11.12.2018
11 Decembre 2020:Supplément du Point sur Napoléon
20:08 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
19.11.2018
19 Novembre 2020:L'hebdo de Charente Maritime
Interview de Serge Lama par Nicolas Saint Lanne dans la revue l'Hebdo de Charente Maritime.
Cet article n'est pas comme les autres puisqu'il met à l'honneur ce musée , merci à son auteur qui est un jeune auteur compositeur interprète
10:15 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
04.11.2018
4 Novembre 2020:1000 chansons préférées des français
18:33 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
14.10.2018
14 Octobre 2020: Soir Mag
09:35 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
27.07.2018
27 Juillet 2020:Le monde
18:23 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
23.07.2018
23 Juillet 2020:Sud Ouest
16:29 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
01.05.2018
Mai 2020:Revue Les amis de Georges.
07:40 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
07.02.2018
7 Février 2020:France Dimanche
13:25 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
09.01.2018
9 Janvier 2020:Le figaro
Le figaro annonce la prochaine et dernière tournée en province de Serge Lama
«Fini, c’est un mot terrible»: Serge Lama annonce ses adieux à la province
Dans des vœux poignants écrits sur Facebook, le créateur inspiré des P’tites Femmes de Pigalle et d’Aventures en aventures donne un ultime rendez-vous à l’automne prochain à son public de France et de Navarre «afin de le remercier» de son indéfectible soutien.
Serge Lama fera une grande tournée d’adieu en province à l’automne 2020. FRANCOIS GUILLOT/AFP
Il a immortalisé les p’tites femmes de Pigalle et leurs fleurs du mal. Mais c’est loin de Paris, à ce public de province «qui l’a élu» que Serge Lama fera ses adieux en 2020.
Lors de ses vœux d’heureuse année, adressés directement via son compte Facebook à ses indéfectibles admirateurs, le chanteur a donné un ultime rendez-vous aux Lillois, Havrais, Tourangeaux et autres Nantais, qu’il viendra rencontrer une dernière fois à l’automne prochain, lors d’une grande tournée sur les routes de France et de Navarre baptisée: Adieu chère province.
Dans son message de bonne année, le saltimbanque bordelais, fidèle et inspiré disciple de Jacques Brel qui fêtera ses 77 printemps le 11 février prochain, explique pourquoi sa tournée en province en 2020 sera la der des ders. «FINI! Fini, c’est un mot terrible, mais vous savez que je n’ai qu’une parole et que je ne reviendrai pas sur cette décision. Je vous avais dit que le baromètre serait mon corps et que je chanterai tant que mes jambes me porteraient (je devrais d’ailleurs écrire «ma» jambe car depuis 55 ans, depuis ce fameux accident, c’est elle qui me porte, l’autre n’est qu’un appui instable).»
Ce dernier tour de France, qui le portera «d’aventures en aventures» aux quatre coins de l’hexagone, représente un authentique déchirement pour cet auteur mélancolique. Comme il se doit, les derniers mots de son message frôlent le pathétique: «Mais je tiens tout de même à faire l’ultime effort, afin de venir vous remercier, car encore une fois, c’est VOUS qui m’avez élu, même à Paris, c’est VOUS qui m’avez permis de remplir cette salle mythique qu’est le Palais des Congrès, que j’ai inauguré en janvier 1975. J’y ai chanté en tout plus de huit mois. Parfois je vous reconnaissais dans la salle, amis de province. Je vous dois ma carrière en réalité.»
06:08 Publié dans 2020, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)
22.05.2009
22 Mai 2005:Le journal de saone et loire
Salle de l’embarcadère Montceau les mines le 21 Mai 2005
On est venu voir le chanteur. Charmeur
Quarante années plus tard, Serge Lama est toujours omniprésent sur scène. Et il se renouvelle, il se régénère même, au contact d'un public enthousiaste qui ne l'oublie pas. Même si l'impression que l'artiste traverse un désert, il n'en est rien.
Il écrit, il compose ou bien encore il « tourne » à l'étranger. Dans la francophonie, ou ailleurs. Au Canada, reconnaissait il y a quelques semaines, Linda Lemay de passage à L'Embarcadère, Serge est une valeur sûre de la belle chanson française. De même à Tokyo où il représente l'image très « classique » de la France. Pourquoi un tel succès ici et là-bas ? tout simplement parce que l'artiste a tout en lui pour faire vibrer une salle. Hier soir, dans un Embarcadère plein à craquer, il a communiqué son émotion, fait partager sa joie de vivre, sa tendresse pour le métier, mais aussi pour les belles sonorités de l'accordéon et les belles paroles de sa langue musicale. Piochant dans un répertoire qui a fait ses preuves dans les dizaines de millions de disques vendus au fil de sa carrière, il jouait sur de velours.
Affectif débordant d'une joie de vivre intense, il ne pouvait que faire un tabac. Tour à tour émouvant avec une entrée en scène en rouge, pour chanter ses « ballons », charmeur avec une apologie de Fragonard, mais toujours fidèle à lui-même, d'une gentillesse et d'un respect extrêmes pour son public. Chanteur populaire ? sans doute, mais dans le meilleur sens du terme qui soit. Accordéonissi-Mots, c'est la somme de deux talents et un répertoire hyper-connu, repris en chœur par une salle de fans venus de tout le département, voire d'un peu plus loin.
On a simplement regretté qu'une chose ait choisi, un programme trop vite livré, malgré une bonne et courte heure quarante-cinq de scène. Serge Lama a la pêche et a clôturé ainsi en beauté la saison 2004-2005 de l'Embarcadère.
Michel Sarrazin
20:57 Publié dans 2005, La presse des années 2020 | Lien permanent | Commentaires (0)