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23.04.2009

23 Avril 2002: Y'a un début à tout

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Télé 7 jours 23 avril 2002

 

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Dans cette émission Daniela Lumbroso revenait sur les débuts de ses invités.

Voici le passage avec Serge Lama:

Reportage en images

 

22.04.2009

22 Avril 2002:Le soir

En concert au Forum de Liège ce samedi 27 avril (04-223.18.18) et au Cirque royal le 28 (02-218.20.15) avant de revenir au palais des Beaux-Arts de Charleroi le 2 octobre

 

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Rencontre : Serge Lama revient sur scène comme sur disque

Lama intimiste

Après de longues années passées davantage sur scène que dans les studios, Serge Lama revient avec un disque et un spectacle intimiste. Un retour en grâce ?...

THIERRY COLJON

Serge Lama a longtemps souffert d'une image réductrice et de plans de carrière pas toujours très pensés. Le grand public qui n'est pas son « fan base » toujours prompt à le suivre dans toutes ses aventures n'a retenu de lui que son côté grande gueule, rire éclatant et mégalomanie entre Napoléon et le symphonique.

Et puis voilà, après sept ans de réflexion, Lama revient avec un album plus calme et poétique, plus mesuré, dépouillé. Et bingo : voilà que tout le monde, à commencer par ceux qui l'ont toujours haï, lui trouve mille qualités :

C'est vrai qu'une certaine presse élitiste me découvre aujourd'hui, comme « Le Monde » ou « Libération » qui m'a toujours craché dessus, nous a nommé un Lama aminci, pour ne pas dire très élégant. Il y a un tel vide aujourd'hui, je pense que certains sont obligés de se retourner vers ce qui compte vraiment. Les maisons de disques ont créé le vide avec leurs compilations, donc elles sont obligées de renouer avec les artistes quinquagénaires.

La sobriété est le maître mot de ce grand retour artistique, public et médiatique. Le piano n'est même plus de la partie, juste des cordes qui, sur scène, se réduiront à trois musiciens :

Grâce à cette formule qui nous a surpris nous-mêmes, les gens ont redécouvert l'auteur, je pense. Jusqu'ici, on ne voit en moi que le chanteur avec sa grosse voix. On m'a même dit récemment : « Ah bon ! Vous écrivez vos textes maintenant ? » Alors que je le fais depuis l'âge de 12 ans. Je ne m'étais pas rendu compte à quel point le chanteur avait occulté l'auteur. Quand le public vous préfère, il vous définit en même temps, il vous met dans une boîte dont il est très difficile de sortir. Moi, j'ai été partout considéré comme le chanteur sympa, tellement français, qui aime baiser, qui aime les femmes, la vie, qui a une voix forte et un rire d'ogre, pantagruélique... On en oublie que je suis d'abord un homme de mots.

Serge Lama chante, d'ailleurs, sur son nouvel album, qu'ouvre un texte de Verlaine, « Les poètes » ainsi que « Je suis nostalgique ». Ce qui lui ressemble ?

Tous mes disques sont nostalgiques, le contraire est un accident. Mon image de mec exubérant a aussi occulté ça. Alors qu'une chanson comme « Les petites femmes de Pigalle » est dramatique. En fait, c'est parce que j'écris des chansons sur le passé que les gens ne les ont pas oubliées. Pareil pour Aznavour, au contraire de Bécaud par exemple qui chantait la jeunesse et qu'on a oublié. Quand vous chantez le passé, ce n'est pas grave que votre physique vieillisse, c'est plus facile à faire accepter. En fait, tous les chanteurs à regrets ne vieillissent pas...·

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Musique serge lama au forum quand napoléon redevient poète

DIDIER STIERS

Après la sortie de l'album et sa promotion obligée, Serge Lama complète son grand retour par une série de concerts fort séduisants. A moins de n'aimer ni les mots ni la richesse musicale, il est difficile de ne pas lui succomber.

Ce tour de chant est plutôt nouveau, explique-t-il après trois premières chansons, parmi lesquelles un vibrant « Mon ami mon maître ». Evidemment, il y en a des nouvelles. Et de s'excuser, sourire en coin : On va vite vous en mettre deux, comme ça, c'est déjà fait. Suivent alors « Si tu le veux », qu'il précise être aussi libertine que Fragonard, et « Quand est-ce qu'on fait l'amour ». Des extraits de « Feuille à feuille », il y en aura encore d'autres, glissées ici et là entre les incontournables, les tubes et quelques textes des débuts. « Le temps de la rengaine » et « Les jardins ouvriers » se mélangent ainsi intimement, « Voici des fleurs, des fruits » précède « Les Glycines » sur lequel un riff de guitare rageur souligne l'âpreté du propos.

