07.11.2009
7 novembre 1998 : Téléstar
06:50 Publié dans 1998, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
06.11.2009
6 novembre 1995 : Le cercle de minuit – France 2
13:00 Publié dans 1995, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
6 novembre 2001 : La tête dans les étoiles
Serge Lama est l’invité de Laurent Boyer le 6 novembre 2001 dans l’émission La tête dans les étoiles.
EXTRAIT
09:56 Publié dans 2001, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
6 novembre 1979 : Salle Antonio-Thomson - Trois Rivières
09:38 Publié dans 1979, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
6 novembre 1978 – Limousin actualités
08:49 Publié dans 1978, Serge Lama à la télévision, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
6 novembre 2008 : 24 heures
07:10 Publié dans 2008, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (2)
6 novembre 2001 : Album feuille à feuille
07:00 Publié dans 2001, CD, DVD, Vinyle et Vidéo, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : serge lama
6 et 7 novembre 1998 : Album symphonique
Les 6 et 7 novembre 1998, Serge Lama enregistre à l'Olympia avec l'orchestre philharmonique d'Ile de France l'album live "SYMPHONIQUE".
On retrouve les titres suivants:
Chez Moi
L'Algérie
Donnez moi une musique
Femme, femme, femme
Titanic
l'enfant au piano
Je t'aime
Le sermon
O comme les saumons
Claudia
D'aventures en aventures
Moyennant quoi
La cathédrale
Quand j'irai vers l'or
La polonaise
Mallarmé
L'orgue de barbara
06:45 Publié dans 1998, CD, DVD, Vinyle et Vidéo, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : serge lama
05.11.2009
5 Novembre 1994:Le fan Club à Aulnay
22:09 Publié dans 1994, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
5 Novembre 2011: La nouvelle république
Interview de Serge lama avant le concert du 5 Novembre à TOURS
Spectacles Serge Lama : '' C'est l'envie qui fait la différence ''
Le chanteur des '' P'tites Femmes de Pigalle '' arrive bientôt à 70 ans, dont 50 ans de scène, mais continue néanmoins les concerts. Interview.
Comment fait-on pour avoir une telle longévité artistique ?
C'est un peu un mystère pour nous aussi. Ça se fait petit à petit, on ne se rend pas vraiment compte. On commence un jour, et 50 ans après, on est toujours en place. J'ai débuté en 1964, on est en 2011, je suis toujours là. Mais c'est difficile à expliquer : on passe par tellement de haut, de bas, de chemin de traverses...
Vous avez toujours envie de monter sur scène après autant de temps ?
Oui, heureusement. Je ne pense pas que ce soit possible de monter sur scène si on n'en a pas l'envie. C'est l'envie qui fait la différence, qui fait que vous serez plutôt bon ou plutôt mauvais. Quelqu'un qui n'a pas envie ne sera pas impliqué, ça ne donnera pas grand-chose. Moi, je voulais faire ça depuis tout petit, c'était viscéral. Et je pense que j'ai progressé au fil des années et des expériences.
Après « Napoléon », après le théâtre, je suis revenu différent. J'avais une autre façon d'interpréter, de chanter. J'ai mis l'auteur en avant, aussi, ce que je ne faisais pas au début de ma carrière. Ces évolutions permanentes ont fait que je ne me suis jamais ennuyé dans ce métier. Et l'écriture est un aspect très important de ma vie. Chanter et écrire, c'est pour moi deux choses très différentes. Le fait d'aller chanter, s'exhiber, c'est un travail de comédien. L'écriture, c'est quelque chose de beaucoup plus personnel, beaucoup plus profond. Pour moi, je fais deux métiers différents, auteur et interprète.
Quelles sont les chansons qui ont le plus marqué, dans votre répertoire ?
Moi, j'aime les chansons en demi-teinte, comme « Le 15 juillet à 5 heures » ou « La Vie lilas », qui sont très proches de mon univers. Le public, lui, réclame les chansons qu'il connaît, celles que les radios ont passées. « Je suis malade » est devenu un classique. Elle a été reprise par Lara Fabian, c'est devenu une chanson de concours avec la Star Academy... « L'Algérie », aussi, est devenu presque le plus gros succès de mon tour de chant, sans que je comprenne vraiment pourquoi.
Recueilli par
Thierry Soulard
17:00 Publié dans 2011, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)