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30.03.2009

30 mars 1989 : Intimité

Serge Lama était à l'honneur dans INTIMITE du 30 mars au 5 avril 1989.

serge lama

 

 

 

28.03.2009

28 mars 1987 : France Soir

Le Napoléon de Serge Lama passe par Lyon qui ne possède pas de salle adaptée à ce type de spectacle

 

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25.03.2009

25 mars 1987: Lyon Figaro

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Le 1er septembre 1986, Lyon voyait la naissance d’un nouveau journal : Lyon Figaro, prenant la forme d’un quotidien de format tabloïd, encarté chaque jour, dans l’édition nationale du Figaro. Voici l'article publié lors du passage de Serge Lama et son Napoléon.

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Palais des sports de Lyon Photo D.R.

 

 

Le soleil d'Austerlitz qui a brillé deux années durant sur le théâtre Marigny ne lui a pas suffi. Paris n'était pas assez grande pour le "Napoléon" de Serge Lama, et le nouvel empereur a vite décidé d'emmener sa tsarine Christine Delaroche et toute sa troupe sur les roules d'une Europe conquise d'avance. Soit 100 jours d'un nouveau type, fractionnés en trois étapes, et l'assurance d'un dernier couronnement en beauté vers la fin juin 1987 à... Fontainebleau. Mais Napoléon Lama n'en est pas encore là, il arrive tout juste à Lyon où il s'installe pour quatre jour et cinq représentations. Au programme : vingt-cinq chansons, vingt-deux comédiens, quatorze techniciens, quatre habilleuses, deux coiffeurs, bref une soixantaine de personnes auxquelles il convient d'ajouter une dizaine de techniciens recrutés localement. L'organisation est imposante, à la hauteur du sujet, et nécessite une journée et demi de montage des éléments. C'est ainsi que depuis le 24 mars, scène, décors, régies son et éclairage son en cours d'installation.Tout est à la mesure du pari lancé par Serge Lama en juin 1984. "Quand on a quatre-vingt pour cent des gens contre soi, on est forcément fier de renverser la vapeur. D'un spectacle qui, soi-disant, ne valait rien en juin 1984, on en a fait un triomphe en septembre. Et aujourd'hui, nous sommes les premiers à partir en tournée avec un monument musical de cette envergure. Tout cela sans la moindre subvention", affirme avec force le chanteur historien et bateleur. il ne faut pas moins de cinq semi-remorques pour transporter les 6500 mètres cubes de matériel nécessaire à la reconstitution régulière du spectacle, pour une scène superbe d'environ 330 mètres carrés (24 mètres sur 14). Pour les responsable de la mise en place, "le problème sonore est de loin le plus délicat, car nous travaillons sur HF". Effectivement, pour le reste, il s'agit d'une organisation équivalente aux méga-tournées habituelles avec quand même plus de monde, plus de décors. plus de moyens. Le Palais des Sports vit donc un drôle de scénario, son arène prise d'assaut pour un bon tiers par la scène, sa capacité d'accueil réduite de moitié. En effet, si l'on compte vingt-quatre mètres d'ouverture de scène, il y a seulement (!) quatorze mètres d'ouverture de décor. Du coup, pour que les spectateurs puissent profiter normalement et pleinement du spectacle, les angles morts sont proscrits ; ce qui n'empêchera pas Serge Lama d'attirer la grande foule. Car à l'exception de deux ou trois villes, pour des raisons facilement analysables, "Napoléon se joue à guichets fermés. Voilà bien une motivation supplémentaire pour celui qui se confond tant maintenant avec son personnage. Parce qu'il ne faut pas lui parler, à Lama, des producteurs qui ont fait la fine bouche ou des subventions dont a profité Youssef Chahine pour son film "Adieu Bonaparte". "C'est un film sans intérêt, davantage enclin à traiter des conflits pédérastiques du personnage que de la campagne d'Egypte", n'hésite-t-il pas à tonitruer. Ah, les subventions... Dans le même sac, cousu de reproches quasiment guerriers, Serge Lama peut fourrer toutes les créations qui bénéficient de ce coup de pouce : de "L'Avare" aux "Amandiers" de Chéreau. Qui justement était le Bonaparte du film précédemment vilipendé. Le chanteur peut maintenant savourer son triomphe : en compagnie de Jacques Rosny, qui a cosigné le livret, d'Yves Gilbert pour la fresque musicale, sans oublier Christine Delaroche en tête de distribution, Serge Lama a conquis sa propre maturité en partant à l'assaut d'un sacre qui n'était au départ qu'un pari complètement fou. Source : "L'empereur du spectacle" / Laurent Perzo in Lyon Figaro, 25 mars 1987, p.45..

25 au 28 mars 1987 : Napoléon à Lyon

Au cours du premier trimestre 1987, Serge Lama se produit en région Rhône Alpes. Affiche, billet de spectacle et article publié dans LYON MATIN le 23 mars 1987 et LE PROGRES du 26 mars 1987 en sont le témoignage.

Par ailleurs, dans le journal régional, France 3 Rhône Alpes a interviewé Serge Lama avant le spectacle et diffusé des images des répétitions.

