07.02.2012
7 Février 2014: Zénith de Pau
06:10 Publié dans 2014, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
7 Février 2014: sud Ouest
06:09 Publié dans 2014, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
04.02.2012
4 Février 2014: La provence
Un concert symphonique à partir du "Napoléon" de Serge Lama
L'oratorio Napoléon Symphonique le 17 mai au theatre antique d'Orange. Une première en France. Un récital, un concert symphonique qui s'inspire de la comédie musicale Napoléon (écrite par Serge Lama et composée par Yves Gilbert) donnée il y a 30 ans. De gauche à droite : Sergio TOMASSI, directeur artistique et accordéoniste de Serge Lama, Fabien Ramade, le producteur et Gérard Maby, le chef de Choeur (130 choristes).
Photo V.B.
Le 17 mai, au théâtre antique d'Orange, une véritable épopée musicale y est annoncée : "Napoléon Symphonique". Un sacré défi que relève un jeune producteur, Fabien Ramade (Beaumes de Venise). Celui de reprendre l'oeuvre magistrale "Napoléon", écrite par Serge Lama et composée par Yves Gilbert. Plus de 30 ans après le triomphe de la comédie musicale Napoléon (1,5 millions de spectateurs), Fabien Ramade a réussi à avoir le feu vert du chanteur Serge Lama pour monter un oratorio, un récital à partir des 25 titres de la comédie.
Sur la scène du théâtre, 130 choristes du Vaucluse et 80 musiciens accompagneront Napoléon et Joséphine, interprétés par le baryton Mickaël Guedj, Régis Mengus, Gilles Morvan, et enfin la chanteuse de l'étape (Beaumes-de-Venise), Marjorie Orial. Et pour parfaire le concert symphonique, un directeur artistique, l'accordéoniste de Serge Lama : Sergio Tomassi et un narrateur qui glissera l'histoire de l'Empereur entre les chansons, le comédien Serge Maillat.
17 mai, 21 h, théâtre antique d'Orange. Réservations sont ouvertes aux points de vente habituels, FNac, Carrefour, centre culturel Leclerc
06:05 Publié dans 17 Mai 2014 Napoléon en symphonique, 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
02.02.2012
Février 2014: Jour de France
07:25 Publié dans 2014, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
01.02.2012
1 Février 2014: La montagne
Dans le journal la Montagne suite au concert du 31 Janvier 2014 à Aurillac
L’interprète de Je suis malade devant 1.400 spectateurs, hier
Les textes souvent très personnels de Serge Lama servent de trame à son dernier spectacle, dans lequel il raconte sa vie en chansons. Ils étaient 1.400 confidents, hier soir, au Prisme.
Dans un cadre photo géant défilent les visages à travers les âges de Serge Lama. Le poupon, l'ado, le chanteur débutant, le Napoléon conquérant… jusqu'au septuagénaire qui entre sur la scène du Prisme, tout de noir vêtu, au rythme de son éternelle démarche clopinante. La voix monte. Reconnaissable entre toutes.
Pour sa dernière tournée, l'artiste a décidé de raconter sa vie en chansons. Rien de plus simple. Il lui suffit de puiser dans les quelque 400 textes qu'il a écrits ces soixante dernières années et sur lesquels Alice Dona et Yves Gilbert ont plaqué d'inoubliables mélodies.
Très vite, les 1.400 spectateurs réunis hier au Prisme entrent dans l'intime. « Je n'ai pas eu de ballons rouges quand j'étais goss'dans mon quartier », entonne-t-il sous les applaudissements, dès le deuxième morceau. Suivent un peu plus tard Le temps de la rengaine pour évoquer son père, puis Maman Chauvier. Ou encore Mon ami, mon maître pour saluer la mémoire de Marcel Gobineau.
La grande Barbara, qui l'a lancé, n'est pas oubliée. Parmi les confidences qu'il égrène tout au long de la soirée, il avoue avoir écrit La chanteuse a vingt ans en pensant à elle.