Mais il y a aussi ces minutes d'intimité qui enchantent : les passages a cappella d'« Une île », la complicité avec le seul accordéon sur « Je voudrais tant que tu sois là » ou « Chez moi » L'éclairage à la subtilité travaillée habille l'artiste avec classe, et il n'a pas besoin de le préciser pour s'en rendre compte.

Le rire, celui que les admiratrices des premiers rangs peuvent deviner au fond de ses yeux ou dans quelques rides bien placées, n'est pas absent pour autant. En quelques réflexions, Serge Lama coupe la chique à ceux qui craignaient un spectacle un peu sévère. Le « Gros lot » de « Femme, femme, femme » devient « Le maillon faible ». Un peu plus tôt, il compare le pouvoir qu'il exerce sur ses musiciens à celui qu'aiment les politiques français, actualité oblige Aux groupies, il rappelle avec insistance l'adresse de son hôtel ! Quant à « Superman » et « Les p'tites femmes de Pigalle », ces deux chansons-là bénéficient d'un rapide changement de costume : veste blanche et lunettes de soleil de circonstance.

De ses expériences symphoniques, il ne reste rien. Le groupe qui l'accompagne compte quatre musiciens et une foule d'instruments quasi tous acoustiques. L'accordéon de l'Italien Sergio Tomasi se fait tour à tour violon, piano et orgue. Les percussions de Nicolas Montazaud (Nougaro) donnent une foule de couleurs à la soirée. Place à une indéniable poésie des mots et des images. Lama, s'il se revendique plutôt de Piaf que de Brel, n'en ressuscite pas moins par moments le fantôme du grand Jacques. Sur « D'aventures en aventures », c'est saisissant.

C'était le temps où les chanteurs avaient de la voix... A 59 printemps, Monsieur Serge Chauvier n'a décidément pas que ça ; quelle leçon !·

Serge Lama en concert au Palais des Beaux-Arts de Charleroi le 2 octobre (071/31.12.12).

18.04.2009

18 Avril 2002:Le progrès

Serge Lama se produisait le  23 avril, à 20 h 30 au Palais des spectacles à Saint-Étienne

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Serge Lama se pose à Saint-Étienne

 

Celui qui chante les femmes, les enchantera mardi au Palais des spectacles.

Il est des artistes que les tempêtes de la mode n'ébranlent jamais. Serge Lama est de ceux-ci. Un roc qui chante l'amour. Une voix de stentor qui depuis trente-sept ans, a su laisser des titres aussi incontournables que Je suis maladeLes p'tites femmes de Pigalle ... Des chansons tantôt humoristiques ou légères, tantôt mélancoliques ou tragiques.

Après sept ans sans album, le voilà qui revient avec son dernier né, Feuille à feuille. S'y révèle une voix plus caressante, s'accommodant à merveille de l'absence du piano. Et qui sert à merveille à des textes où se retrouve l'amour, l'ivresse des sentiments, les illusions, la chute. L'univers de Lama, en somme.

A 59 ans, Serge Lama se révèle plus serein, évite le superflu, pour s'affirmer haut et fort - ce qu'il a toujours été - comme un auteur qui chante.

CÉCILE VERRIER

13.04.2009

13 Avril 2002:L'écho des coulisses

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Je suis " Lamade"

Echo des coulisses sur Paris Première était une émission présentée par François Pécheux qui révélait un peu l'envers du décor. On retrouve Serge Lama au moment des concerts donnés à l'Olympia .

Et Nicolas Montazeau parle de la création de l'album "feuille à feuille"

Voici un extrait de l'émission:

12.04.2009

12 Avril 2002:Concert à Villepinte

Le 12 Avril 2002 Serge chantait à Villepinte, voici 2 photos publiées dans le journal La Fronde N°67 de Juin 2002

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11.04.2009

11 Avril 2002:Le Télégramme

Après le concert du 9 avril 2002 à l' Océanis de Ploemer

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Emotion forte pour 800 personnes avec l'ami Lama

Mardi soir, l'ami Lama est revenu à Océanis pour la troisième fois. Le public venu en nombre n'a pas manqué le rendez-vous et lui a réservé une standing ovation.

