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01.10.2012

Octobre 2014: Revue Opérette et théatre Musical

Petit retour sur le Napoléon Symphonique présenté le 17 Mai dernier au théâtre antique d'Orange.

 

Article publié dans la revue  "Opérette et Théâtre Musical"

 

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LIRE

 

Voir la note sur ce spectacle ICI

 

 

 

Octobre 2014:Vincent Niclo

Vincent Niclo va sortir en Décembre son premier album de chansons originales.

Un premier titre vient de sortir en single : Jusqu'à l'ivresse , texte de Serge Lama

 

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Titre chanté pour la première fois à la télévision dans l'émission 300 chœurs pour Plus de vie sur France 3 le 10 Octobre 2014

 

 

22.09.2012

27 Septembre 2014: Hier encore

Samedi 27 Septembre à 20h45 sur France 2 , 5 ème édition de cette émission proposée par Charles Aznavour qui met en valeur le patrimoine de la chanson française.

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Parmi les invités , Serge Lama

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Télé star

 

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Télé 7 jours

 

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© Photo Frédéric Nebinger

 

VIDEO SUR FACEBOOK ICI

 

19.09.2012

19 Septembre 2014: Mot et poème de Serge lama

Un petit mot de Serge en cette rentrée 2014, accompagné d'un joli poème.

 

Le 19-09-2014

 

Bon ben c'est vrai je repars en tournée (comme depuis le 11 février 1964), mes chers amis qu'il me plaît de revoir. À mon âge, Marcel, mon ami mon maître, me disait : « Je pars chaque jour avec ce qu’il me reste ». Grâce à vous, moi, chaque jour, je démarre avec ce que j'espère.

J'ai énormément lu tout l'été, énormément. C'est ma nourriture terrestre que la littérature. J’ai relu entre autres un peu Proust, Fitzgerald, un ou deux polars de Jim Thompson et en ce moment je termine une biographie sur Paul Valéry, Je suis fou de toi, (que l’auteure aurait pu intituler Paul et Jeanne.) Paul Valéry, amoureux tardivement d'une jeune femme d’environ trente ans sa cadette, égérie consentante de tellement, de trop d'autres hommes, mais il l'accepte par amour. C'est pas loin de ma chanson « Je te partage ». C'est pathétique de voir l'intelligence la plus brillante, la plus lumineuse, la plus lucide de son temps, être menée par le bout du cœur, malmenée, humiliée. Car, hélas, chez le poète du « Cimetière marin » c'est bel et bien dans le coeur que se niche l'intelligence. Lisez ce livre de Mademoiselle Dominique Bona. Bien que nous ne nous soyons jamais rencontrés, notre histoire à elle et moi remonte à loin. Je serai fier d'être parmi ceux qui l’accompagneront sous la Coupole en octobre. Elle a bien mérité cet honneur de part sa brillante culture, son amour de l'art sous toutes ses formes. C'est une belle âme dont l’épée est trempée dans l’ancre du plaisir d’écrire. Je vous livre pour finir ce modeste petit poème en guise de « tombeau » pour le bon, le brave Paul Valéry, qui m'a ébloui quand j’avais quatorze ans et peut-être rendu moins bête.

 

A la suite d'un long chagrin

Valéry se meurt grain par grain

Un genre de neurasthénie

Causée par celle qui le nie

Et qui brise son espérance.

Ce beau couseur de mer qui luit

Se désagrège sans un bruit.

Ainsi donc en pleine mué

L'amour, oui, l'amour peut tuer ?

Pauvre, pauvre Paul Valéry

Surtout que personne n'en rit.

On eut pu graver sur sa tombe :

« Il mourut de voir sa colombe

Qui ne marchait plus sur la mer

Mais sur la lame de l'amer »

 

S.L

 

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02.08.2012

2 Aout 2014: Nouvel observateur

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Serge Lama : ce que Charles Aznavour m'a appris

Rendez-vous tous les week-ends pour la série d'été chanson : un artiste nous raconte ce qu'un autre lui a appris. Aujourd'hui, Serge Lama dit son admiration pour Charles Aznavour, roi de l'épure.

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J’ai beaucoup appris de Charles Aznavour, qui avait lui-même appris d’Edith Piaf des choses essentielles. Sur scène, si l’on a besoin d’un geste, on le fait. Quand on a besoin de deux gestes, éventuellement on les fait. Cependant, si on peut s’en passer cela signifie que la chanson est bien écrite, qu’elle a un auteur à la hauteur, que les mots que vous prononcez sont suffisants. Un geste ne doit venir que par nécessité. Il n’y a rien à ajouter, juste à interpréter. Faire le moins de geste possible, avec l’âge, tous les artistes y viennent, les peintres et les chanteurs. Nous allons tous de plus en plus vers la sobriété, l’épure, et cela Charles me l’a bien appris.

Si vous regardez Edith Piaf à l’époque, j’ai eu cet honneur quand j’étais petit, elle fait au maximum deux gestes pour ponctuer sa chanson, souvent pour la terminer, comme pour achever le travail. Comme sa petite danse à la fin de "La foule". Elle ne la fait pas avant, juste à la fin. C’est extraordinaire. Charles le fait merveilleusement dans "Comme ils disent", où il ne fait quasiment pas de gestes. A l’inverse, pour "La bohême", qui est une chanson descriptive, il peut se le permettre, à condition qu’ils soient précis et toujours au même moment.

 

J’ai beaucoup observé Charles au début des années 60, a l’époque où à l’Alhambra il chantait pour les première "Je m’voyais déjà". A cette époque, il n’était pas sobre : il tremblait, il bougeait, il dansait. Il était très expressif, très expressionniste. Peu après, quand je suis revenu du service militaire, je l’ai revu pour constater qu’il avait tout gommé, il était arrivé à cette épure. Je pense que c’est vers elle qu’il faut tendre.      

