17.02.2009
17 février 1978 : La Roche sur Yon
08:16 Publié dans 1978, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
17 février 2009 : Rue Frontenac
Article de Philippe REZZONICO publié sur RUE FRONTENAC.COM
L'Âge d'horizons de Serge Lama,
D'où qu'on parte, chante Serge Lama en ouverture de L'Âge d'horizons, son nouveau disque, disponible le 17 février. Lui, il est parti de Bordeaux, où il est né Serge Chauvier le 11 février 1943. Au plan artistique, il est parti de la finale des Relais de la finale de la chanson française 1964, concours qui a mené à ses deux premiers enregistrements, À quinze ans et Le Bouffon du roi.
Aujourd'hui, à 66 ans, Lama est en parfaite osmose avec sa voix de baryton, son écriture, les musiques de ses collègues (Christophe Leporatti, Yves Gilbert, Sergio Tomassi) et sa propre réalité.
Qu'il parle du destin auquel on peut rarement changer quelque chose (D'où qu'on parte, grandiose), qu'il décline une étude sociologie entre les sexes (Les Hommes et les Femmes), qu'il évoque le temps qui passe (J'arrive à l'heure, géante), les déchirures (Alors que l'on s'est tant aimés, bouleversante), les crimes passionnels (Accident d'amour, troublante) et l'époque révolue de sa grand-mère et de Brassens (La Lampe à pétrole, universelle), Lama a le mot juste et l'intention précise.
Sans délaisser son compositeur de toujours, Yves Gilbert, ainsi que Sergio Tomassi, qui l'aide à revitaliser son catalogue depuis plus d'une décennie, Lama ramène un piano après une éternité sur certaines chansons, ce qui permet de donner du tonus et de la profondeur à certains titres et à offrir un meilleur équilibre entre chansons denses et chansons ludiques.
Mais – est-ce parce que le temps passe ? –, ce sont les chansons qui touchent le cœur et l'âme (J'espère, Socrate, Une histoire de rien) qui font plus d'effet que les joyeuses Que Viva Vivaldi et académiques Verbaudrimlaine. Peut-être parce que l'on sait que ce genre de chansons, Lama les maîtrise depuis très longtemps, peu importe d'où il est parti.
07:00 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
17 février 1977 : Ciné Revue
06:50 Publié dans 1977, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
17 février 1966 : super 45 tours
super 45 tours
- AVEC LEURS BEAUX SOURIRES (Serge Lama - Emil Stern)
- ON N'EST PAS NÉ POUR RIEN (Serge Lama - Emil Stern)
- DIS, PEDRO (Serge Lama - Emil Stern)
- LES PAGES BLANCHES (Serge Lama - Emil Stern)
|
06:45 Publié dans 1966, CD, DVD, Vinyle et Vidéo | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : serge lama
16.02.2009
16 février 1980 : Interview - FR3 Radio Pays de Loire
Entre 1978 et 1981, différents entretiens avec des écrivains, musiciens, acteurs…. ont été diffusés sur la radio FR3 Pays de Loire. L’interview de Serge Lama a été réalisée pendant sa tournée et diffusée le 16 février 1980.
EXTRAIT
23:42 Publié dans 1980, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
16 Fevrier 1977: Salut
22:31 Publié dans 1977, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
26 Février 2011: SMS
Message de Serge à ses fans suite à son anniversaire.
Le 26-02-2011,
J'ai été heureusement surpris par le nombre de lettres reçues à l'occasion de mon
anniversaire. Vous attendez je pense impatiemment, petits voyous, de me fêter le prochain,
afin de donner libre court à des fantaisies « gainsbourgiennes », ne vous en privez pas, c'est
une position que je comprends... Là-dessus, je reprends le collier et la prochaine fois je vous
parlerai de Proust dont la recherche, hélas, n'a pas trouvé son public, lors du passage des
deux épisodes sur France 2, qui n’étaient pourtant pas si mal que ça. Le monde sophistiqué
et snob de Proust m'a aussi agacé quand j'étais très jeune, maintenant j'ai compris que les
personnages ne sont qu'un appui pour faire découvrir autre chose. Lire Proust demande une
recherche et ce n'est pas du temps perdu...