 

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serge lama

le progrès 26 Mars 87

serge lama

 Lyon matin 23 Mars 87
 
 
 

serge lama

Le progrès 22 Mars 87

 

lire.

 

JT France 3 Rhône Alpes du 25 mars 1987

 

 

 

25 Mars 1989: Champs Elysées au Paradis latin

Pour le 100 ème anniversaire du Paradis Latin, Michel Drucker consacrait un Champs Elysées entier à ce célèbre cabaret.

 

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télé 7 jours

 

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télé poche

Serge Lama avait interprété Nini peaud'chien

 

 

 

25 Mars 1982:VSD

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LIRE

21.03.2009

21 Mars 1981: Télérama

Alors que Serge Lama se produisait au Palais des congrès, un numero 1 lui était consacré.

Télérama pour faire écho à ces évements publiait cet article.

 

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21 Mars 1981: Télé poche

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21 mars 1981 : Télé 7 jours

Serge Lama était en couverture du 21 au 27 mars 1981 du magazine Télé 7 Jous qui lui consacrait un article sous la plume de Franklin Didi.

 

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Lama et l'argent. "J'en gagne. Plus qu'il ne m'en faut car je n'ai pas de gros besoins. Je n'ai ni Rolls ni château. Depuis dix ans, je mène le même train de vie. Mon patrimoine se résume à un lopin de terre de 5000 à 6000 m² entre Châteaudun et Vendôme et à un appartement de 100 m² que je viens d'acheter du côté des invalides. Mes économies, je les partage avec Giscard. Il se régale. J'ai dû verser 400 à 500 millions anciens d'impôts l'année dernière. Le reste, je le place à la banque. En compte bloqué. ne me demandez combien il y a. mes hommes d'affaires le savent. Des chèques, j'en signe, mais en blanc, à ma secrétaire-femme de confiance, Simone Marouani, la soeur de mon impressario, c'est elle qui complète. L'argent, ça me permet de penser qu'un jour je pourrais me retirer deux ou trois ans pour prendre du recul, faire le point, et tenir le coup. C'est un peu de liberté quelque part. pas une obsession."

Lama et son public : "Après chaque spectacle, je me fais un devoir de recevoir mon public - 70 à 80% sont des femmes - dans ma loge. Ils sont 300 à 400 à défiler pour une dédicace, échanger quelques mots, un regard, un sourire, une poignée de main. Pour moi, le spectacle ne se termine pas avec le baisser de rideau. Il y a cette prolongation, cette troisième mi-temps jouée dans la loge. Je donne mais je reçois aussi. Avec le public; c'est 50-50. On s'insuffle mutuellement de la force, du réconfort. Mes rapports avec lui ont un côté électrique qui va du sexe à l'âme. Je suis incapable de me passer de cet échange. C'est pourquoi je fais plus de scène que mes confrères. deux cents galas par an en moyenne. Sans avoir l'impression de fournir un effort surhumain ni de me surpasser".

Lama et les femmes. "Oui, je sais, on me dit phallocrate, misogyne...Alors qu'il n'y a pas moins "macho" que moi. les femmes qui m'entourent vous le diront toutes. Et elles sont nombreuses. Seulement, je refuse que le fait d'être une femme soit utilisé comme un privilège. Si une femme est une emmerdeuse, eh bien je ne me prive pas de dire qu'elle est une emmerdeuse sous prétexte qu'elle est une femme ! Ce sont "Les Petites Femmes de Pigalle" qui doivent me valoir cette réputation. Pourtant, écoutez bien mes chansons : je n'y ai pas toujours le beau rôle. Réentendez "Je suis malade". En vérité, j'ai de plus en plus besoin de la présence de femmes. A vingt ans, j'étais méfiant, agressif, complexé vis-à-vis d'elles. Depuis mon grave d'automobile, en août 1965, ça va beaucoup mieux avec elles. J'ai plus de succès après qu'avant cet accident. Pourtant, il m'a laissé bancal, pas bien foutu. Mais les femmes aiment beaucoup les cicatrices. Elles aiment les hommes qui ont souffert. C'est de là, pas de l'uniforme, que vient leur attirance pour les militaires."

Lama et "sa" femme. "Oui, il y a une femme dans ma vie. Depuis dix ans. Elle vit dans l'ombre. Mais elle existe pour moi. Nous vivons chacun dans notre appartement. je me sens incapable de vivre à temps complet avec quelqu'un. Dans dix ans, je ne dis pas... Mais pas pour le moment. J'ai fait une fois l'expérience du mariage. Ce fut un échec. Nous sommes séparés depuis dix années, mais pas divorcés. je porte d'ailleurs encore mon alliance. Elle est devenue une de mes meilleures amies et une collaboratrice (chargée des rapports avec la TV). Mais aucune femme de me parait devoir aliéner mon indépendance. J n'accepte d'être dépendant que d'une chose : mon métier, que j'aime presque anormalement."

