07.04.2009
1974 : Serge Lama dans HIT
06:45 Publié dans 1974, La presse des années 1970 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
06.04.2009
6 avril 1993 : Les grosses têtes
Serge Lama répond aux questions posées par Philippe Bouvard aux côtés d’Isabelle Mergault, de Danièle Evenou et de Sim.
EXTRAIT
23:31 Publié dans 1993, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
6 avril 2011 : Le télé-journal – Québec
Interview de Serge Lama par Claude Deschênes.
EXTRAIT
19:35 Publié dans 2011, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
6 Avril 2002:Le Télégramme
En concert à l'Océanis de Ploemeur, à 20 h 30, mardi 9 avril,
Le retour du grand Lama à l'Océanis mardi
Il revient avec un nouvel album qui créé plutôt la surprise : le grand Lama est de retour. Il s'arrêtera sur la scène de l'Océanis, mardi prochain.
« Après l'expérience de l'album "Symphonique", Serge Lama a recommandé de prendre un contre-pied radical et partir sur une formule minimaliste pour l'enregistrement de son nouveau disque intitulé "Feuille à Feuille" », indique le dossier de presse. Visiblement, cette dernière création est plutôt bien reçue. Même par une critique qui n'oublie pas l'image un brin ringarde et phallocratique que le chanteur multiforme peu dessiner. « C'est un album aux sonorités très acoustiques, éminemment classique et simultanément très actuel ».
Sur des musiques de Christophe Leporati, Nicolas Montazaud et Yves Gilbert, Serge Lama offre quelques-uns des plus beaux textes de sa carrière : des rythmes bossa nova de « Quand est-ce qu'on fait l'amour », aux trompettes western de « Voici les fleurs » des envolées satiennes de « Femmes adieu » à un duo bouleversant avec Lena Ka, sur « Quand on revient de là ».
A l'Océanis de Ploemeur, à 20 h 30, mardi 9 avril, 37,50place assises et réservées, renseignements et réservation au 02.97.84.88.25
17:13 Publié dans 2002, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
6 avril 1971 : Les étoiles de la chanson
télé 7 jours du 3 au 9 avril 1971
Dans cette émission présentée par Guy Lux et consacrée à Charles Aznavour, Serge Lama interprète la chanson Je me voyais déjà.
Plusieurs chanteurs interprètent des chansons de Charles Aznavour
- David Alexandre WINTER : Paris au mois d'aout
- Michel DELPECH : Que c'est triste Venise.
- ANTOINE : Tu t’laisses aller"
- Nicole CROISILLE : La bohême"
- Serge LAMA : Je me voyais dejà
- Charles AZNAVOUR : Non je n'ai rien oublié, le cabotin, mourir d'aimer, emmenez moi
Et de Charles Aznavour, en tant qu'auteur :
- ZANINI : pour faire une java"
- Marcel AMONT : le mexicain (Ch. Aznavour – Jacques Plante)
EXTRAIT AUDIO
13:51 Publié dans 1971, Serge Lama à la télévision | Lien permanent | Commentaires (0)
6 avril 1996 – Open de tennis de Monte Carlo
08:23 Publié dans 1996, Un jour dans la vie de Serge Lama | Lien permanent | Commentaires (0)
6 avril 1985 : Jour de France
06:45 Publié dans 1985, La presse des années 1980 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : serge lama
05.04.2009
5 Avril 2003:Salle Wilfried Pelletier - Montréal
Serge Lama était en Concert à Montréal, salle Wilfrid Pelletier - Place des Arts les 4 et 5 Avril 2003
La Presse du 5 avril 2003
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En tournée au Québec, le chanteur de 60 ans partage ses joies et ses souffrances.
En tournée au Québec, Serge Lama s'arrête à la Place des Arts, ce soir et samedi. À 60 ans, le chanteur évoque ses joies et ses souffrances.
De Chauvier à Lama
«À partir du moment où j'ai changé de nom, à 20 ans, tout est allé mieux dans ma vie, j'ai commencé à être bien dans ma peau», affirme Serge Lama, né Serge Chauvier, le 11 février 1943. «Pendant mes 40 ans de carrière, j'ai fait des compromis. Désormais, j'ai décidé que je ne ferai que ce que je voudrai», déclare Serge Lama.
