26.03.2009
26 mars 1988 : Champs-Elysées
Le 26 mars 1988, Serge Lama est l'invité de Michel Drucker dans l' émission Champs-Elysées spéciale opérette.
Il avait interprété "Rossignol de mes amours"
06:35 Publié dans 1988, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : serge lama
26 Mars 1977: Numero1 Mireille Mathieu
04:30 Publié dans 1977, Serge Lama à la télévision, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mireille mathieu
Serge Lama et le Forum
Je ne sais pas si je suis un fort homme, en tout cas je fus sur ton forum.
Serge Lama - 26 mars 2005
01:05 Publié dans 2005, Documents sur Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : serge lama
25.03.2009
L' Olympia
21:28 Publié dans 1996, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
25 Mars 2000: Concours fan club
21:18 Publié dans 2000, La Fronde- Fan club ASL | Lien permanent | Commentaires (0)
25 mars 1987: Lyon Figaro
Le 1er septembre 1986, Lyon voyait la naissance d’un nouveau journal : Lyon Figaro, prenant la forme d’un quotidien de format tabloïd, encarté chaque jour, dans l’édition nationale du Figaro. Voici l'article publié lors du passage de Serge Lama et son Napoléon.
Palais des sports de Lyon Photo D.R.
Le soleil d'Austerlitz qui a brillé deux années durant sur le théâtre Marigny ne lui a pas suffi. Paris n'était pas assez grande pour le "Napoléon" de Serge Lama, et le nouvel empereur a vite décidé d'emmener sa tsarine Christine Delaroche et toute sa troupe sur les roules d'une Europe conquise d'avance. Soit 100 jours d'un nouveau type, fractionnés en trois étapes, et l'assurance d'un dernier couronnement en beauté vers la fin juin 1987 à... Fontainebleau. Mais Napoléon Lama n'en est pas encore là, il arrive tout juste à Lyon où il s'installe pour quatre jour et cinq représentations. Au programme : vingt-cinq chansons, vingt-deux comédiens, quatorze techniciens, quatre habilleuses, deux coiffeurs, bref une soixantaine de personnes auxquelles il convient d'ajouter une dizaine de techniciens recrutés localement. L'organisation est imposante, à la hauteur du sujet, et nécessite une journée et demi de montage des éléments. C'est ainsi que depuis le 24 mars, scène, décors, régies son et éclairage son en cours d'installation.Tout est à la mesure du pari lancé par Serge Lama en juin 1984. "Quand on a quatre-vingt pour cent des gens contre soi, on est forcément fier de renverser la vapeur. D'un spectacle qui, soi-disant, ne valait rien en juin 1984, on en a fait un triomphe en septembre. Et aujourd'hui, nous sommes les premiers à partir en tournée avec un monument musical de cette envergure. Tout cela sans la moindre subvention", affirme avec force le chanteur historien et bateleur. il ne faut pas moins de cinq semi-remorques pour transporter les 6500 mètres cubes de matériel nécessaire à la reconstitution régulière du spectacle, pour une scène superbe d'environ 330 mètres carrés (24 mètres sur 14). Pour les responsable de la mise en place, "le problème sonore est de loin le plus délicat, car nous travaillons sur HF". Effectivement, pour le reste, il s'agit d'une organisation équivalente aux méga-tournées habituelles avec quand même plus de monde, plus de décors. plus de moyens. Le Palais des Sports vit donc un drôle de scénario, son arène prise d'assaut pour un bon tiers par la scène, sa capacité d'accueil réduite de moitié. En effet, si l'on compte vingt-quatre mètres d'ouverture de scène, il y a seulement (!) quatorze mètres d'ouverture de décor. Du coup, pour que les spectateurs puissent profiter normalement et pleinement du spectacle, les angles morts sont proscrits ; ce qui n'empêchera pas Serge Lama d'attirer la grande foule. Car à l'exception de deux ou trois villes, pour des raisons facilement analysables, "Napoléon se joue à guichets fermés. Voilà bien une motivation supplémentaire pour celui qui se confond tant maintenant avec son personnage. Parce qu'il ne faut pas lui parler, à Lama, des producteurs qui ont fait la fine bouche ou des subventions dont a profité Youssef Chahine pour son film "Adieu Bonaparte". "C'est un film sans intérêt, davantage enclin à traiter des conflits pédérastiques du personnage que de la campagne d'Egypte", n'hésite-t-il pas à tonitruer. Ah, les subventions... Dans le même sac, cousu de reproches quasiment guerriers, Serge Lama peut fourrer toutes les créations qui bénéficient de ce coup de pouce : de "L'Avare" aux "Amandiers" de Chéreau. Qui justement était le Bonaparte du film précédemment vilipendé. Le chanteur peut maintenant savourer son triomphe : en compagnie de Jacques Rosny, qui a cosigné le livret, d'Yves Gilbert pour la fresque musicale, sans oublier Christine Delaroche en tête de distribution, Serge Lama a conquis sa propre maturité en partant à l'assaut d'un sacre qui n'était au départ qu'un pari complètement fou. Source : "L'empereur du spectacle" / Laurent Perzo in Lyon Figaro, 25 mars 1987, p.45..
18:43 Publié dans 1987, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (0)
25 mars 2002 – La bande passante – RFI
Interview de Serge Lama à l'occasion de son retour à l'Olympia.
EXTRAIT
17:55 Publié dans 2002, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
25 Mars 1996: Mot d'Alice Dona
17:32 Publié dans 1996, La Fronde- Fan club ASL, Les compositeurs et musiciens | Lien permanent | Commentaires (0)
25 mars 1986 : Paillettes sur tréteaux – France culture
Dans le cadre des mardis du théâtre, le thème du 25 mars 1986 est le music-hall. Serge Lama y est interviewé par Yvonne Taquet pour parler de son actualité.
EXTRAIT
17:00 Publié dans 1986, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
25 mars 1971 : TV Radio je vois tout
09:49 Publié dans 1971, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (0)