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27.03.2009

27 mars 1996 : La Croix

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Music-hall. Serge Lama veut être marchand de bonheur.

Le chanteur des " P'tites Femmes de Pigalle " retrouve à l'Olympia, dans le quartier des grands boulevards, une atmosphère et des souvenirs qui lui sont chers.

Il a 50 ans. 53 pour être précis. Bon pied bon œil, toujours aussi fort en voix et la passion intacte, Serge Lama revient pour un nouveau tour de chant avec nouveaux arrangements, nouvelles lumières. Il y a quinze mois, pour sa première réapparition après dix ans d'absence du music-hall pour cause de théâtre et de télévision, il s'était produit au Palais des Congrès. Cette fois-ci, c'est à l'Olympia qu'il s'installe. Question de sentiments - c'est là qu'il a connu ses premières grandes émotions avec les Bécaud, Brel, Piaf, Aznavour... Question de fidélité aussi à son enfance, ses souvenirs. " Quand j'étais gosse, lance-t-il, je venais écouter mon père qui chantait à deux pas, au théâtre des Capucines. A chaque fois, je rêvais en passant devant l'Olympia. "

" J'ai repris le flambeau "

C'était dans les années 50, peu avant qu'il rumine la défaite du papa contraint, par une épouse trop inquiète, à abandonner la chanson d'opérette pour trouver un emploi " stable " comme on dit - représentant de commerce. " Je n'ai pas supporté son échec, lance Lama. Il a déclenché mon ambition. J'ai repris le flambeau. "

De fait, tout Lama est là. Sans cesse partagé entre hier et le présent. Evoquant aujourd'hui sans jamais se détourner de ce qui fut avant. Jusque dans son métier. " La variété, reprend-il, c'est le combat entre le passé toujours vivant et le futur. "

Ainsi peut-il célébrer le rap comme " une révolution comparable à celle du rock dans la chanson ", tout en le rattachant à la tradition dont il se veut lui-même le défenseur : celle du texte. Ainsi peut-il en appeler à l'indispensable évolution de l'artiste, tout en insistant sur le respect nécessaire de l'image qu'a de lui son public. " Il vous choisit pour trois ou quatre couleurs qu'il a retenues de vous. On ne peut pas s'échapper de ce cadre. De même qu'on ne vient pas écouter Aznavour pour entendre du Gainsbourg, on veut entendre Lama chanter du Lama. "

Ce Lama, c'est celui des grands titres - Une île, Je suis malade, D'aventure en aventure - qu'il a écrits avec deux comparses de longue date, Alice Dona et Yves Gilbert. C'est encore celui de chansons qui se veulent plus graves, comme Neige, qui traite de la drogue, et de ceux qui " s'infiltrent dans les veines tout Rimbaud et Verlaine... "

L'occasion pour lui de quitter un instant la sphère des " p'tites femmes " ou des cœurs solitaires en souffrance, pour s'attarder sur le monde qui l'entoure. Heureux que son nom " puisse servir à quelque chose " lorsqu'on lui demande d'être présent au Téléthon ou de parrainer une association en faveur de la recherche génétique sur les maladies lysocomiales, le chanteur populaire se veut marchand de bonheur.

" Ce que j'aimerais, insiste-t-il, c'est qu'après mon spectacle, les gens se sentent moins seuls. "

Didier MEREUZE

27 mars 1996 : Télérama

Article publié le 27 mars 1996 dans TELERAMA.

 

serge lama

 

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serge lama

 

 

26.03.2009

26 Mars 1996: Le parisien

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Article paru dans le Parisien avant le retour de Lama sur la scène de l'Olympia

 

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26 Mars 1996:Le figaro

Article du Figaro lors du passage de Serge Lama à l'Olympia

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26 Mars 1996:France soir

Un article paru dans France Soir sur Lama à l'Olympia

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26 mars 1996 : Nous Deux

Serge Lama dans  Nous Deux du 26 mars au 1er avril 1996.

 

serge lama

 

 

 

 

26 mars au 31 Mars 1996 : L'Olympia

Du 26 au 31 mars 1996, Serge Lama est à l'affiche de l'Olympia.

Dernier passage dans l'ancien Olympia

 

serge lama

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photo personnelle d'Anne
 
 

serge lama

 

 
VIDEO AMATEUR FAITE PAR ET POUR LE FAN CLUB.
 
Serge est filmé lors des répétitions et un peu lors du concert.
 