Accompagné de S. Tomassi aux accordéons synthé, J. Aranis aux basses et Yann Benoist aux guitares, il est arrivé sur scène, tout de noir vêtu et immédiatement, la magie a réussi. Alternant les anciennes chansons et les nouvelles, Serge Lama a peu à peu imprégné l'espace d'une atmosphère à la fois intimiste, nostalgique et complice. Serge Lama a joué de clins d'œil, de mimiques d'expressions et invité le public à chanter avant de le rejoindre en salle dans un grand moment d'émotion. Il a joué avec ses musiciens, complices également, enchaînant au final la musique bretonne et ukrainienne en passant par les polyphonies sur « femmes ». Dans « Je t'aime à la folie », il a invité le public à se substituer à lui en chantant le refrain pendant qu'il se retirerait, annonçant un rappel inévitable. Serge Lama a terminé a cappella devant une salle debout et conquise. 800 personnes qui sont reparties heureuses d'un grand moment de sincérité et d'émotion.

Dédicaces

Comme il l'avait fait, il a procédé pendant plus d'une heure à la signature d'autographes à plus de 200 personnes.

10.04.2009

10 Avril 2002:Le progres

Serge Lama en concert à Saint Etienne le 23 Avril 2002

 

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Un Lama nouveau bientôt à Saint-Étienne

 

 

Le chanteur à la voix puissante sera sur la scène du Palais des spectacles mardi 23 avril, à 20 h 30, avec son dernier album, Feuille à feuille

Serge Lama ne semble pas avoir vieilli. Un personnage à lui tout seul. Accro des chansons et de la scène. Mais surtout, un dinosaure dans le monde de la musique.

Trente-sept ans de métier au compteur, avec des parenthèses forcées ou volontaires.

Trente-sept années et des morceaux qui restent dans les mémoires, comme Les petites femmes de Pigalle ou encore Je suis malade, qui connaît aujourd'hui une seconde jeunesse avec Lara Fabian.

Une réussite qui lui vaudra pourtant d'être traité par ses détracteurs de machiste triomphant et de phallocrate réactionnaire.

Mais qu'importe. L'homme à la voix tonitruante a su drainer derrière lui un public. Celui qui aime les textes enlevés et toujours populaires.

Lui qui voulait voir son nom en lettres rouges sur l'Olympia a depuis bien longtemps gagné son pari. Et plus encore. Un charmeur charmant qui chante les femmes, l'amour. La vie.

Délaissant aujourd'hui l'ensemble symphonique, Serge Lama revient, après sept ans de silence, avec un nouvel album déconcertant mais envoûtant. Feuille à feuille révèle un autre homme.

La voix de stentor accompagne un trio acoustique et minimaliste (guitare, accordéon et percussions).

Entre nostalgie et mélancolie, le chanteur bouscule les habitudes, tout en gardant cet amour pour les mots. Mais surtout prouvé, si besoin en était, qu'il est un véritable auteur. Lama chante le plaisir, l'ivresse des sentiments, les illusions et la chute. Mais aussi l'optimisme. Comme un éclat de rire sonore qui s'envole ensuite vers la douceur. Tout en retenue. Mais toujours avec qualité.

CÉCILE VERRIER

 

06.04.2009

6 Avril 2002:Le Télégramme

En concert à l'Océanis de Ploemeur, à 20 h 30, mardi 9 avril,

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Le retour du grand Lama à l'Océanis mardi

 

Il revient avec un nouvel album qui créé plutôt la surprise : le grand Lama est de retour. Il s'arrêtera sur la scène de l'Océanis, mardi prochain.

« Après l'expérience de l'album "Symphonique", Serge Lama a recommandé de prendre un contre-pied radical et partir sur une formule minimaliste pour l'enregistrement de son nouveau disque intitulé "Feuille à Feuille" », indique le dossier de presse. Visiblement, cette dernière création est plutôt bien reçue. Même par une critique qui n'oublie pas l'image un brin ringarde et phallocratique que le chanteur multiforme peu dessiner. « C'est un album aux sonorités très acoustiques, éminemment classique et simultanément très actuel ».

Sur des musiques de Christophe Leporati, Nicolas Montazaud et Yves Gilbert, Serge Lama offre quelques-uns des plus beaux textes de sa carrière : des rythmes bossa nova de « Quand est-ce qu'on fait l'amour », aux trompettes western de « Voici les fleurs » des envolées satiennes de « Femmes adieu » à un duo bouleversant avec Lena Ka, sur « Quand on revient de là ».

