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15.03.2009

15 Mars 2006:Alizé - Guipavas

Concert du 15 mars au centre culturel de l’Alizé à Guipavas

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 Serge Lama : 900 spectateurs entendus conquis

 

Sexagénaire, Serge Lama a prouvé, mercredi soir, devant un très nombreux public (900 personnes environ), au centre culturel de l'Alizé, qu'il restait toujours, après 42 ans de carrière, un des piliers de la chanson française.

« Certains qualifient mes concerts d'intimistes, je n'ai pas d'avis sur le sujet, mais je les concocte toujours avec mon cœur, c'est du "fait maison" qui est marqué du sceau de l'authenticité. Ce spectacle est une rencontre entre un instrument populaire, complexe et singulier qu'est l'accordéon et une voix, des notes et des mots. Tout cela pour encore et encore, parler d'amour », déclare-t-il.

Je t'aime à la folie...

Deux heures de spectacle et une trentaine de chansons puisées dans son large répertoire et aussi dans son précédent album « Feuilles à feuilles » et dans le dernier « Accordéonissi-Mots ». Avec sa voix grave et puissante, Serge Lama a su, au fil des années, rester fidèle à son image de chanteur populaire. Il a l'art et la manière de séduire son public et de le faire participer à son spectacle. Debout, il a repris quelques chansons bien connues comme « Je t'aime à la folie, je t'aime à la folie... la vie », « D'aventure en aventure », « Les p'tites femmes de Pigalle » , « Je suis malade » ou encore « L'Algérie » et bien d'autres succès indémodables.

Il était accompagné à l'accordéon par celui qui est devenu son complice, Sergio Tomasi. Ce dernier a prouvé, en interprétant en solo quelques morceaux choisis, qu'il était, lui aussi, un véritable artiste. Le concert s'est achevé sous un tonnerre d'applaudissement avec le vibrant « Femmes, femmes, femmes ».

Le Télégramme du 17 mars 2006

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Serge Lama Récital intimiste

Dans « Accordéonissi-mots », Serge Lama revisite quarante années de chansons célèbres ou à redécouvrir. Plus de quarante années de carrière ont imposé Serge Lama comme l'un des monstres sacrés de la chanson française. Décidé très jeune à embrasser une carrière artistique pour « venger » son père, prometteur chanteur d'opérette qui n'avait pu mener la sienne, il a enregistré son premier 45 tours en 1964. Il avait alors 21 ans et, en pleine période yéyé, préférait jouer la carte de la chanson à texte. L'année suivante, un terrible accident de la route n'a pas eu raison de sa détermination. Et c'est alité qu'il allait enregistrer son premier grand succès, « Les ballons rouges ».

Pathétique et gouaille

L'artiste à la voix grave, puissante, aux textes alliant pathétique et gouaille, devint dès lors un chanteur très populaire. Un grand nombre de ses chansons, aux musiques le plus souvent signées Yves Gilbert et Alice Donna, font aujourd'hui figure de classiques : « D'aventure en aventure », « Les p'tites femmes de Pigalle », « Je suis malade », « Femme, femme, femme »... Ce sont celles écrites dans ce qu'il appelle « la veine Maurice Chevalier » qui restent les plus présentes dans les mémoires. « Les chansons gaies ont fait de moi une vedette alors qu'elles ne constituent que 10% de mon répertoire. Mais ce sont elles que les gens attendent de moi ».

« Accordéonissi-mots »

Serge Lama sait donc ce qu'il lui reste à faire ce mercredi soir à Guipavas (près de Brest). Il y présente son récital intimiste « Accordéonissi-mots ». Accompagné du seul Sergio Tomasi (ex-Barbara, Juliette Gréco...), il donne « un spectacle qui a la prétention de ne pas en avoir. Il est composé de chansons mal aimées que j'aime, mêlées de chansons que vous aimez et que j'aime aussi... », glisse-t-il.

Le Télégramme du 15 mars 2006

 

14.03.2009

14 Mars 2006:La nouvelle république

Entretien avant le spectacle au palais d’Auron à Bourges du 26 mars

 

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"Maintenant, je suis libre..."

 

Plus intimiste, plus sobre, plus dépouillé... Le nouveau spectacle de Serge Lama est à l'opposé de son image de chanteur tonitruant. Il sera en concert au Palais d'Auron, à Bourges, dimanche 26 mars.

Elodie BUTET

L'ensemble de la presse a parlé de votre dernier album « Feuille à feuille », le décrivant comme un tournant dans votre carrière. Etes-vous d'accord ?

