23.11.2009
23 Novembre 2003: Vivement dimanche Linda Lemay
Le 23 Novembre 2003, Michel Drucker recevait comme invitée d'honneur la chanteuse québéquoise Linda Lemay.
Télé 7 jours du 23 novembre 2003
Etaient également présents, entre autres, Charles Aznavour, Carla Bruni, Robert Charlebois , Francis Lalanne
et Serge Lama avec lequel Linda Lemay interpréta en duo "L'enfant d'un autre".
EXTRAIT AUDIO
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20.11.2009
21 novembre 2003 : 20h10 pétantes
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18.11.2009
18 novembre 2003 - 93, fb Saint Honoré - Paris première
93, faubourg Saint-Honoré est une émission de télévision articulée autour du concept d’un dîner mondain au domicile de Thierry Ardisson et diffusée sur Paris Première d'octobre 2003 à juin 2007.
Participants à l’émission du 18 novembre 2003 auprès de Thierry Ardisson : Anouck Aimée, Serge Lama, Orlando, Henri-Jean Servat et Dominique Besnehard.
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16.11.2009
16 Novembre 2003: Vivement Dimanche Patrick Sébastien
Pour ce vivement dimanche spécial Patrick Sébastien, étaient présent sur le plateau, Salvatore Adamo, Serge Lama, Le père Gilbert,Pierre Tchernia, Guy Savoy, Philippe Saint André, René Coll, Shirley et Dino
Télé 7 jours
Photo D.R.
Serge Lama avait interprété "Je suis malade" en duo virtuel avec Dalida.
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16 Novembre 2003:Le parisien
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15.11.2009
15 novembre 2003 : la chanson numéro 1
Le 15 novembre 2003 à 20h50 sur France 2, Serge Lama est l'invité de Daniela Lumbroso dans l'émission en direct "La chanson numéro 1". L'émission propose de classer les meilleurs chansons de l'artiste.
Télé 7 jours du 15 novembre 2003
VOICI DES EXTRAITS
Au cours de l'émission Serge a repris et modifié une chanson de Lara Fabian
"Je t'aime" qu'il lui a dédié.
Florent Pagny qui interprète "D'aventure en aventure"
Le "15 juillet à cinq heure" en duo avec Lena Ka
"Mon ami mon maître" par Patrick Fiori
Hors concours "Une petite cantate" de Barbara en duo avec Marie Paule Belle.
Serge Lama qui interprète "La chanteuse à 20 ans"
En duo avec les sweet génétation "Je t'aime à la folie"
La chanson numéro 1, sans surprise a été "Je suis malade"
Mais le résultat final n'avait pas été diffusé à l’antenne, l'émission ayant débordé de son créneau horaire a été subitement coupée.
Le parisien 17 Novembre 2003
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15 novembre 2003 : Télé Star
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11.11.2009
11 Novembre 2003: La libre Belgique
Interview de Serge lama au moment de la sortie de l'album Pluriel
Serge Lama: «Je suis un nouveau chanteur»
OLIVIER MOUTON
Mis en ligne le 11/11/2003
Le cadre, c'est l'hôtel Amigo où descendent la plupart des grands noms de la chanson, française. Un décor stylé à deux pas de la Grand-Place. Un lieu de mémoire pour ceux qui sont venus en tournée à de nombreuses reprises. Serge Lama est de ceux-là. Cette fois, il vient présenter un nouvel album, une série de duos avec des femmes: Lara Fabian, Marie-Paule Belle, Enzo Enzo, Isabelle Boulay, Annie Girardot... et Dalida.
Avez-vous une affection particulière pour la Belgique?
Honnêtement, oui. En fait, j'ai une affection particulière pour vous comme pour les Suisses ou pour les Québecois. On sent qu'il y a une affection particulière pour la chanson française parce que vous avez une identité à défendre. Les Français, avec leur prétention de coq gaulois, ne se rendent pas comptent que leur langue est en train de s'appauvrir.
En outre, ici, j'ai un succès formidable. J'ai toujours été bien reçu. Il y a une spontanéité chez vous qu'il n'y a pas dans toutes les régions de France.
La langue est un matériau important pour vous?
Bien sûr. Et je m'inquiète parce que, de plus en plus, les phrases deviennent des mots que l'on met les uns derrière les autres. Cela me fait de la peine, moi qui suis un grand mangeur de langue française, particulièrement d'anthologies poétiques.
Quels sont les auteurs qui vous ont nourri?
Tchekhov, dans les Russes, même si on perd beaucoup à la traduction. En ce qui concerne la poésie, je mets Baudelaire en tête devant Rimbaud. J'aime Hugo, Musset. Même des auteurs dits mineurs comme Théodore de Banville ou Théophile Gauthier m'enchantent. Je suis plus un homme de vers qu'un homme de prose.
Parlons de votre nouvel album. Douze anciennes chansons pour une véritable recréation...
C'est marrant parce que dans «recréation», il y a «récréation». Nous sommes des «récréateurs», nous sommes là pour faire rêver, pleurer ou rire. C'est un disque de variétés au service des femmes. Ma vie a été entourée de femmes. Elles m'ont beaucoup apporté, même quand elles ont été des rivales sur le plan de la dualité entre l'homme et la femme. Ma mère, par exemple... Cette bataille entre nous a donné plusieurs chansons.
Moi, je voulais faire un duo avec Dalida. Ma maison de disques a proposé d'élargir cela à d'autres duos. A travers eux, j'ai pu rendre des hommages à des femmes disparues comme Dalida mais aussi Barbara, qui m'a imposé dans mon premier music-hall à Bobino avec une affiche incroyable, ou encore la pianiste de Barbara, qui était ma fiancée, décédée lors de mon accident de voiture.
