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27.02.2009

27 février 1977 : les rendez-vous du dimanche

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Le 27 février 1977, Serge Lama participe à l’émission les rendez-vous du Dimanche présentée par Michel Drucker.

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Télé 7 jours du 27 février 1977

 

 

Il interprète la chanson"Le triomphe".

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EXTRAIT DU PASSAGE DE SERGE LAMA

 

27 Février 1999: Le plus grand cabaret du monde

Serge Lama même si ce n'est pas noté dans l'encart TV était présent sur le plateau du plus grand cabaret du monde .

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Télé 7 jours du 27 Février au 5 Mars 1999

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Serge Lama est le parrain de l'émission du 27 février 1999.

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EXTRAIT AUDIO

 

27 février 1978:ok magazine

Magazine Ok du 27 Février au 5 mars 1978

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27 Février 2007:La voix du Nord

RENCONTRE / DEDICACES  au Furet (librairie) à Lille

 

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Serge Lama, les mots sans musique

 

« - Le voilà, il est là. - Celui avec la veste rouge ? - Non, noire. - Ah, je l'ai pas vu... ! » Un peu perturbées, les deux dames qui guettaient avec avidité l'arrivée de Serge Lama. (Rassurons-nous, il n'a pas vraiment changé).

Du monde, hier au Furet, pour cette rencontre avec le chanteur, non pour un nouveau CD ou un spectacle mais un petit livre un peu étonnant Sentiment, sexe, solitude (Anne Carrière, 14,50 E). Un recueil de textes de prime jeunesse tournant autour de quelques thèmes parfaitement résumés par le titre. Des petites choses dont quelques-unes pourraient peut-être devenir des chansons « à condition de les retravailler », convient-il. 

Autrefois grand lecteur de Baudelaire, Verlaine ou Sade, Serge Lama explique avoir longtemps gardé pour lui ces « choses intimes où la part autobiographique est évidemment déformée, sublimée, fantasmée par l'artistique. Mais bien évidemment, je n'ai pas vécu tout ça ! ». Grand éclat de rire. « Sans doute ai-je dû attendre la soixantaine pour considérer que je n'avais plus de permission à demander, que je pouvais me permettre d'appeler un chat, un chat ». 

Le tapage qu'ont pu déclencher ces quelque 120 pages de rimes d'un intérêt relatif, convenons-en, ne laisse pas d'étonner le chanteur qui n'est certes pas tombé de la dernière pluie, connaît bien son monde - le showbiz - et parle devant son public sans forfanterie. 

Son personnage - « mon rire énorme a augmenté un grand malentendu, je suis plutôt du genre triste » -, le métier - « il ne faut pas rencontrer le succès trop jeune, 30-35 ans c'est bien, sinon ça peut poser de gros problèmes » -, la vie comme elle va - « l'accident dans lequel j'ai perdu la femme que j'aimais se rappelle à moi tous les jours, je marche par miracle du Saint-Esprit depuis quarante ans... », les restrictions des libertés - « dans quelques années, un tel livre ne pourra plus se publier, et nous en serons tous responsables, tout le monde se censure, on veut plaire à tout le monde... »

Le livre se termine sur cette phrase : « Sur ma pierre tombale/J'aimerais qu'on installe/ Une boîte aux lettres. » Explication en forme d'un tonitruant éclat de rire : « Pour avoir des nouvelles d'en-bas ! 

Serge Lama sera en concert au théâtre Sébastopol le 2 avril, à 20 h 30.

 

27 Février 2007: La voix du Nord

Serge Lama était en concert à Bully les Mines le 24 février 2007. La voix du nord a publié deux articles après le concert.

 

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 Deux heures dans l'intimité de Serge Lama

 

Les fans avaient réservé leur soirée de dimanche depuis longtemps. Serge Lama était en effet en tournée à l'espace François-Mitterrand pour son Accordéonissi-mots. Le public a découvert ou redécouvert l'un des piliers incontournables de la chanson française qui a délibérément choisi de faire un récital plus intimiste, adapté aux petites salles. Deux heures durant, il a ravi son public par la sincérité de ses mots, sa forte présence et un charme avéré qui n'appartient qu'à lui, car il aime les femmes, le chante haut et fort et elles le lui rendent bien ! Au cours de ce spectacle, il interprète ses titres de façon très personnelle, laisse place à l'accordéon de Sergio Tomassi qui répond aux émotions du chanteur, accorde une harmonie totale et une ambiance acoustique particulière. Serge Lama se livre sans réserve à un exercice de style alternatif les rôles de chanteur, comédien, poète et humoriste, en s'adressant au public qui a pu apprécier les succès du chanteur dans une nouvelle interprétation, plus confidentielle. L'artiste sait passer de la gaieté à la tristesse par un genre tantôt théâtral, tantôt charmeur, mais toujours émouvant. Il vit ses chansons sur scène et se dévoue entièrement à son public, allant même jusqu'à donner son livre, récemment paru à une admiratrice.