Odeurs de coulisses
«J'ai toujours voulu faire ce métier», lance le chanteur qui, adolescent, a voulu «venger» son père qui avait abandonné la carrière de chanteur aux débuts des années 50. «Grâce à mon père, j'ai été élevé dans le music-hall, j'ai vécu dans les paillettes, d'où ces chansons futiles qu'on me reproche comme Les petites femmes de Pigalle.
Fatalité de la ferraille
Août 1965. Un accident d'auto broie ses os et son âme. La femme de sa vie, la pianiste Liliane Benelli, meurt à ses côtés. «Cette femme mythique m'a révélé l'amour. Presque toutes mes chansons comme D'aventures en aventures parlent d'elle», dit Serge Lama, qui se dit victime d'une «fatalité de la ferraille», car il a aussi perdu ses parents dans un accident de voiture, en 1984. Le même jour à presque 20 ans d'écart avec son propre accident. Éprouvé par la vie, Serge Lama déclare «l'envie de chanter, de monter sur scène est restée intacte.»
Lama et les femmes
«Les femmes ont beaucoup compté dans ma vie. C'est Dalida qui a lancé Je suis malade, c'est Zizi Jeanmaire qui a lancé D'aventures en aventures. J'ai beaucoup écrit pour Nana Mouskouri et Marie-Paule Belle, qui sont de grandes amies. J'admire Diane Dufresne pour sa voix, la folie qu'elle a, en plus du talent. Elle devrait avoir le même succès international que Bjork», estime Serge Lama.
Du sexe et de l'âme
Serge Lama souhaite faire un disque de duos avec des chanteuses qu'il aime et qu'il admire, les Isabelle Boulay, Linda Lemay ou encore Lara Fabian, qui a chanté Je suis malade avec lui en 1995, alors qu'elle était inconnue en France. «La scène, c'est du sexe et de l'âme. Sinon, ça ne fonctionne pas», dit Lama, qui recommande aux artistes de chanter «jambes écartées, bien campées sur le sol».
Le plus récent disque de Serge Lama, Feuille à feuille, est disponible au Québec depuis 2002.
Radio Canada du 6 avril 2003
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Cent chandelles et deux jumelles pour Lama
par Philippe Rezzonico - Journal de Montréal
Il est de ces chiffres beaux, ronds et nobles tout à la fois. C’était indiscutablement le cas, hier soir, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts pour le retour de Serge Lama.
Pour l’occasion, le chanteur français faisait coup double, célébrant 60 années de naissance et 40 ans d’une carrière qui l’aura mené sur les plus grandes scènes francophones du monde.
Curieusement, il n’a pas retenu la sélection gargantuesque (36 chansons) de son spectacle-événement livré le 11 février dernier (le jour de ses 60 berges) à Bercy, mais il a plutôt offert, à une omission, un ajout et une inversion près, les 27 mêmes sélections que lors de son passage de l’été dernier dans le cadre des FrancoFolies.
Déçu ? Pas du tout. En tournée depuis un an, le spectacle était cette fois rodé au quart de tour, bénéficiait d’une balance de son impeccable et d’un jeu de lumière plus sidérant que jamais.
Depuis qu’il a délaissé le piano, Lama, le chanteur, n’a jamais été si émouvant. Appuyé seulement par l’accordéon de Sergio Tomasi durant Je voudrais tant que tu sois là, il est touchant. Soutenu par la riche et discrète rythmique de Nicolas Montazaud lors de L’Algérie et Une île, il est déchirant. Et, durant le rappel, quand il offre une version bouleversante de Je suis malade, la terminant a cappella – et sans micro –, il redonne à cette pièce toute sa puissante évocatrice.
Seconde vie
Mais Lama, qui est souvent sombre dans ce spectacle où les éclairages à tête chercheuse créent des atmosphères fabuleuses, sait aussi – et encore – être cabotin. Ne t’en fais pas (c’est toujours comme ça la première fois) retrouve une seconde vie avec son air de bossa-nova et son allusion au Viagra.
Et comment ne pas aimer un homme qui possède encore un tel coffre et qui manie si bien les mots en déclarant que «ébaubi, c’est ébahi, en snob».
