24.05.2009
24 Mai 1975: Numero 1 spécial Mireille Mathieu
22:14 Publié dans 1975, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
24 Mai 2005: Le journal de saone et Loire
Salle de l’Embarcadèrede Montceau Les Mines
Que du bonheur avec son Accordéonissi-mots
« Ce spectacle est une rencontre. Celle de l'instrument le plus singulier, le plus complexe et le plus populaire, avec une voix, des notes et des mots. Il est composé de chansons mal aimées que j'aime, mêlé à des chansons que vous aimez et que j'aime aussi... C'est la rencontre de deux âmes, l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventer des fleurs... Et tout cela pour engendrer encore et encore de l'Amour. C'est un spectacle qui a la prétention de ne pas en avoir ».
Dès le lever de rideau, le ton est donné... A partir de cet instant, les centaines de fans qui s'étaient pressées aux portes de l'Embarcadère pour s'assurer des meilleures places ont su qu'elles allaient passer un moment exceptionnel. Et elles ont eu raison car l'amiral de la chanson populaire n'a pas repris son souffle pendant près de deux heures de voyage à travers quarante ans de et un peu plus de soixante bougies soufflées lors de son dernier anniversaire.
Accompagné de Sergio Tomassi et son accordéon, Serge Lama vogue sur la crête de ses mots qu'il jette depuis toujours « vocationnellement » sur le papier. Grands classiques à donner le frisson (l'Algérie) ou fantaisies grivoises, notamment avec «Les p'tites femmes de Pigalle», tous ses titres sont accompagnés d'un dialogue avec le public qu'il fait chanter à plusieurs reprises en se moquant gentiment de lui.
D'« aventures en aventures » à « Femmes, Femmes, Femmes » en passant par « Je t'aime à la folie » et « La chanteuse à 20 ans », on sent comme un frisson, on a la gorge nouée et inutile de résister, «c'est toujours comme ça la première fois». En écoutant cet artiste d'exception qui n'a rien perdu de sa voix puissante, même les moins gâtées par la nature arrivent à se sentir belles et qu'on ne nous dise pas le contraire, c'est tout de même très agréable. ..
Tout au long de ce magnifique voyage, Serge Lama a personnalisé ses chansons et à plusieurs reprises, il a remercié le public de son accueil chaleureux. Comment résister quand sa voix magique s'élève dans la salle et qu'il entame un morceau « à capella » mettant ainsi la foule en délire ? Car bien sûr, ce soir-là, chaque personne a eu l'impression que Serge ne chantait que pour elle... en la regardant dans les yeux pour interpréter le titre tant attendu «Je suis malade» dans un tonnerre d'applaudissements ô combien de mérites.
21:22 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
24 mai 1977 – A bout portant – Marie-Paule Belle
17:46 Publié dans 1977, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
24 Mai 1987:A la folie pas du tout
10:55 Publié dans 1987, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
24 mai 1998 : Y'a qu'ça qui m'intéresse – Radio bleue

Y’a qu’ça qui m’intéresse est une émission hebdomadaire diffusée le dimanche de 16 h à 17 h sur France Inter dont Jacques Perciot est le présentateur.

Le 4 mai 1998, est diffusé un reportage de la soirée de remise de décoration à Alice DONA élevée au grade d’Officier des Arts et Lettres.

Dans ce reportage, Serge Lama est interviewé sur la création de la chanson Je suis malade.
EXTRAIT
10:10 Publié dans 1998, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
Mai 1998: En croisière
10:06 Publié dans 1998, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
Citation
Les gens qui n'ont pas d'âme n'ont qu'une idée, vous priver de la votre.
Serge Lama - 1977
06:45 Publié dans 1977, Les pensées et autres bons mots | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
23.05.2009
23 Mai 1975:Prix Vincent Scotto
21:05 Publié dans 1975, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0)
23 Mai 2005:Le bien public
Salle de l’Agora à Genlis le 20 mai 2005
Serge Lama: « Rendez-vous chambre 618 »
Vendredi soir, la salle de l'Agora affichait complet pour la venue de Serge Lama. Retour sur un concert riche en émotions.
Vendredi soir à l'Agora, ce sont 800 personnes qui ont attendu sagement assises l'heure fatidique de 20 h 41, moment précis où le rideau s'est levé sur un accordéoniste talentueux qui a égrené une jolie mélodie, agrémentée par la voix de Serge Lama, encore en coulisses.
Alors, quand l'homme est apparu, une salve d'applaudissement l'a accueilli. Costume sombre avec une veste à un seul bouton et col relevé, Serge Lama s'est avancé sous la lueur des projecteurs, afin de commencer son récital, juste après qu'une petite fille portée par son papa, lui eut offert un joli ballon rouge. Serge Lama n’a pas changé. Son public, dont la moyenne d'âge frise la soixantaine, mais qui n'a pas pris une ride non plus, s'est régalé deux heures durant des chansons interprétées par l'artiste, toujours faiblement éclairé par un seul spot à la fois, presque discret.
Serge Lama a déambulé sur scène, s'asseyant parfois sur un banc de piano ou un siège de bar, de temps en temps dos au public, comme pour mieux s'imbiber des paroles déclamées. Voiture pour Serge Lama, « une chanson, ce sont quelques notes amoureuses de quelques mots ».
Et puis soudain, le chanteur se reconnaît dans la salle Dalida, Barbara ou Alice Dona, sûrement de vieux complices d'une époque révolue, dont Serge Lama a envoyé toute la nostalgie, et le communique à son public. Les paroles sonnent puissamment à travers une voix forte et chaude, « sucrée comme un bonbon », avec les jardins ouvriers ou les illusions qui produisent c.
Juliette, Françoise et Simone présentent le temps d'une chanson, après un voyage en Algérie, en passant par un harem byzantin et son chien déguisé. Lui qui a commencé sa carrière en 1964 où on lui demanda d'assurer trois quarts d'heure de spectacle alors qu'il ne savait que trois chansons, dure toujours, devant des salles conquises dont il se fait le complice.
Et son entracte à lui, dans son 'petit rond', il le passe avec son public, n'hésitant pas à égratigner au passage le prince Charles et Camilla. Mais qu'on se rassure, l'homme « n'est pas malade », il va bien même, tout au plus peut-on sentir une légère pointe de solitude et de mélancolie émerger du personnage, qui n'hésite pas à indiquer à qui veut l'entendre qu'il loge ce soir à la chambre 618 dans un grand hôtel dijonnais, et qu'il se sentira bien seul après son spectacle.
Entre les esquimaux et les mots exquis, toujours des phrasés qui sonnent sans trébucher, entre les froufrous de fanfreluches et des succès qui ne se démentent pas, Serge Lama adore son public. Et celui-ci le lui a bien rendu vendredi soir dans une salle chauffée à blanc où la température frisait les 30°.
21:03 Publié dans 2005, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
23 Mai 1974:Illustré
19:10 Publié dans 1974, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)


