 

La voix du nord du 28 février 2007

 

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Concert À l'issue de son Serge Lama a rencontré Stéphen

Serge Lama a reçu une ovation du public de la salle Mitterrand, parmi lesquelles se trouvait le jeune Stéphen. Quasiment invité d'honneur, Stéphen, le fils de Gina Chapelet qui travaille à l'espace jeunesse de la ville. Le jeune homme, atteint de myopathie, a passé la soirée au premier rang de l'espace François-Mitterrand pendant le concert Accordéonissi'mots de Serge Lama. 

Une fois son spectacle terminé, dès que le public s'est levé, Serge Lama vint embrasser Stéphen. À la fin de la rencontre, il posa avec lui et sa mère, qui nous confia : « En tant que mère, j'ai eu l'impression que Serge Lama chantait pour Stéphen, car c'est incroyable le nombre de fois qu'il l'a regardé en chantant ! Lorsque je lui ai demandé de poser, il m'a dit oui tout de suite. Quelle émotion et quel homme ! » Rappelons que l'artiste est lui aussi handicapé d'une jambe à la suite d'un accident de voiture survenu le 12 août 1965. Le public, avant la représentation, a participé en nombre à l'action humanitaire proposée pour son association, la roue tourne.

 

 

27 Février 2007: La voix du Nord

Serge Lama était en concert le 24 février 2007 à la salle Mitterand à Bully les Mines

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Serge Lama ovationné samedi soir salle Mitterrand

Il y a bien longtemps que l'affiche sur la vitrine de l'Espace culturel François-Mitterrand notait complet pour le concert de Serge Lama, samedi dernier. Depuis septembre en effet, les fans de Serge Lama se sont arrachés les places, et les quelques trois cents privilégiés sont repartis enthousiasmés. « C'est un grand monsieur et un super artiste. Je l’adore !», nous confiait Christian, un inconditionnel de Serge Lama. À ses côtés, dans le hall de la salle de concert pleine à craquer, Philippe n'avait pas d'autres mots pour vénérer l'artiste : « Même avec l'âge, il reste le même. Quelle classe ! »

Déjà lors de l'entrée en scène de son nouveau spectacle Accordéonissi-mots avec Son ballon rouge, Serge Lama fut acclamé, enchaînant sans coupure avec Son maître et son ami, comme si c'était toujours comme ça la première fois, avec des pensées ensuite pour Rimbaud et Verlaine dans les Jardins ouvriers. Et puis un des points forts, avec C'était le temps et surtout L'Algérie, beau pays décrit avec une sensibilité extrême jusqu'à la mélancolie, chanson qui a profondément touché le public qui l'a longtemps applaudie. 

Et on était loin de la fin. Car, autre que le chanteur, l'homme a manifesté par sa liaison avec le public, avec ses jeux de mots d'une aisance déconcertante, malgré ses cinquante ans passés « plus dix », comme il le dit si bien, intermède sur scène qui a servi d'entracte avec son accordéoniste italien (ils n’étaient que deux sur scène) pour mieux repartir en voulant être une femme aux côtés de La chanteuse qui a vingt ans. Que dire ensuite de ces moments prenant avec l'enfant au piano et ses yeux liés au ciel !

Jeux de mots

Des jeux de mots, Serge Lama les fait avec ses titres de chansons « A dites-moi pourquoi, Chez moi, Les Glycines poussent car Le gibier manque, et que Superman n'a pas vu Le voyou qui a volé sa femme qu'il a retrouvée à Pigalle parmi les Femmes , femmes, femmes...» pour revenir calmement D'aventure en aventure, l'Aimer à la folie et finir avec des remerciements. 

« Bully s'illumine », découvert-il devant un public debout qui a participé a capella, pour sa dernière chanson Je suis malade, qui résonne encore dans les murs de la salle, tant elle était vibrante. Bravo monsieur Lama, vous êtes un artiste, un vrai !

 

27 février 1977 - Dernière représentation au Palais des Congrès

Pour la dernière journée au Palais des Congrès, Serge Lama donne 3 représentations le dimanche 27 février. La chanson le chanteur clôture le concert. Le reportage d’Antenne 2 montre un extrait de la chanson dans les 3 représentations de la journée.

 

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EXTRAIT AUDIO

 

27 février 1970 : L'Aurore

Critique du spectacle à Bobino avec Jacqueline Duclac et  Serge Lama

 

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27 Février 2010: le Dauphiné Libéré

 Interview de serge lama dans le Dauphiné Libéré avant le concert de Porcieu Amblagnieu dans l'isère

 

 Serge Lama va bien. Il le dit, il le chante. L'interprète de "Je suis malade", entre autres succès, est en tournée à travers la France depuis mars 2009 et il fera étape à Porcieu-Amblagnieu samedi 27 février. « Quand je chante, je suis content », clame-t-il. Interview.