A l'Océanis de Ploemeur, à 20 h 30, mardi 9 avril, 37,50place assises et réservées, renseignements et réservation au 02.97.84.88.25

 

03.04.2009

3 Avril 2002:Le télégramme (Bretagne)

Serge Lama était en Concert à Ploemer le 9 Avril 2002

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Serge Lama Tendresse et mélancolie

 

Serge Lama a 59 ans et il vieillit fort bien. Son dernier album, « Feuille à feuille », paru fin 2001, a rendu au rang de caricature son image de macho franchouillard que d'énormes succès comme « Les petites femmes de Pigalle » ou la comédie musicale « Napoléon » ont réussi à se nourrir.

90%de chansons tristes

C'est oublier un peu vite que cet auteur au vrai talent littéraire, révélé (comme Barbara) au cabaret L'Ecluse, possède une plume sensible, habile à traduire les multiples nuances de la nostalgie.

« Ce sont les chansons gaies qui ont fait de moi une vedette, alors qu'elles ne constituent que 10 % de mon répertoire, contre 90 % de chansons tristes », observe Serge Lama.

Dans « Feuille à feuille », il glisse deux textes « amusants » et décline une dizaine d'autres au registre plus mélancolique. L'amour, les femmes, l'envers des choses, le temps qui passe résonnent dans la voix devient caresse du chanteur. Il privilégie la tendresse et l'émotion dans un décor musical acoustique et intime, offrant un saisissant contraste avec sa formule « symphonique » précédente.

Après avoir attribué une large partie des années 90 au théâtre et aux séries télé (incarnant le commissaire Paparel), Serge Lama revient à ses premières amours. Dans la foulée de son grand retour à l'Olympia, l'artiste saura toucher les amateurs de chansons authentiques mardi prochain à l'Océanis de Ploemeur (près de Lorient).Ploemeur

3 Avril 2002:Le figaro

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La mue d'un chanteur populaire

 

On a longtemps soupiré , aux concerts de Serge Lama, devant l'épaisseur de ses manières grosse voix, chansons tenues à pleines mains, saveurs de féculents. Et puis, cet hiver, il a sorti Feuille à feuille, album exemplaire réussi. Il prévenait, dans Le Figaro : « Maintenant, je respecte mes chansons. » Cela seul pourrait résumer la mue d'un chanteur populaire qui a longtemps échappé aux catégories du bon goût et, ces jours-ci, donne de superbes concerts.

Au commencement de cette révolution, il y a eu la décision de se priver du piano : ce gros meuble sur la scène, c'est aussi l'instrument le plus expansionniste qui soit. Dès lors, le chanteur est plus libre de ses mouvements, les chansons doivent plus dégagées. Et le choix de Lama et de ses musiciens a été justement d'encore dépouiller le répertoire : un accordéon très discret pour Une île ou Je voudrais tant que tu sois là, guitare acoustique et derbouka pour L'Algérie... Et quand les chansons exigeant un son plus lourd (une basse électrique dans Rien ne vaut vous, franche puissance électrique sur Les Glycines), il n'est pas contraint à l'escalade vocale.

On admire les musiciens : Nicolas Montazaud avec ses percussions remplaçant la batterie (c'est magnifiquement pertinent), Serge Tomassi à l'accordéon (le virtuose héritage de Joë Rossi associé à la technologie Midi, un univers très riche), Yann Benoist aux guitares, Jean-Luc Aramy aux basses et au violoncelle. Ils prennent garde à ne jamais trop pousser Serge Lama, à lui ouvrir suffisamment l'espace pour qu'il ne force jamais la note. Et, quand il lâche la voix, son bonheur, son orgueil, l'écrin est d'une netteté soyeuse. Chez moi ou Je suis malade y gagne en beauté, en dignité, en vérité. Cette instrumentation assure aussi l'unité entre classiques et nouvelles chansons : la nouvelle Les Jardins ouvriers intercalée entre deux couplets du Temps de la rengaine, les superbes Voici des fleurs des fruits et Quand on revient de là dans des couleurs voisines des nouveaux arrangements des P 'tites Femmes de Pigalle ou de D'aventures en aventures. Tout est lisible, cohérent, parfois même très subtil.

Et ce n'est plus seulement la puissance mâle de Lama, son large souffle et sa carrure vocale qui s'exprime ici, mais aussi des qualités de douceur et d'écoute, une finesse d'expression, un humour, même, il n'avait pas toujours, lui-même, rendu justice. La mue est belle et salutaire.

Bertrand DICALE

Le 3 avril à Besançon, le 4 à Bourg-en-Bresse, le 5 à Montluçon, le 7 à Lille, le 9 à Ploemeur, le 12 à Villepinte, le 23 à Saint-Étienne, le 25 à Nancy, le 26 à Strasbourg...