03.03.2009
Mars 1986: Paris Match
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Mars 1973;Quinze ans
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3 mars 1970 : Le Figaro
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3 mars 2009 : La Voix du Nord
Article publié dans la voix du Nord le 3 Mars 2009 suite au concert d'Arras le 1 er Mars
Serge Lama, entre mots gais d'hier et maux dits d'aujourd'hui.
On l'a connu pétillant avec un rire détonnant ; acteur-chanteur un tantinet coquin par ses coups de plume. Il l'est toujours. Mais s'il joue avec les mots comme naguère, aujourd'hui il met aussi ses maux en notes. Ciselés comme des émaux dont les couleurs vives auraient viré au pastel.
Les cicatrices apparaissent sans fard. Comme si des années durant elles s'étaient cachées dans les jupons de ces Femmes, femmes, femmes qui ont tatoué sa chair à fleur de peau. Ce fut d'ailleurs le premier titre lancé par Serge Lama, dimanche, au Casino. Un clin d'oeil d'hier pour tourner la page et passer désormais à L'Âge d'horizons, du nom de son dernier album. L'artiste s'y dévoile. Autrement...
La complicité. Serge Lama la cultive toujours. Avec ce public qui a attendu plus de deux heures devant un Casino souffrant de plus en plus du temps qui passe. Avec ses deux musiciens, accordéoniste et guitariste qui habillent les mélodies d'arrangements subtils et s'appuient parfois sur la vaillance d'une boîte à rythme pour donner la cadence. Le nouveau cru Lama est épuré. Pas d'artifices, mais de l'émotion sur chaque couplet, de la gaieté pour les refrains, de la passion dans les silences. Et le show man enquille les titres avec la gestuelle des grands du music hall. Ses fans, fans, fans attendent les chansons cultes ? Il les offre en ami et en maître. Invite ses ouailles à redécouvrir L'Algérie ; à faire un détour chez ce Corse de Napoléoné qui l'avait fait partir en campagne musicale ; à se souvenir de Marie la Polonaise avant... de se jeter dans les bras des P'tites Femmes de Pigalle.
Entre deux, Serge Lama distille ses nouvelles compositions, ses nouveaux textes. De ceux qu'on écoute et qu'on entend. Qui gaillardement étripent ou prennent aux tripes. Qui rendent guillerets ou pensifs. D'où qu'on parte, c'est vrai qu'on ne tient pas les cartes. Les Hommes et les femmes ? une balade entre amitié et amour. Et puisqu'il a conté la gaudriole, un petit coucou aux Objets hétéroclites pour jeux de dames solitaires. Et le Casino devient son Chez moi, avec un choeur à mille voix qui fait flancher l'artiste. L'invite à revenir sur les planches, la main sur le coeur, comme sur Une Île. Il terminera sur un dernier verset a capella. De Je suis malade bien entendu et bien attendu. Pour guérir, la scène reste sa meilleure potion...