S.L
21:37 Publié dans 2011, SMS- Mots de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
1970: Ma muse
Partitions de la chanson "Ma muse"
Ma muse a les yeux jusque là
Elle a le cœur en bas
Au bord du cimetière
Ma muse elle est sur les genoux
Et soit-dit entre nous
Elle ne rêve plus guère
Pour qu'elle est de l'inspiration
Je la mène en avion
Elle ne touche plus terre
Je lui fait faire n'importe quoi
Ma muse est une fille de joie
Ma muse aux temps de mes débuts
Elle était bien dodue
C'était une vraie femme
Enceinte une fois tous les ans
De trois ou quatre enfants
Qui l'appelaient Madame
Elle n'était jamais fatiguée
Elle était toujours gaie
Elle n'aimait pas le drame
Mais depuis qu'elle couche avec moi
Ma muse est une fille de joie
Comme pour la plupart des gens
Le temps c'est de l'argent
Et qu'un rouble est un rouble
Pour ne plus chanter dans les cours
Il m'a fallu un jour
Mettre les bouchées doubles
Je l'ai pressée comme un citron
Et j'ai plissé son front
Elle a perdu le souffle
Jusqu'à c' qu'elle dise n'importe quoi
Ma muse est une fille de joie
Maintenant elle va dans les rues
Et même les vraies grues
La chante sans vergogne
Elle fait son coup d'oeil à qui
Lui paiera le whisky
Qui va la rendre ivrogne
En même temps qu'elle s'aigrit
Je la vois qui maigrit
C'est presque une charogne
Et elle finira je crois
Pire qu'une vraie fille de joie
20:31 Publié dans 1970, Chansons | Lien permanent | Commentaires (0)
16 Février 2005:Sud Ouest
Concert au Pin Galant de Mérignac le 15 février 2005
Lama comme chez lui
CONCERT. Serge Lama se produisait hier soir au Pin Galant à Mérignac.
Le showman a conquis une salle comble qui lui a réservé une standing ovation
Un concert tous les deux ans au même endroit. Serge Lama est un habitué du Pin Galant. Et le public est un habitué de Lama. En grande partie féminine, il est suspendu aux lèvres du bonhomme comme à ses textes qu'il connaît par cœur. Alors, évidemment, il est facile dans ces conditions de gagner sa soirée à peu de frais, à envoyer des tubes à la file ravir les fans.
Mais Lama ne mange pas de ce pain-là. Hier soir, devant une salle pleine à craquer, il a livré un spectacle plein, étonnant et fort. Commençant comme il est juste, puisque c'est une tradition, par « les Ballons rouges », il a enchaîné ensuite par un répertoire que l'on s'étonne à chaque fois de ne pas découvrir, tant il est entré dans la bande- son qui accompagne les vies depuis les années 70.
Vrais moments de complicité. Après un premier moment fort ("l'Algérie", chanson riche et juste, sans haine et sans peur), il a ensuite écrit quelques-uns de ses succès les plus sûrs avec une aisance, une facilité et une maîtrise qui laissent parfois pantois. Plus qu'un tour de chant, c'est un véritable one-man-show auquel il s'est livré, interrompant une mélodie pour une digression rigolarde, un clin d'œil à Bordeaux, de vrais moments de complicité comme seuls les artistes les plus généreux savent en glisser en prétendant croire qu'ils sont en famille et qu'ils ne font ça que pour nous. Visiblement d'humeur primesautière, il s'est amusé à cabotiner avec l'aisance d'un showman madré et accompli, mais il est allé au-delà.
Hier soir, il s'est passé quelque chose de fort entre lui et son public, pas seulement parce que Charles Aznavour était présent dans la salle. Tour à tour émouvant et drôle, déconcertant d'aisance et de facilité, jouant en finesse d'une voix dont le timbre est reconnaissable entre tous, il a livré un spectacle digne d'un grand de la chanson française, achevant ses presque deux heures de prestation par un époustouflant « Je suis malade », chargé d'une émotion palpable, récoltant une standing ovation plus que logique. Le rappel, « Marie », a cappella, entonné drapé dans le rideau de scène, ne faisait qu'enfoncer le clou et confirmer la performance.
Jean-Luc Eluard
16:41 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
16 Février 2002: La Tribune
15:09 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)