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13.04.2009

13 Avril 2002:L'écho des coulisses

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Je suis " Lamade"

Echo des coulisses sur Paris Première était une émission présentée par François Pécheux qui révélait un peu l'envers du décor. On retrouve Serge Lama au moment des concerts donnés à l'Olympia .

Et Nicolas Montazeau parle de la création de l'album "feuille à feuille"

Voici un extrait de l'émission:

12.04.2009

12 Avril 2002:Concert à Villepinte

Le 12 Avril 2002 Serge chantait à Villepinte, voici 2 photos publiées dans le journal La Fronde N°67 de Juin 2002

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11.04.2009

11 Avril 2002:Le Télégramme

Après le concert du 9 avril 2002 à l' Océanis de Ploemer

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Emotion forte pour 800 personnes avec l'ami Lama

Mardi soir, l'ami Lama est revenu à Océanis pour la troisième fois. Le public venu en nombre n'a pas manqué le rendez-vous et lui a réservé une standing ovation.

Accompagné de S. Tomassi aux accordéons synthé, J. Aranis aux basses et Yann Benoist aux guitares, il est arrivé sur scène, tout de noir vêtu et immédiatement, la magie a réussi. Alternant les anciennes chansons et les nouvelles, Serge Lama a peu à peu imprégné l'espace d'une atmosphère à la fois intimiste, nostalgique et complice. Serge Lama a joué de clins d'œil, de mimiques d'expressions et invité le public à chanter avant de le rejoindre en salle dans un grand moment d'émotion. Il a joué avec ses musiciens, complices également, enchaînant au final la musique bretonne et ukrainienne en passant par les polyphonies sur « femmes ». Dans « Je t'aime à la folie », il a invité le public à se substituer à lui en chantant le refrain pendant qu'il se retirerait, annonçant un rappel inévitable. Serge Lama a terminé a cappella devant une salle debout et conquise. 800 personnes qui sont reparties heureuses d'un grand moment de sincérité et d'émotion.

Dédicaces

Comme il l'avait fait, il a procédé pendant plus d'une heure à la signature d'autographes à plus de 200 personnes.

10.04.2009

10 Avril 2002:Le progres

Serge Lama en concert à Saint Etienne le 23 Avril 2002

 

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Un Lama nouveau bientôt à Saint-Étienne

 

 

Le chanteur à la voix puissante sera sur la scène du Palais des spectacles mardi 23 avril, à 20 h 30, avec son dernier album, Feuille à feuille

Serge Lama ne semble pas avoir vieilli. Un personnage à lui tout seul. Accro des chansons et de la scène. Mais surtout, un dinosaure dans le monde de la musique.

Trente-sept ans de métier au compteur, avec des parenthèses forcées ou volontaires.

Trente-sept années et des morceaux qui restent dans les mémoires, comme Les petites femmes de Pigalle ou encore Je suis malade, qui connaît aujourd'hui une seconde jeunesse avec Lara Fabian.

Une réussite qui lui vaudra pourtant d'être traité par ses détracteurs de machiste triomphant et de phallocrate réactionnaire.

Mais qu'importe. L'homme à la voix tonitruante a su drainer derrière lui un public. Celui qui aime les textes enlevés et toujours populaires.

Lui qui voulait voir son nom en lettres rouges sur l'Olympia a depuis bien longtemps gagné son pari. Et plus encore. Un charmeur charmant qui chante les femmes, l'amour. La vie.

Délaissant aujourd'hui l'ensemble symphonique, Serge Lama revient, après sept ans de silence, avec un nouvel album déconcertant mais envoûtant. Feuille à feuille révèle un autre homme.

La voix de stentor accompagne un trio acoustique et minimaliste (guitare, accordéon et percussions).

Entre nostalgie et mélancolie, le chanteur bouscule les habitudes, tout en gardant cet amour pour les mots. Mais surtout prouvé, si besoin en était, qu'il est un véritable auteur. Lama chante le plaisir, l'ivresse des sentiments, les illusions et la chute. Mais aussi l'optimisme. Comme un éclat de rire sonore qui s'envole ensuite vers la douceur. Tout en retenue. Mais toujours avec qualité.