Votre dernier album, "L'âge d'horizons", est sorti six ans après le précédent. Alors pourquoi un si long silence ?

« Aujourd'hui, il ne serait pas raisonnable de sortir un album par an ou tous les deux ans, comme dans les années 1970 ou 1980, quand l'industrie du disque était florissante. De toute façon, le public vient voir un artiste comme moi, comme tous les chanteurs de ma génération, surtout pour entendre ce qu'il connaît déjà avec une nouvelle mise en scène, mais pas forcément pour entendre de nouvelles chansons. Et puis je pense que le disque en tant que tel, en tant que support, va disparaître dans les années qui viennent. Il a déjà quasiment disparu. L'industrie du disque va vraiment très, très mal. »

Comment s'organise votre spectacle ?
« Je n'aime pas trop raconter, pour ne pas déflorer le spectacle. Disons que j'essaie de faire quelque chose toujours de plus en plus théâtral. J'emboîte les chansons les unes dans les autres et j'essaie de construire un spectacle comme une pièce de théâtre, me servant de mon passé, de mon présent, des chansons que j'ai écrites récemment ou plus anciennes. J'ai changé les chansons anciennes, sauf "Je suis malade", qui est devenue incontournable, et "L'Algérie". J'ai repris "Une île", que je ne chantais plus par exemple. »

"L'âge d'horizons", c'est une référence au temps qui passe ?
« À partir de 60 ans, on vit un peu dans l'expectative. Je dirais que l'âge d'horizons, puisque c'est une métaphore, commence à partir de 50 ans. Je ne fais qu'observer les gens autour de moi et j'essaie de leur dire en chansons des choses qui les rassurent peut-être, parce que chantées par quelqu'un de connu. Alors c'est un peu triste, un peu gai, c'est un constat. C'est l'âge d'horizons. Il y a encore plein de choses à faire, mais on n'est plus tout à fait dans l'activité physique que l'on pouvait avoir. »

La scène est-elle une façon de séduire encore ?
« Il est certain que la scène est un jeu de séduction. Si le public comme le chanteur ne prennent pas la scène comme un acte d'amour, le spectacle n'a pas lieu d'être. »

Sur votre site Internet, votre biographie s'appelle "J'assume tout". Vraiment ?
« Oui, c'est une question d'honnêteté d'assumer ce qu'on a décidé de sa vie, les défaites comme les victoires. On est toujours au bout du compte responsable, parce que l'on peut toujours dire non quand il s'agit d'un échec. Quand je regarde ma vie, j'aurais pu dire non parfois, j'ai dit oui, je me suis trompé et je ne peux pas rendre responsables même ceux qui m'ont influencé. Je n'avais qu'à pas les écouter. C'est une phrase de Napoléon. Il avait dit : "J'assume tout, de Clovis à Robespierre." Et c'est vrai, il ne faut pas commencer à s'excuser de ceci ou de cela, on est responsable de ses échecs comme de ses réussites. »

Non, rien de rien, vous ne regrettez rien ?
« Non. Ce que j'aurais pu faire et que je n'ai pas fait, c'est que je m'y suis mal pris. J'aurais aimé faire du cinéma en même temps que la chanson, comme a pu le faire Bruel, mais il aurait fallu que j'y pense dès mes débuts dans la chanson. Je ne l'ai pas fait et il n'y a pas tellement de regrets à avoir. Je l'ai fait un peu ensuite, avec "Napoléon". J'ai fait du théâtre, mais c'était déjà un peu tard. »

Comme vous l'écrivez, vous continuez "à battre la campagne sans trêve ni repos" ?
« Un peu. Je suis sans doute le chanteur de ma génération qui a chanté le plus souvent en public. J'ai été sur la route, dans les hôtels et c'est sûr que, physiquement, ça devient de plus en plus difficile quand il y a trop de concerts. J'ai un peu diminué pour ne pas me mettre en danger. De quinze à seize dates par mois autrefois, j'en suis à dix maintenant mais je suis toujours sur les routes. Je vois des spectateurs qui ont 25, 30, 35 ans, que je n'avais pas quand j'ai repris la chanson en 1995. Comme avec Aznavour, ils redécouvrent un répertoire, un autre métier, et ils sont agréablement surpris de ce que j'apporte sur scène. Ce sont eux qui me le disent, avec beaucoup de gentillesse d'ailleurs. »

Propos recueillis par Jean-Luc COPPI

Février 1988 : New Man

Article publié dans NEW MAN en février 1988.

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