12.03.2009
45 tours Philips 6009.068
22:09 Publié dans 1971, CD, DVD, Vinyle et Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)
12 mars 1973 : L’express
20:41 Publié dans 1973, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mars 1982:Concert à St Etienne
20:27 Publié dans 1982, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
12 au 17 Mars 1973 : Midi trente
Télé 7 jours 12 mars 1973
Une émission diffusée du lundi au samedi à l'heure du repas sur la chaîne première et animée par Danièle Gilbert.
La semaine du 12 au 17 Mars 1973, Serge Lama en était l'invité principal.
Au programme:
Le lundi 12 Mars
- Serge LAMA chante "Superman" et "La chanteuse à 20 ans". - SHATTY chante "Maria". - Georges GUETARY chante "Dans mon pays, la terre est blonde" et "Les rues de Corinthe". - Les ASSOCIES jouent "Chansonetta". |
Le mardi 13 Mars
- Serge LAMA chante "les glycines", "une ile".
- SHATTY chante "Maria".
- Jean Francois MICHAEL chante "ne ma parle plus de lui".
- Yves DUTEIL chante "le vrai paradis".
- Carlo NELL chante "au paradis".
Le mercredi 14 Mars
- Serge Lama chante "le temps de la rengaine" et "l'enfant d'un autre"
Le jeudi 15 Mars
- Serge LAMA chante "Le 15 juillet à 5 heures" et "Les petites femmes de Pigalle". - SHATTY chante "Le refrain de ma vie" (de Pétula CLARK). - EVA chante "Mozart". - Vincent RENAUD chante "Les aventuriers". - Waskar AMARY, groupe péruvien, chante "La malédiction". |
Le vendredi 16 Mars
- Serge LAMA chante "d'aventures en aventures", "dans l'espace ".
- SHATTY chante "Maria".
- Claude VEGA imite Louis De Funes recitant une fable de La Fontaine, imite Barbara.
- Brigitte SAUVA chante "la ronde des teles".
Le samedi 17 Mars
- Serge LAMA chante "La fronde", "Je suis malade" et "Le gibier manque".
- CHRISTOPHE chante "La vie est une histoire".
- Alice DONA chante "13 à la douzaine".
- MONTY chante "Les lendemains qui chantent"
20:16 Publié dans 1973, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
12 Mars 2004:Ouest France
Petit compte rendu de concert dans Ouest France après le concert donné à Vallet , Espace culturel du Champilambart le 10 mars
950 personnes au concert de Serge Lama
L'espace culturel du Champilambart a fait le plein mercredi soir pour le concert de Serge Lama, artiste à la voix suave et puissante. Ils étaient 950 fans venus déguster son album « Feuille à feuille ».
Ce fut le rendez-vous de deux âmes : l'une fait jaillir des papillons rien qu'en titillant les boutons de son accordéon, l'autre tente de leur inventeur des fleurs. Dans son spectacle Lama s'entoure d'une équipe réduite, guitare, accordéon, percussions. Il livre un opus tout en douceur et retenue. Des textes pathétiques, nostalgiques mais toujours parfumés d'une inspiration aujourd'hui légendaire. Lama a dépassé le cap des quatre décennies sur la scène. Un réel bonheur pour les spectateurs...
17:58 Publié dans 2004, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
12 mars 1973 : L’Aurore
16:41 Publié dans 1973, La presse des années 1970, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0)
12 mars 1982 : Limousin actualités
13:53 Publié dans 1982, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
12 Mars 1965: Les cahiers du Music Hall
Serge Lama du 12 au 17 Mars 1965 était à Bruxelles en première partie d'André Aubert (don Patillo de la pub des pâtes Panzani)
Le Soir du 14 mars 1965
12:55 Publié dans 1965, La presse des années 1960, Serge Lama en concert | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : andré aubert
12 Mars 2003:Le soleil
12:00 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
12 Mars 2011: L'avenir
Après le passage de Serge Lama en concert le 11 Mars 2011 à Huy , le journal belge l'avenir publiait ce papier
Serge Lama, l'ami intime et grave
HUY - Grave en même temps que léger, Serge Lama, de passage à Huy jeudi, se joue des paradoxes en les sublimant dans le secret de ses silences.
En plein coeur d'un rai de lumière, intime et grave, porté par le silence, il récite a cappella et du plus profond de son âme les paroles de Star .
Et tremble dans sa voix un grain puissant, généreux à la fois, où se profile déjà un tour de chant qui mêlera entre rire et mélancolie le sombre et le lumineux, le futile et le sérieux.
Chanteur de tous les paradoxes, Serge Lama? Peut-être bien un peu.
Intense, complice de son public et sobre, certainement. Le public hutois ne s'est d'ailleurs pas trompé, jeudi, en réservant un accueil chaleureux à celui qui a su garder ce regard clair où danse encore la malice de ses 20 ans bien qu'il en ait trois fois plus et même davantage. Suffisamment en tout cas pour présenter avec le recul nécessaire et la faculté de regarder au loin, des morceaux pétris de cette humanité qui nourrit chacun des mots chantés sur la pointe du coeur. Presque. Et qu'ils soient puisés dans son dernier opus L'âge d'horizon, ou empruntés à son répertoire riche de 45 années, chaque titre procède de ce même enchantement qui mêle à la sobriété du chant une rythmique enlevée ou étourdissante selon que s'élèvent les notes de l'accordéon ou celles de la guitare. Ce qui est notamment le cas pour Mon ami, mon maître,
Alors qu'on s'est tant aimés ou encore, D'où qu'on parte, à la fois féroce de sens et porté par ce besoin de réflexion sur la vie et sa fugacité.
Plus intime encore et appuyé par une scénographie économe de lumière, D'aventures en aventures témoigne de cette faculté qu'a le chanteur de tout remettre en question, à l'instar d'un J'arrive à l'heure, porté par la douceur de la mélodie.
Pour sûr, celui ou celle qui attendait de ce concert les solides refrains populaires qui ont fait la renommée du chanteur, auront dû se contenter de quelques titres seulement.
Dont Les petites femmes de Pigale, joyeux et rebondissant précédé d'un morceau de son dernier album, Les hommes et les femmes, sublime de légèreté rapidement en accord avec un pas de danse joliment exécuté.
Dans un registre plus coquin et cocasse, La salle de bain et Objets hétéroclites valent leur pesant de volupté et d'élégance tandis qu'ils rappellent que Serge Lama aime se jouer des paradoxes en conjuguant fantaisie et chansons plus littéraires. En témoigne encore, s'il le fallait, et bercé par sa version acoustique, Je suis malade ( morceau des années 70), dans le sillage d'un final étourdissant où le chanteur récitera a cappella et sans micro, la Tristesse d'Alfred de Musset. À en perdre le souffle!
11:33 Publié dans 2011, La presse des années 2010 | Lien permanent | Commentaires (0)