Vous avez eu soixante ans en février dernier. Etait-ce le moment de rendre ces hommages?
J'ai eu un sentiment de liberté lorsque j'ai fêté mes soixante ans à Bercy. C'était comme si j'avais un «vingt ans différent». Je suis au début de la fin de ma vie. Et j'ai acquis ma liberté. A vingt ans, je n'étais pas libre parce que j'étais contraint de réussir...
Vous vous êtes forcé à réussir...
Pour moi, si je n'avais pas réussi, c'est comme si on m'avait enlevé l'oxygène. Mon père n'avait pas réussi, moi j'étais contraint de réussir. Il y avait une force en marche tendue vers cet objectif: être en haut de l'affiche, écrire de bonnes chansons, faire sa place dans le monde... Je n'étais pas libre! Ensuite, la gloire m'est tombée dessus. Pendant vingt ans, j'en ai été l'esclave.
Vous l'avez ressenti comme ça?
Quand même, oui. Vous semblez indispensable à tout le monde, on vous supplie sans cesse... Tout ça est fini. Je vis une nouvelle jeunesse.
Ce duo virtuel avec Dalida, «Je suis malade», représente beaucoup pour vous.
Je ne suis pas certain que «Je suis malade» serait devenu ce qu'il est devenu si Dalida ne l'avait pas chanté. Mon disque est sorti en 1972. Ce sont les «Petites dames de Pigalle» qui ont été balancées dans les radios. Dalida m'a demandé si elle pouvait l'enregistrer et les radios ont enfin suivi. Cette chanson a pris une place considérable. Techniquement, le temps était venu d'enregistrer un tel duo.
Vous en parlez avec émotion. Mais il y a quelques années, on aurait trouvé «curieux» de ressusciter une personne défunte...
Il faut vivre avec son époque et celle-ci a quelque chose d'exceptionnel: pour la première fois, les chanteurs vont devenir des gens qui passent les époques, comme les écrivains. Dassin est toujours vivant comme Balavoine, Brel, Piaf... C'était impensable avant.
Cela vous donne-t-il un sentiment d'éternité?
Il y a une postérité possible qui était impensable avant. Et il est merveilleux de pouvoir rendre hommage à ceux qui nous ont précédés. Tous les chanteurs en pleine force de l'âge devraient enregistrer un vidéo-disque avec des chanteurs disparus pour montrer cette pérennité. Cela réconcilierait les générations, aussi.
Avez-vous l'impression d'être lié à une génération?
J'ai plutôt le sentiment d'être intemporel dans mes compositions. Les chansons qui restent sont souvent celles qui se situent hors de la mode. Gainsbourg, qui était un grand novateur, avait une écriture très classique. «La Javanaise», c'est écrit comme du Baudelaire. Et qu'est-ce qui fait durer une chanson? C'est le texte.
Aujourd'hui, on ne retrouve une telle qualité d'écriture que dans le rap, MC Solar en tête. En revanche, les rappers ont perdu la mélodie. Qu'est-ce qu'une chanson? C'est une histoire d'amour entre trois notes et trois mots. «Mais d'aventure en aventure, de train en train, de port en port...» C'est aussi simple que ça. Et l'interprète que je suis devenu aujourd'hui peut utiliser le même matériel qu'il y a vingt-cinq ans.
En quoi votre interprétation a-t-elle changé?
J'ai apporté l'expérience d'un homme qui a fait du théâtre, qui a appris à jouer la comédie. Je sors des choses que j'aurais été incapable de sortir à 30 ans. En revanche, à l'époque, j'étais plus explosif...
Êtes-vous devenu plus sage?
Plus rigoureux. J'ai compris mes textes, d'une certaine façon. Je suis un nouveau chanteur. Je me suis renouvelé par d'autres disciplines comme ils le font dès le départ à la «Star Academy». On n'apprend pas à devenir star, c'est le mauvais côté de cette émission. Mais le bon côté, c'est de montrer qu'il y a tout ce travail à faire.
On vous connaît pour des chansons guillerettes. Mais la majorité des chansons sont tristes...
C'est le reflet de ma double personnalité. La partie émergée de l'iceberg, c'est le côté music-hall hérité de mon père. J'ai vu chanter Maurice Chevalier, j'ai ça en moi. Mais c'est 10 % de mon répertoire. On me voit comme quelqu'un de disert, qui s'exprime, mais on ne se rend pas compte que je suis foncièrement un tragique. Dans ma vie, j'ai été marqué par plusieurs tragédies.
Vous avez une autre dualité au fond de votre personnalité: homme/ femme.
Mon écriture est féminine, c'est sûr! Je ne suis pas un baroudeur. J'ai curieusement la même féminité qu'un Depardieu. Nous faisons un métier typiquement féminin de séduction. Même Brel, qui s'en défendait, n'aurait pas pu chanter l'amour comme il le faisait sans cette part féminine.
CD «Pluri-elles», Warner.
© La Libre Belgique 2003
08:58 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
10.11.2009
10 novembre 2003 : la tête dans les étoiles
Le 10 novembre 2003, Serge Lama est l'invité sur RTL de Laurent Boyer dans l'émission la tête dans les étoiles à l'occasion de la sortie de l'album pluri'elles.
EXTRAIT
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07.11.2009
7 novembre 2003 : on connaît la musique – Europe 1
Le 7 novembre 2003, Serge lama est l'invité de Thierry Lecamp dans l'émission, on connaît la musique, pour présenter son album Plurielles.
EXTRAIT
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