La voix, toujours là
A la grande joie de ceux qui espèrent des tubes, Femmes, femmes, femmes est l'un des premiers à résonner, accompagné par un impressionnant jeu de lumières. Viendront ensuite D'aventures en aventures, Une île, Marie la Polonaise, Chez moi, Les p'tites femmes de Pigalle… et bien sûr Je suis malade.
La plupart des standards sont réarrangés mais ce n'est pas pour déplaire, le talent des musiciens (guitare, accordéon, percussions, piano et cordes) emballant le tout avec rythme ou douceur.
Au final, on sent le show rodé, la voix maîtrisée. Serge Lama n'est pas Superman mais un vrai artiste, c'est certain.
Thierry Senzier
05:55 Publié dans 2014, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
1 Février 2014: La nouvelle république
Le 30 Janvier 2014, Serge Lama chantait à Chateauroux
Sans rancune, Serge...
Ils étaient quelque 1.400 spectateurs, venus, mercredi soir, « voir le chanteur, le chanteur qu'il faut voir, celui qui rit, celui qui pleure ». Serge Lama, accompagné de huit musiciens, embarquait, durant plus de deux heures, le public du Mach 36, d'aventures en aventures, dans une autre époque, celle du temps béni de la rengaine, où les chanteurs avaient d'la voix. Il a rendu un vibrant hommage à son père, chanteur d'opérette, et à Barbara qui lui a inspiré l'écriture de sa chanson La chanteuse a 20 ans. Serge Lama avait un contentieux avec Châteauroux de près d'une dizaine d'années. « On m'avait fait chanter dans un hangar – la « bulle » de Belle-Isle – au lieu de m'inviter sur la scène du théâtre – Équinoxe. Le maire m'avait envoyé un courrier m'expliquant qu'il n'y était pour rien. » Mais l'autre soir, devant un auditoire conquis, tout litige était levé.
05:50 Publié dans 2014, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)
1 Février 2014:Le Populaire
Compte rendu du concert donné au zénith de Limoges
Serge, Serge, Serge, fait nous voir le ciel !
Bonheur. Oh que non, Serge Lama n'est pas malade ! S'il l'est, c'est d'une maladie d'amour pour la scène et son public et notamment celui de Limoges qu'il a retrouvé hier jeudi soir dans un Zénith plein jusqu'aux cintres. Quel beau charivari entre le chanteur des Ballons rouge et la cité de la porcelaine. Une vraie ferveur. Il y a une vingtaine d'années, les fans limougeauds faisaient la queue pendant des jours entiers en attendant l'ouverture du Grand-Théâtre. Jeudi au Zénith, ils ont réservé un accueil d'une chaleur exceptionnelle au grand Serge, visiblement très ému, la démarche à peine heurtée mais le geste précis, avec cette voix et ce sourire « qui n'appartient qu'à lui et que nous aimons tant ». Pour fêter ses 50 ans de chansons et ses 70 ans, le chanteur des Glycines, a revisité pendant plus de deux heures les classiques de son répertoire : de Femmes, femmes, femmes, à Une île en passant par Mon ami, mon maître. Il avait rajouté quelques inédites de son dernier album, notamment Des éclairs et des revolvers et J'arrive. Dans un somptueux décor fait de vastes tentures illuminées, entouré d'une solide formation acoustique emmenée par son fidèle accordéoniste et arrangeur, Sergio Tomassi, Serge Lama est apparu comme on l'aime, simple, drôle et grave à la fois. Dans un vaste miroir ont défilé les souvenirs d'un demi-siècle de chansons inoubliables. Et c'est par un Je suis malade d'anthologie, interprété a capella et sans micro, qu'il a achevé son récital. Des étoiles plein les yeux.
Photo Stéphane Lefèvre
05:50 Publié dans 2014, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)