24.05.2012
24 Mai 2014: Vincent Niclo au chatelet
11:25 Publié dans 2014, Un jour dans la vie de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (0)
22.05.2012
22 Mai 2014: Enregistrement pour le Sidaction
Le jeudi 22 Mai 2014, Serge Lama enregistrait "Et un jour une femme" en duo avec Patrick Fiori pour l'album "ensemble contre le Sida" réalisé par Pascal Obispo . l'album sortira en Novembre pour les 20 ans du Sidaction .
11:15 Publié dans 2014, CD, DVD, Vinyle et Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
20.05.2012
20 mai 2014: Sud TV local
11:00 Publié dans 17 Mai 2014 Napoléon en symphonique, 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
19.05.2012
19 Mai 2014: Mot de Serge
Message écrit par Serge Lama à propos du spectacle d'Orange
Le 19-05-2014
Vous avez dû entendre parler de la représentation symphonique de Napoléon qui a eu lieu au Théâtre Antique d’Orange samedi 17 mai. Ce fut, en effet, une bien belle, une émouvante soirée, qui m'a ramené trente ans en arrière ; à mon âge c'est appréciable. Sous la baguette magique de Sergio Tomassi, que pour l'occasion j'avais nommé général en chef, l'armée des 130 choristes dirigés par Gérard Maby, et des 80 musiciens dirigés par Richard Boudarham a fait défiler devant nos yeux et dans nos oreilles toutes les nuances des musiques de lumières d'Yves Gilbert, le tout mené tambour battant par un sémillant Serge Maillat qui, dans des textes courts, remettait en perspective historique les chansons interprétées avec l’élégance et le lyrisme adéquats par les 4 solistes. Merci au jeune producteur, Fabien Ramade, d'avoir pris un tel risque, et bon vent à cette aventure sons et lumières, si proche de mes désirs initiaux et pas loin de mes espoirs futurs… qui sait, peut-être dans la cour des Invalides, à deux pas du tombeau grenat de ce déconcertant démiurge ? A moins qu'impossible soit devenu français…
S.L
10:50 Publié dans 2014, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
19 mai 2014 : La Provence
AU THÉÂTRE ANTIQUE, SAMEDI SOIR
Napoléon et Serge Lama ont tenu leurs promesses
Après quelques jours de furie, le Mistral s'est finalement calmé... Peut-être avait-il hâte d'entendre ce Napoléon Symphonique, attendu et préparé depuis de longs mois par des centaines d'artistes ? Et il a bien fait. Car, des milliers de fans de Napoléon, de Lama et des choristes, attendaient ce moment comme le Messie. En effet, après des années d'éclipse, le retour du Napoléon de Serge Lama et d'Yves Gilbert était un événement annoncé. Même pour les deux créateurs présents... Serge Lama au premier rang des spectateurs, et Yves Gilbert, au piano sur la scène du Théâtre Antique.
Tout pouvait commencer. Grâce au producteur Fabien Ramade, et à la mise en scène efficace de Sergio Tomassi, Napoléon entre en scène par le truchement du narrateur, Serge Maillat, des quatre solistes, Marjorie Orial, Mickäel Guedj, Gilles Morvan, Régis Mengus, les choristes dirigés par Gérard Maby, l'Orchestre Symphonique Bel'Arte dirigé par Richard Boudarham, les voix homogènes et chaleureuses du chœur et des quatre solistes.
Autre acteur du spectacle, le mur du Théâtre Antique. Sous les projecteurs colorés de Laurent Chapot, il se métamorphose à l'envi, donnant un décor nouveau à chaque chanson. Rouge ou bleue, verte ou ocre, la pierre chante aussi, au gré des atmosphères. Placé en tribune, le chœur plante le décor : "Nous irons de Bonaparte à Napoléon"... Et d'évoquer le Napoléon romantique (Écris-moi Joséphine, apaise mon chagrin. Ton image est plantée en moi comme un drapeau, Ah, si j'avais un enfant d'elle), notamment avec le beau passage où le piano de Genc Tukiçi prend des accents chopiniens, le Napoléon soldat (Le soleil d'Austerlitz, le Pont d'Arcole (cher au Cadenetiens) où aux portes de Moscou avec un chant inspiré du populaire "Plaine ô ma plaine", russe).
Mais souvent on se prend à entendre en filigrane, derrière la belle voix des solistes, les intonations d'un Serge Lama, tellement son empreinte reste forte. La fresque a de l'allure. Le public adore.
Enfin, le drapeau tricolore, hissé sur le grand mur, dans la toute-puissance de l'orchestre et des chœurs, a cloué sur place l'assistance, dans une même admiration.
Francis Pabst
09:02 Publié dans 17 Mai 2014 Napoléon en symphonique, 2014, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
18.05.2012
18 Mai 2014: Vivement dimanche Mathilde Seigner
10:30 Publié dans 2014, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
17.05.2012
17 Mai 2014: Napoléon Symphonique à Orange
Le 17 Mai 2014, 30 chansons de la comédie musicale Napoléon écrites dans les années 80 par Serge Lama et Yves Gilbert étaient reprises dans ce magnifique cadre sous forme d'oratorio. Pour accompagner les quatre solistes 80 musiciens d'un orchestre symphonique et 130 choristes.