MARCO VERRIEST
07:00 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (4)
3 mars 2006 : LA DERNIERE HEURE
Article d'Estelle Aubert publié dans le journal LA DERNIERE HEURE le 3 mars 2006 |
Le chaud show de Serge Lama Le monstre sacré de la chanson française fait fondre son public
C'est plus qu'un spectacle que propose Serge Lama, qui a fait un petit crochet en Belgique, mercredi et jeudi soir à Liège et à Ciney. C'est une soirée fraternelle, un grand moment de détente, en chansons bien sûr. Et pourtant, sur scène, ils sont deux: le monstre sacré de la chanson française et un accordéoniste, Sergio Tomazzi. «Certains qualifient cela de minimaliste, intimiste, confidentiel. Nous, on ne qualifie pas. Notre travail a été conçu avec amour!» L'amour. Le thème de prédilection du séducteur qui rend les femmes belles, belles, belles et chante: «Efficace et pas cher, c'est Lama que j'préfère!». Entre deux vannes, il chante les chansons qui ont fait son succès de 1964 à aujourd'hui: Ne t'en fais pas, L'Algérie, Dans les usines, Mon ami mon maître, Les jardins ouvriers et, évidemment, D'aventures en aventures. Il ne se contente pas de chanter, il fait aussi chanter le public et propose un jeu sur la chanson Je t'aime à la folie: le public commence par chanter tout doucement et de plus en plus fort à mesure que le chanteur recule vers le fond de la scène. Il fait le clown, courbé en deux pour mieux entendre les premiers fredonnements. «Les photos sont normalement interdites, mais là je vous conseille d'en faire une: ce sera bientôt une photo collector!» Voilà deux ans que Serge Lama a fêté ses 60 ans et ses 40 ans de carrière. Deux ans qu'il est en tournée dans toute la France. Entre rires, causettes et chansons, le spectacle s'achève. Mais personne n'est dupe car deux chansons cultes manquent encore: Femme, femme, femme et Je suis malade. Pour cette dernière, il termine en beauté, sûr d'obtenir un triomphe. Serge Lama entame le premier couplet tranquillement, seulement accompagné par l'accordéon, et termine a cappella avec la puissance dramatique qui s'impose. Triomphe. |
06:50 Publié dans 2006, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : serge lama
3 Mars 1989: Ordre National du Mérite pour Serge Lama
06:45 Publié dans 1989, La presse des années 1980, Prix- Récompenses- Honneurs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
3 mars 1989 : Avis de recherche
Patrick Sabatier animait une émission à succès dans les années 1980 : AVIS DE RECHERCHE. Le concept était simple, retrouver pendant une semaine, par des appels téléphoniques à 18h45 chaque jours les amis de classe de l'invité, puis le dernier soir tout le monde se retrouvait sur le plateau télévisé pour une grande soirée à 20h40.
Du 28 février au 3 mars 1989, Serge Lama était l'invité de cette émission sur TF1
06:45 Publié dans 1989, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
02.03.2009
2 mars 2003 : Star académie Quebec
Serge Lama participe le 2 mars 2003 à Star Académie Québec.
Il interprète la chanson Je suis malade avec Martin
EXTRAIT AUDIO
et D'aventure en aventure avec Annie et Suzie Villeneuve
Répétitions du 25 février 2003
18:27 Publié dans 2003, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
Mars 2009 Chorus
Un très gros dossier sur Serge Lama était publié dans la revue Chorus du printemps 2009
17:47 Publié dans 2009, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
2 Mars 2011: Le réveil de Berck
Le 26 Février 2011 Serge Lama chantait au Touquet. Suite à ce concert on pouvait lire cet article dans le journal 'le réveil de Berck'
Rendez-vous avec le talent
La foule des grands soirs se pressait, ce samedi 26 février, période pourtant plutôt calme, au Palais des Congrès du Touquet Paris plage, et plus de 900 spectateurs ont répondu au rendez-vous donné par le Casino Barrière pour une rencontre avec une valeur sûre de la chanson française, Serge Lama et son spectacle, tiré, à la fois des meilleurs titres de son dernier album paru le 3 novembre 2008 : « l'Âge d'Horizons », et de ses chansons phares, les grands succès, les incontournables, ceux que le public attend et qui ont marqué plusieurs générations.
S'il fallait faire une synthèse de ce que nous avons vu, deux mots s'imposent : professionnalisme et talent.
Ce n'est pas un hasard si l'artiste à choisi ce titre, « Âge », au singulier, car il est né le 11 février 1943, à Bordeaux, et le temps passe vite, trop vite et finalement nous n'avons tous qu'un âge, celui de l'instant, inexorable mais enrichissant et en l'évoquant Serge Lama nous précise, toujours très lucide, en remerciant son public : « Merci pour ce bel élan de forces conjuguées ; Qui m'incite à mon âge à toujours naviguer ; Car je pagaie encore au gré de vos rivières..... ; Je prend force dans vous, par vous et grâce à vous ». Depuis son premier disque, en 1964, plus de 45 années de carrière, plus de 30 millions de disques vendus, de multiples tournées à succès, un spectacle musical sur Napoléon Ier, une telle accumulation d'expériences, de grandes joies, des déceptions, de terribles épreuves imposées par la vie (son terrible accident et ses séquelles), lui a donné, de haute lutte le droit de mettre un « S » à Horizons : étendues que l'on peut apercevoir autant que la vue peut s'étendre, mais aussi cercles où se meut l'esprit !
