26.10.2009
26 Octobre 2004: Enzo Enzo
En 2004 Serge lama signait la chanson 'Ni forte Ni fragile ' sur l'album Paroli d'Enzo Enzo sur une musique de Daniel Lavoie.
J'aime entendre les mots du vent
A mon oreille
Des mots que gaspille en rêvant
Notre sommeil.
Des mots comme des bulles claires
Qui éclatent de rire en l'air
Mon amour vient m'engranger
De mots légers.
Je ne suis ni forte ni fragile
J'aime l'idée que nos deux îles
A marée basse se rejoignent
J'aime de tendresse virile
Quand le soleil de ton île
Me fait l'Espagne,
Me fait l'Espagne
J’aime entendre un tendre violon
Qui en sourdine
Evoque l'automne et ses tons
De mandarine
Ces bulles de mélancolie
Me fendent l'âme à la folie
Wagner peut ranger ses furies
De Walkyries
Je ne suis ni forte ni fragile
J'aime l'idée que nos deux îles
A marée basse se rejoignent
J'aime de tendresse virile
Quand le soleil de ton île
Me fait l'Espagne,
Me fait l'Espagne
Et j'aime entendre ta voix qui dit
Des mots issus de paradis,
Des mots du jour le jour
De ton amour
Je ne suis ni forte ni fragile
J'aime l'idée que nos deux îles
A marées basse se rejoignent
J'aime de tendresse virile
Quand le soleil de ton île
Me fait l'Espagne,
Me fait l'Espagne
12:48 Publié dans 2004, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
01.10.2009
1967: Tino Rossi tu n'as que vingt ans
Serge Lama adapte une chanson pour Tino Rossi. Le titre : 'Tu n'as que vingt ans ' qui sort sur ce 45 tours
Tino Rossi Tu n'as que vingt ans (1967) par RINGOWILLYCATISTHEBEST
18:12 Publié dans 1967, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
1969:Troisième album de Régine
16:39 Publié dans 1969, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
1968: Second album de Régine
Dans cet album enregistré en 1968 par Régine on trouve deux chansons signées Lama/Gilbert .
Les maisons grandes
Les maisons grandes
Où jamais, non jamais, je n'ai grandi
Dieu qu'ell's sont grandes
Les maisons grandes
Où j'aurais tant aimé passer ma vie
Avec du marbre et des sall's de bain roses
Et d' grands jardins où le soleil se pose
Se pose ...
Dieu qu'ell's sont grandes
Les maisons grandes
Où jamais, non jamais, je n'ai dormi
Dieu qu'ell's sont grandes
Les maisons grandes
Où j'aurais tant aimé vivre ma vie
Bien à l'abri dans un lit premièr' classe
Et des miroirs où le chagrin s'efface
S'efface
J'en ai tell'ment vu de ces maisons-là
Qui m' faisaient d' l'oeil du bout de leurs lilas
Avec leurs grands yeux braqués sur l'azur
Avec leurs grands yeux à la place des murs
Dieu qu'ell's sont grandes
Les maisons grandes
Ell's ont toujours l'air d'attendre quelqu'un
Dieu qu'ell's sont grandes
Les maisons grandes
Avec leurs airs d'avoir manqué leurs trains
Mais pour avoir une maison si belle
Faudrait qu' je sois au moins aussi grand qu'elles
L'amour à contre coeur
16:16 Publié dans 1968, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
1966: 45 tours Maria Vincent
13:45 Publié dans 1966, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
30.09.2009
30 Septembre 1969: Album Nana Mouskouri
En 1969 Nana Mouskouri sortait un album intitulé "Dans le soleil et dans le vent ". Les 2 titres suivants étaient signés Serge Lama
Il n'est jamais trop tard pour vivre ( Manos Hadjdakis / Lama )
Raison de plus, raison de plus pour vivre ensemble
On a souffert le même enfer chacun pour soi
Car le bonheur par-dessus les murs de l'absence
A des raisons que la raison ne connaît pas
Car notre amour, malgré l'hiver et la souffrance
Aura raison de la saison des mauvais froids
Il n'est jamais trop tard pour vivre
Jamais trop tard pour être libre
Raison de plus, raison de plus pour vivre ensemble
De ce désert, de cet hiver naîtra la joie
Car le bonheur par-dessus le mur des étoiles
Tisse son fil jusqu'à cette île où tu m'attends
Et notre amour claque au vent de toutes ses voiles
J'aurai enfin un coeur tout neuf pour le printemps
Il n'est jamais trop tard pour vivre
Jamais trop tard pour être libre
Le souvenir (Folklore / Lama)
Le souvenir tout comme une berceuse
A noué le fil d'or des années d'autrefois
Quand je traînais dehors mon âme paresseuse
Et sans craindre le chaud, ni le froid
Le souvenir en moi tisse sa laine
Et je vois des soleils et des arbres tout verts
Tout est pourtant pareil mais j'ai comme une chaîne
Qui me rattache aux choses d'hier
Le souvenir est un tissu fragile
Et j'ai cousu depuis sur ses étoiles d'or
Tant de jours et de nuits auront cherché cette île
Où l'enfance m'attend comme un port
Le souvenir a des phrases muettes
Et quelquefois le soir elles se taisent pour moi,
Pareils à des mouchoirs, palpitent dans ma tête
Les morceaux de rêves d'autrefois
Mon avenir au cadran de ma montre
Ecrit ses lettres d'or et me vole mes joies
Je ne vis plus dehors et ceux que je rencontre
Me demandent un peu plus chaque fois
Pochette du 45 tours
22:38 Publié dans 1969, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
05.09.2009
1971: Mélina Mercouri 'Violence violence'
En 1971 Serge Lama écrivait cette chanson pour Mélina Mercouri
Violence Violence
Prépare ton homme à la révolution
Prépare ton corps à la révolution
Prépare ton âme à la révolution
Prépare ton coeur à la révolution
Violence !