 

serge lama

Avec Paulette et Patricia Coquatrix et Jean Michel Boris (27 mars1996)

 
 
 
 

 

 

23.03.2009

23 mars 1996 : France Soir

Entretien avec Serge lama avant son passage à l'Olympia

 

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18.03.2009

18 Mars 1999: La dépêche

 

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Serge Lama : «Les Victoires, ça me porte sur le système»

 

 

 Nouveau pari pour Serge Lama : partir en tournée avec un orchestre philharmonique. Un caprice ? Pas vraiment. Un spectacle que les Québécois lui avaient demandé... Le voici à Toulouse, ce soir. Entretien avant la fête.

  Si vous êtes revenu à la chanson après votre longue période théâtrale, c'est parce que ça vous «démangeait un peu». Plus que de la simple chanson de variétés aujourd'hui, vous vous êtes carrément offert un orchestre philharmonique ! C'est Napoléon, au fond de vous, qui vous a fait réaliser ce petit caprice ?

 Il y a trois ans et demi, on m'avait fait une proposition de venir chanter avec un orchestre symphonique au Québec alors que j'étais en tournée avec ma formation habituelle et j'ai beaucoup hésité parce qu'il fallait adapter mon répertoire à cette formule. Et puis j'ai accepté. On a choisi des titres faits pour ça : Je suis malade, La Polonaise, etc. Et puis on a fait un triomphe pendant plusieurs jours à tel point qu'on m'a demandé de revenir et là encore, on a fait un nouveau triomphe ! J'ai alors pensé qu'il était bien de renouveler l'expérience ici.

Et jusqu'où allez-vous aller comme ça, avec autant de monde autour de vous ?

Au début, c'est très déstabilisant parce qu'il y a de nouvelles exigences. Il y a un chef d'orchestre et je ne suis plus le maître et on ne peut pas changer les tempos au gré de sa fantaisie. On est porté par une espèce d'océan de déferlantes, une vague au service de laquelle on doit se mettre. Mais aujourd'hui, ça va. Je suis donc très à l'aise.

Parmi les chansons des autres que vous aimez, il y a toujours eu Ne me quitte pas, Les Feuilles mortes, Je n'ai rien oublié, Il faut savoir, etc. Il y en a de nouvelles qui sont sorties ces derniers temps et dont certaines ont été fêtées aux dernières Victoires de la Musique. Si vous deviez en citer une ?

J'ai réagi comme tout le monde en écoutant pour la première fois Belle de Notre Dame de Paris. Tout de suite, j'ai senti le tube alors qu'ils avaient choisi de passer d'abord un autre titre, qui s'appelait Vivre. Voilà le bon résultat des Victoires de la Musique. Mais je ne comprends pas, une fois encore, qu'Obispo n'ait pas eu de Victoire. Et ça, me porte sur le système ! Mais c'est comme ça chez les «professionnels» : on aime bien se gargariser dans un monde d'intelligentsia et flatter la mode du moment plutôt que de reconnaître les artistes vraiment populaires.

Au moment où vous aviez l'intention de créer une comédie musicale sur le thème du «Titanic», la sortie du film vous a grillé. J'ai cru entendre dire que vous n'avez toujours pas abandonné le projet de monter un nouveau spectacle musical...

Oui, j'ai une ou deux idées parce que c'est vraiment un genre que j'adore et qui, semble-t-il, commence à intéresser les Français, ce qui a été très difficile jusqu'à maintenant. Mais c'est extrêmement difficile à monter. Mais comme j'adore moi-même chanter et jouer la comédie, c'est là mon «plein emploi».

Quand vous ne chantez pas, vous partez en vacances ? Vous bricolez, faites du jardinage ?

J'ai rarement des projets de vacances ou alors juste dans ma maison de campagne ; je vais voir ma cousine du côté de Bordeaux... Le bricolage ? Je suis tout le contraire d'un bricoleur (rires) ou alors je ne suis qu'un bricoleur... de mots. Je remets à jour les textes que j'accumule toute l'année ; j'écoute des cassettes et je lis beaucoup. Pour le reste, c'est ma femme qui bricole !

Serge Lama en concert avec l'Orchestre Philharmonique d'Ile-de-France dirigé par Michel Guillaume, demain jeudi 18 mars à Toulouse, à 20-h-30 au Palais des sports. Locations : Box Office, tel. 05.61.62.47.77 et Fnac : tel. 05.61.11.01.01. Concerts également, le 29 mars à Auch, salle du Mouzon (Tel. 05.62.61.65.00) ; le 13 juillet à Carcassonne.

 

17.03.2009

17 Mars 1999: Concert à Pau

De passage à Pau avec le symphonique le 17 Mars 1999

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