« C'est curieux car la plupart des chansons de cet album sont des créations anciennes que j'ai simplement retravaillées pour les insérer à « Feuille à feuille ». Cette idée de « tournant » est venue d'un journaliste parisien du « Figaro ». Elle a ensuite été reprise, je pense, par les autres journalistes. Pour moi, en tout cas, ce n'est pas un tournant, c'est toujours moi, mes textes, il y a simplement l'orchestration qui s'est un peu effacée ! »

Vous avez écrit plus de deux cents chansons pour vous et pour d'autres artistes, pour qui aimeriez-vous écrire actuellement ?

« Sans prétention aucune, je crois que je pourrais écrire pour n'importe quel artiste. J'ai toujours écrit, je suis même sûrement plus auteur que chanteur. Dernièrement, j'ai eu la fierté d'écrire pour Enzo Enzo. Après, dans la jeune génération, il y en a beaucoup que j'aime mais ils travaillent entre eux et c'est certainement mieux ainsi. »

Vous êtes en tournée depuis trois ans maintenant, qu'est-ce qui vous plaît tant ?

« En fait, c'est un peu le hasard que cette tournée dure aussi longtemps. A l'origine, elle ne devait durer que quatre mois. Et puis, en 2003, pour mes 60 ans, j'ai fait Bercy et je me suis rendu compte que, désormais, j'étais libre. J'avais fait les plus grandes salles de France. Alors, j'ai voulu aller vers les gens en province pour les remercier de leur soutien. Ça m'a paru normal de me déplacer chez eux et non plus de les faire venir à moi, le succès aidant, trois ans après, on est toujours sur les routes. Et puis, j'aime les petites salles et la scène par-dessus tout, c'est là que je suis le mieux. C'est là que je m'exprime le plus totalement ! »

Parlez-nous de votre spectacle ?

« C'est un peu difficile à expliquer. Déjà, j'ai décidé de supprimer le piano et de retravailler mon répertoire de façon plus simple, plus intimiste. Sergio Tomassi, accordéoniste virtuose, a retravaillé les arrangements, c'est magnifique ce qu'il fait. Ce spectacle est aussi plus théâtral. Il y a du rire, de l'émotion, une partie un peu plus autobiographique et puis un jeu entre Sergio et moi, à la manière du clown blanc et de l'Auguste. »

13.03.2009

13 Mars 2006:Ouest France

Après le concert du 11 mars au Zenith de Caen

 

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11.03.2009

11 Mars 2006: Paris normandie

Après le concert le 10 mars au Zenith de Rouen

 

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Serge Lama, efficace et sans fioritures

GT

Accompagné d'un seul accordéoniste, le chanteur a revisité ses grands succès hier soir au Zénith. Visiblement heureux d'être sur scène.

Ses apparitions récurrentes sur le petit écran avaient permis de cerner l'homme. Depuis belle lurette. On le savait affable, vrai gentil, charmeur. Hier soir, devant un Zénith bondé, Serge Lama a dévoilé une autre facette de son talent : l'humour. Quasiment pas une chanson sans que le chanteur ne s'interrompe et ne prenne le temps d'une digression pour taquiner son auditoire. Parfois simplement pour se faire rire tout seul en imitant Trenet ou Luis Mariano.

Serge Lama aime la scène, il y prend du plaisir. Et ça se voit. Spectacle minimaliste, épuré, simple. A l'image du bonhomme. Trois lumières, un accordéoniste pour l'accompagner, il n'en faut pas plus au chanteur à la voix grave et puissante. Ses refrains archi-connus font mouche comme à la première écoute. Le public, mature, sage et connaisseur, n'en demande pas davantage. Pas la peine de remonter bien loin pour retrouver « le temps béni de la rengaine ». C'était hier soir au Zénith.

10.03.2009

10 mars 2006: La voix du nord

Serge Lama, accopagné par Sergio Tomazzi,  a chanté au théâtre d'Anzin le 7 mars 2006.

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Triomphe à l'impériale mardi soir au théâtre d'Anzin

Serge Lama, digne et authentique

Serge Lama aurait-il pris un abonnement au théâtre d'Anzin? Après son triomphe à l'impériale en novembre2004, il a récidivé, mardi, avec son spectacle Accordéonissi-mots.  Habitué des scènes nordistes, le chanteur à la fois digne et authentique a distillé sur la scène Anzinoise tout le bonheur du monde.

Mardi, le chanteur, seul accompagné d'une formation acoustique où l'accordéon a la part belle a subjugué le public en déclinant ses amours, heureuses ou malheureuses. En complet noir, servi par une parfaite scénographie en matière lumineuse l'ami Serge a bichonné son public avec des paroles très intimes, des sentiments forts à travers les reprises des Ballons rouges, de Mon ami, mon maître ou encore L'enfant au pianoLa chanteuse a 20 ansL'Algérie.