J'ai grandi avec toi Violence !
A l'ombre de ta croix Violence !
Tu m'as mis hors la loi Violence !
J'ai tant besoin de toi
Il paraît que ça ne sert à rien
Qu'il faut mettre un collier comme les chiens
Il paraît qu'il faut vivre à genoux
Et qu'il faut scier nos dents de loup
Dès demain tous en choeur par milliers
Les oiseaux vont chanter la liberté
Mon amant, mon fils, telle est la loi
La violence est ma tendresse à moi
(au Refrain)
Il y a de l'ombre et du soleil
Sur ton corps
L'amour s'y vautre avec la mort
Et je mélange à la froideur d'un couteau
La chaleur de ta peau
L'enfant grec a repris son cheval
Donne-lui de la poudre et puis des balles
Il est là l'enfant grec aux yeux bleus
Je t'en prie donne-lui ce qu'il veut
Chaque fois qu'un bourreau tombera
Chaque fois que ton poing se lèvera
Comme un astre un soleil en acier
De là-bas tu m'entendras crier...
Violence C'est la seule solution
Violence Est la seule ambition
Violence Est la seule solution
Violence La LI-BE-RA-TION
17:59 Publié dans 1971, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
02.09.2009
1969 : 45 tours Marie-Thérèse Orain
09:55 Publié dans 1969, Serge Lama à la radio, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
01.09.2009
1972:Nana Mouskouri 'Ou le vent t'emmène"
Dans l'album de Nana Mouskouri "Une voix qui vient du cœur" paru en 1972 la chanson "Ou le vent t'emmène"est signée Neil Diamond/Michel Jordan/Serge Lama.
Tout arrive quand on y croit
L'impossible n'existe pas
L'âge tendre ne revient pas
Sans attendre, va devant toi
Loin, loin où le vent t'emmène
Va loin où bon te semblera
Loin, loin pour chaque jour de peine
Il y a cent mille jours de joie
Cours le monde et puis bats-toi
A la longue tu gagneras
Joue ta chance elle t'appartient
Aie confiance tu iras loin
Loin, loin où le vent t'emmène
Va loin où bon te semblera
Loin, loin pour chaque jour de peine
Il y a cent mille jours de joie
Loin, loin où le vent t'emmène
Va loin où bon te semblera
Loin, loin le vent dès qu'on t'emmène
Alors fais-en le tour sans moi
Loin, loin où le vent t'emmène
Ce soir, mon enfant tu t'en vas
Loin, loin mais au bout de la plaine
Un jour, un homme reviendra
Loin, loin où le vent t'emmène
Ce soir, mon enfant tu t'en vas
Loin, loin mais au bout de la plaine
Un jour, un homme reviendra
22:16 Publié dans 1972, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)
1978: Gilbert Bécaud , un train manqué
Chanson écrite par Serge Lama et Gilbert Bécaud en 1978
UN TRAIN MANQUE
Un train manqué, dix ans de plus
Sur le quai de la gare du temps
Un train manqué, dix ans perdus
On s'en fout pas mal à trente ans
J'ai manqué l'heure du train d'amour
Et ce train-là, c'est pour toujours
Quand tu as manqué l'heure
J'avais un vieil horaire d'hiver
Un horaire périmé
Un vieil horaire de l'année dernière
Un train manqué, des pas perdus
Sur le quai de la gare du temps
Un train manqué, rien ne va plus
Les trains s' font rares à quarante ans
J'ai manqué l'heure du train d'amour, baby
Le train d'acier et de velours
Qui fait le tour du monde
Tu m'as écrit pendant un an
Des lettres d'amitié
Mais l'amitié, avec le temps
Tu sais...
J' vais manquer l'heure du train d'amour
Ho, qu'il en passe un autre, un jour !
Je le prendrai en marche
Et quitte à me rompre le cou
J' m'y accrocherai
Tiens, je voyagerai debout
Comme dans l' tramway
Un train manqué, vingt ans de trop
Sur le quai de la gare du temps
J'attends, buté, un train
C' qu'on est patient à cinquante ans !
J'aurai mon train, attends !
Un train manqué, vingt ans vécus
Sur le quai de la gare du temps
Je sais, tu le sais, on se r'fait plus
On r'fait les autres, à cinquante ans
Accroche-toi, Raymond ! Joue !
Accroche-toi, Raymond !
On n'est plus qu' les deux
Allez, viens !
Cette chanson interprétée lors du numero 1 de Gilbert Bécaud du 16 Septembre 1978
21:29 Publié dans 1978, Serge Lama auteur | Lien permanent | Commentaires (0)