18.11.2009
18 novembre 2003 - 93, fb Saint Honoré - Paris première
93, faubourg Saint-Honoré est une émission de télévision articulée autour du concept d’un dîner mondain au domicile de Thierry Ardisson et diffusée sur Paris Première d'octobre 2003 à juin 2007.
Participants à l’émission du 18 novembre 2003 auprès de Thierry Ardisson : Anouck Aimée, Serge Lama, Orlando, Henri-Jean Servat et Dominique Besnehard.
14:51 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
18 Novembre 1985: France Dimanche
10:45 Publié dans 1985, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
18 au 22 novembre 1974 : MIDI TRENTE
Dans la semaine du 18 au 22 novembre 1974, Serge Lama était l'invité de Danièle Gilbert dans l'émission MIDITRENTE.
Lundi 18 Novembre
- Serge Lama chante "chez moi".
- Nana Mouskouri chante "la vie, l'amour la mort".
- Mireille chante "the man, I love" accompagnée au piano par Jean Wiener et "quand un vicomte".
- Manitas de Plata interprète un morceau à la guitare.
- Nana Mouskouri chante "il est passé".
- Serge Lama chante "mon ami, mon maitre"
Télé poche
- Pierre Perret chante "les majorettes".
- Avron et Evrard dans le sketch "les voisins de palier".
- Pierre Perret chante "donnez-nous des jardins".
- Serge Lama chante "l'enfant d'un autre"
EXTRAIT AUDIO
- Yves Duteil chante "le jeune homme, écrivain".
- Le groupe Catharsis interprète "sticks".
- Marie-Paule Belle chante "le café renard".
- Serge Lama chante "les petites femmes de Pigalle"
10:10 Publié dans 1974, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
18 novembre 1977 : Flers (Orne)
09:51 Publié dans 1977, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
18 novembre 2001 : Vivement dimanche
06:55 Publié dans 2001, La presse des années 2000, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
18 novembre 2001 : Le Parisien
HIER A TOULOUSE
Un peu de bonheur grâce à Cabrel
Alain Morel
«O.K., mais débrouille-toi, il faut un million pour les Toulousains »... Ce fut la seule condition posée par Francis Cabrel quand le patron des Studios « Polygone » de Blagnac, Francis Delmas, lui parla d'un concert de solidarité au profit des habitants sinistrés depuis l'explosion du 21 septembre. Objectif dépassé : c'est un chèque de plus de 2 millions de francs que le chanteur a remis, hier soir, à la Fondation de France, à l'issue de deux concerts où une quinzaine de stars ont chanté pour près de 13 000 spectateurs.
Approuvé par les vivats de la foule
Au-delà de cette manne, c'est du bonheur à l'état pur que Cabrel et ses amis ont distribué en deux concerts de deux heures et quart chacun, à des auditoires enthousiastes et reconnaissants, sous le gigantesque chapiteau de toile dressé entre le Stadium, fermé pour éboulement, et la plus grande piscine d'Europe, interdite pour cause de fissures.
Tonique et concentré, petites lunettes sur le nez, costume sombre élégant, Cabrel ouvrit la fête en solo avec son célèbre « Chemins de traverse », avant deux duos, « Assis sur le rebord du monde » avec Michael Jones, puis « les Murs de poussière » avec Patrick Bruel. Allégresse et émotion montaient à mesure que les stars le rejoignaient sur scène. « Petite Marie » avec Zazie, « l'Encre de tes yeux » avec Catherine Lara, « Je l'aime à mourir » avec Patricia Kaas, « Rosie » avec Gold et Image, « Sarbacane » avec Goldman et Paul Personne et, surtout, « Toulouse » avec Liane Foly et Serge Lama. « Celle-là, personne ne peut la chanter derrière Nougaro, mais on ne pouvait pas non plus ne pas la chanter », avertit Francis Cabrel, approuvé par les vivats de la foule. On en redemandait « Encore et encore » (duo avec David Hallyday), d'autant que Marc Lavoine (« le Pont Mirabeau »), Zazie (« Zen »), Bruel (« la Place des grands hommes »), Goldman (« Je te donne ») et Patricia Kaas (« Mademoiselle chante le blues ») proposaient leurs propres perles. Dans un final somptueux, toute la bande reprit « le Pouvoir des fleurs », une chanson qui proclame « Changez les hommes ! » Pas ces artistes-là, en tout cas...
Alain Morel
06:03 Publié dans 2001, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
18 Novembre 2011: Concert Auditorium Stravinski à Montreux
Sur scène, un géant. Serge Lama apparaît. Il est applaudi. Pourtant, on voit à son visage qu'il souffre. Durant une heure quarante, il va tout donner devant un public qui l'ovationne debout à l'issue du concert. Hier soir à Montreux, il s'est passé un moment de communauté profonde entre un immense artiste et son public. Il y avait presque quelque chose de religieux dans le rapport que l'on a eu avec notre (Dalaï) Lama. Au bout de ce spectacle, on est ressortis touchés et bouleversés à la fois.
Après un "Je suis malade" d'anthologie a cappella et sans micro, chanson qui prenait tout son sens tant Lama souffrait de sa hanche, Serge est revenu pour un rappel en forme de poème. Il a déclamé ces mots d'Alfred de Musset qui en disait long sur le calvaire qu'il vit. Le poème s'appelle: "Tristesse".
J'ai perdu ma force et ma vie,
Et mes amis et ma gaieté;
J'ai perdu jusqu'à la fierté
Qui faisait croire à mon génie.
Quand j'ai connu la Vérité,
J'ai cru que c'était une amie ;
Quand je l'ai comprise et sentie,
J'en étais déjà dégoûté.
Et pourtant elle est éternelle,
Et ceux qui se sont passés d'elle
Ici-bas ont tout ignoré.