Propos recueillis par Sophie Delassein – Le Nouvel Observateur

Serge Lama sera à l’Olympia du 26 au 29 mars 2015.

 

27.07.2012

27 Juillet 2014: Nouvel observateur

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Un artiste nous raconte ce qu'un autre lui a appris. Rendez-vous tous les week-ends pour la série d'été chanson.

Nicolas Peyrac : ce que Serge Lama m'a appris

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Serge Lama est la première personne à m’avoir emporté dans ses bagages pour deux tournées au long court. C’était en 1976. J’étais un béotien, balancé de la fac de médecine sur la scène, devant entre 5 à 6.000 personnes tous les soirs. J’avais tout à apprendre, tout à comprendre. En étant plus que humble - je ne pouvais pas faire autrement -, j’ai beaucoup appris de lui.

J’ai appris qu’il y avait trois parties dans un concert : la répétition, le concert, la sortie de scène où l’on passe un certain temps à dédicacer des albums ou des photos à des gens qui ont payés leur place. Il m’a également appris qu’il faut toujours enchainer les chansons pendant les applaudissements, afin d’éviter les temps morts, que le public ait le sentiment que les deux heures de concert sont passées très vite, qu’il ne soit pas gavé mais qu’il en redemande au contraire. Ce sont des choses qu’un artiste ne peut pas savoir tant qu’il n’a pas été confronté à des salles d’envergure, avec un autre artiste, un grand-frère, un pote capable de tout expliquer avec l’envie de le faire avancer.

Serge ne s’est jamais pris pour une star, il a tout de suite instauré entre nous des rapports simples, évidents, sans hiérarchie. Je l’ai ressenti dès les premiers jours. Il m’a aussi expliqué que, lorsque je serai à mon tour tête d’affiche, je ne devrais pas choisir une première partie inconsistante en pensant arriver derrière comme le roi du monde. Au contraire : plus la première partie est forte, plus le public se sentira concerné, plus il l’appréciera et plus j’aurais besoin de me dépasser dans mon interprétation, dans mon envie de partager mes émotions.

Ses conseils semblaient simples, ils étaient essentiels.

Propos recueillis par Sophie Delassein - Le Nouvel Observateur

CD : "Et nous voilà" (Wagram). A Lire : "So far away, un certain 21 mars" (L'Archipel)

 

22.07.2012

22 Juillet 2014: RTL

Serge Lama : "Je faisais la plonge"

LES JOBS D’ÉTÉ DES STARS - Faire la plonge était le gagne-pain de Serge Lama. Le chanteur confie qu'il travaillait dans un petit restaurant. - Les jobs d'été des stars, du 22 juillet 2014.

 

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EXTRAIT

 

20.06.2012

20 Juin 2014: Musiques en Fête

Serge Lama faisait partie des invités de "Musiques en Fête", en direct du Théâtre Antique d'Orange, le vendredi 20 juin à 20 h 35 : diffusé sur France 3 et France Musique...

 

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Pour sa 4ème édition, "Musiques en fête" proposait un concert événement de trois heures qui mêlait opéra et chanson française, opérette et comédie musicale. 200 choristes et musiciens étaient sur scène pour enchanter les 8 000 spectateurs du théâtre antique d'Orange

 

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TV grande chaine du 7 au 20 juin 2014

 

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Télé 7 jours du 20 juin 2014

 

Les ballons rouges

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VIDEO SUR FACEBOOK ICI

 

 

Duo avec Laurent Gerra

 

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19.06.2012

19 Juin 2014: SMS

Le 19-06-2014

 

Mes chers amis, une petite divagation sur le temps qui passe, juste à l'orée de cet été qui nous prépare aux chants des blés :

 

Pour moi vieillir c'est travailler à devenir jeune ; j'entends par là, pur et innocent, ce que peut-être nous avons eu le tort de ne pas être quand nous en avions l'âge. Mais certaines philosophies prétendent qu'il n'est jamais trop tard ; peut-être faudrait-il parallèlement dire qu'il n'est aussi jamais trop tôt, car tout retard est nuisible, tout retard est un temps pendant lequel on prend des habitudes ; mieux vaut être non pas en avance, car c'est dommageable aussi, mais simplement à l'heure, ce qui fut longtemps considéré comme étant la politesse des rois. Tout personnage public se doit non pas de faire la morale, mais de donner un exemple qui permettre de guider sans phrases ceux qui ont choisi d'être ses disciples.

Nous sommes des créateurs d'échos, c'est rien certes, mais soyons conscients en le faisant du pas grand chose que c'est. Ne rien laisser au hasard est une expression "hasardeuse", car c'est le hasard qui nous guide ; soyons à son encontre respectueux, car rien ne prouve qu'il ne soit pas susceptible, alors soyons simplement prudents et reconnaissants d'accéder au carrefour des routes qu'il nous propose. Selon nos caractères, suivons soit notre instinct, soit notre intelligence, les deux pour les mieux lotis d'entre nous, mais n'oublions pas que tout choix implique un renoncement, donc une inquiétude qui nous poursuivra. Je suis bien imprudent d'avoir choisi le chemin des mots pour vous guider sur l'inexplicable, alors en fait, faites comme le petit poucet, jalonnez de cailloux votre route pour, quand vous aurez mon âge, retrouver la maison de votre enfance, et en ce qui me concerne, elle sera heureuse puisque je l'inventerai.

 

S.L

25.05.2012

25 Mai 2014: interview Fabien Ramade

 

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Interview du jeune producteur Fabien Ramade par Nicolas Castelnau-Bay sur la  radio Fréquence Protestante