Serge Lama était présent dans le public, 7000 personnes avaient répondu présent, le succès a été immense.
Arrivée de Serge Lama
Les trésors de Napoléon
23:56 Publié dans 17 Mai 2014 Napoléon en symphonique, 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
Programme du spectacle Napoléon d'Orange
23:05 Publié dans 17 Mai 2014 Napoléon en symphonique, 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
17 Mai 2014: Photos Napoléon Symphonique
10:47 Publié dans 17 Mai 2014 Napoléon en symphonique, 2014 | Lien permanent | Commentaires (1)
17 mai 2014 : La Provence
Interview de Sergio Tomassi pour le Napoléon Symphonique à Orange
Alors que la comédie musicale qu'il a écrite il y a plus de trente ans est jouée pour la première fois ce soir dans une monumentale version symphonique, Serge Lama s'est invité hier par surprise à la répétition générale.
Cette représentation unique réunira ce soir dans le théâtre antique d'Orange 80 musiciens, 130 choristes et quatre solistes. Aux commandes de ce spectacle événement unique en France, l'accordéoniste Sergio Tomassi qui a collaboré entre autres avec Barbara, Cora Vaucaire ou Juliette Gréco va relever un sacré tour de force. Entre deux ajustements scéniques, il nous a accordé un entretien.
Après avoir donné son accord au producteur, Serge Lama vous a confié la direction artistique du Napoléon symphonique.
Quel est votre rôle dans ce type de spectacle ?
Mon rôle est multiple. J'ai en charge toute la partie technique musicale, la mise en place du texte de Serge (écrit spécialement pour cette création et narré par le comédien Serge Maillat, Ndlr), celle de la bande musicale qui va appuyer les mots du narrateur, mais aussi l'interprétation des solistes, leur place sur la scène, leur mouvement... Oui, j'ai beaucoup de choses à gérer, d'autant plus que c'est une œuvre jouée sans filet et en direct.
Il y a trente ans, vous ne collaboriez pas encore avec Serge Lama. Cette œuvre vous la découvrez finalement ?
Oui et c'est une chance, j'étais vierge de l'œuvre. Je n'ai rien visionné de l'époque. Je suis parti dans un style contemporain pour rendre les choses plus universelles.
Napoléon revêt plusieurs facettes. Comment les avez-vous réparties pour chacun des solistes ?
Mickaël Guedj jouera l'Empereur-le mégalomane ("Cela m'ennuie tous ces cortèges", "Je n'ai pas volé la couronne"), Régis Mengus, le conquérant-le guerrier ("A 40 ans" "Le Pont d'Arcole") et Gilles Morvan, le romantique ("Lettre à Joséphine" ou "Malmaison").
Un oratorio se joue sans costume. Comment procédez-vous ?
Les Napoléon seront en costume de récital avec quelques détails pour distinguer les tempéraments. Mais c'est leur tessiture de voix qui fera leur différence. Et puis on est dans du lyrisme, ils ne sont pas là pour faire les clowns.
En revanche, Marjorie Orial qui incarnera Joséphine portera une robe... C'était un peu inévitable, non ?
Forcément, par la force des choses. Parce que Joséphine était "la plus belle femme de Paris", elle sera dans une robe toute blanche. Joséphine est aussi pour moi la fiction du spectacle. En ce sens où c'est elle qui fera voyager le spectacle. Mais je n'en dis pas plus.
C'est une grosse machine ce spectacle, étant donné déjà le nombre de personnes sur scène... Vous avez des craintes ?
Entre les chœurs, les musiciens, le chef d'orchestre, toute la rythmique, les solistes, les lumières, le son, on est à plus de 200 personnes. Oui, cela fait beaucoup de conversations au téléphone ! Des craintes ? Non j'ai peur de rien. Ce que je veux dans ce Napoléon, c'est l'excellence. On ne veut pas voler les gens. Je souhaite honorer la mission que l'on m'a donnée. Bien sûr, il fallait gérer cette urgence, ce challenge énorme : celui de jouer en une seule fois une œuvre d'une complexité extrême dans un lieu qu'on n'a pas pu apprivoiser.
Au moment où je vous parle, vous faites les derniers ajustements des lumières qui sont signées Laurent Chapot, concepteur lumière et scénographe qui travaille aussi avec Lama, Lavilliers, Tryo, Eddy Mitchell, Jean-Louis Aubert, entre autres... Y aura-t-il des effets particuliers ?
Oui, c'est une chance de l'avoir avec nous. Quant aux lumières, elles seront extrêmement masquées. Il y avait déjà un impératif : le respect du site. On va découvrir le mur du théâtre antique différemment avec les lumières de Laurent Chapot. Dans une extrême élégance et une grande justesse.
Ce spectacle promet quelque chose de grandiose... Quel est votre vœu le plus cher avant le jour J ?
Que ce soit une première marche. Que le souvenir soit si fort que l'on puisse le rejouer ailleurs...
"Napoléon Symphonique", ce soir à 21h au Théâtre antique d'Orange.
Virginie Batailler
08:49 Publié dans 17 Mai 2014 Napoléon en symphonique, 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)