05.11.2009
5 novembre 2003 : le journal people – Europe 1
Courte interview de Serge Lama par Guillaume Durand et Laurent Delpech dans le journal people du 5 novembre 2003 pour la sortie de l’album pluri’elles.
EXTRAIT
16:40 Publié dans 2003, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
5 novembre 2003:La Dernière Heure
Interview de Serge lama au moment de la sortie de l'album Pluri'elles
Pluri-elles autour d'un mono-il
Serge Lama sort un nouvel album. Il reprend quelques-unes de ses chansons les plus connues en duo avec des femmes
BRUXELLES Certains chanteurs se font le plaisir, une fois ou deux dans leur carrière, de chanter en duo avec l'une de leurs consoeurs. Serge Lama, lui, s'offre le luxe d'enregistrer un album complet en charmante compagnie. Sur son dernier opus PluriELLEs, il reprend ses vieux succès avec la complicité, entre autres, de Lara Fabian, Lena Ka, Lynda Lemay, Anggun, Marie-Paule Belle, Lorie... et Dalida. C'est d'ailleurs un peu grâce à cette dernière que cet album est né: «C'était pour le 11 février de l'année dernière, je fêtais alors mes quarante ans de carrière et mes cinquante-dix ans comme je disais sur scène (mais c'est pas de moi, c'est de Guitry). Et donc à cette occasion, j'avais souhaité chanter Je suis malade en duo, virtuellement, avec Dalida, parce que c'est elle qui a créé en même temps que moi et qui a fait beaucoup pour la chanson finalement, mais ça n'avait pas pu se faire parce que techniquement on n'avait pas le temps. A la suite de ça, moi j'ai dit que j'aurais bien aimé quand même enregistrer ce titre avec Dalida, avec les bandes déjà existantes. Mon directeur général m'a dit: Si tu fais ça, autant que tu reprennes la plupart de tes chansons avec des femmes. Je trouvais l'idée bonne... même si elle n'est pas de moi. Même le titre de l'album ce n'est pas moi qui l'ai trouvé. Moi j'avais un autre titre... Elles autour d'il. Mais c'était plus compliqué, alors que PluriELLEs, ça correspondait bien à ce qu'était l'album finalement.»
Pourquoi avoir choisi ces chansons-là?
«J'ai choisi les chansons en fonction des femmes. D'abord, il fallait qu'elles acceptent... l'idée de chanter avec moi.»
Elles ont été difficiles à convaincre?
«Non. Honnêtement, non. Ce qui a été difficile, c'est les accords avec les maisons de disques. Ça, ça a été long... Je voulais un album éclectique, je voulais un album où tous les âges de la femme et tous les styles de la chanson française étaient représentés. On retrouve ainsi aussi bien Annie Girardot que les L 5 ou les Sweet generation. Tous les arrangements ont été faits en fonction des chanteuses et de leur style.»
Comment avez-vous choisi ces femmes? Pourquoi elles?
«J'ai pris des chanteuses que je connaissais. J'avais rencontré Lorie. Les L 5, je les avais vues sur un plateau télé, elles sont très marrantes, Lynda Lemay a fait son premier concert à Paris avec moi... J'ai d'abord demandé à des filles que je connaissais. Anggun, je ne la connaissais pas, mais je connaissais sa voix, je voulais une chanteuse exotique pour un morceau exotique. Une île est certainement le titre qui s'y prêtait le mieux. Elle a accepté.»
Certaines artistes ont refusé?
«On a demandé à Maurane, mais elle avait déjà fait un duo avec Lara Fabian et elle prépare aussi un disque de duos. Elle ne pouvait pas faire que ça, elle a refusé. La chanson que je voulais mettre c'était L'esclave ; je ne voulais la chanter qu'avec elle, du coup, elle ne figure pas sur l'album.»
Vous dites que PluriELLEs est un album de fainéant...
«Même si ce n'est qu'une petite plaisanterie, c'est vrai, toutes les chansons étaient déjà écrites, et je n'ai eu à chanter que la moitié d'entre elles, l'autre moitié était interprétée par d'autres artistes.»
C'est une nouvelle naissance pour vos chansons?
«Vous savez, les chansons, il y en a des bonnes, il y en a des mauvaises. Comme tout le monde, j'en ai fait de très bonnes et de très mauvaises. Quand elles sont bonnes, elles renaissent tout le temps. Vous les mettez dans une forme à l'âge où vous les écrivez, et ensuite vous pouvez les mettre sous plein de formes différentes, elles tiennent toujours. Si la base est bonne, elles peuvent s'adapter à tout.»
Propos recueillis par Lilia Guetat
08:53 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
03.11.2009
3 novembre 2003 : Le fou du roi - France Inter
Serge Lama est l'invité de l'émission Le fou du roi le 3 novembre 2003 à l'occasion de la sortie de l'album Pluri'elles.
EXTRAIT
12:53 Publié dans 2003, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
3 Novembre 2003:CD d'Aujourd'hui
10:02 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
01.11.2009
Novembre 2003: Album plurielles
Cet album est un album de Duo entre Serge et des interprètes féminines.