CÉCILE VERRIER

 

06.04.2009

6 Avril 2002:Le Télégramme

En concert à l'Océanis de Ploemeur, à 20 h 30, mardi 9 avril,

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Le retour du grand Lama à l'Océanis mardi

 

Il revient avec un nouvel album qui créé plutôt la surprise : le grand Lama est de retour. Il s'arrêtera sur la scène de l'Océanis, mardi prochain.

« Après l'expérience de l'album "Symphonique", Serge Lama a recommandé de prendre un contre-pied radical et partir sur une formule minimaliste pour l'enregistrement de son nouveau disque intitulé "Feuille à Feuille" », indique le dossier de presse. Visiblement, cette dernière création est plutôt bien reçue. Même par une critique qui n'oublie pas l'image un brin ringarde et phallocratique que le chanteur multiforme peu dessiner. « C'est un album aux sonorités très acoustiques, éminemment classique et simultanément très actuel ».

Sur des musiques de Christophe Leporati, Nicolas Montazaud et Yves Gilbert, Serge Lama offre quelques-uns des plus beaux textes de sa carrière : des rythmes bossa nova de « Quand est-ce qu'on fait l'amour », aux trompettes western de « Voici les fleurs » des envolées satiennes de « Femmes adieu » à un duo bouleversant avec Lena Ka, sur « Quand on revient de là ».

A l'Océanis de Ploemeur, à 20 h 30, mardi 9 avril, 37,50place assises et réservées, renseignements et réservation au 02.97.84.88.25

 

03.04.2009

3 Avril 2002:Le télégramme (Bretagne)

Serge Lama était en Concert à Ploemer le 9 Avril 2002

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Serge Lama Tendresse et mélancolie

 

Serge Lama a 59 ans et il vieillit fort bien. Son dernier album, « Feuille à feuille », paru fin 2001, a rendu au rang de caricature son image de macho franchouillard que d'énormes succès comme « Les petites femmes de Pigalle » ou la comédie musicale « Napoléon » ont réussi à se nourrir.

90%de chansons tristes

C'est oublier un peu vite que cet auteur au vrai talent littéraire, révélé (comme Barbara) au cabaret L'Ecluse, possède une plume sensible, habile à traduire les multiples nuances de la nostalgie.

« Ce sont les chansons gaies qui ont fait de moi une vedette, alors qu'elles ne constituent que 10 % de mon répertoire, contre 90 % de chansons tristes », observe Serge Lama.

Dans « Feuille à feuille », il glisse deux textes « amusants » et décline une dizaine d'autres au registre plus mélancolique. L'amour, les femmes, l'envers des choses, le temps qui passe résonnent dans la voix devient caresse du chanteur. Il privilégie la tendresse et l'émotion dans un décor musical acoustique et intime, offrant un saisissant contraste avec sa formule « symphonique » précédente.

Après avoir attribué une large partie des années 90 au théâtre et aux séries télé (incarnant le commissaire Paparel), Serge Lama revient à ses premières amours. Dans la foulée de son grand retour à l'Olympia, l'artiste saura toucher les amateurs de chansons authentiques mardi prochain à l'Océanis de Ploemeur (près de Lorient).Ploemeur

3 Avril 2002:Le figaro

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La mue d'un chanteur populaire

 

On a longtemps soupiré , aux concerts de Serge Lama, devant l'épaisseur de ses manières grosse voix, chansons tenues à pleines mains, saveurs de féculents. Et puis, cet hiver, il a sorti Feuille à feuille, album exemplaire réussi. Il prévenait, dans Le Figaro : « Maintenant, je respecte mes chansons. » Cela seul pourrait résumer la mue d'un chanteur populaire qui a longtemps échappé aux catégories du bon goût et, ces jours-ci, donne de superbes concerts.

