novembre 2003 à 20h50 sur France 2, Serge Lama est l'invité de Daniela Lumbroso dans l'émission en direct "La chanson numéro 1". L'émission propose de classer les meilleurs chansons de l'artiste.
Télé 7 jours du 15 novembre 2003
VOICI DES EXTRAITS
Au cours de l'émission Serge a repris et modifié une chanson de Lara Fabian
"Je t'aime" qu'il lui a dédié.
Florent Pagny qui interprète "D'aventure en aventure"
Le "15 juillet à cinq heure" en duo avec Lena Ka
"Mon ami mon maître" par Patrick Fiori
Hors concours "Une petite cantate" de Barbara en duo avec Marie Paule Belle.
Serge Lama qui interprète "La chanteuse à 20 ans"
En duo avec les sweet génétation "Je t'aime à la folie"
La chanson numéro 1, sans surprise a été "Je suis malade"
Mais le résultat final n'avait pas été diffusé à l’antenne, l'émission ayant débordé de son créneau horaire a été subitement coupée.
Le parisien 17 Novembre 2003
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15 novembre 2003 : Télé Star
06:45 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
15 Novembre 2006: La chanson française pour les nuls
Extrait du livre "La chanson française pour les nuls", de Bertrand Dicale Page consacrée à Serge Lama.
LES REVANCHES DE SERGE LAMA
Quand Pierre Perret invente de jolies tournures pour raconter qu’il détrousse les filles, il est un autre chanteur qui y va carrément et ne s’embarrasse pas de métaphores. Et entre deux tournées chez les p’tites femmes de Pigalle, il lui arrive même de se prendre pour Napoléon, SERGE LAMA, n’est pas un tiède. En effet, grosse voix, grosses mains, gros rire, grands gestes quelque part entre le voyageur de commerce et un personnage des tableaux de Bruegel.
SERGE CHAUVIER est né à Bordeaux, le 11 février 1943, il est le fils d’un chanteur lyrique qui n’a jamais connu le succès. Quand il a sept ans, la famille déménage à Paris et son père abandonne la carrière d’artiste pour une place de représentant en bières.
A 17 ans, il rencontre Marcel Gobineau, régisseur du théâtre des capucines. Celui-ci l’accueille quand il fugue, en rébellion contre ses parents. Marcel Gobineau devient le maître spirituel de Serge, lui donne le goût de l’histoire et de la chanson (ce sera à lui que sera dédié : Mon ami, mon maître). C’est sous son influence, qu’il prend la décision de devenir vedette de music-hall.
Il débute en 1964, le jour des ses 21 ans, à l’écluse le cabaret où trônait Barbara. Premier 45 tours quelques mois plus tard et très vite un nom dans le métier, mais en août 1965, il est victime d’un effroyable accident de voiture ; la pianiste Liliane Benelli et son régisseur Jean-Claude Macias (le frère d’Enrico) sont tués sur le coup et les médecins lui annoncent qu’il ne remarchera jamais. Mais, toujours soutenu par Marcel Gobineau, il s’arrache à son lit, s’acharne à sa rééducation, et remarche sans béquilles.
Deux ans après son accident, il revient à la scène en assurant la première partie de Nana Mouskouri à l’Olympia malgré les séquelles de ses blessures et une claudication qu’il dissimule quand s’allument les projecteurs.
Dès lors, sur scène, chaque soir, c’est « un sprint et un match de boxe », en même temps, dit il en ajoutant « Aucun chanteur de ma génération n’a autant chanté que moi ». Car c’est un goinfre de scène et qui donne, deux cents ou trois cents concerts par an. La gloire survient, énorme, en 1973, avec « JE SUIS MALADE ». Dès lors, rien ne l’arrête, il mène ses concerts sa vie avec la même énergie débordante, envahissante, orgueilleuse.
SERGE LAMA ose quelque chose que personne n’ose avant lui : la fierté du perdant, le lyrisme du désastre moral, les envolées de l’homme ordinaire qui s’invente un destin de Don Juan. On le trouve d’un masochisme parfois complaisant (dans JE TE PARTAGE, par exemple : « je lécherai avec ma bouche les endroits que les autres touchent, et tant pis si ça fait scandale que je sois plusieurs dans ton ventre ». On trouve un peu vulgaires ses consolations (j’suis content, j’suis content, j’sui cocu, mais content, je m’en vais voir les p’tites femmes de Pigalle), on s’inquiète de son intérêt pour les très jeunes filles (viens laisse un peu tomber tes poupées –chez moi). Dans une chanson française qui n’aime le cochon que bien rose et poli, il fonce comme un mufle de sanglier. Les bien-pensants trouvent en lui un frère en fantasme.