Le chanteur est très proche de son auditoire, il n'hésite pas à le faire chanter. Avec son œil charmeur et sa voix de velours, Serge Lama envoûte la salle, dont le public, une fois de plus, l'a couronné.

B.F.(clp)

Session de rattrapage pour ceux qui l'ont raté à Anzin, et naguère à Trith: Serge Lama sera au Pasino de Saint-Amand-les-Eaux le vendredi 9 juin.

03.03.2009

3 mars 2006 : LA DERNIERE HEURE

 

Article d'Estelle Aubert publié dans le journal LA DERNIERE HEURE le 3 mars 2006

 

Le chaud show de Serge Lama

Le monstre sacré de la chanson française fait fondre son public


LIÈGE Il sait y faire, Serge Lama. Avec le public déjà tout acquis à son répertoire et qu'il réussit encore à emballer. Avec les femmes aussi, qu'elles aient ou non les cheveux gris. Il leur fait les yeux doux, se pâme et glisse au détour de la conversation le nom de son hôtel et le numéro de sa chambre! Tout le monde rit.

C'est plus qu'un spectacle que propose Serge Lama, qui a fait un petit crochet en Belgique, mercredi et jeudi soir à Liège et à Ciney. C'est une soirée fraternelle, un grand moment de détente, en chansons bien sûr.

Et pourtant, sur scène, ils sont deux: le monstre sacré de la chanson française et un accordéoniste, Sergio Tomazzi. «Certains qualifient cela de minimaliste, intimiste, confidentiel. Nous, on ne qualifie pas. Notre travail a été conçu avec amour!» L'amour. Le thème de prédilection du séducteur qui rend les femmes belles, belles, belles et chante: «Efficace et pas cher, c'est Lama que j'préfère!».

Entre deux vannes, il chante les chansons qui ont fait son succès de 1964 à aujourd'hui: Ne t'en fais pas, L'Algérie, Dans les usines, Mon ami mon maître, Les jardins ouvriers et, évidemment, D'aventures en aventures. Il ne se contente pas de chanter, il fait aussi chanter le public et propose un jeu sur la chanson Je t'aime à la folie: le public commence par chanter tout doucement et de plus en plus fort à mesure que le chanteur recule vers le fond de la scène. Il fait le clown, courbé en deux pour mieux entendre les premiers fredonnements. «Les photos sont normalement interdites, mais là je vous conseille d'en faire une: ce sera bientôt une photo collector!» Voilà deux ans que Serge Lama a fêté ses 60 ans et ses 40 ans de carrière. Deux ans qu'il est en tournée dans toute la France.

Entre rires, causettes et chansons, le spectacle s'achève. Mais personne n'est dupe car deux chansons cultes manquent encore: Femme, femme, femme et Je suis malade.

Pour cette dernière, il termine en beauté, sûr d'obtenir un triomphe. Serge Lama entame le premier couplet tranquillement, seulement accompagné par l'accordéon, et termine a cappella avec la puissance dramatique qui s'impose. Triomphe.

 

25.02.2009

25 Février 2006: La télé de Sébastien

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Dans cette émission de Patrick Sébastien sur la télé . On pouvait revoir en images d'archives Serge Lama imitant Brel sur une chanson de Geoges Brassens, au Casino de Paris en 1987 et une imitation de Lama par Patrick Sébastien sur un texte inédit.

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Télé star du 25 Février au 3 Mars 2006

 

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Télé 7 jours du 25 février 2006

 

22.02.2009

22 février 2006 : prix de l'Unac

Le prix de L'UNAC (Union Nationale des Auteurs Compositeurs) a été créée en 1974 par René Denoncin et Paul Durand sous le nom des Oscars de la chanson française afin de célébrer "LA" chanson de l'année. Et "LA" chanson de l'année 1974 était "Les petites femmes de Pigalle", parole de Serge Lama, musique de Jacques Datin.

Cf note de 1974: ICI

 

Le 22 février 2006, Serge Lama reçoit un nouveau prix de L'UNAC pour l'ensemble de sa carrière.

 

La bande passante - RFI

 

19.02.2009

19 Février 2006: Concert à Metz

Petit article publié après le concert du 18 Février à l'Arsenal de Metz

 

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18.02.2009

18 Février 2006 : Le Républicain Lorrain

Article  publié par le journal "Le Répuplicain Lorrain" le 18 février 2006.

Avant le concert à l'Arsenal de Metz

 

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