Au commencement de cette révolution, il y a eu la décision de se priver du piano : ce gros meuble sur la scène, c'est aussi l'instrument le plus expansionniste qui soit. Dès lors, le chanteur est plus libre de ses mouvements, les chansons doivent plus dégagées. Et le choix de Lama et de ses musiciens a été justement d'encore dépouiller le répertoire : un accordéon très discret pour Une île ou Je voudrais tant que tu sois là, guitare acoustique et derbouka pour L'Algérie... Et quand les chansons exigeant un son plus lourd (une basse électrique dans Rien ne vaut vous, franche puissance électrique sur Les Glycines), il n'est pas contraint à l'escalade vocale.

On admire les musiciens : Nicolas Montazaud avec ses percussions remplaçant la batterie (c'est magnifiquement pertinent), Serge Tomassi à l'accordéon (le virtuose héritage de Joë Rossi associé à la technologie Midi, un univers très riche), Yann Benoist aux guitares, Jean-Luc Aramy aux basses et au violoncelle. Ils prennent garde à ne jamais trop pousser Serge Lama, à lui ouvrir suffisamment l'espace pour qu'il ne force jamais la note. Et, quand il lâche la voix, son bonheur, son orgueil, l'écrin est d'une netteté soyeuse. Chez moi ou Je suis malade y gagne en beauté, en dignité, en vérité. Cette instrumentation assure aussi l'unité entre classiques et nouvelles chansons : la nouvelle Les Jardins ouvriers intercalée entre deux couplets du Temps de la rengaine, les superbes Voici des fleurs des fruits et Quand on revient de là dans des couleurs voisines des nouveaux arrangements des P 'tites Femmes de Pigalle ou de D'aventures en aventures. Tout est lisible, cohérent, parfois même très subtil.

Et ce n'est plus seulement la puissance mâle de Lama, son large souffle et sa carrure vocale qui s'exprime ici, mais aussi des qualités de douceur et d'écoute, une finesse d'expression, un humour, même, il n'avait pas toujours, lui-même, rendu justice. La mue est belle et salutaire.

Bertrand DICALE

Le 3 avril à Besançon, le 4 à Bourg-en-Bresse, le 5 à Montluçon, le 7 à Lille, le 9 à Ploemeur, le 12 à Villepinte, le 23 à Saint-Étienne, le 25 à Nancy, le 26 à Strasbourg...

30.03.2009

30 mars 2002 : Le Monde

Article publié dans LE MONDE le 30 mars 2002.

 

serge lama

serge lama

LIRE

 

 

27.03.2009

27 Mars 2002: Libération

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Serge Lama, du pareil au mieux

 

 

Par PERRIN Ludovic

Symbole prégnant de la puissance vocale, Serge Lama s'est longtemps reposé sur ses attributs pour faire vibrer un coeur de cible essentiellement féminin. Après six ans d'absence discographique, le macho repenti effectue son premier véritable virage artistique. Son dernier album, Feuille à feuille, apparaît sans filtre ni effets démonstratifs. Délaisser le clinquant, c'est aussi pour Serge Lama exiger une attention nouvelle de la part des fidèles, quitte à se couper d'une partie de l'assistance. L'évolution s'est faite en douceur, au gré de concerts avec orchestre symphonique ou en formation réduite.

Incarnation de la chanson populaire des années 70, ce fils de chanteur lyrique méconnu s'est vu concurrencé dans son registre par une armée de voix masculines, voire féminines. Quand son ancienne maison de disques parvient à écouler en moins d'une semaine plus de 100 000 albums de Popstars ou de Star Academy, il a fallu plusieurs mois à Lama pour atteindre les mêmes résultats. Mais cet artiste, découvert par Barbara, suit sa voie depuis le milieu des années 60 sans se renier. Auteur, il a développé une écriture dont l'intimité de Feuille à feuille restitue à leur juste valeur les nuances du déchirement masculin. Comment retrouver cette approche minimaliste sur scène ? En divisant son tour en deux parties, sans entracte : d'abord par les succès plus confidentiels puis avec les tubes qui ont forgé son personnage de conquérant viril : Superman, les P'tites Femmes de Pigalle, Femme, femme, femme.