Dieu parle, il faut qu'on lui réponde.
Le seul bien qui me reste au monde
Est d'avoir quelquefois pleuré.
Ces mots ont profondément touché le public de Montreux. C'étaient les mots d'un homme blessé, mais toujours debout. Et le concert qu'il a donné à l'Auditorium a pris une couleur grave, mais puissante à la fois. Ainsi, une chanson comme "L'Algérie" s'est trouvée magnifiée par l'interprétation de Lama. Ce fut simplement grandiose. Quand a résonné le refrain final, "Un beau jour je raconterai l'histoire, à mes petits enfants, du voyage où notre seule gloire, c'était d'avoir vingt ans. L'Algérie, avec ou sans fusil, ça reste un beau pays, l'Algérie...", à ce moment une clameur a envahi l'Auditorium. Quelle force. Quel interprète d'exception. Quel grand monsieur de la chanson française.
Pourquoi l'aime-t-on, Lama? Pour cela. Parce qu'il se bat. Parce qu'il vit ses chansons comme sur un ring de boxe. Et même affaibli par la douleur, il a tout donné. Dans un dernier discours, il a déclaré que le concert de Montreux était l'avant-dernier avant celui qu'il donne ce soir à Lyon. Il n'a pas voulu annuler, par respect pour son public. Pourtant on sentait bien que ce guerrier se sentait mal de ne pas pouvoir donner le maximum. Alors, Serge, si vous lisez ce message, sachez que le public a été vraiment conquis par ce concert, qu'il a été bouleversé parfois, a ri d'autre fois car vous savez comme Pierre Desproges que l'humour est la politesse du désespoir.
Franchement, le public de Montreux a vécu un moment d'une intensité rare, et cela c'était un immense cadeau que vous nous avez fait.
Sur son site internet, Serge Lama a écrit ce message SMS il y a une dizaine de jours: "Je reçois encore et toujours des messages d'amitié pour mon Olympia d'il y a un mois, DIEU comme le temps passe, déjà un mois. Sachez que j'ai fait Arras, Tours et Nantes depuis. Sachez que je travaille beaucoup pour des textes, pas forcément pour moi. Moi je suis loin encore dans la perspective de mon disque ou de la rentrée, mais j'essaie de donner un ultime tournant à ma carrière, j’espère le prendre en douceur même si ce tournant s'avère être un virage. J'ai été voir chanter Tihyad, la créature libanaise et talentueuse que Yves Gilbert a porté sur les fonts baptismaux d'un cabaret du marais. L'enfant se porte bien et le parrain aussi, il chante son autobiographie, avec talent et respect pour ses parents adoptifs. Voilà, je vis et le monde tourne. Je vous aime de ce temps que vous m'avez consacré.
PS : Merci aux fans des forums pour leurs messages de soutien. Signé: Serge Lama, l'imprévisible… "
Merci, Serge Lama pour avoir tout donné. Tout de bon à vous, que votre opération de la hanche se passe le mieux du monde et qu'elle ne soit plus qu'un mauvais souvenir lorsque vous remonterez sur scène, à l'Olympia de Paris, du 8 au 17 février 2013. Dans un tout nouveau tour de chant, vous partagerez les plus belles chansons de votre vie et fêterez vos 70 ans et vos 50 ans de carrière avec le public qui vous aime tant. L'envie, l'énergie et l’authenticité restent vos marques de fabrique vous l'auteur-interprète issu d’une race d’artistes unique et indémodable.
REPORTAGE SUR CE CONCERT DIFFUSE SUR LA RSR
00:05 Publié dans 2011, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
17.11.2009
17 Novembre 1994: La Marne
Serge lama est en tournée pour son grand retour à la chanson après une parenthèse consacrée à Napoléon puis au Théatre.
Interview réalisée par Pascal Pioppi du journal La Marne
Notes de Pascal Pioppi sur son Blog
Lieu : Théâtre de Gagny
Durée : 25 minutes
Particularité : a honoré son rendez-vous malgré la mort de son meilleur ami quelques heures avant de monter sur scène
Titre : "D'aventures en aventures"
Admiratif et fan du chanteur depuis mon adolescence, ce plaisir de rencontrer une idole a été soigneusement préparé, bichonné même avec un trac de midinette face à celui qui, par la portée de certaines chansons m'a certainement aidé à construire une personnalité.
La rencontre aurait très bien pu ne pas avoir lieu car le chanteur avait eu la tristesse de perdre quelques heures avant de monter sur scène son meilleur ami. Un choc émotif rude suffisant pour décaler ou annuler un entretien. C'est d'ailleurs ce que m'a laissé entendre son agent. Exact au rendez-vous, Serge est venu à ma rencontre et je lui ait de suite dit que je comprennais parfaitement son chagrin et qu'il repousse l'interview :" Non, non, nous avions rendez-vous et par repect pour vous et votre métier, nous allons nous rencontrer"
Un bel exemple de respect. L'entretien a été à la hauteur du personnage, déclenchant même sur la fin, quelques rires de ce monstre sacré qui a ensuite enchanté le public de Gagny. Un moment intense, beau et émouvant.
La phrase : " J'ai la chance d'avoir à l'intérieur de moi une nourriture passionnelle qui me véhicule. Même les angoisses cela vous laisse debout. Cette inquiétude vous oblige à faire des choses, à vous structurer. En même temps, j'ai peur et cela m'excite"
19:43 Publié dans 1994, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)
17 novembre 1984 : Champs-Elysées spécial Brassens
Lors de cet hommage rendu à Georges Brassens, Serge Lama interprétait la chanson 95 fois sur cent.
EXTRAIT AUDIO
19:39 Publié dans 1984, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
17 Novembre 1986: La Libre Belgique
19:31 Publié dans 1986, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)