La plupart du temps, sur des musiques d’Alice Dona ou d’Yves Gilbert, ils racontent vie et rêveries d’un homme obsédé par les femmes, mais aussi souvent vaincu que vainqueur (d’aventure en aventure 1968 – superman – chez moi 1974 - je t’aime à la folie 1975 – les p’tites femmes de Pigalle 1975 – Tarzan 1977 - femme, femme, femme 1978) et il convoque aussi un des plus grands mythe français en incarnant Napoléon sur scène pendant trois ans, un million de spectateurs le verront se coiffer du célèbre bicorne.
06:45 Publié dans 2006, Ils parlent de Serge Lama, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : serge lama
14.11.2009
14 novembre 2005 : C'est au programme
20:35 Publié dans 2005, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
14 Novembre 2009:Concert caritatif à Narsac
19:30 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
14 Novembre 2000: Concert à Saint Benoit
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14 Novembre 1979:Show Serge Lama
Sur la seconde chaine le mercredi 14 Novembre 1979 était retransmise la première partie du show de Serge Lama au palais des congrès
(La seconde sera retransmise le 9 Aout 1980)
Sud-Ouest
Le Matin du 16 novembre 1979
VIDEO ICI
11:22 Publié dans 1979, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
14 novembre 1987 : Farandole
Le 14 novembre 1987, Serge Lama est l'invité de Patrick Sébastien dans son émission télévisée Farandole. Le TV Figaro du 13 au 19 novembre 1987 annonçait la soirée.
Voici quelques extraits
Début de l'émission
"Gamine bonbon"
"Mon petit garçon" de Serge Regianni
Et une version revisitée des "Petites femmes de Pigalle"
"La mode papa"
08:30 Publié dans 1987, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
14 novembre 2008 : CD'aujourd'hui
06:55 Publié dans 2008, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (1)
14 novembre 2002 : Inauguration de la salle Serge Lama
Le 14 novembre 2002, la ville de Pian-Médoc inaugure la salle Serge Lama.
Article paru le 16 Octobre 2002
Les parents de Serge Lama ont habité la commune du Pian où ils se sont déposés tous deux. Aussi, après les travaux qui ont transformé l'espace Génissan en véritable salle des fêtes, l'idée est venue au maire Didier Mau et à son équipe de demander au chanteur l'autorisation de donner son nom à la nouvelle structure. Un vœu en forme d'hommage à l'artiste considéré comme étant un peu du village. L'acceptation a été immédiate et tout Le Pian était là, jeudi soir, pour l'inauguration.
Si la température a été fraîche, le moment a été des plus chaleureux. Homme de cœur, ne reniant nullement sa naissance bordelaise, fidèle et sensible à ses souvenirs d'enfance, Serge Lama a fait de la solennité de la réception une fête de la bonne humeur et de la simplicité.
Émotion. Emu par l'honneur qui lui est ainsi fait, il a partagé l'instant chantant avec la chorale des enfants du Pian, applaudissant les instrumentistes de l'école de musique, mêlant sa voix à celle d'un jeune chanteur solo, qui ont interprété plusieurs de ses chansons. Bref, il a enchanté une assistance qui n'attendait que cela et qui lui a fait une véritable ovation.
Didier Mau, dans sa brève allocution, a d'ailleurs souligné combien l'artiste sait émouvoir toutes les générations et être un exemple pour tous, lui « qui n'a pas été épargné par la vie mais qui a toujours su rebondir ». Aussi ses remerciements étaient-ils sincères de le voir prendre de son temps pour venir dans une petite commune comme le Pian. « Pas politique, ni fort en discours »,Serge Lama« fier d'être enfin reconnu par sa région » a alors assuré que s'il fait un jour une tournée « avec seulement un piano » et non un camion de 38 tonnes de matériel, il se conduira un plaisir de venir « ici, dans cette salle du Pian ! »
Puis avec gentillesse, il a signé de très nombreux autographes.
06:45 Publié dans 2002, La presse des années 2000, Un jour dans la vie de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (2)