Je voudrais tant que tu sois là avec Annie Girardot
Les ballons rouges avec Lara Fabian
Le 15 Juillet à 5 heures avec Lena Ka
L'enfant d'un autre avec Lynda Lemay
Je suis malade avec Dalida
Une île avec Anggun
Une petite cantate avec Marie paule Belle
Quand on revient de là avec Isabelle Boulay
Femme, femme, femme avec les L5
D'aventures en aventures avec Enzo Enzo
Les poêtes avec Lorie
je t'aime à la folie avec la Sweet Génération
Clip du duo virtuel avec Dalida
Serge Lama et Dalida Je Suis Malade par vieuxsnock
20:48 Publié dans 2003, CD, DVD, Vinyle et Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
30.10.2009
30 Octobre 2003: Sud Ouest
Le nouvel album annoncé dans Sud Ouest
Douze duos d'amour
Régine Magné rédaction parisienne
SERGE LAMA. Un nouvel album, « Pluri((elles)) », en forme de balade amoureuse et nostalgique
Début février, il fêtait à Bercy ses trois anniversaires : 60 ans de vie, 40 ans de carrière, 30 ans de succès. Le chanteur aux 30 millions d'albums vendus s'était entouré de trois voix amies : Isabelle Boulay, Alice Dona et Lena Ka. C'est sans doute là qu'a germé l'idée de « Pluri((elles)) », un album de duos exclusivement féminins. Seize femmes de tous âges (en comptant le groupe L 5) et de tous styles l'accompagnent dans cette balade amoureuse au pays des souvenirs. Avec en prime Dalida, pourtant partie depuis longtemps vers d'autres voies célestes.
« A l'époque, Dalida voulait enregistrer "Je suis malade" qui est passé en boucle sur les radios. J'estime que la chanson lui appartient autant qu'à moi... »Serge Lama a fait ce duo virtuel pour être réuni à celle à qui il doit tant. Une évidence du cœur qui a demandé un gros boulot. « Sa tessiture est extrêmement basse, ça m'aurait arrangé qu'elle soit un demi-ton au-dessus ! On a repris ses enregistrements et tout restructuré. »
Comblé. L'album est une succession d'aventures artistiques qui le comblent. Annie Girardot donne d'entrée un ton très particulier avec « Je voudrais tant que tu sois là ». Serge avait envie d'une femme qui parle plus qu'elle ne chante, Annie lui a offert son timbre pour confidences meurtries. Lara Fabian ne fait pas de la figuration simple dans « les Ballons rouges », ni les L 5 dans « Femme, femme, femme » ou Isabelle Boulay dans « Quand on revient de là ».
Une seule chanson n'est pas signée Serge Lama, la « Petite cantate », de Barbara, reprise avec Marie-Paule Belle. Il n'a jamais oublié Liliane Benelli, pianiste de l'Ecluse où il fit ses débuts en 1964. Leur histoire d'amour se termine tragiquement, un an plus tard, dans une voiture disloquée. Liliane ne survit pas à ses blessures, Serge en garde de douloureuses marques au corps et à l'âme. « Liliane était une copine de Barbara, elle avait écrit pour elle la "Petite cantate". » De cette union qui a si peu duré, il sortira quelques-unes de ses plus belles chansons : « D'aventure en aventure », « Toute Blanche », « Claudia ».
Réussir. Lama doit à son père, Georges Chauvier, premier prix du conservatoire de Bordeaux et surnommé le « Petit Prince de la chanson », son goût pour la musique et sa soif de reconnaissance. Car le Bordelais avait dû quitter la scène pour prendre un emploi de représentant de commerce afin de nourrir sa famille. En 1981, ils enregistrent ensemble l'album « Lama père et fils ». Lorsque le fils fête ses vingt ans de carrière au Rex à Paris, il fait chanter son père à ses côtés. « J'étais heureux de lui offrir le cadeau de ma réussite. » Le vieux Georges est mort peu après.
A 9 ans, Lama composait son premier poème, à 12 ans sa première chanson. « Une seule voix pour moi : réussir là où mon père avait échoué. Ensuite, j'ai tout vendu à ma carrière de manière obsessionnelle... »
Pour l'heure, il a une folle envie de continuer de chanter. « Je repars en février avec mon accordéoniste, vingt-deux dates par mois à travers la France et la Belgique. Je ne suis pas obsédé par Paris. Je suis un chanteur populaire qui chante pour la France, à la différence du chanteur engagé qui reste à Paris ! »
Nougaro a glorifié Toulouse, Lama n'a pas encore essayé de mettre en musique Bordeaux, sa ville natale, bien qu'il ait écrit les paroles. Il retient les respirations de son enfance. « J'ai frôlé le sujet avec "Attention danger". Je sais qu'il se passe quelque chose en moi dès que j'arrive sur une route du Sud-Ouest... »
16:10 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
28.10.2009
28 Octobre 2003:Duo 30 tubes
15:50 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
25.10.2009
25 Octobre 2003: Dans la lumière
19:07 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
20.10.2009
20 Octobre 2003: Spécial Charles Aznavour
14:39 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
18.10.2009
18 Octobre 2003: Chanson N°1 spéciale déclaration d'amour
Une émission présentée par Daniela Lumbroso qui propose aux téléspectateurs de voter pour leur chanson préférée et de la classer N°1. Ce soir là le l'émission avait pour thème les "déclaration d'amour".
télé 7 jours du 18 au 24 octobre 2003
Serge Lama en duo avec enzo avait interprété "D'aventure en aventure"
19:32 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)