Cave enfumée. Dans les deux programmes, les titres du dernier album. C'est par une de ces chansons-là que Lama commence son spectacle : les Gens qui s'aiment. On entend en premier lieu la voix, avant d'apercevoir la silhouette du chanteur, 58 ans, le pantalon qui tombe mal, noir comme la chemise et la veste. Déjà les nuances du timbre épousent l'orchestration distribuée en quartet jazz. Sous ces lumières tirant vers le bleu nuit, c'est presque une atmosphère de cave enfumée à l'Olympia. Nicolas Montazaud joue de la batterie sur des percussions africaines. Réalisateur de l'album, il dirige trois musiciens se glissant dans les interstices de la partition : Serge Tomassi à l'accordéon, Yann Benoist aux guitares et Jean-Luc Arramy à la contrebasse et au violoncelle. Je voudrais tant que tu sois là (1977), puis Serge Lama s'adresse au public : «Je voudrais dédier cette soirée à monsieur Gilbert Bécaud, à qui cet endroit appartient» ­ un hommage encore rendu par un duo sur l'album posthume de Bécaud. Les Jardins ouvriers, le Temps de la rengaine, l'Algérie, puis Une île : à pas sûrs, on approche la valse des gros succès jadis composés par Yves Gilbert et Alice Dona. Veste blanche et lunettes de soleil «Blues Brothers» : cette caricature sur Superman, pour amusée qu'elle soit, dénote un anachronisme dans les modes vestimentaires. Changement d'époque, les flambeurs s'habillent-ils encore ainsi? Heureusement, cet accoutrement sur fond de guitare saturée est vite remisé au placard.

«Femme...» Une nouveauté, Voici des fleurs (reprise avec une inversion de fruits en fleurs au premier quatrain de Green de Verlaine), annonce les Glycines. Extrait de Feuille à feuille, Quand on revient de là se savoure. Puis se succèdent D'aventure en aventure, Je t'aime à la folie, Femme, femme, femme, Je suis malade, la Vie simple et tranquille. Regroupées sur un best-of chez Mercury, ces chansons gagnent là en souplesse. Le texte se laisse entendre, fracas amoureux toujours rattrapé par le monde de l'enfance. Avait-on déjà pu jeter un tel regard sur l'univers de Serge Lama ?.

26.03.2009

26 Mars 2002:Le Parisien

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Lama revient à l'Olympia à partir de ce soir

POUR SON RETOUR sur scène, Serge Lama a eu du mal à imposer son style. La semaine dernière, à l'Olympia, il présentait son nouvel album « Feuille à feuille ». Un récital qu'il reprend cette semaine, pour six représentations, toujours à l'Olympia.

Relancer la machine

Il devra toutefois faire de sérieux efforts. Car, il y a huit jours, à l'exception de quelques inconditionnels, la plupart des spectateurs ont eu du mal à retrouver le chanteur qui les a fait vibrer si longtemps. Il faut dire que la moyenne d'âge était plutôt élevée. 

A ce propos, « je tiens à saluer les demoiselles s'il en reste quelques-unes », at-il tenu à dire en guise de mot d'accueil... Après une première partie plutôt froide devant un public peu réceptif à ses nouvelles mélodies, pour relancer la machine, il a repris ses grands classiques et troqué son costume sombre contre une veste blanche et des lunettes noires. 

Alors, seulement, le public a commencé à chanter, à taper dans les mains. « Serge, t'es classe », a hurlé une jeune femme. « Superman », « Je t'aime à la folie », « Femme, femme, femme », tout y est passé, y compris « les Petites Femmes de Pigalle ». Il fallait au moins ça pour redonner de l'éclat à la soirée