Sans artifices :
Il ne triche pas avec son âge ni avec son art et il précise sur scène : « Nous bâtissons tout sur l'authenticité », sans artifices techniques, seul accompagné de 2 musiciens, visiblement complices : un guitariste qualifié de « breton » aux multiples talents, Philippe Hervouët et Sergio Tomassi, l'accordéoniste, « l'italien », qui a supervisé les arrangements de cette nouvelle tournée et a signé la réalisation du dernier album. Il faut noter aussi que le chanteur a l'élégance de présenter au public toute son équipe y compris ceux dont le rôle peut paraître obscur mais pourtant indispensable au bon déroulement de la soirée.
Étonnamment, sa voix, et l'on sait qu'elle a été, et est toujours rudement sollicitée dans les envolées vocales vertigineuses de certains titres (« Je suis Malade », « Chez moi », « L'Algérie », entre autres), a traversé le temps, avec sa magnifique tessiture grave mais dans les aigus, l'on perçoit que le chanteur souffre, plié en deux pour monter la gamme. Heureusement, le style, le climat, le choix des timbres, les schémas harmoniques, des chansons ont été modifiés en les adaptant à sa voix, et finalement, même si elles sont reconnaissables, elles ont pris un air de nouveauté et l'on prend plaisir à découvrir leurs nouvelles facettes ! Contrairement au style de ses débuts, l'artiste, « scénarise » beaucoup plus son spectacle, sollicitant à de nombreuses reprises la salle, qui ne demandait qu'à participer, partager la « communion ». Pour le passé, nous avons noté, entre autres morceaux d'anthologie la toujours déchirante « Toute Blanche », a capella, qu'il ne chante pas entièrement, l'associant à « D'aventure en Aventure » ; « Mon Ami, Mon Maître » (Marcel Gobineau) ; « La Lettre à Joséphine » et la « Crainte et les Intérêts » (toujours d'actualité), tirées du spectacle « Impérial » ; « La Salle de Bain », « Une Ile », le magnifique texte qui aurait pu être écrit par le grand Jacques Brel et dans un style un peu plus leste, « Les P'tites Femmes de Pigalle ».
Nouvelle lignée :
Pour les chansons de son dernier album, Serge Lama nous en donne les clés : ses pères spirituels : « Je suis dans la lignée de la gaieté bon enfant et franchouillarde de Maurice Chevalier et Gilbert Bécaud et parallèlement je suis un littéraire proche de Georges Brassens, Jacques Brel et Léo Ferré » ; son penchant pour les auteurs et la poésie : « franchement graphomane », son éclectisme : « Je suis un peu fantaisiste, un peu tragique. Pour un spectacle complet, il faut tout cela entre le rigolo, le sourire, le rire parfois un peu gras - une once de vulgarité est nécessaire, au même titre que l'ail est nécessaire dans certaines cuisines : « Objets hétéroclites, Tu Te Fais L'Amour », est la parfaite illustration de ce dernier point. Nos « coups de coeur », iraient plus aux chansons sensibles comme : « D'où Qu'on Parte » ; « J'arrive à l'Heure, le Cocotier » et le très désabusé et puisant dans la culture : « Grosso Modo », un regard nostalgique sur l'époque.
Toute belle médaille possède son revers et nous n'avons pas aimé le service d'ordre disproportionné et les menaces d'expulsion affichées dans le hall, car nous pensons qu'il ne suffit pas de dire au public qu'on l'aime et il faut aussi subir avec grâce les inconvénients de la popularité ! Mais cela n'a pas gâché notre plaisir ni celui de la salle qui a remercié, comme il se doit, ce grand artiste !
Didier MESSIAEN
15:57 Publié dans 2011, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)