Le dialogue humoristique qui ponctue La Danseuse est lui aussi savoureux, moment de contrôle sadique où il fait patienter son accordéoniste et se paie la tête de George Bush. Idem pour le doublé Superman et Les petites femmes de Pigalle, où il troque le costard noir pour le blanc et entraîne la foule comme pas un. Avec ma collègue de la radio qui chantait à ma gauche et ma mère qui battait la mesure à ma droite, c’est là que j’ai compris plus que jamais que Lama est un homme à femmes.
Il y a quelques années, le chanteur qui adore les Québécoises avait offert D’aventures en aventures lors d’un duo passionné avec Isabelle Boulay. Signe des temps, ce dernier l’a livrée hier, en trio, avec les jumelles Annie et Suzie de Star Académie. L’exercice fut franchement réussi, Lama se payant gentiment la tête de Suzie (celle qui a quitté le show télévisé, il paraît) en lui faisant remarquer qu’elle avait ainsi raté le show de Céline Dion à Las Vegas.
Je t’aime à la folie
C’est toutefois durant Je t’aime à la folie que la communion fut la plus totale alors que la salle Wilfrid-Pelletier s’est transformée en chœur gigantesque, chantant le classique sur trois octaves.
Que dire de plus, sinon : Bons anniversaires ? Avec une centaine de bougies, c’est amplement mérité.
Le journal de Montréal du 6 avril 2003
21:29 Publié dans 2003, La presse des années 2000 | Lien permanent | Commentaires (0)
Avril 1984:Psychotest
21:10 Publié dans 1984, Serge Lama à la radio | Lien permanent | Commentaires (0)
5 avril 1999 : Le Progrès
Concert à la salle des Marinières à Porcieu-Amblagnieu avec l’Orchestre Symphonique d'Ile de France
Le sacré de Serge Lama à la salle des Marinières
Serge Lama est revenu à la salle des Marinières avec l'orchestre philharmonique d'Ile-de-France de quarante-cinq musiciens, dirigé par Michel Guillaume.
Une salle comble lui a réservé un accueil chaleureux et enthousiaste qui était bien mérité, et a récompensé aussi les bénévoles d'Anim'Loisirs. Serge Lama, c'est le chanteur populaire. Le public connaît ses chansons par cœur, chante avec lui, frappe dans ses mains. "Je veux sentir une vraie joie en vous... que j'aie l'impression que vous êtes content d'être venus ce soir". Ce n'est pas une impression : les gens sont heureux, ils l'accompagnent. Il viendra d'ailleurs en seconde partie dans le public jusqu'au fond de la salle, recevra une accolade, un bravo, une rose.
Il donne l'envoi du concert avec un hommage à Barbara, "La chanteuse à vingt ans" et "Mon ami". Mais il doit s'interrompre : les gens ne sont pas tous assis. "Prenez votre temps, vous êtes arrivés en retard... Ils sont venus voir Vershuren !" , dit-il avec humour, présente ses musiciens.
De sa voix puissante, il alterne le doux et le très vif, le plus lent : "Dans un harem byzantin", "Je te partage", "La première fois" et les gens chantent avec lui, puis ce sont "Les saumons, toujours en arrière" et "L'Algérie" avec le violon.
En deuxième partie, il a avec lui les quarante-cinq musiciens de Lille avec qui il clôt la tournée, avant le rendez-vous de l'été. Il commence, doux : "Viens, laisse un peu tomber tes poupées" et enchaîne, dynamique: "Femme, femme, femme" puis "Le Titanic", revient tendre: "L'enfant joue du piano", "Je t'aime à la folie". Il donne la part au public, les gens "costauds de Porcieu" pour lesquels il donne le même concert qu'à Paris "car c'est une escroquerie de faire quelque chose à Paris et autre chose en province». Le spectacle touche à sa fin.
Il est rappelé, revient avec "Une île", "La maison de Frédérique", "Marie la Polonaise" et termine avec un texte de Mallarmé "Brise marine". Les matelots ont dit bonsoir et laissent le souvenir d'une soirée merveilleuse.
M.-G. ORY
20:43 Publié dans 1999, La presse des années 1990 | Lien permanent | Commentaires (0)