 

 

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Lama et la patrie. "je ne comprends pas les Français qui disent du mal de leur pays. Faite un referendum auprès des étrangers qui connaissent la France, vous verrez ce qu'ils disent de notre pays. Nous avons les quatre saisons, des paysages magnifiques, des forêts, la mer, l'océan, la montagne, la campagne, une île de toute beauté 'j'adore la Corse). Seul le Nord est un peu triste mais c'est compensé par un public que j'estime le meilleur de France. je suis un terrien, je défends ma terre comme on défend son clan. Oui, je suis un peu chauvin. pas autant que Roger Couderc, mais quand une équipe de France de rugby ou de football jour à la télé, je pousse le ballon dans mon fauteuil".

Lama et la politique : "Le seul homme politique qui m'ait fait vibrer me fait vibrer aujourd'hui encore, c'est De Gaulle. Avec lui, on avait le sentiments d'être dirigés, gouvernés. Cet homme avait une force, une présence, que je n'ai retrouvées chez aucun grand leader. Ce grand rassembleur était un homme debout. Je ne suis pourtant pas gaulliste. Je n'ai jamais voté pour lui, ni pour quiconque d'autre. Je ne vote jamais".

Lama et l'amitié : "J'ai les mêmes vrais amis depuis quinze ans et je ne crois pas que je m'en ferai d'autres. A la fin de ma vie, je serai plutôt un solitaire, je crois. J'aurai été tellement entouré, aurai vu tant de visages, serré tant de mains, répondu à tant de questions que j'éprouverai, je le sens, le besoin de finir en paix, loin de tous. Pour devenir mon ami ? Il faut simplement me ressembler : c'est à dire ne pas être emmerdeur, pas trop compliqué, pas béni-oui-oui, surtout être très ponctuel. Je considére l'imponctualité comme la plus grande des impolitesses. En vérité, je suis le plus parfait mélange d'égocentrisme et d'altruisme qui soit".

Lama et l'information télévisée : "A entendre les journeaux télévisés, on a l'impression qu'il n'y a que des catastrophes dans le monde. je déplore qu'il n'y ait aucun effort pour donner de temps en temps une bonne nouvelle. attention, je ne dis pas qu'il faut masquer la vérité. il faut donner des nouvelles porteuses d'espoir. Surtout pour les jeunes. Ceux-ci, à force d'entendre parler de choses négatives, de destructions, de contestations, finissent par perdre espoir, par penser que le travail est inutile, que le plus important c'est les vacances, et, en définitive, baissent les bras. je propose qu'à chaque journal télévisé, cinq minutes soient consacrées à une bonne nouvelle. Pour les enfants.

Lama et les Variétés TV: "On devrait créer une émission de variétés laissée entièrement à la responsabilité de certaines vedettes. Leur attribuer un honorable budget, semblable à celui de "Numéro Un" ou de "Stars", une centaine de millions anciens et leur dire : voilà, débrouillez-vous. Une fois par mois. Moi, dans ces conditions, je suis partant. Je ferais tomber moins de confettis et de pailletes et m'efforcerais de faire une émission à idées plutôt qu'une émission destinée à faire des stars. Je m'inspirerais de la précision et de la préparation des TV américaines plutôt que de sacrifier à l'improvisation. Il faudrait employer à plein temps des gens qui écriraient pour ce genre de spectacle et qu'on paierait en conséquence de leur talent. Personnellement, je serais mal venu de ma plaindre de la TV française. j'ai la chance d'être l'un des rares artistes invités aussi bien par Guy Lux que par Jacques chancel."

 

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Lama et la chanson "En dépit du succès, je ne suis pas blasé. C'est sur scène que je me sens le plus heureux. Je pense constamment aux gens qui ont payé 65 ou 90 francs pour venir me voir. Pour beaucoup c'est un sacrifice financier. Je ne voudrais pas que certains d'entre eux aient la sensation d'avoir été volés. Alors je me donne à fond. Il m'arrive parfois d'être fatigué sur scène, ce qui me met en colère contre moi-même, mais jamais d'être lassé de faire ce métier. Il est tout à fait possible  qu'à l'instar d'un Maurice Chevalier ou d'un Jean Sablon, je continue à taquiner le micro passé les 70 ans. Mais si le bonheur d'être sur scène devait m'abandonner, je renoncerais avant."

Lama et l'avenir. "Deux cents galas par an sur les scènes de France et des pays francophones, ne m'ont pas laissé la possibilité d'élargir mon audience à d'autres pays. A présent, j'y suis résolu. Pour commencer, je vais m'attaquer à la Grande Bretagne. Je me suis mis à l'anglais. Mon premier disque dans cette langue sortire en mai prochain. J'aurais voulu trouver une salle où je pourrais rester à l'affiche pendant un an d'affilée. Si je devais, comme ce maçon toulonnais, gagner près d'un milliard au loto, je crois que j'en donnerais le cinquième à mes amis et à des malheureux et avec le reste j'achèterais un théâtre pour des spectacles de chansons, de son et lumière, des expositions de peinture. Je réaliserais ainsi un rêve qui me poursuit depuis l'enfance."

 

20.03.2009

20 Mars 1986: Ciné revue

A cette époque l'album portraits de femmes venait de sortir, retrouver Serge et son fils au milieu des automates.

 

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